Ce que je veux dire c'est que même si la BSD n'empêchait pas un fork, ça
obligerait à revenir sur les versions antérieures et tirer un trait sur
les dernières évolutions.
Ce risque n'existe pas avec la GPL
Ce que je veux dire c'est que même si la BSD n'empêchait pas un fork, ça
obligerait à revenir sur les versions antérieures et tirer un trait sur
les dernières évolutions.
Ce risque n'existe pas avec la GPL
Ce que je veux dire c'est que même si la BSD n'empêchait pas un fork, ça
obligerait à revenir sur les versions antérieures et tirer un trait sur
les dernières évolutions.
Ce risque n'existe pas avec la GPL
PP , dans le message<4ccf3e84$0$5268$, a écrit :Ce que je veux dire c'est que même si la BSD n'empêchait pas un fork, ça
obligerait à revenir sur les versions antérieures et tirer un trait sur
les dernières évolutions.
Quelle que soit la licence, un fork ne peut partir que de la dernière
version publiée, c'est une tautologie.Ce risque n'existe pas avec la GPL
C'est faux. Plus exactement, la GPL n'évite le risque que si le projet a
accepté du code tiers sous GPL. Si le projet a été développé entièrement en
interne, la version n+1 peut parfaitement être fermée, quand bien même
toutes les versions jusqu'à n auraient été publiées sous GPL.
PP , dans le message<4ccf3e84$0$5268$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
Ce que je veux dire c'est que même si la BSD n'empêchait pas un fork, ça
obligerait à revenir sur les versions antérieures et tirer un trait sur
les dernières évolutions.
Quelle que soit la licence, un fork ne peut partir que de la dernière
version publiée, c'est une tautologie.
Ce risque n'existe pas avec la GPL
C'est faux. Plus exactement, la GPL n'évite le risque que si le projet a
accepté du code tiers sous GPL. Si le projet a été développé entièrement en
interne, la version n+1 peut parfaitement être fermée, quand bien même
toutes les versions jusqu'à n auraient été publiées sous GPL.
PP , dans le message<4ccf3e84$0$5268$, a écrit :Ce que je veux dire c'est que même si la BSD n'empêchait pas un fork, ça
obligerait à revenir sur les versions antérieures et tirer un trait sur
les dernières évolutions.
Quelle que soit la licence, un fork ne peut partir que de la dernière
version publiée, c'est une tautologie.Ce risque n'existe pas avec la GPL
C'est faux. Plus exactement, la GPL n'évite le risque que si le projet a
accepté du code tiers sous GPL. Si le projet a été développé entièrement en
interne, la version n+1 peut parfaitement être fermée, quand bien même
toutes les versions jusqu'à n auraient été publiées sous GPL.
On 2010-11-01, PP wrote:Le 01/11/2010 20:39, Vivien MOREAU a écrit :J'avoue ne pas voir le rapport avec l'aspect « viral » de la GPL,
pourrais-tu expliciter s'il te plaît ?
Ce que je veux dire, c'est que si jamais OpenOffice.org avait été
sous une des licences BSD, cela n'aurait pas empêché le fork.
Avec a licence BSD, certains developpeur voire SUN/ORACLE aurait pu être
propriétaire de certaines évolutions du programme, ce qui est
problématique pour un fork, qui est obligé de retirer certaines lignes
de code.
En faisant ça, ils auraient perdu le soutien de la communauté et
un fork entièrement libre serait né, tout comme maintenant.Grâce à la GPL, il n'y a pas de problème, tout code descendant est
automatiquement sous GPL.
Alors qu'avec la BSD, on peut développer un logiciel entièrement
propriétaire.
Et on peut tout autant forker en cas de problèmes de ce genre.
Non, je ne vois toujours pas ce que la licence GPL apporte sur ce
plan là.
On 2010-11-01, PP wrote:
Le 01/11/2010 20:39, Vivien MOREAU a écrit :
J'avoue ne pas voir le rapport avec l'aspect « viral » de la GPL,
pourrais-tu expliciter s'il te plaît ?
Ce que je veux dire, c'est que si jamais OpenOffice.org avait été
sous une des licences BSD, cela n'aurait pas empêché le fork.
Avec a licence BSD, certains developpeur voire SUN/ORACLE aurait pu être
propriétaire de certaines évolutions du programme, ce qui est
problématique pour un fork, qui est obligé de retirer certaines lignes
de code.
En faisant ça, ils auraient perdu le soutien de la communauté et
un fork entièrement libre serait né, tout comme maintenant.
