[...]
Signaler aux services sociaux, je présume.
Si les pompiers sont
intervenus et que la personne est handicapée, c'est bizarre que ça ne
soit pas fait déjà par une autorité quelconque qui a eu à la soigner.
[...]
Signaler aux services sociaux, je présume.
Si les pompiers sont
intervenus et que la personne est handicapée, c'est bizarre que ça ne
soit pas fait déjà par une autorité quelconque qui a eu à la soigner.
[...]
Signaler aux services sociaux, je présume.
Si les pompiers sont
intervenus et que la personne est handicapée, c'est bizarre que ça ne
soit pas fait déjà par une autorité quelconque qui a eu à la soigner.
[...]
Ce qui est curieux c'est que ni les pompiers ni l'hopital n'aient réagi.
Ils ont l'habitude des agressions et s'agissant d'une personne en état
de "faiblesse", ils ont l'obligation de prévenir services sociaux et
police...
Peut-être l'amie c'est elle pas au courant de toute l'affaire ?
[...]
Ce qui est curieux c'est que ni les pompiers ni l'hopital n'aient réagi.
Ils ont l'habitude des agressions et s'agissant d'une personne en état
de "faiblesse", ils ont l'obligation de prévenir services sociaux et
police...
Peut-être l'amie c'est elle pas au courant de toute l'affaire ?
[...]
Ce qui est curieux c'est que ni les pompiers ni l'hopital n'aient réagi.
Ils ont l'habitude des agressions et s'agissant d'une personne en état
de "faiblesse", ils ont l'obligation de prévenir services sociaux et
police...
Peut-être l'amie c'est elle pas au courant de toute l'affaire ?
On 07/11/2011 11:34, Marc-Antoine wrote:Je répond à Frantz qui a écrit :Bonjour,
une question qui m'a été soumise :
Une personne souffrant d'un handicap mental a été retrouvà ©e par les
pompiers, dans un lieu public (station de tramway), avec des blessure s
importantes au visage (un mois d'hospitalisation déjà ).
La victime, que ce soit à cause du choc ou de son handicap, est
incapable de dire ce qui lui est arrivé.
Une amie de cette personne, la connaissant depuis plusieurs anné es,
pense qu'il s'agit d'une agression et souhaiterait "porter plainte" p our
qu'il y ai enquête (car manifestement la famille de la victime n 'a rien
entrepris).
La police répond qu'il n'y a que la victime ou a défaut son tuteur qui
puisse agir.
Le plus simple d'un point de vue pratique sera peut-être de rech ercher
le tuteur, mais du point de vue de la loi, qu'en est-il ?
En principe seule la victime ou son tuteur peut déposer plainte.
http://vosdroits.service-public.fr/F1435.xhtml
Euh, cas d'école... et si c'était le tuteur qui était l' auteur de
l'agression, avec une victime incapable de parler elle-même, ç a
s'appellerait le crime parfait ?
Il faudrait à mon sens effectivement s'interroger pour savoir si l e tuteur a
connaissance des faits, et si oui pourquoi il refuserait alors de porte r
plainte...
On 07/11/2011 11:34, Marc-Antoine wrote:
Je répond à Frantz qui a écrit :
Bonjour,
une question qui m'a été soumise :
Une personne souffrant d'un handicap mental a été retrouvà ©e par les
pompiers, dans un lieu public (station de tramway), avec des blessure s
importantes au visage (un mois d'hospitalisation déjà ).
La victime, que ce soit à cause du choc ou de son handicap, est
incapable de dire ce qui lui est arrivé.
Une amie de cette personne, la connaissant depuis plusieurs anné es,
pense qu'il s'agit d'une agression et souhaiterait "porter plainte" p our
qu'il y ai enquête (car manifestement la famille de la victime n 'a rien
entrepris).
La police répond qu'il n'y a que la victime ou a défaut son tuteur qui
puisse agir.
Le plus simple d'un point de vue pratique sera peut-être de rech ercher
le tuteur, mais du point de vue de la loi, qu'en est-il ?
En principe seule la victime ou son tuteur peut déposer plainte.
http://vosdroits.service-public.fr/F1435.xhtml
Euh, cas d'école... et si c'était le tuteur qui était l' auteur de
l'agression, avec une victime incapable de parler elle-même, ç a
s'appellerait le crime parfait ?
