Pour Rupert Murdoch, le but sera donc de proposer prochainement une version entièrement gratuite du WSJ qui tirerait ses revenus de la publicité et non plus des souscriptions payantes. " Nous étudions cela et nous envisageons de le rendre gratuit, et au lieu d'avoir 1 million d'abonnés, nous en aurons au moins 10 à 15 millions aux quatre coins du globe ", a déclaré Murdoch.
Il estime qu'un modèle basé sur le gratuit attirera " un très grand nombre " d'annonceurs publicitaires grâce à l'augmentation du nombre de lecteurs du journal. Pourtant, le WSJ était un des rares sites de presse à avoir réussi le modèle de souscription, comme nous l'indiquions dans une précédente actualité. Si le Wall Street Journal passait au modèle gratuit, ceci laisserait le magazine Consumer Reports seul parmi les groupes de presse ayant le plus grand nombre d'abonnés ( 3 millions qui rapportent chacun 26 dollars par an ).
En septembre, le New York Times, concurrent du WSJ, avait abandonné une offre qui aura duré deux ans et qui proposait des contenus exclusifs sur son site Internet moyennant un abonnement payant. Le groupe avait alors estimé qu'il était temps de s'ouvrir sur de nouveaux modèles, comme le tout gratuit soutenu par la publicité. Le Financial Times avait également annoncé qu'il serait un peu moins restrictif au niveau des contenus diffusés gratuitement. Ce dernier ne passera cependant pas au tout gratuit. Selon Murdoch, il est de toute façon encore trop tôt pour établir les prévisions financières du WSJ.
Il estime qu'un modèle basé sur le gratuit attirera " un très grand nombre " d'annonceurs publicitaires grâce à l'augmentation du nombre de lecteurs du journal. Pourtant, le WSJ était un des rares sites de presse à avoir réussi le modèle de souscription, comme nous l'indiquions dans une précédente actualité. Si le Wall Street Journal passait au modèle gratuit, ceci laisserait le magazine Consumer Reports seul parmi les groupes de presse ayant le plus grand nombre d'abonnés ( 3 millions qui rapportent chacun 26 dollars par an ).
En septembre, le New York Times, concurrent du WSJ, avait abandonné une offre qui aura duré deux ans et qui proposait des contenus exclusifs sur son site Internet moyennant un abonnement payant. Le groupe avait alors estimé qu'il était temps de s'ouvrir sur de nouveaux modèles, comme le tout gratuit soutenu par la publicité. Le Financial Times avait également annoncé qu'il serait un peu moins restrictif au niveau des contenus diffusés gratuitement. Ce dernier ne passera cependant pas au tout gratuit. Selon Murdoch, il est de toute façon encore trop tôt pour établir les prévisions financières du WSJ.