Grâce à la GPL, il n'y a pas de problème, tout code descendant est
automatiquement sous GPL.
Alors qu'avec la BSD, on peut développer un logiciel entièrement
propriétaire.
Et on peut tout autant forker en cas de problèmes de ce genre.
Non, je ne vois toujours pas ce que la licence GPL apporte sur ce
plan là.
On 2010-11-01, PP wrote:Le 01/11/2010 20:39, Vivien MOREAU a écrit :J'avoue ne pas voir le rapport avec l'aspect « viral » de la GPL,
pourrais-tu expliciter s'il te plaît ?
Ce que je veux dire, c'est que si jamais OpenOffice.org avait été
sous une des licences BSD, cela n'aurait pas empêché le fork.
Avec a licence BSD, certains developpeur voire SUN/ORACLE aurait pu être
propriétaire de certaines évolutions du programme, ce qui est
problématique pour un fork, qui est obligé de retirer certaines lignes
de code.
En faisant ça, ils auraient perdu le soutien de la communauté et
un fork entièrement libre serait né, tout comme maintenant.Grâce à la GPL, il n'y a pas de problème, tout code descendant est
automatiquement sous GPL.
Alors qu'avec la BSD, on peut développer un logiciel entièrement
propriétaire.
Et on peut tout autant forker en cas de problèmes de ce genre.
Non, je ne vois toujours pas ce que la licence GPL apporte sur ce
plan là.
Le 01/11/2010 23:14, Vivien MOREAU a écrit :On 2010-11-01, PP wrote:[...]
Avec a licence BSD, certains developpeur voire SUN/ORACLE aurait pu être
propriétaire de certaines évolutions du programme, ce qui est
problématique pour un fork, qui est obligé de retirer certaines lignes
de code.
En faisant ça, ils auraient perdu le soutien de la communauté et
un fork entièrement libre serait né, tout comme maintenant.Grâce à la GPL, il n'y a pas de problème, tout code descendant est
automatiquement sous GPL.
Alors qu'avec la BSD, on peut développer un logiciel entièrement
propriétaire.
Et on peut tout autant forker en cas de problèmes de ce genre.
Non, je ne vois toujours pas ce que la licence GPL apporte sur ce
plan là.
Comme tu l'as écrit plus bas.
Pour qu'une code GPL devienne propriétaire, il faut que les propriétaire
du copyright GPL transforme la licence en propriétaire.
Alors que pour un code BSD, il suffit que les développeurs décident que
c'est désormais propriétaire pour que cela le devienne.
Par exemple, avec Openoffice, Oracle aurait pu dire en prenant
l'integralité du code d'openoffice, je crée Oracleoffice, en licence
propriétaire et personne ne pourrait rien dire, alors qu'avec la licence
GPL c'est impossible. Toutes les versions openoffice étant GPL, Oracle
ne peut pas se crée une version propriétaire avec le code existant, il
faudrait qu'il réécrive tout.
Le 01/11/2010 23:14, Vivien MOREAU a écrit :
On 2010-11-01, PP wrote:
[...]
Avec a licence BSD, certains developpeur voire SUN/ORACLE aurait pu être
propriétaire de certaines évolutions du programme, ce qui est
problématique pour un fork, qui est obligé de retirer certaines lignes
de code.
En faisant ça, ils auraient perdu le soutien de la communauté et
un fork entièrement libre serait né, tout comme maintenant.
Grâce à la GPL, il n'y a pas de problème, tout code descendant est
automatiquement sous GPL.
Alors qu'avec la BSD, on peut développer un logiciel entièrement
propriétaire.
Et on peut tout autant forker en cas de problèmes de ce genre.
Non, je ne vois toujours pas ce que la licence GPL apporte sur ce
plan là.
Comme tu l'as écrit plus bas.
Pour qu'une code GPL devienne propriétaire, il faut que les propriétaire
du copyright GPL transforme la licence en propriétaire.
Alors que pour un code BSD, il suffit que les développeurs décident que
c'est désormais propriétaire pour que cela le devienne.
Par exemple, avec Openoffice, Oracle aurait pu dire en prenant
l'integralité du code d'openoffice, je crée Oracleoffice, en licence
propriétaire et personne ne pourrait rien dire, alors qu'avec la licence
GPL c'est impossible. Toutes les versions openoffice étant GPL, Oracle
ne peut pas se crée une version propriétaire avec le code existant, il
faudrait qu'il réécrive tout.
