L'Imperial College de Londres s'est penché sur le sujet et établit qu'il était pourtant simple de combattre ces effets, tout simplement en déclenchant des stimulus électriques au cerveau. La méthode est simple et peut être déployée dans un dispositif compact et efficace qui pourrait être commercialisé d'ici 5 à 10 ans. Il serait même possible de l'adapter aux smartphones : une décharge serait envoyée directement au crâne au travers d'un casque filaire, ou d'une variante sans fil.