Le préfet Michel Delpuech avait déjà pris un arrêté identique lorsqu'il gérait la région Aquitaine en février. Il a motivé sa décision par souci d'éviter " les risques de trouble à l'ordre public" tout en précisant qu'à son sens, " la qualification et la formation des conducteurs ne sont pas garanties" avec le service. La préfecture du Rhône indique par ailleurs avoir constaté plusieurs "incidents" entre chauffeurs de taxi et particuliers utilisant l'application UberPop.