il n'est de pire sourd que celui qui ne veut rien entendre
"LP" a écrit dans le message de news:"le refus par un salarié de continuer ou de reprendre le travail ne
caractérise pas une démission claire et non équivoque
avez-vous donc compris qu'une insubordination n'est pas une démission ?
mais constitue
en principe, une faute grave qu'il appartient à l'employeur de
sanctionner par un licenciement"
avez-vous compris que l'employeur dispose d'un pouvoir disciplinaire et
qu'il peut donc décider de licencier avec ou sans préavis ?
avez vous compris que s'il licencie SANS préavis, il ne peut pas demander
des dommages intérêts pour inexécution du préavis ?La jurisprudence de la cour de cassation considère dans un tel cas
qu'il s'agit d'une faute grave.
avez vous compris que c'est donc l'employeur qui décide là....
que le salarié n'exécutera pas le préavis ?
Du coup un conseil des prud'hommes
pourrait il considérer le licenciement pour cause réelle et sérieuse
pas convenablement qualifié par l'employeur
en toutes hypothèses, les juges ne sont pas tenus par le degré de gravité
invoqué par l'employeur ;
ils peuvent parfaitement considérer que :
- la faute grave est caractérisée
- la faute n'est pas grave mais tout de même réelle et sérieuse, donc
l'employeur a eu tort d'empécher l'éxécution du préavis
- la cause est réelle, mais pas de nature à justifier " sérieusement "
d'un licenciement (il pouvait être prononcé un avertissement ou une mise à
pied de X jours), donc l'employeur est en outre condamné à payer des
dommages-intérêts pour rupture abusive
Cela obligerait l'employeur à maintenir le poste vacant pendant le
préavis ?
????? les juges statuant en moyenne dix mois après la date à laquelle ils
sont saisis, c'est l'employeur qui assume son choix LORS du prononcé du
licenciement
En plus votre suggestion, un peu tordue, oblige l'employeur à payer
des indemnités de licenciement selon l'ancienneté.
en plus (sic) votre incompréhension de ce que j'explique fait que le plus
tordu des deux n'est pas impérativement la personne à laquelle vous
imputez vos lacunes
il n'est de pire sourd que celui qui ne veut rien entendre
"LP" <pub@pele.org> a écrit dans le message de news:
916e3e9b-0195-4811-aff1-c04086b49e38@56g2000hsm.googlegroups.com...
"le refus par un salarié de continuer ou de reprendre le travail ne
caractérise pas une démission claire et non équivoque
avez-vous donc compris qu'une insubordination n'est pas une démission ?
mais constitue
en principe, une faute grave qu'il appartient à l'employeur de
sanctionner par un licenciement"
avez-vous compris que l'employeur dispose d'un pouvoir disciplinaire et
qu'il peut donc décider de licencier avec ou sans préavis ?
avez vous compris que s'il licencie SANS préavis, il ne peut pas demander
des dommages intérêts pour inexécution du préavis ?
La jurisprudence de la cour de cassation considère dans un tel cas
qu'il s'agit d'une faute grave.
avez vous compris que c'est donc l'employeur qui décide là....
que le salarié n'exécutera pas le préavis ?
Du coup un conseil des prud'hommes
pourrait il considérer le licenciement pour cause réelle et sérieuse
pas convenablement qualifié par l'employeur
en toutes hypothèses, les juges ne sont pas tenus par le degré de gravité
invoqué par l'employeur ;
ils peuvent parfaitement considérer que :
- la faute grave est caractérisée
- la faute n'est pas grave mais tout de même réelle et sérieuse, donc
l'employeur a eu tort d'empécher l'éxécution du préavis
- la cause est réelle, mais pas de nature à justifier " sérieusement "
d'un licenciement (il pouvait être prononcé un avertissement ou une mise à
pied de X jours), donc l'employeur est en outre condamné à payer des
dommages-intérêts pour rupture abusive
Cela obligerait l'employeur à maintenir le poste vacant pendant le
préavis ?
????? les juges statuant en moyenne dix mois après la date à laquelle ils
sont saisis, c'est l'employeur qui assume son choix LORS du prononcé du
licenciement
En plus votre suggestion, un peu tordue, oblige l'employeur à payer
des indemnités de licenciement selon l'ancienneté.
en plus (sic) votre incompréhension de ce que j'explique fait que le plus
tordu des deux n'est pas impérativement la personne à laquelle vous
imputez vos lacunes
il n'est de pire sourd que celui qui ne veut rien entendre
"LP" a écrit dans le message de news:"le refus par un salarié de continuer ou de reprendre le travail ne
caractérise pas une démission claire et non équivoque
avez-vous donc compris qu'une insubordination n'est pas une démission ?
mais constitue
en principe, une faute grave qu'il appartient à l'employeur de
sanctionner par un licenciement"
avez-vous compris que l'employeur dispose d'un pouvoir disciplinaire et
qu'il peut donc décider de licencier avec ou sans préavis ?
avez vous compris que s'il licencie SANS préavis, il ne peut pas demander
des dommages intérêts pour inexécution du préavis ?La jurisprudence de la cour de cassation considère dans un tel cas
qu'il s'agit d'une faute grave.
avez vous compris que c'est donc l'employeur qui décide là....
que le salarié n'exécutera pas le préavis ?
Du coup un conseil des prud'hommes
pourrait il considérer le licenciement pour cause réelle et sérieuse
pas convenablement qualifié par l'employeur
en toutes hypothèses, les juges ne sont pas tenus par le degré de gravité
invoqué par l'employeur ;
ils peuvent parfaitement considérer que :
- la faute grave est caractérisée
- la faute n'est pas grave mais tout de même réelle et sérieuse, donc
l'employeur a eu tort d'empécher l'éxécution du préavis
- la cause est réelle, mais pas de nature à justifier " sérieusement "
d'un licenciement (il pouvait être prononcé un avertissement ou une mise à
pied de X jours), donc l'employeur est en outre condamné à payer des
dommages-intérêts pour rupture abusive
Cela obligerait l'employeur à maintenir le poste vacant pendant le
préavis ?
????? les juges statuant en moyenne dix mois après la date à laquelle ils
sont saisis, c'est l'employeur qui assume son choix LORS du prononcé du
licenciement
En plus votre suggestion, un peu tordue, oblige l'employeur à payer
des indemnités de licenciement selon l'ancienneté.
en plus (sic) votre incompréhension de ce que j'explique fait que le plus
tordu des deux n'est pas impérativement la personne à laquelle vous
imputez vos lacunes
Relisez la charte et arrêter vos insultes.
Il sufisait de dire simplement "qu'au lieu de licencier pour faute grave
dans le cas d'abandon de poste, comme le suggère la cour de cassation, il
suffisait de licencier pour cause réelle et sérieuse et de demander des
dommages et intérêts pour non respect du préavis si le salarié ne revient
pas pour l'effectuer." mais cela vous ne l'avez jamais dit vous
"LP" a écrit dans le message de news:Y a t'il une jurisprudence ou un moyen d'obtenir une telle indemnité
de non respect du préavis
simple : l'employeur licencie pour cause réelle et sérieuse !
s'il invoque la faute grave, c'est bien lui qui "dispense" du préavis,
il faut être cohérent.
vous vous étonnez que l'on ne comprend pas ce que vous dites alors que vous
répondez à côté.
