Il y a quelques mois, Viacom, exaspéré de voir des vidéos protégées lui appartenant mises en ligne sur YouTube sans sa permission, décidait de poursuivre en justice Google, sa maison-mère, lui réclamant un milliard de dollars de dommages et intérêts. Les ayants droit estiment en effet que YouTube est volontairement permissif sur les vidéos qu'il héberge afin d'en tirer des bénéfices financiers.
Afin de se défendre, la firme de Mountain View a notamment décidé de s'entretenir avec Colbert et Stewart. Le premier présente le Colbert Report qui est un dérivé ( ou spin off ) du Daily Show animé par le second. On ne sait pas très bien ce que YouTube attend de ces deux personnalités d'outre-Atlantique mais le portail vidéo a besoin d'un minimum de 30 soutiens pour lutter contre les accusations de Viacom.
La plate-forme vidéo a déclaré qu'elle prévoyait de montrer qu'elle respectait l'importance de la propriété intellectuelle, tout en se retranchant derrière le fameux DMCA ( Digital Millenium Copyright Act ). Ainsi, le site Web s'engage à supprimer les vidéos dès lors que les détenteurs des droits en font la demande. Ce qui n'est pas vraiment du goût des ayants droit qui estiment ne pas avoir à faire la police eux-mêmes. Un système destiné à limiter la publication sans permissions de ces clips protégés devrait voir le jour dans les prochaines semaines, en septembre normalement.
Viacom, qui détient les droits du Colbert Report et du Daily Show, n'a pas souhaité réagir à cette information.
Afin de se défendre, la firme de Mountain View a notamment décidé de s'entretenir avec Colbert et Stewart. Le premier présente le Colbert Report qui est un dérivé ( ou spin off ) du Daily Show animé par le second. On ne sait pas très bien ce que YouTube attend de ces deux personnalités d'outre-Atlantique mais le portail vidéo a besoin d'un minimum de 30 soutiens pour lutter contre les accusations de Viacom.
La plate-forme vidéo a déclaré qu'elle prévoyait de montrer qu'elle respectait l'importance de la propriété intellectuelle, tout en se retranchant derrière le fameux DMCA ( Digital Millenium Copyright Act ). Ainsi, le site Web s'engage à supprimer les vidéos dès lors que les détenteurs des droits en font la demande. Ce qui n'est pas vraiment du goût des ayants droit qui estiment ne pas avoir à faire la police eux-mêmes. Un système destiné à limiter la publication sans permissions de ces clips protégés devrait voir le jour dans les prochaines semaines, en septembre normalement.
Viacom, qui détient les droits du Colbert Report et du Daily Show, n'a pas souhaité réagir à cette information.