Il faudrait à mon sens effectivement s'interroger pour savoir si l e tuteur a
connaissance des faits, et si oui pourquoi il refuserait alors de porte r
plainte...
On 07/11/2011 11:34, Marc-Antoine wrote:Je répond à Frantz qui a écrit :Bonjour,
une question qui m'a été soumise :
Une personne souffrant d'un handicap mental a été retrouvà ©e par les
pompiers, dans un lieu public (station de tramway), avec des blessure s
importantes au visage (un mois d'hospitalisation déjà ).
La victime, que ce soit à cause du choc ou de son handicap, est
incapable de dire ce qui lui est arrivé.
Une amie de cette personne, la connaissant depuis plusieurs anné es,
pense qu'il s'agit d'une agression et souhaiterait "porter plainte" p our
qu'il y ai enquête (car manifestement la famille de la victime n 'a rien
entrepris).
La police répond qu'il n'y a que la victime ou a défaut son tuteur qui
puisse agir.
Le plus simple d'un point de vue pratique sera peut-être de rech ercher
le tuteur, mais du point de vue de la loi, qu'en est-il ?
En principe seule la victime ou son tuteur peut déposer plainte.
http://vosdroits.service-public.fr/F1435.xhtml
Euh, cas d'école... et si c'était le tuteur qui était l' auteur de
l'agression, avec une victime incapable de parler elle-même, ç a
s'appellerait le crime parfait ?
Il faudrait à mon sens effectivement s'interroger pour savoir si l e tuteur a
connaissance des faits, et si oui pourquoi il refuserait alors de porte r
plainte...
[...]
L'agression est un délit susceptible d'une condamnation à de la prison
ferme.
Comme il vous a été signalé, lorsqu'on trouve le corps d'une personne
assassinée, on n'attend pas la plainte de la famille pour instruire le
crime.
[...]
L'agression est un délit susceptible d'une condamnation à de la prison
ferme.
Comme il vous a été signalé, lorsqu'on trouve le corps d'une personne
assassinée, on n'attend pas la plainte de la famille pour instruire le
crime.
[...]
L'agression est un délit susceptible d'une condamnation à de la prison
ferme.
Comme il vous a été signalé, lorsqu'on trouve le corps d'une personne
assassinée, on n'attend pas la plainte de la famille pour instruire le
crime.
Ah, une indication sur "qui doit signaler ?". D'où viendrait cette
obligation ? Ne s'imposerait-elle pas à toute personne ayant connaissance ?
Ah, une indication sur "qui doit signaler ?". D'où viendrait cette
obligation ? Ne s'imposerait-elle pas à toute personne ayant connaissance ?
Ah, une indication sur "qui doit signaler ?". D'où viendrait cette
obligation ? Ne s'imposerait-elle pas à toute personne ayant connaissance ?
Marc-Antoine a utilisé son clavier pour écrire :Je répond à Frantz qui a écrit :Le 07/11/2011 11:34, Marc-Antoine a écrit :Je répond à Frantz qui a écrit :
[...]Une amie de cette personne, la connaissant depuis plusieurs années,
pense qu'il s'agit d'une agression et souhaiterait "porter plainte" pour
qu'il y ai enquête (car manifestement la famille de la victime n'a rien
entrepris).
La police répond qu'il n'y a que la victime ou a défaut son tuteur qui
puisse agir.
Le plus simple d'un point de vue pratique sera peut-être de rechercher
le tuteur, mais du point de vue de la loi, qu'en est-il ?
En principe seule la victime ou son tuteur peut déposer plainte.
http://vosdroits.service-public.fr/F1435.xhtml
Imagine si tout à chacun pouvait déposer plainte pour une affaire qui ne
le concerne pas, et dont, en plus, il n'aurait même pas été témoin.
Merci pour le lien, mais j'avais mis le "porter plainte" entre "", car
si c'était les mots de la personne, je pensais bien que ce n'était pas
le terme approprié.
On peut prendre le cas d'une disparition, la victime éventuelle ne
pourra rien faire, il faudra bien qu'une autre personne s'en inquiète.
Les parents ou tuteur.
Il y a le témoignage, bien sur, mais dans le cas présent tu dis que l'amie
de la victime *pense* qu'il s'agit d'agression, donc elle ne peux même pas
témoigner.