J'ai gangé plusieurs procès en cassation alors je sais quand même me
débrouiller en droit.
"LP" a écrit dans le message de news:"le refus par un salarié de continuer ou de reprendre le travail ne
caractérise pas une démission claire et non équivoque
avez-vous donc compris qu'une insubordination n'est pas une démission ?
Mais où diable ai-je dit qu'une insubordinantion était une démission ?
Relisez la première phrase de mon premier post ou je disais "l'abandon
de poste n'est pas une démission faute de volonté explicite du salarié"
et mon 2ème post ou je disais
qu'en "le salarié peut partir en
déclarant verbalement qu'il ne viendra plus ou qu'il travaille
ailleurs ou dire par écrit qu'il ne continuera pas le contrat "dans
ces conditions" ou sous des conditions farfelues (absence de
subordination, condition déterminante du contrat de travail)
on le voit, il existe de multitudes de prétextes, plus ou moins
honnêtes, permettant à un salarié d'éluder UNILATERALEMENT la période
de préavis auquel il est soumis."
vous me dites que le préavis ne s'applique que dans le cas de licenciement
pour cause réelle et sérieuse ou démission claire et explicite.
Ca j'ai compris votre point de vue
mais vous ne m'avez pas convaincu
d'ailleurs Patrick V dit "le fait de rompre le contrat ne prive pas d'une
saisine pour demander réparation du préjudice".
et la jurisprudence de la cour de cassation fondée sur l'article 1147 du
code civil que j'ai cité le laisse entrevoir
"Vu l'article 1147 du Code civil ; Attendu que le conseil de
prud'hommes, après avoir constaté que le salarié avait démissionné
en l'absence d'abus manifeste ou d'intention de nuire du
salarié, celui-ci ne peut être tenu au paiement d'une autre indemnité
que celle correspondant au préavis conventionnel
donc la cour de cassation n'écarte pas forcément l'application de
l'article 1147 du code civil dans le cas d'abus manifeste ou d'intention
de nuire du salarié.
Y a t'il des jurisprudences de faute lourde relative à un abandon de poste
?
Je rappelle au passage que vous avez répété que seules les licenciements
pour cause réelle ou sérieuse ou démission donnaient lieu au paiement de
dommages et intérêts pour préavis non effectué.
avez-vous compris que l'employeur dispose d'un pouvoir disciplinaire et
qu'il peut donc décider de licencier avec ou sans préavis ?
avez vous compris que s'il licencie SANS préavis, il ne peut pas demander
des dommages intérêts pour inexécution du préavis ?
avez vous compris que c'est donc l'employeur qui décide là....
que le salarié n'exécutera pas le préavis ?
je sais que l'employeur choisit la procédure qu'il veut
mais la cour de cassation considère qu'il s'agit d'une faute grave alors
il vaut mieux être logique.
/ ... / les conseillers prud'hommaux vont faire un mauvais accueil à la
procédure et douter de leur compétentce et de la réalité des faits
imputés.
Du coup un conseil des prud'hommes
pourrait il considérer le licenciement pour cause réelle et sérieuse
pas convenablement qualifié par l'employeur
en toutes hypothèses, les juges ne sont pas tenus par le degré de gravité
invoqué par l'employeur ;
ils peuvent parfaitement considérer que :
- la faute grave est caractérisée
- la faute n'est pas grave mais tout de même réelle et sérieuse, donc
l'employeur a eu tort d'empécher l'éxécution du préavis
- la cause est réelle, mais pas de nature à justifier " sérieusement "
d'un licenciement (il pouvait être prononcé un avertissement ou une mise
à pied de X jours), donc l'employeur est en outre condamné à payer des
dommages-intérêts pour rupture abusive
Dans ce sens là oui. je sais mais dans l'autre sens ? c'est ma question.
Cela obligerait l'employeur à maintenir le poste vacant pendant le
préavis ?
????? les juges statuant en moyenne dix mois après la date à laquelle ils
sont saisis, c'est l'employeur qui assume son choix LORS du prononcé du
licenciement
????? ?????
je peux mettre 2 fois plus de points d'interrogation que vous. Je parle de
délai de préavis, pas de délai de jugement (que vient il faire là dedans
?).
Si un employeur remplace tout de suite un salarié licencié tout en le
forçant à exéxuter son préavis, si ce salarié qui avait abandonné son
poste, revient par miracle effectué son préavis, soit l'employeur
affectera ce revenant à une autre tâche et l'employeur commettrait une
faute en changeant la nature des tâches à accomplir, soit le nouvel
employé doit faire autre chose ou rien du tout et l'employeur ne
respecterait pas ses obligations vis à vis de ce nouvel employé).
le simple fait de retirer des avantages en nature pendant la période de
préavis tel que téléphone mobile, usage de voiture de fonction ou frais
d'entretien de sa voiture personnelle expose l'employeur à des dommages et
intérêts, y compris en référé.
En plus votre suggestion, un peu tordue, oblige l'employeur à payer
des indemnités de licenciement selon l'ancienneté.
en plus (sic) votre incompréhension de ce que j'explique fait que le plus
tordu des deux n'est pas impérativement la personne à laquelle vous
imputez vos lacunes
Mais pourquoi êtes vous si aggressif,
je n'ai pas fait d'attaque personelle
j'ai dit que votre suggestion était tordue (parce que contraire au
suggestion de la cour de cassation) et vous m'insultez.
Est ce une injure que d'indiquer à l'employeur qui appliquerait votre
suggestion que les indemnités légales de licenciement doivent être payées
dans le cas de licenciement pour cause réelle et sérieuse mais pas dans le
cas de faute grave ?
Relisez la charte et arrêter vos insultes.
Il sufisait de dire simplement "qu'au lieu de licencier pour faute grave
dans le cas d'abandon de poste, comme le suggère la cour de cassation, il
suffisait de licencier pour cause réelle et sérieuse et de demander des
dommages et intérêts pour non respect du préavis si le salarié ne revient
pas pour l'effectuer." mais cela vous ne l'avez jamais dit vous
"LP" <pub@pele.org> a écrit dans le message de news:
eeb078ed-cd61-4b06-8145-5998b8e5f19b@p25g2000hsf.googlegroups.com...
Y a t'il une jurisprudence ou un moyen d'obtenir une telle indemnité
de non respect du préavis
simple : l'employeur licencie pour cause réelle et sérieuse !
s'il invoque la faute grave, c'est bien lui qui "dispense" du préavis,
il faut être cohérent.
vous vous étonnez que l'on ne comprend pas ce que vous dites alors que vous
répondez à côté.
J'ai gangé plusieurs procès en cassation alors je sais quand même me
débrouiller en droit.
"LP" <pub@pele.org> a écrit dans le message de news:
916e3e9b-0195-4811-aff1-c04086b49e38@56g2000hsm.googlegroups.com...
"le refus par un salarié de continuer ou de reprendre le travail ne
caractérise pas une démission claire et non équivoque
avez-vous donc compris qu'une insubordination n'est pas une démission ?
