Se sentant traqué, il attaque physiquement Google

Par peur d'être pisté par Google, un homme aurait perpétré plusieurs attaques dont à l'encontre des locaux de la firme de Mountain View ou encore un véhicule Street View.
Assurément, ce Californien âgé de 30 ans a la conviction que Google est Big Brother. Arrêté par la police le mois dernier, il est a priori impliqué dans une série d'attaques ayant visé Google mais pas des cybeattaques.
Perturbé par un sentiment d'être traqué par la firme de Mountain View, l'homme a jeté des cocktails Molotov sur un véhicule Street View qui n'a toutefois pas été endommagé.
Les autorités tentent également d'établir un lien entre l'homme et des coups de feu qui ont visé le siège social de Google, ainsi que l'incendie d'un véhicule du groupe.
L'individu a été interpellé au volant d'une voiture de type SUV qui avait été filmée par des caméras de sécurité lors des incidents. À bord, il a été découvert le nécessaire pour la fabrication d'une bombe artisanale.
La " surveillance " de Google peut-elle rendre fou ?
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Une association de consommateurs britannique dénonce actuellement le fait que Google devrait de l'argent aux utilisateurs d'iOS pour avoir collecté leurs données personnelles sans leur accord.
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L'autoplay - ou lecture automatique - sera progressivement sous contrôle pour les utilisateurs de Google Chrome. Notamment pour les contenus bruyants.
Vos commentaires Page 1 / 4
Mon Dieu, ... triste monde
Tu peux m’appeler Ulysse, on est entre nous ===>[]
...
No comment
Haha il me fait penser à Marvin du film Red ce gars.
PTDR !
=>La "surveillance" entre guillemets, ben voyons...
"On s'autorise à penser dans les milieux autorisés que peut-être Google surveille les gens un peu, peut-être"
Ou qplutot prise de conscience
Google est geree par des megalos fous dangereux
Vive GAFAM et tant pis pour les pauvres arriérés paranoïaques qui vivent dans des grottes et qui n'utilisent pas ces services géniauuuuuuuuux.
Pourvu qu'ils continuent à écraser la concurrence européenne, ça va faire du bien à nous tous, français, qui sommes, bien évidemment, tous actionnaires de ces sociétés philanthropes. N'est-ce pas ?