Si la famille, elle même, ne veut pas agir, difficile d'agir à sa place,
sauf à alerter les services sociaux?
Il ne faut pas dire un peu n'importe quoi.
Il n'y a pas besoin de l'existance d'une supposée famille dans le cas cité et
penser que la puissance publique va attendre une telle révélation.
L'agression est un délit susceptible d'une condamnation à de la prison ferme.
Comme il vous a été signalé, lorsqu'on trouve le corps d'une personne
assassinée, on n'attend pas la plainte de la famille pour instruire le crime.
Pour peu que la famille en question habite en papouasie orientale par
exemple.
Marc-Antoine a utilisé son clavier pour écrire :
Je répond à Frantz qui a écrit :
Le 07/11/2011 11:34, Marc-Antoine a écrit :
Je répond à Frantz qui a écrit :
[...]
Une amie de cette personne, la connaissant depuis plusieurs années,
pense qu'il s'agit d'une agression et souhaiterait "porter plainte" pour
qu'il y ai enquête (car manifestement la famille de la victime n'a rien
entrepris).
La police répond qu'il n'y a que la victime ou a défaut son tuteur qui
puisse agir.
Le plus simple d'un point de vue pratique sera peut-être de rechercher
le tuteur, mais du point de vue de la loi, qu'en est-il ?
En principe seule la victime ou son tuteur peut déposer plainte.
http://vosdroits.service-public.fr/F1435.xhtml
Imagine si tout à chacun pouvait déposer plainte pour une affaire qui ne
le concerne pas, et dont, en plus, il n'aurait même pas été témoin.
Merci pour le lien, mais j'avais mis le "porter plainte" entre "", car
si c'était les mots de la personne, je pensais bien que ce n'était pas
le terme approprié.
On peut prendre le cas d'une disparition, la victime éventuelle ne
pourra rien faire, il faudra bien qu'une autre personne s'en inquiète.
Les parents ou tuteur.
Il y a le témoignage, bien sur, mais dans le cas présent tu dis que l'amie
de la victime *pense* qu'il s'agit d'agression, donc elle ne peux même pas
témoigner.
Si la famille, elle même, ne veut pas agir, difficile d'agir à sa place,
sauf à alerter les services sociaux?
Il ne faut pas dire un peu n'importe quoi.
Il n'y a pas besoin de l'existance d'une supposée famille dans le cas cité et
penser que la puissance publique va attendre une telle révélation.
L'agression est un délit susceptible d'une condamnation à de la prison ferme.
Comme il vous a été signalé, lorsqu'on trouve le corps d'une personne
assassinée, on n'attend pas la plainte de la famille pour instruire le crime.
Pour peu que la famille en question habite en papouasie orientale par
exemple.
Marc-Antoine a utilisé son clavier pour écrire :Je répond à Frantz qui a écrit :Le 07/11/2011 11:34, Marc-Antoine a écrit :Je répond à Frantz qui a écrit :
[...]Une amie de cette personne, la connaissant depuis plusieurs années,
pense qu'il s'agit d'une agression et souhaiterait "porter plainte" pour
qu'il y ai enquête (car manifestement la famille de la victime n'a rien
entrepris).
La police répond qu'il n'y a que la victime ou a défaut son tuteur qui
puisse agir.
Le plus simple d'un point de vue pratique sera peut-être de rechercher
le tuteur, mais du point de vue de la loi, qu'en est-il ?
En principe seule la victime ou son tuteur peut déposer plainte.
http://vosdroits.service-public.fr/F1435.xhtml
Imagine si tout à chacun pouvait déposer plainte pour une affaire qui ne
le concerne pas, et dont, en plus, il n'aurait même pas été témoin.
Merci pour le lien, mais j'avais mis le "porter plainte" entre "", car
si c'était les mots de la personne, je pensais bien que ce n'était pas
le terme approprié.
On peut prendre le cas d'une disparition, la victime éventuelle ne
pourra rien faire, il faudra bien qu'une autre personne s'en inquiète.
Les parents ou tuteur.
Il y a le témoignage, bien sur, mais dans le cas présent tu dis que l'amie
de la victime *pense* qu'il s'agit d'agression, donc elle ne peux même pas
témoigner.
Si la famille, elle même, ne veut pas agir, difficile d'agir à sa place,
sauf à alerter les services sociaux?
Il ne faut pas dire un peu n'importe quoi.