Mais où diable ai-je dit qu'une insubordinantion était une démission ?
Relisez la première phrase de mon premier post ou je disais "l'abandon
de poste n'est pas une démission faute de volonté explicite du salarié"
et mon 2ème post ou je disais
qu'en "le salarié peut partir en
déclarant verbalement qu'il ne viendra plus ou qu'il travaille
ailleurs ou dire par écrit qu'il ne continuera pas le contrat "dans
ces conditions" ou sous des conditions farfelues (absence de
subordination, condition déterminante du contrat de travail)
on le voit, il existe de multitudes de prétextes, plus ou moins
honnêtes, permettant à un salarié d'éluder UNILATERALEMENT la période
de préavis auquel il est soumis."
vous me dites que le préavis ne s'applique que dans le cas de licenciement
pour cause réelle et sérieuse ou démission claire et explicite.
Ca j'ai compris votre point de vue
mais vous ne m'avez pas convaincu
d'ailleurs Patrick V dit "le fait de rompre le contrat ne prive pas d'une
saisine pour demander réparation du préjudice".
et la jurisprudence de la cour de cassation fondée sur l'article 1147 du
code civil que j'ai cité le laisse entrevoir
"Vu l'article 1147 du Code civil ; Attendu que le conseil de
prud'hommes, après avoir constaté que le salarié avait démissionné
en l'absence d'abus manifeste ou d'intention de nuire du
salarié, celui-ci ne peut être tenu au paiement d'une autre indemnité
que celle correspondant au préavis conventionnel
donc la cour de cassation n'écarte pas forcément l'application de
l'article 1147 du code civil dans le cas d'abus manifeste ou d'intention
de nuire du salarié.
Y a t'il des jurisprudences de faute lourde relative à un abandon de poste
?
Je rappelle au passage que vous avez répété que seules les licenciements
pour cause réelle ou sérieuse ou démission donnaient lieu au paiement de
dommages et intérêts pour préavis non effectué.
avez-vous compris que l'employeur dispose d'un pouvoir disciplinaire et
qu'il peut donc décider de licencier avec ou sans préavis ?
avez vous compris que s'il licencie SANS préavis, il ne peut pas demander
des dommages intérêts pour inexécution du préavis ?
avez vous compris que c'est donc l'employeur qui décide là....
que le salarié n'exécutera pas le préavis ?
je sais que l'employeur choisit la procédure qu'il veut
mais la cour de cassation considère qu'il s'agit d'une faute grave alors
il vaut mieux être logique.
/ ... / les conseillers prud'hommaux vont faire un mauvais accueil à la
procédure et douter de leur compétentce et de la réalité des faits
imputés.
Du coup un conseil des prud'hommes
pourrait il considérer le licenciement pour cause réelle et sérieuse
pas convenablement qualifié par l'employeur
en toutes hypothèses, les juges ne sont pas tenus par le degré de gravité
invoqué par l'employeur ;
ils peuvent parfaitement considérer que :
- la faute grave est caractérisée
- la faute n'est pas grave mais tout de même réelle et sérieuse, donc
l'employeur a eu tort d'empécher l'éxécution du préavis
- la cause est réelle, mais pas de nature à justifier " sérieusement "
d'un licenciement (il pouvait être prononcé un avertissement ou une mise
à pied de X jours), donc l'employeur est en outre condamné à payer des
dommages-intérêts pour rupture abusive
Dans ce sens là oui. je sais mais dans l'autre sens ? c'est ma question.
Cela obligerait l'employeur à maintenir le poste vacant pendant le
préavis ?
????? les juges statuant en moyenne dix mois après la date à laquelle ils
sont saisis, c'est l'employeur qui assume son choix LORS du prononcé du
licenciement
????? ?????
je peux mettre 2 fois plus de points d'interrogation que vous. Je parle de
délai de préavis, pas de délai de jugement (que vient il faire là dedans
?).
Si un employeur remplace tout de suite un salarié licencié tout en le
forçant à exéxuter son préavis, si ce salarié qui avait abandonné son
poste, revient par miracle effectué son préavis, soit l'employeur
affectera ce revenant à une autre tâche et l'employeur commettrait une
faute en changeant la nature des tâches à accomplir, soit le nouvel
employé doit faire autre chose ou rien du tout et l'employeur ne
respecterait pas ses obligations vis à vis de ce nouvel employé).
le simple fait de retirer des avantages en nature pendant la période de
préavis tel que téléphone mobile, usage de voiture de fonction ou frais
d'entretien de sa voiture personnelle expose l'employeur à des dommages et
intérêts, y compris en référé.
En plus votre suggestion, un peu tordue, oblige l'employeur à payer
des indemnités de licenciement selon l'ancienneté.
en plus (sic) votre incompréhension de ce que j'explique fait que le plus
tordu des deux n'est pas impérativement la personne à laquelle vous
imputez vos lacunes
Mais pourquoi êtes vous si aggressif,
je n'ai pas fait d'attaque personelle
j'ai dit que votre suggestion était tordue (parce que contraire au
suggestion de la cour de cassation) et vous m'insultez.
Est ce une injure que d'indiquer à l'employeur qui appliquerait votre
suggestion que les indemnités légales de licenciement doivent être payées
dans le cas de licenciement pour cause réelle et sérieuse mais pas dans le
cas de faute grave ?
Relisez la charte et arrêter vos insultes.
Il sufisait de dire simplement "qu'au lieu de licencier pour faute grave
dans le cas d'abandon de poste, comme le suggère la cour de cassation, il
suffisait de licencier pour cause réelle et sérieuse et de demander des
dommages et intérêts pour non respect du préavis si le salarié ne revient
pas pour l'effectuer." mais cela vous ne l'avez jamais dit vous
"LP" a écrit dans le message de news:Y a t'il une jurisprudence ou un moyen d'obtenir une telle indemnité
de non respect du préavis
simple : l'employeur licencie pour cause réelle et sérieuse !
s'il invoque la faute grave, c'est bien lui qui "dispense" du préavis,
il faut être cohérent.
vous vous étonnez que l'on ne comprend pas ce que vous dites alors que vous
répondez à côté.
J'ai gangé plusieurs procès en cassation alors je sais quand même me
débrouiller en droit.
"LP" a écrit dans le message de news:"le refus par un salarié de continuer ou de reprendre le travail ne
caractérise pas une démission claire et non équivoque
avez-vous donc compris qu'une insubordination n'est pas une démission ?
Mais où diable ai-je dit qu'une insubordinantion était une démission ?
Relisez la première phrase de mon premier post ou je disais "l'abandon
de poste n'est pas une démission faute de volonté explicite du salarié"
et mon 2ème post ou je disais
qu'en "le salarié peut partir en
déclarant verbalement qu'il ne viendra plus ou qu'il travaille
ailleurs ou dire par écrit qu'il ne continuera pas le contrat "dans
ces conditions" ou sous des conditions farfelues (absence de
subordination, condition déterminante du contrat de travail)
on le voit, il existe de multitudes de prétextes, plus ou moins
honnêtes, permettant à un salarié d'éluder UNILATERALEMENT la période
de préavis auquel il est soumis."
vous me dites que le préavis ne s'applique que dans le cas de licenciement
pour cause réelle et sérieuse ou démission claire et explicite.