Le 01/11/2010 23:14, Vivien MOREAU a écrit :On 2010-11-01, PP wrote:[...]
Avec a licence BSD, certains developpeur voire SUN/ORACLE aurait pu être
propriétaire de certaines évolutions du programme, ce qui est
problématique pour un fork, qui est obligé de retirer certaines lignes
de code.
En faisant ça, ils auraient perdu le soutien de la communauté et
un fork entièrement libre serait né, tout comme maintenant.Grâce à la GPL, il n'y a pas de problème, tout code descendant est
automatiquement sous GPL.
Alors qu'avec la BSD, on peut développer un logiciel entièrement
propriétaire.
Et on peut tout autant forker en cas de problèmes de ce genre.
Non, je ne vois toujours pas ce que la licence GPL apporte sur ce
plan là.
Comme tu l'as écrit plus bas.
Pour qu'une code GPL devienne propriétaire, il faut que les propriétaire
du copyright GPL transforme la licence en propriétaire.
Alors que pour un code BSD, il suffit que les développeurs décident que
c'est désormais propriétaire pour que cela le devienne.
Par exemple, avec Openoffice, Oracle aurait pu dire en prenant
l'integralité du code d'openoffice, je crée Oracleoffice, en licence
propriétaire et personne ne pourrait rien dire, alors qu'avec la licence
GPL c'est impossible. Toutes les versions openoffice étant GPL, Oracle
ne peut pas se crée une version propriétaire avec le code existant, il
faudrait qu'il réécrive tout.
Par exemple, avec Openoffice, Oracle aurait pu dire en prenant
l'integralité du code d'openoffice, je crée Oracleoffice, en licence
propriétaire et personne ne pourrait rien dire, alors qu'avec la licence
Par exemple, avec Openoffice, Oracle aurait pu dire en prenant
l'integralité du code d'openoffice, je crée Oracleoffice, en licence
propriétaire et personne ne pourrait rien dire, alors qu'avec la licence
Par exemple, avec Openoffice, Oracle aurait pu dire en prenant
l'integralité du code d'openoffice, je crée Oracleoffice, en licence
propriétaire et personne ne pourrait rien dire, alors qu'avec la licence
version d'un logiciel peut-être, mais un code GPL modifié est
automatiquement GPL, non ?
version d'un logiciel peut-être, mais un code GPL modifié est
automatiquement GPL, non ?
version d'un logiciel peut-être, mais un code GPL modifié est
automatiquement GPL, non ?
On 2010-11-01, PP wrote:Le 01/11/2010 19:07, a écrit :Voilà. C'est exactement l'illustration du troll précédant.
Il n'y a pas de moyen pour une société de contrôler/bloquer un projet libre.
Même en en prenant le contrôle, la société ne pourra pas empêcher un fork du
projet. C'est ça qui fait peur à Microsoft.
C'est le bon coté du coté viral de la GPL !
J'avoue ne pas voir le rapport avec l'aspect « viral » de la GPL,
pourrais-tu expliciter s'il te plaît ?
Ce que je veux dire, c'est que si jamais OpenOffice.org avait été
sous une des licences BSD, cela n'aurait pas empêché le fork.
On 2010-11-01, PP wrote:
Le 01/11/2010 19:07, stephane.carpentier@free.fr a écrit :
Voilà. C'est exactement l'illustration du troll précédant.
Il n'y a pas de moyen pour une société de contrôler/bloquer un projet libre.
Même en en prenant le contrôle, la société ne pourra pas empêcher un fork du
projet. C'est ça qui fait peur à Microsoft.
C'est le bon coté du coté viral de la GPL !
J'avoue ne pas voir le rapport avec l'aspect « viral » de la GPL,
pourrais-tu expliciter s'il te plaît ?
Ce que je veux dire, c'est que si jamais OpenOffice.org avait été
sous une des licences BSD, cela n'aurait pas empêché le fork.
On 2010-11-01, PP wrote:Le 01/11/2010 19:07, a écrit :Voilà. C'est exactement l'illustration du troll précédant.
Il n'y a pas de moyen pour une société de contrôler/bloquer un projet libre.
Même en en prenant le contrôle, la société ne pourra pas empêcher un fork du
projet. C'est ça qui fait peur à Microsoft.
C'est le bon coté du coté viral de la GPL !
J'avoue ne pas voir le rapport avec l'aspect « viral » de la GPL,
pourrais-tu expliciter s'il te plaît ?
Ce que je veux dire, c'est que si jamais OpenOffice.org avait été
sous une des licences BSD, cela n'aurait pas empêché le fork.
