Le journal Le Figaro rapporte ainsi que la gendarmerie nationale a développé avec l'Onera (Office National d'études et de recherches aérospatiales) un drone renifleur embarquant des capteurs (infrarouge, notamment) pour repérer le pilote et participer à sa neutralisation.
Derrière cette riposte, c'est aussi la crainte de voir des terroristes utiliser des drones pour commettre des actes malveillants qui impose le développement d'une telle solution, des cas de drones parvenant à se faufiler entre les mailles d'une surveillance terrestre ayant déjà été signalés.
Le Figaro relève enfin que les drones renifleurs de la gendarmerie seront pilotés via des fréquences protégées afin d'empêcher leur détournement.