Ca j'ai compris votre point de vue
mais vous ne m'avez pas convaincu
d'ailleurs Patrick V dit "le fait de rompre le contrat ne prive pas d'une
saisine pour demander réparation du préjudice".
et la jurisprudence de la cour de cassation fondée sur l'article 1147 du
code civil que j'ai cité le laisse entrevoir
"Vu l'article 1147 du Code civil ; Attendu que le conseil de
prud'hommes, après avoir constaté que le salarié avait démissionné
en l'absence d'abus manifeste ou d'intention de nuire du
salarié, celui-ci ne peut être tenu au paiement d'une autre indemnité
que celle correspondant au préavis conventionnel
donc la cour de cassation n'écarte pas forcément l'application de
l'article 1147 du code civil dans le cas d'abus manifeste ou d'intention
de nuire du salarié.
Y a t'il des jurisprudences de faute lourde relative à un abandon de poste
?
Je rappelle au passage que vous avez répété que seules les licenciements
pour cause réelle ou sérieuse ou démission donnaient lieu au paiement de
dommages et intérêts pour préavis non effectué.
avez-vous compris que l'employeur dispose d'un pouvoir disciplinaire et
qu'il peut donc décider de licencier avec ou sans préavis ?
avez vous compris que s'il licencie SANS préavis, il ne peut pas demander
des dommages intérêts pour inexécution du préavis ?
avez vous compris que c'est donc l'employeur qui décide là....
que le salarié n'exécutera pas le préavis ?
je sais que l'employeur choisit la procédure qu'il veut
mais la cour de cassation considère qu'il s'agit d'une faute grave alors
il vaut mieux être logique.
/ ... / les conseillers prud'hommaux vont faire un mauvais accueil à la
procédure et douter de leur compétentce et de la réalité des faits
imputés.
Du coup un conseil des prud'hommes
pourrait il considérer le licenciement pour cause réelle et sérieuse
pas convenablement qualifié par l'employeur
en toutes hypothèses, les juges ne sont pas tenus par le degré de gravité
invoqué par l'employeur ;
ils peuvent parfaitement considérer que :
- la faute grave est caractérisée
- la faute n'est pas grave mais tout de même réelle et sérieuse, donc
l'employeur a eu tort d'empécher l'éxécution du préavis
- la cause est réelle, mais pas de nature à justifier " sérieusement "
d'un licenciement (il pouvait être prononcé un avertissement ou une mise
à pied de X jours), donc l'employeur est en outre condamné à payer des
dommages-intérêts pour rupture abusive
Dans ce sens là oui. je sais mais dans l'autre sens ? c'est ma question.
Cela obligerait l'employeur à maintenir le poste vacant pendant le
préavis ?
????? les juges statuant en moyenne dix mois après la date à laquelle ils
sont saisis, c'est l'employeur qui assume son choix LORS du prononcé du
licenciement
????? ?????
je peux mettre 2 fois plus de points d'interrogation que vous. Je parle de
délai de préavis, pas de délai de jugement (que vient il faire là dedans
?).
Si un employeur remplace tout de suite un salarié licencié tout en le
forçant à exéxuter son préavis, si ce salarié qui avait abandonné son
poste, revient par miracle effectué son préavis, soit l'employeur
affectera ce revenant à une autre tâche et l'employeur commettrait une
faute en changeant la nature des tâches à accomplir, soit le nouvel
employé doit faire autre chose ou rien du tout et l'employeur ne
respecterait pas ses obligations vis à vis de ce nouvel employé).
le simple fait de retirer des avantages en nature pendant la période de
préavis tel que téléphone mobile, usage de voiture de fonction ou frais
d'entretien de sa voiture personnelle expose l'employeur à des dommages et
intérêts, y compris en référé.
En plus votre suggestion, un peu tordue, oblige l'employeur à payer
des indemnités de licenciement selon l'ancienneté.
en plus (sic) votre incompréhension de ce que j'explique fait que le plus
tordu des deux n'est pas impérativement la personne à laquelle vous
imputez vos lacunes
Mais pourquoi êtes vous si aggressif,
je n'ai pas fait d'attaque personelle
j'ai dit que votre suggestion était tordue (parce que contraire au
suggestion de la cour de cassation) et vous m'insultez.
Est ce une injure que d'indiquer à l'employeur qui appliquerait votre
suggestion que les indemnités légales de licenciement doivent être payées
dans le cas de licenciement pour cause réelle et sérieuse mais pas dans le
cas de faute grave ?
> Vous rigolez ou quoi ?
L'employeur prend acte de l'absence et demande une justification, et peut
toujours en observant les règles prononcer une sanction, faisant échec à
la prescription.
> Vous rigolez ou quoi ?
L'employeur prend acte de l'absence et demande une justification, et peut
toujours en observant les règles prononcer une sanction, faisant échec à
la prescription.
> Vous rigolez ou quoi ?
L'employeur prend acte de l'absence et demande une justification, et peut
toujours en observant les règles prononcer une sanction, faisant échec à
la prescription.
> et si, mais après 122 jours de carence
et ne risque pas d'attaquer son employeur sauf cas extreme.
et si, il peut lui "imputer" la rupture (en cas de faute contractuelle de
l'employeur) et bénéficier alors d'une requalification judiciaire en
licenciement abusif
Dans le cas #2, son employeur va le virer :
ça c'est une supposition
une éventuelle erreur de procédure ne rendrait pas le licenciement sans
cause
c) il ne fera pas son préavis
et si : s'il est "viré" pour cause réelle et sérieuse, au lieu de faute
grave
FAUX
l'employeur peut parfaitement licencier le 1er juillet un salarié absent
(sans motif) depuis le 1er janvier, en se référant exclusivement à la
non-justification depuis le 1er mai
L'employé a tout intérêt a prendre l'option #2, sauf erreur de ma part.
je vous confirme votre clairvoyance initiale :
""""""je ne comprends rien """""""" ;o}}}}
> et si, mais après 122 jours de carence
et ne risque pas d'attaquer son employeur sauf cas extreme.
et si, il peut lui "imputer" la rupture (en cas de faute contractuelle de
l'employeur) et bénéficier alors d'une requalification judiciaire en
licenciement abusif
Dans le cas #2, son employeur va le virer :
ça c'est une supposition
une éventuelle erreur de procédure ne rendrait pas le licenciement sans
cause
c) il ne fera pas son préavis
et si : s'il est "viré" pour cause réelle et sérieuse, au lieu de faute
grave
FAUX
l'employeur peut parfaitement licencier le 1er juillet un salarié absent
(sans motif) depuis le 1er janvier, en se référant exclusivement à la
non-justification depuis le 1er mai
L'employé a tout intérêt a prendre l'option #2, sauf erreur de ma part.
je vous confirme votre clairvoyance initiale :
""""""je ne comprends rien """""""" ;o}}}}
> et si, mais après 122 jours de carence
et ne risque pas d'attaquer son employeur sauf cas extreme.
et si, il peut lui "imputer" la rupture (en cas de faute contractuelle de
l'employeur) et bénéficier alors d'une requalification judiciaire en
licenciement abusif
Dans le cas #2, son employeur va le virer :
ça c'est une supposition
une éventuelle erreur de procédure ne rendrait pas le licenciement sans
cause
c) il ne fera pas son préavis
et si : s'il est "viré" pour cause réelle et sérieuse, au lieu de faute
grave
FAUX
l'employeur peut parfaitement licencier le 1er juillet un salarié absent
(sans motif) depuis le 1er janvier, en se référant exclusivement à la
non-justification depuis le 1er mai
L'employé a tout intérêt a prendre l'option #2, sauf erreur de ma part.
je vous confirme votre clairvoyance initiale :
""""""je ne comprends rien """""""" ;o}}}}
Mais est-ce qu'un abandon de poste est un fait qui se répète tous les
jours d'absences, ou un fait qui a un début qui serait le premier jour de
l'absence ?