On 2010-11-02, PP wrote:Le 01/11/2010 23:14, Vivien MOREAU a écrit :On 2010-11-01, PP wrote:[...]
Avec a licence BSD, certains developpeur voire SUN/ORACLE aurait pu être
propriétaire de certaines évolutions du programme, ce qui est
problématique pour un fork, qui est obligé de retirer certaines lignes
de code.
En faisant ça, ils auraient perdu le soutien de la communauté et
un fork entièrement libre serait né, tout comme maintenant.Grâce à la GPL, il n'y a pas de problème, tout code descendant est
automatiquement sous GPL.
Alors qu'avec la BSD, on peut développer un logiciel entièrement
propriétaire.
Et on peut tout autant forker en cas de problèmes de ce genre.
Non, je ne vois toujours pas ce que la licence GPL apporte sur ce
plan là.
Comme tu l'as écrit plus bas.
Pour qu'une code GPL devienne propriétaire, il faut que les propriétaire
du copyright GPL transforme la licence en propriétaire.
Alors que pour un code BSD, il suffit que les développeurs décident que
c'est désormais propriétaire pour que cela le devienne.
Auquel cas, un fork serait né depuis les dernières sources disponibles,
comme avec une licence GPL, je le répète. Tu tournes en rond.
Par exemple, avec Openoffice, Oracle aurait pu dire en prenant
l'integralité du code d'openoffice, je crée Oracleoffice, en licence
propriétaire et personne ne pourrait rien dire, alors qu'avec la licence
GPL c'est impossible. Toutes les versions openoffice étant GPL, Oracle
ne peut pas se crée une version propriétaire avec le code existant, il
faudrait qu'il réécrive tout.
Très très mauvais exemple. Pour contribuer à OpenOffice.org, les
développeurs doivent signer un accord de transfert de copyright
vers Oracle ( anciennement Sun, donc ).
<http://en.wikipedia.org/wiki/OpenOffice.org#Ownership>
Tu vois, il n'y a aucune différence sur ce point.
On 2010-11-02, PP wrote:
Le 01/11/2010 23:14, Vivien MOREAU a écrit :
On 2010-11-01, PP wrote:
[...]
Avec a licence BSD, certains developpeur voire SUN/ORACLE aurait pu être
propriétaire de certaines évolutions du programme, ce qui est
problématique pour un fork, qui est obligé de retirer certaines lignes
de code.
En faisant ça, ils auraient perdu le soutien de la communauté et
un fork entièrement libre serait né, tout comme maintenant.
Grâce à la GPL, il n'y a pas de problème, tout code descendant est
automatiquement sous GPL.
Alors qu'avec la BSD, on peut développer un logiciel entièrement
propriétaire.
Et on peut tout autant forker en cas de problèmes de ce genre.
Non, je ne vois toujours pas ce que la licence GPL apporte sur ce
plan là.
Comme tu l'as écrit plus bas.
Pour qu'une code GPL devienne propriétaire, il faut que les propriétaire
du copyright GPL transforme la licence en propriétaire.
Alors que pour un code BSD, il suffit que les développeurs décident que
c'est désormais propriétaire pour que cela le devienne.
Auquel cas, un fork serait né depuis les dernières sources disponibles,
comme avec une licence GPL, je le répète. Tu tournes en rond.
Par exemple, avec Openoffice, Oracle aurait pu dire en prenant
l'integralité du code d'openoffice, je crée Oracleoffice, en licence
propriétaire et personne ne pourrait rien dire, alors qu'avec la licence
GPL c'est impossible. Toutes les versions openoffice étant GPL, Oracle
ne peut pas se crée une version propriétaire avec le code existant, il
faudrait qu'il réécrive tout.
Très très mauvais exemple. Pour contribuer à OpenOffice.org, les
développeurs doivent signer un accord de transfert de copyright
vers Oracle ( anciennement Sun, donc ).
<http://en.wikipedia.org/wiki/OpenOffice.org#Ownership>
Tu vois, il n'y a aucune différence sur ce point.
On 2010-11-02, PP wrote:Le 01/11/2010 23:14, Vivien MOREAU a écrit :On 2010-11-01, PP wrote:[...]
Avec a licence BSD, certains developpeur voire SUN/ORACLE aurait pu être
propriétaire de certaines évolutions du programme, ce qui est
problématique pour un fork, qui est obligé de retirer certaines lignes
de code.
