
Basé sur le noyau de Solaris, l’un des principaux attraits d’OpenSolaris est sans nul doute son système de fichiers 128 bits ZFS (Zettabyte File System) voire l’outil d’audit du noyau et des applications DTrace. Pour le reste, OpenSolaris débarque avec l’environnement de bureau GNOME 2.20 et le gestionnaire de fenêtres Compiz pour la composition graphique. OpenSolaris intègre un gestionnaire de paquets et peut être installé dans machine virtuelle VirtualBox.
Nous avions déjà évoqué le cas d’OpenSolaris dans une précédente actualité. Pour cet OS communautaire, Murdock prévoit une nouvelle version tous les 6 mois, calquant le cycle de développement sur celui adopté par de nombreuses distributions Linux. Il espère d’ailleurs qu’OpenSolaris connaîtra le même succès que certaines d’entre elles, un souhait dont il est bien difficile de dire qu’il sera exaucé. A défaut, OpenSolaris servira au moins de " terreau " aux nouvelles technologies de Solaris.