Mais est-ce qu'un abandon de poste est un fait qui se répète tous les
jours d'absences, ou un fait qui a un début qui serait le premier jour de
l'absence ?
Mais est-ce qu'un abandon de poste est un fait qui se répète tous les
jours d'absences, ou un fait qui a un début qui serait le premier jour de
l'absence ?
/.../Donc il n'en bénéficie pas, sauf a ergoter.
/.../Donc il ne peut pas attaquer son employeur sauf cas extrème, sauf a
ergoter stérilement.
/..../ Vous ergoter là.
/.../ l'employeur serait condamné. vous ergoter a nouveau.
/.../exemple de jurisprudence plize ?
Et pourquoi ? enfin, si c'est pour vous sentir obligé de contester toutes
les phrases pour le plaisir, ce n'est peut etre pas la peine.
/.../Donc il n'en bénéficie pas, sauf a ergoter.
/.../Donc il ne peut pas attaquer son employeur sauf cas extrème, sauf a
ergoter stérilement.
/..../ Vous ergoter là.
/.../ l'employeur serait condamné. vous ergoter a nouveau.
/.../exemple de jurisprudence plize ?
Et pourquoi ? enfin, si c'est pour vous sentir obligé de contester toutes
les phrases pour le plaisir, ce n'est peut etre pas la peine.
/.../Donc il n'en bénéficie pas, sauf a ergoter.
/.../Donc il ne peut pas attaquer son employeur sauf cas extrème, sauf a
ergoter stérilement.
/..../ Vous ergoter là.
/.../ l'employeur serait condamné. vous ergoter a nouveau.
/.../exemple de jurisprudence plize ?
Et pourquoi ? enfin, si c'est pour vous sentir obligé de contester toutes
les phrases pour le plaisir, ce n'est peut etre pas la peine.
"www.juristprudence.c.la" a écrit dans le
message de news: 4857f639$0$4543$il n'est de pire sourd que celui qui ne veut rien entendre
Relisez la charte et arrêter vos insultes.
Je ne suis pas le seul à ne pas comprendre ce que vous racontez.
Il sufisait de dire simplement "qu'au lieu de licencier pour faute
grave dans le cas d'abandon de poste, comme le suggère la cour de
cassation, il suffisait de licencier pour cause réelle et sérieuse et
de demander des dommages et intérêts pour non respect du préavis si
le salarié ne revient pas pour l'effectuer." mais cela vous ne l'avez
jamais dit vous et vous étonnez que l'on ne comprend pas ce que vous
dites alors que vous répondez à côté. J'ai gangé plusieurs procès en
cassation alors je sais quand même me débrouiller en droit.
"www.juristprudence.c.la" <juristprudence@0nline.fr> a écrit dans le
message de news: 4857f639$0$4543$426a74cc@news.free.fr...
il n'est de pire sourd que celui qui ne veut rien entendre
Relisez la charte et arrêter vos insultes.
Je ne suis pas le seul à ne pas comprendre ce que vous racontez.
Il sufisait de dire simplement "qu'au lieu de licencier pour faute
grave dans le cas d'abandon de poste, comme le suggère la cour de
cassation, il suffisait de licencier pour cause réelle et sérieuse et
de demander des dommages et intérêts pour non respect du préavis si
le salarié ne revient pas pour l'effectuer." mais cela vous ne l'avez
jamais dit vous et vous étonnez que l'on ne comprend pas ce que vous
dites alors que vous répondez à côté. J'ai gangé plusieurs procès en
cassation alors je sais quand même me débrouiller en droit.
"www.juristprudence.c.la" a écrit dans le
message de news: 4857f639$0$4543$il n'est de pire sourd que celui qui ne veut rien entendre
Relisez la charte et arrêter vos insultes.
Je ne suis pas le seul à ne pas comprendre ce que vous racontez.
Il sufisait de dire simplement "qu'au lieu de licencier pour faute
grave dans le cas d'abandon de poste, comme le suggère la cour de
cassation, il suffisait de licencier pour cause réelle et sérieuse et
de demander des dommages et intérêts pour non respect du préavis si
le salarié ne revient pas pour l'effectuer." mais cela vous ne l'avez
jamais dit vous et vous étonnez que l'on ne comprend pas ce que vous
dites alors que vous répondez à côté. J'ai gangé plusieurs procès en
cassation alors je sais quand même me débrouiller en droit.
> pour que chaque réponse entraîne de votre part un refus systématique au
prétexte " d'ergotages " ?
quand vous serez réellement décidé à vouloir comprendre, refaite signe
> pour que chaque réponse entraîne de votre part un refus systématique au
prétexte " d'ergotages " ?
quand vous serez réellement décidé à vouloir comprendre, refaite signe
> pour que chaque réponse entraîne de votre part un refus systématique au
prétexte " d'ergotages " ?
quand vous serez réellement décidé à vouloir comprendre, refaite signe
>> Il sufisait de dire simplement "qu'au lieu de licencier pour faute grave
dans le cas d'abandon de poste, comme le suggère la cour de cassation, il
suffisait de licencier pour cause réelle et sérieuse et de demander des
dommages et intérêts pour non respect du préavis si le salarié ne revient
pas pour l'effectuer." mais cela vous ne l'avez jamais dit vous
apprenez donc à lire "www.juristprudence.c.la" a écrit dans le message de
news: 4857bd04$0$30792$"LP" a écrit dans le message de news:Y a t'il une jurisprudence ou un moyen d'obtenir une telle indemnité
de non respect du préavis
simple : l'employeur licencie pour cause réelle et sérieuse !
s'il invoque la faute grave, c'est bien lui qui "dispense" du préavis,
il faut être cohérent.
vous vous étonnez que l'on ne comprend pas ce que vous dites alors que
vous répondez à côté.
je note surtout que, ici, après mes répétitions antérieures, vous avez
enfin fini par comprendre ;
qu'en "le salarié peut partir en
déclarant verbalement qu'il ne viendra plus ou qu'il travaille
ailleurs ou dire par écrit qu'il ne continuera pas le contrat "dans
ces conditions" ou sous des conditions farfelues (absence de
subordination, condition déterminante du contrat de travail)
on le voit, il existe de multitudes de prétextes, plus ou moins
honnêtes, permettant à un salarié d'éluder UNILATERALEMENT la période
de préavis auquel il est soumis."
