Stéphane Richard, dirigeant de l'opérateur historique, ne s'est pas étendu sur le sujet, soulignant seulement qu'il faudra encore "plusieurs semaines au moins avant d'aboutir à une décision". Il a également évoqué devant les médias la complexité de l'opération qui fait intervenir les quatre opérateurs et les incertitudes qui planent toujours quant à la possibilité de finaliser le rapprochement.
Outre les questions autour du découpage de Bouygues Telecom entre les différents acteurs, il y a aussi la problématique de la hauteur de l'entrée de Martin Bouygues au capital d'Orange, l'Etat actionnaire semblant décidé à conserver une participation d'au moins 21%, ce qui limitera forcément les possibilités d'action du nouvel actionnaire, d'autant plus qu'elles pourraient être assorties d'une clause empêchant son renforcement sur les trois prochaines années.