En faisant ça, ils auraient perdu le soutien de la communauté et
un fork entièrement libre serait né, tout comme maintenant.Grâce à la GPL, il n'y a pas de problème, tout code descendant est
automatiquement sous GPL.
Alors qu'avec la BSD, on peut développer un logiciel entièrement
propriétaire.
Et on peut tout autant forker en cas de problèmes de ce genre.
Non, je ne vois toujours pas ce que la licence GPL apporte sur ce
plan là.
Comme tu l'as écrit plus bas.
Pour qu'une code GPL devienne propriétaire, il faut que les propriétaire
du copyright GPL transforme la licence en propriétaire.
Alors que pour un code BSD, il suffit que les développeurs décident que
c'est désormais propriétaire pour que cela le devienne.
Auquel cas, un fork serait né depuis les dernières sources disponibles,
comme avec une licence GPL, je le répète. Tu tournes en rond.
Par exemple, avec Openoffice, Oracle aurait pu dire en prenant
l'integralité du code d'openoffice, je crée Oracleoffice, en licence
propriétaire et personne ne pourrait rien dire, alors qu'avec la licence
GPL c'est impossible. Toutes les versions openoffice étant GPL, Oracle
ne peut pas se crée une version propriétaire avec le code existant, il
faudrait qu'il réécrive tout.
Très très mauvais exemple. Pour contribuer à OpenOffice.org, les
développeurs doivent signer un accord de transfert de copyright
vers Oracle ( anciennement Sun, donc ).
<http://en.wikipedia.org/wiki/OpenOffice.org#Ownership>
Tu vois, il n'y a aucune différence sur ce point.
On 11/2/10 3:57 PM, PP wrote:Par exemple, avec Openoffice, Oracle aurait pu dire en prenant
l'integralité du code d'openoffice, je crée Oracleoffice, en licence
propriétaire et personne ne pourrait rien dire, alors qu'avec la licence
Ce qui ne changerait strictement rien a la licence de OpenOffice ou des
versions d'OpenOffice qui auraient ete distribuees sous licence BSD.
Il suffit qu'un code ai ete libre pour qu'il le reste a tout jamais. Ce
que permet la BSD (et ce qu'interdit la GPL) c'est d'en faire AUSSI un
code proprietaire.
On 11/2/10 3:57 PM, PP wrote:
Par exemple, avec Openoffice, Oracle aurait pu dire en prenant
l'integralité du code d'openoffice, je crée Oracleoffice, en licence
propriétaire et personne ne pourrait rien dire, alors qu'avec la licence
Ce qui ne changerait strictement rien a la licence de OpenOffice ou des
versions d'OpenOffice qui auraient ete distribuees sous licence BSD.
Il suffit qu'un code ai ete libre pour qu'il le reste a tout jamais. Ce
que permet la BSD (et ce qu'interdit la GPL) c'est d'en faire AUSSI un
code proprietaire.
On 11/2/10 3:57 PM, PP wrote:Par exemple, avec Openoffice, Oracle aurait pu dire en prenant
l'integralité du code d'openoffice, je crée Oracleoffice, en licence
propriétaire et personne ne pourrait rien dire, alors qu'avec la licence
Ce qui ne changerait strictement rien a la licence de OpenOffice ou des
versions d'OpenOffice qui auraient ete distribuees sous licence BSD.
Il suffit qu'un code ai ete libre pour qu'il le reste a tout jamais. Ce
que permet la BSD (et ce qu'interdit la GPL) c'est d'en faire AUSSI un
code proprietaire.
Il suffit qu'un code ai ete libre pour qu'il le reste a tout jamais. Ce
que permet la BSD (et ce qu'interdit la GPL) c'est d'en faire AUSSI un
code proprietaire.
Sur ta dernière phrase ça veut dre quoi exactement ?
Que sous BSD, il n'y a pas de propriétaire en fait ?
Il suffit qu'un code ai ete libre pour qu'il le reste a tout jamais. Ce
que permet la BSD (et ce qu'interdit la GPL) c'est d'en faire AUSSI un
code proprietaire.
Sur ta dernière phrase ça veut dre quoi exactement ?
Que sous BSD, il n'y a pas de propriétaire en fait ?
Il suffit qu'un code ai ete libre pour qu'il le reste a tout jamais. Ce
que permet la BSD (et ce qu'interdit la GPL) c'est d'en faire AUSSI un
code proprietaire.
Sur ta dernière phrase ça veut dre quoi exactement ?
Que sous BSD, il n'y a pas de propriétaire en fait ?