il me faut donc, cette fois encore, essayer de vous faire comprendre
qu'une attitude équivoque n'est pas une démission
l'enlisement dans la répétitivité de vos interventions antérieures ne
changera rien à la teneur de mes réponses...
mêm si vous VOULEZ ne pas le comprendre
et d'autre part la jurisprudence souligne qu'un salarié en absence
injustifié n'est ni démissionnaire, ni licencié
mais vous ne m'avez pas convaincu
d'où ma remarque "il n'est de pire sourd que celui qui ne veut point
entendre" ;
ce n'est pas une insulte, mais un constat ! nuance
"Vu l'article 1147 du Code civil ; Attendu que le conseil de
prud'hommes, après avoir constaté que le salarié avait démissionné
bis repetita :
donc là il y a une démission et pas une " absence"
en l'absence d'abus manifeste ou d'intention de nuire du
salarié, celui-ci ne peut être tenu au paiement d'une autre indemnité
que celle correspondant au préavis conventionnel
bis repetita : une absence injustifiée est une insubordination et une
insubordination n'est pas une intention de nuire
vous pouvez persister à ne pas vouloir comprendre PUIS à revenir
re_re_recoller vos propos antérieurs, vous ne ferez que confirmer que vous
n'acceptez pas les réponses que l'on vous donne
donc la cour de cassation n'écarte pas forcément l'application de
l'article 1147 du code civil dans le cas d'abus manifeste ou d'intention
de nuire du salarié.
et re"donc" la cour de cassation ne considère pas qu'une insubordination
est une intention de nuire
etc.Y a t'il des jurisprudences de faute lourde relative à un abandon de
poste ?
eh non puisqu'une absence injustifiée n'est pas une intention de nuire...
avez-vous compris que l'employeur dispose d'un pouvoir disciplinaire et
qu'il peut donc décider de licencier avec ou sans préavis ?
avez vous compris que s'il licencie SANS préavis, il ne peut pas
demander des dommages intérêts pour inexécution du préavis ?
visiblement vous " semblez" avoir fini par comprendre cela
Cela obligerait l'employeur à maintenir le poste vacant pendant le
préavis ?
????? les juges statuant en moyenne dix mois après la date à laquelle
ils sont saisis, c'est l'employeur qui assume son choix LORS du prononcé
du licenciement
????? ?????
je peux mettre 2 fois plus de points d'interrogation que vous. Je parle
de délai de préavis, pas de délai de jugement (que vient il faire là
dedans ?).
votre propos était là totalement incompréhensible :
qu'est-ce qui oblige un employeur à maintenir un poste vacant ?
et vacant pendant un préavis ?
pourquoi ?
qu'est ce qui interdit à un employeur de recruter ?
j'ai pensé que vous faisiez allusion à l'attente d'une décision
prud'homale ;
je perçois que tel n'était pas le sens de votre interrogation ;
il demeure que vos hypothèses sont parfois particulièrement difficiles à
cerner.
allez, refaites encore vos copier-coller de vos interventions précédentes,
cela me donnera l'occasion de re_souligner que vous ne tolérez pas que je
réponde ce que vous ne souhaitez pas lire
>> Il sufisait de dire simplement "qu'au lieu de licencier pour faute grave
dans le cas d'abandon de poste, comme le suggère la cour de cassation, il
suffisait de licencier pour cause réelle et sérieuse et de demander des
dommages et intérêts pour non respect du préavis si le salarié ne revient
pas pour l'effectuer." mais cela vous ne l'avez jamais dit vous
apprenez donc à lire "www.juristprudence.c.la" a écrit dans le message de
news: 4857bd04$0$30792$426a74cc@news.free.fr...
"LP" <pub@pele.org> a écrit dans le message de news:
eeb078ed-cd61-4b06-8145-5998b8e5f19b@p25g2000hsf.googlegroups.com...
Y a t'il une jurisprudence ou un moyen d'obtenir une telle indemnité
de non respect du préavis
simple : l'employeur licencie pour cause réelle et sérieuse !
s'il invoque la faute grave, c'est bien lui qui "dispense" du préavis,
il faut être cohérent.
vous vous étonnez que l'on ne comprend pas ce que vous dites alors que
vous répondez à côté.
je note surtout que, ici, après mes répétitions antérieures, vous avez
enfin fini par comprendre ;
qu'en "le salarié peut partir en
déclarant verbalement qu'il ne viendra plus ou qu'il travaille
ailleurs ou dire par écrit qu'il ne continuera pas le contrat "dans
ces conditions" ou sous des conditions farfelues (absence de
subordination, condition déterminante du contrat de travail)
on le voit, il existe de multitudes de prétextes, plus ou moins
honnêtes, permettant à un salarié d'éluder UNILATERALEMENT la période
de préavis auquel il est soumis."
il me faut donc, cette fois encore, essayer de vous faire comprendre
qu'une attitude équivoque n'est pas une démission
l'enlisement dans la répétitivité de vos interventions antérieures ne
changera rien à la teneur de mes réponses...
mêm si vous VOULEZ ne pas le comprendre
et d'autre part la jurisprudence souligne qu'un salarié en absence
injustifié n'est ni démissionnaire, ni licencié
mais vous ne m'avez pas convaincu
d'où ma remarque "il n'est de pire sourd que celui qui ne veut point
entendre" ;
ce n'est pas une insulte, mais un constat ! nuance
"Vu l'article 1147 du Code civil ; Attendu que le conseil de
prud'hommes, après avoir constaté que le salarié avait démissionné
bis repetita :
donc là il y a une démission et pas une " absence"
en l'absence d'abus manifeste ou d'intention de nuire du
salarié, celui-ci ne peut être tenu au paiement d'une autre indemnité
que celle correspondant au préavis conventionnel
bis repetita : une absence injustifiée est une insubordination et une
insubordination n'est pas une intention de nuire
vous pouvez persister à ne pas vouloir comprendre PUIS à revenir
re_re_recoller vos propos antérieurs, vous ne ferez que confirmer que vous
n'acceptez pas les réponses que l'on vous donne
donc la cour de cassation n'écarte pas forcément l'application de
l'article 1147 du code civil dans le cas d'abus manifeste ou d'intention
de nuire du salarié.
et re"donc" la cour de cassation ne considère pas qu'une insubordination
est une intention de nuire
etc.
Y a t'il des jurisprudences de faute lourde relative à un abandon de
poste ?
eh non puisqu'une absence injustifiée n'est pas une intention de nuire...
avez-vous compris que l'employeur dispose d'un pouvoir disciplinaire et
qu'il peut donc décider de licencier avec ou sans préavis ?
avez vous compris que s'il licencie SANS préavis, il ne peut pas
demander des dommages intérêts pour inexécution du préavis ?
visiblement vous " semblez" avoir fini par comprendre cela
Cela obligerait l'employeur à maintenir le poste vacant pendant le
préavis ?
