La tentative avortée de rachat de tout ou partie de Yahoo! par Microsoft avec une offre culminant à 47 milliards de dollars aura assurément laissé des séquelles. Pourtant le magnat du pétrole T. Bonne Pickens a longtemps cru et espéré que l'avenir de Yahoo! serait empreint d'un peu de Microsoft, n'hésitant pas à apporter son soutien à son collègue milliardaire Carl Icahn dans son désir de renverser le conseil d'administration pour faire revenir la firme de Redmond à la table des négociations. Mais l'accord amiable consenti par Icahn a été la goutte de trop pour Pickens qui ne décolère pas.
Pickens qui avait acheté pour 10 millions de dollars de parts de Yahoo! (0,7 % du capital) au mois de mai dernier dans la perspective d'une future acquisition par Microsoft, a définitivement jeté l'éponge, confiant au San Francisco Chronicle avoir vendu la totalité de ses parts à perte, sans toutefois préciser le montant de cette perte, et fustigeant au passage la direction de Yahoo! pour sa gestion " pathétique ".
Il y a une dizaine de jours, Yahoo! a annoncé un accord avec Carl Icahn lui offrant trois sièges au conseil d'administration en échange de l'abandon de sa tentative de renversement. Plus récemment c'est Steve Ballmer, le PDG de Microsoft, qui a confié qu'aucune discussion n'était en cours avec Yahoo!, soulignant que ce rapprochement avait toujours été envisagé comme une tactique et non une stratégie.
Pickens qui avait acheté pour 10 millions de dollars de parts de Yahoo! (0,7 % du capital) au mois de mai dernier dans la perspective d'une future acquisition par Microsoft, a définitivement jeté l'éponge, confiant au San Francisco Chronicle avoir vendu la totalité de ses parts à perte, sans toutefois préciser le montant de cette perte, et fustigeant au passage la direction de Yahoo! pour sa gestion " pathétique ".
Il y a une dizaine de jours, Yahoo! a annoncé un accord avec Carl Icahn lui offrant trois sièges au conseil d'administration en échange de l'abandon de sa tentative de renversement. Plus récemment c'est Steve Ballmer, le PDG de Microsoft, qui a confié qu'aucune discussion n'était en cours avec Yahoo!, soulignant que ce rapprochement avait toujours été envisagé comme une tactique et non une stratégie.