La société Palm Inc., célèbre pour ses PDA puis pour ses smartphones de la gamme Treo, dont le dernier modèle, le Palm Treo Pro, s'adresse tout particulièrement au monde de l'entreprise, rencontre des difficultés pour maintenir son activité, dans un contexte qui ne cesse de se durcir.
Affichant des pertes depuis plusieurs trimestres, poursuivant bravement sa migration vers un système d'exploitation Palm OS II utilisant un noyau Linux qui doit lui permettre de se relancer mais qui consomme ses ressources et limite ses lancements, et confronté à la concurrence grandissante d'acteurs comme Apple et son iPhone ou RIM et ses Blackberry, Palm peine à maintenir sa visibilité sur le marché.
Ajoutons les effets de la crise économique mondiale, qui pourraient pénaliser les ventes de smartphones professionnels du fait des innombrables licenciements dans tous les secteurs à commencer par les banques, et le tableau s'annonce bien sombre si l'on ne dispose pas d'appuis solides.
Palm, toujours à la recherche d'un nouveau souffle
C'est dans ce contexte que Palm a annoncé une série de suppressions d'emplois la semaine dernière, pour tenter de réaliser des économies et d'enrayer la chute de sa part de marché face à des rivaux qui ne cessent de progresser grâce à des produits polyvalents capables de séduire un public professionnel ou à la recherche d'un terminal puissant et ludique.
Lynn Fox, porte-parole de Palm, n'a pas indiqué combien des 1050 salariés de la société seraient concernés par les licenciements mais elle a précisé que la mesure prendrait effet dès cette semaine. " L'objectif est de consolider nos ressources et de cibler nos efforts avec plus d'efficacité ", a-t-elle simplement indiqué.
Après une embellie en début d'année qui lui a permis de regagner des parts de marché grâce au succès de son modèle d'entrée de gamme Palm Centro, terminal mobile sous Palm OS Garnet écoulé à plus de 2 millions d'exemplaires, la situation s'est durcie depuis le deuxième semestre 2008.
Selon une étude ChangeWave, les intentions d'achat de smartphones Palm par les entreprises ne seront que de 5% au trimestre suivant, moitié moins que l'an dernier, alors que celles concernant les smartphones Blackberry sont de 78% et celles pour l' iPhone de 22%, confirmant que ce terminal est désormais vu comme un alternative de smartphone professionnel.
Affichant des pertes depuis plusieurs trimestres, poursuivant bravement sa migration vers un système d'exploitation Palm OS II utilisant un noyau Linux qui doit lui permettre de se relancer mais qui consomme ses ressources et limite ses lancements, et confronté à la concurrence grandissante d'acteurs comme Apple et son iPhone ou RIM et ses Blackberry, Palm peine à maintenir sa visibilité sur le marché.
Ajoutons les effets de la crise économique mondiale, qui pourraient pénaliser les ventes de smartphones professionnels du fait des innombrables licenciements dans tous les secteurs à commencer par les banques, et le tableau s'annonce bien sombre si l'on ne dispose pas d'appuis solides.
Palm, toujours à la recherche d'un nouveau souffle
C'est dans ce contexte que Palm a annoncé une série de suppressions d'emplois la semaine dernière, pour tenter de réaliser des économies et d'enrayer la chute de sa part de marché face à des rivaux qui ne cessent de progresser grâce à des produits polyvalents capables de séduire un public professionnel ou à la recherche d'un terminal puissant et ludique.
Lynn Fox, porte-parole de Palm, n'a pas indiqué combien des 1050 salariés de la société seraient concernés par les licenciements mais elle a précisé que la mesure prendrait effet dès cette semaine. " L'objectif est de consolider nos ressources et de cibler nos efforts avec plus d'efficacité ", a-t-elle simplement indiqué.
Après une embellie en début d'année qui lui a permis de regagner des parts de marché grâce au succès de son modèle d'entrée de gamme Palm Centro, terminal mobile sous Palm OS Garnet écoulé à plus de 2 millions d'exemplaires, la situation s'est durcie depuis le deuxième semestre 2008.
Selon une étude ChangeWave, les intentions d'achat de smartphones Palm par les entreprises ne seront que de 5% au trimestre suivant, moitié moins que l'an dernier, alors que celles concernant les smartphones Blackberry sont de 78% et celles pour l' iPhone de 22%, confirmant que ce terminal est désormais vu comme un alternative de smartphone professionnel.