????? les juges statuant en moyenne dix mois après la date à laquelle
ils sont saisis, c'est l'employeur qui assume son choix LORS du prononcé
du licenciement
????? ?????
je peux mettre 2 fois plus de points d'interrogation que vous. Je parle
de délai de préavis, pas de délai de jugement (que vient il faire là
dedans ?).
votre propos était là totalement incompréhensible :
qu'est-ce qui oblige un employeur à maintenir un poste vacant ?
et vacant pendant un préavis ?
pourquoi ?
qu'est ce qui interdit à un employeur de recruter ?
j'ai pensé que vous faisiez allusion à l'attente d'une décision
prud'homale ;
je perçois que tel n'était pas le sens de votre interrogation ;
il demeure que vos hypothèses sont parfois particulièrement difficiles à
cerner.
allez, refaites encore vos copier-coller de vos interventions précédentes,
cela me donnera l'occasion de re_souligner que vous ne tolérez pas que je
réponde ce que vous ne souhaitez pas lire
>> Il sufisait de dire simplement "qu'au lieu de licencier pour faute grave
dans le cas d'abandon de poste, comme le suggère la cour de cassation, il
suffisait de licencier pour cause réelle et sérieuse et de demander des
dommages et intérêts pour non respect du préavis si le salarié ne revient
pas pour l'effectuer." mais cela vous ne l'avez jamais dit vous
apprenez donc à lire "www.juristprudence.c.la" a écrit dans le message de
news: 4857bd04$0$30792$"LP" a écrit dans le message de news:Y a t'il une jurisprudence ou un moyen d'obtenir une telle indemnité
de non respect du préavis
simple : l'employeur licencie pour cause réelle et sérieuse !
s'il invoque la faute grave, c'est bien lui qui "dispense" du préavis,
il faut être cohérent.
vous vous étonnez que l'on ne comprend pas ce que vous dites alors que
vous répondez à côté.
je note surtout que, ici, après mes répétitions antérieures, vous avez
enfin fini par comprendre ;
qu'en "le salarié peut partir en
déclarant verbalement qu'il ne viendra plus ou qu'il travaille
ailleurs ou dire par écrit qu'il ne continuera pas le contrat "dans
ces conditions" ou sous des conditions farfelues (absence de
subordination, condition déterminante du contrat de travail)
on le voit, il existe de multitudes de prétextes, plus ou moins
honnêtes, permettant à un salarié d'éluder UNILATERALEMENT la période
de préavis auquel il est soumis."
il me faut donc, cette fois encore, essayer de vous faire comprendre
qu'une attitude équivoque n'est pas une démission
l'enlisement dans la répétitivité de vos interventions antérieures ne
changera rien à la teneur de mes réponses...
mêm si vous VOULEZ ne pas le comprendre
et d'autre part la jurisprudence souligne qu'un salarié en absence
injustifié n'est ni démissionnaire, ni licencié
mais vous ne m'avez pas convaincu
d'où ma remarque "il n'est de pire sourd que celui qui ne veut point
entendre" ;
ce n'est pas une insulte, mais un constat ! nuance
"Vu l'article 1147 du Code civil ; Attendu que le conseil de
prud'hommes, après avoir constaté que le salarié avait démissionné
bis repetita :
donc là il y a une démission et pas une " absence"
en l'absence d'abus manifeste ou d'intention de nuire du
salarié, celui-ci ne peut être tenu au paiement d'une autre indemnité
que celle correspondant au préavis conventionnel
bis repetita : une absence injustifiée est une insubordination et une
insubordination n'est pas une intention de nuire
vous pouvez persister à ne pas vouloir comprendre PUIS à revenir
re_re_recoller vos propos antérieurs, vous ne ferez que confirmer que vous
n'acceptez pas les réponses que l'on vous donne
donc la cour de cassation n'écarte pas forcément l'application de
l'article 1147 du code civil dans le cas d'abus manifeste ou d'intention
de nuire du salarié.
et re"donc" la cour de cassation ne considère pas qu'une insubordination
est une intention de nuire
etc.Y a t'il des jurisprudences de faute lourde relative à un abandon de
poste ?
eh non puisqu'une absence injustifiée n'est pas une intention de nuire...
avez-vous compris que l'employeur dispose d'un pouvoir disciplinaire et
qu'il peut donc décider de licencier avec ou sans préavis ?
avez vous compris que s'il licencie SANS préavis, il ne peut pas
demander des dommages intérêts pour inexécution du préavis ?
visiblement vous " semblez" avoir fini par comprendre cela
Cela obligerait l'employeur à maintenir le poste vacant pendant le
préavis ?
????? les juges statuant en moyenne dix mois après la date à laquelle
ils sont saisis, c'est l'employeur qui assume son choix LORS du prononcé
du licenciement
????? ?????
je peux mettre 2 fois plus de points d'interrogation que vous. Je parle
de délai de préavis, pas de délai de jugement (que vient il faire là
dedans ?).
votre propos était là totalement incompréhensible :
qu'est-ce qui oblige un employeur à maintenir un poste vacant ?
et vacant pendant un préavis ?
pourquoi ?
qu'est ce qui interdit à un employeur de recruter ?
j'ai pensé que vous faisiez allusion à l'attente d'une décision
prud'homale ;
je perçois que tel n'était pas le sens de votre interrogation ;
il demeure que vos hypothèses sont parfois particulièrement difficiles à
cerner.
allez, refaites encore vos copier-coller de vos interventions précédentes,
cela me donnera l'occasion de re_souligner que vous ne tolérez pas que je
réponde ce que vous ne souhaitez pas lire
Vous ne disiez pas que si à la suite de ce licenciement pour cause réelle
et sérieuse, l'employé ne respecte pas le préavis alors il s'expose à des
dommages et intérêts.
l'enlisement dans la répétitivité de vos interventions antérieures ne
changera rien à la teneur de mes réponses...
mêm si vous VOULEZ ne pas le comprendre
C'est vous qui tournez en rond, parce que moi je parle de l'article 1147
du code civil,
et alors, quel rapport avec l'article 1147 du code civil.
rappeler que le code civil ne s'applique pas qu'aux contrats de travail ?
Vous avez la prétention d'être la vérité ultime MDR
Ici on est là pour débattre, les arguments d'autorité n'ont aucune valeur.
"Vu l'article 1147 du Code civil ; Attendu que le conseil de
prud'hommes, après avoir constaté que le salarié avait démissionné
bis repetita :
donc là il y a une démission et pas une " absence"
C'est une simple circonstance de fait
une absence injustifiée n'est pas EN SOI une intention de nuire, mais si
si on connait les raisons de l'absencee (ce qui ne caractérise pas non
plus une démission), l'intention de nuire peut parfois être établie.
Par ailleurs, vous omettez "l'abus manifeste", cela laisse quand même pas
mal de portes ouvertes.
Il s'agit d'un débat, pas d'une consultation juridique. Certaines de vos
réponses me paraissent inexactes et je les argumente.
et re"donc" la cour de cassation ne considère pas qu'une insubordination
est une intention de nuire
rapport avec la choucroute.
eh non puisqu'une absence injustifiée n'est pas une intention de nuire...
Vous êtes formidable ! Je parle d'"abandon de poste" et vous parlez
"d'absence injustifiée"
Regardez un lexique de terme juridique : l'abandon suppose une intention à
la différence de la perte.
Donc si un employeur démontre l'abandon de poste c'est qu'il a la preuve
de la volonté du salarié de ne plus retourner à son poste.
On n'est plus très loin de l'abus ou de l'intention de nuire selon les
circonstances de l'espèce.
Dans le cas de "l'absence injustifiée", l'employeur ne connait pas
initialement la raison de cette absence, ce qui ne siginifie pas qu'enfin
de procédure on ne connaisse pas la raison de cette absence. ,
mais le terme que vous employez est vague
parce que l'employé peut justifier une absence pour des motifs de
convenance personnelle (genre faire les courses au début des soldes) sans
pour autant être légitime au regard de ses engagements professionnels.
Par ailleurs, vous parlez tout le temps d'intention de nuire
/.../vous omettez à répétition cette petite locution
Ce n'est pas parce que personne n'a jamais essayé d'exploiter la brêche
ouverte par la cour de cassation qu'il n'y a pas de possibilité d'action.
Or je ne vois pas pourquoi, dans le cas d'abandon de poste, il n'y aurait
de dommages et intérêts qu'à partir de la notification de la démission ou
du licenciement, tout le préjudice doit être réparé dès lors qu'il y a
abus manifeste ou intention de nuire.
Vous ne disiez pas que si à la suite de ce licenciement pour cause réelle
et sérieuse, l'employé ne respecte pas le préavis alors il s'expose à des
dommages et intérêts.
l'enlisement dans la répétitivité de vos interventions antérieures ne
changera rien à la teneur de mes réponses...
mêm si vous VOULEZ ne pas le comprendre
C'est vous qui tournez en rond, parce que moi je parle de l'article 1147
du code civil,
et alors, quel rapport avec l'article 1147 du code civil.
rappeler que le code civil ne s'applique pas qu'aux contrats de travail ?
Vous avez la prétention d'être la vérité ultime MDR
Ici on est là pour débattre, les arguments d'autorité n'ont aucune valeur.
"Vu l'article 1147 du Code civil ; Attendu que le conseil de
prud'hommes, après avoir constaté que le salarié avait démissionné
bis repetita :
donc là il y a une démission et pas une " absence"
C'est une simple circonstance de fait
une absence injustifiée n'est pas EN SOI une intention de nuire, mais si
si on connait les raisons de l'absencee (ce qui ne caractérise pas non
plus une démission), l'intention de nuire peut parfois être établie.
Par ailleurs, vous omettez "l'abus manifeste", cela laisse quand même pas
mal de portes ouvertes.
Il s'agit d'un débat, pas d'une consultation juridique. Certaines de vos
réponses me paraissent inexactes et je les argumente.
et re"donc" la cour de cassation ne considère pas qu'une insubordination
est une intention de nuire
rapport avec la choucroute.
eh non puisqu'une absence injustifiée n'est pas une intention de nuire...
Vous êtes formidable ! Je parle d'"abandon de poste" et vous parlez
"d'absence injustifiée"
Regardez un lexique de terme juridique : l'abandon suppose une intention à
la différence de la perte.
Donc si un employeur démontre l'abandon de poste c'est qu'il a la preuve
de la volonté du salarié de ne plus retourner à son poste.
On n'est plus très loin de l'abus ou de l'intention de nuire selon les
circonstances de l'espèce.
Dans le cas de "l'absence injustifiée", l'employeur ne connait pas
initialement la raison de cette absence, ce qui ne siginifie pas qu'enfin
de procédure on ne connaisse pas la raison de cette absence. ,
mais le terme que vous employez est vague
parce que l'employé peut justifier une absence pour des motifs de
convenance personnelle (genre faire les courses au début des soldes) sans
pour autant être légitime au regard de ses engagements professionnels.
Par ailleurs, vous parlez tout le temps d'intention de nuire
/.../vous omettez à répétition cette petite locution
Ce n'est pas parce que personne n'a jamais essayé d'exploiter la brêche
ouverte par la cour de cassation qu'il n'y a pas de possibilité d'action.
Or je ne vois pas pourquoi, dans le cas d'abandon de poste, il n'y aurait
de dommages et intérêts qu'à partir de la notification de la démission ou
du licenciement, tout le préjudice doit être réparé dès lors qu'il y a
abus manifeste ou intention de nuire.
Vous ne disiez pas que si à la suite de ce licenciement pour cause réelle
et sérieuse, l'employé ne respecte pas le préavis alors il s'expose à des
dommages et intérêts.
l'enlisement dans la répétitivité de vos interventions antérieures ne
changera rien à la teneur de mes réponses...
mêm si vous VOULEZ ne pas le comprendre
C'est vous qui tournez en rond, parce que moi je parle de l'article 1147
du code civil,
et alors, quel rapport avec l'article 1147 du code civil.
rappeler que le code civil ne s'applique pas qu'aux contrats de travail ?
Vous avez la prétention d'être la vérité ultime MDR
Ici on est là pour débattre, les arguments d'autorité n'ont aucune valeur.
"Vu l'article 1147 du Code civil ; Attendu que le conseil de
prud'hommes, après avoir constaté que le salarié avait démissionné
bis repetita :
donc là il y a une démission et pas une " absence"
C'est une simple circonstance de fait
une absence injustifiée n'est pas EN SOI une intention de nuire, mais si
si on connait les raisons de l'absencee (ce qui ne caractérise pas non
plus une démission), l'intention de nuire peut parfois être établie.
Par ailleurs, vous omettez "l'abus manifeste", cela laisse quand même pas
mal de portes ouvertes.
Il s'agit d'un débat, pas d'une consultation juridique. Certaines de vos
réponses me paraissent inexactes et je les argumente.
et re"donc" la cour de cassation ne considère pas qu'une insubordination
est une intention de nuire
rapport avec la choucroute.
eh non puisqu'une absence injustifiée n'est pas une intention de nuire...
Vous êtes formidable ! Je parle d'"abandon de poste" et vous parlez
"d'absence injustifiée"
Regardez un lexique de terme juridique : l'abandon suppose une intention à
la différence de la perte.
Donc si un employeur démontre l'abandon de poste c'est qu'il a la preuve
de la volonté du salarié de ne plus retourner à son poste.
On n'est plus très loin de l'abus ou de l'intention de nuire selon les
circonstances de l'espèce.
Dans le cas de "l'absence injustifiée", l'employeur ne connait pas
initialement la raison de cette absence, ce qui ne siginifie pas qu'enfin
de procédure on ne connaisse pas la raison de cette absence. ,
mais le terme que vous employez est vague
parce que l'employé peut justifier une absence pour des motifs de
convenance personnelle (genre faire les courses au début des soldes) sans
pour autant être légitime au regard de ses engagements professionnels.
Par ailleurs, vous parlez tout le temps d'intention de nuire
/.../vous omettez à répétition cette petite locution
Ce n'est pas parce que personne n'a jamais essayé d'exploiter la brêche
ouverte par la cour de cassation qu'il n'y a pas de possibilité d'action.
Or je ne vois pas pourquoi, dans le cas d'abandon de poste, il n'y aurait
de dommages et intérêts qu'à partir de la notification de la démission ou
du licenciement, tout le préjudice doit être réparé dès lors qu'il y a
abus manifeste ou intention de nuire.