Il n'y a pas besoin de l'existance d'une supposée famille dans le cas cité et
penser que la puissance publique va attendre une telle révélation.
L'agression est un délit susceptible d'une condamnation à de la prison ferme.
Comme il vous a été signalé, lorsqu'on trouve le corps d'une personne
assassinée, on n'attend pas la plainte de la famille pour instruire le crime.
Pour peu que la famille en question habite en papouasie orientale par
exemple.
Je répond à moisse qui a écrit :Marc-Antoine a utilisé son clavier pour écrire :Je répond à Frantz qui a écrit :Le 07/11/2011 11:34, Marc-Antoine a écrit :Je répond à Frantz qui a écrit :
[...]Une amie de cette personne, la connaissant depuis plusieurs années,
pense qu'il s'agit d'une agression et souhaiterait "porter plainte"
pour
qu'il y ai enquête (car manifestement la famille de la victime n'a rien
entrepris).
La police répond qu'il n'y a que la victime ou a défaut son tuteur qui
puisse agir.
Le plus simple d'un point de vue pratique sera peut-être de rechercher
le tuteur, mais du point de vue de la loi, qu'en est-il ?
En principe seule la victime ou son tuteur peut déposer plainte.
http://vosdroits.service-public.fr/F1435.xhtml
Imagine si tout à chacun pouvait déposer plainte pour une affaire qui ne
le concerne pas, et dont, en plus, il n'aurait même pas été témoin.
Merci pour le lien, mais j'avais mis le "porter plainte" entre "", car
si c'était les mots de la personne, je pensais bien que ce n'était pas
le terme approprié.
On peut prendre le cas d'une disparition, la victime éventuelle ne
pourra rien faire, il faudra bien qu'une autre personne s'en inquiète.
Les parents ou tuteur.
Il y a le témoignage, bien sur, mais dans le cas présent tu dis que l'amie
de la victime *pense* qu'il s'agit d'agression, donc elle ne peux même pas
témoigner.
Si la famille, elle même, ne veut pas agir, difficile d'agir à sa place,
sauf à alerter les services sociaux?
Il ne faut pas dire un peu n'importe quoi.
Il n'y a pas besoin de l'existance d'une supposée famille dans le cas cité
et penser que la puissance publique va attendre une telle révélation.
L'agression est un délit susceptible d'une condamnation à de la prison
ferme.
Comme il vous a été signalé, lorsqu'on trouve le corps d'une personne
assassinée, on n'attend pas la plainte de la famille pour instruire le
crime.
Pour peu que la famille en question habite en papouasie orientale par
exemple.
Donc je vois une personne traumatisée et blessée, je suppose, suppose
seulement, qu'elle a été agressée, je peux déposer plainte? Je parle bien de
plainte n'est-ce pas.
Je répond à moisse qui a écrit :
Marc-Antoine a utilisé son clavier pour écrire :
Je répond à Frantz qui a écrit :
Le 07/11/2011 11:34, Marc-Antoine a écrit :
Je répond à Frantz qui a écrit :
[...]
Une amie de cette personne, la connaissant depuis plusieurs années,
pense qu'il s'agit d'une agression et souhaiterait "porter plainte"
pour
qu'il y ai enquête (car manifestement la famille de la victime n'a rien
entrepris).
La police répond qu'il n'y a que la victime ou a défaut son tuteur qui
puisse agir.
Le plus simple d'un point de vue pratique sera peut-être de rechercher
le tuteur, mais du point de vue de la loi, qu'en est-il ?
En principe seule la victime ou son tuteur peut déposer plainte.
http://vosdroits.service-public.fr/F1435.xhtml
Imagine si tout à chacun pouvait déposer plainte pour une affaire qui ne
le concerne pas, et dont, en plus, il n'aurait même pas été témoin.
Merci pour le lien, mais j'avais mis le "porter plainte" entre "", car
si c'était les mots de la personne, je pensais bien que ce n'était pas
le terme approprié.
On peut prendre le cas d'une disparition, la victime éventuelle ne
pourra rien faire, il faudra bien qu'une autre personne s'en inquiète.
Les parents ou tuteur.
Il y a le témoignage, bien sur, mais dans le cas présent tu dis que l'amie
de la victime *pense* qu'il s'agit d'agression, donc elle ne peux même pas
témoigner.
Si la famille, elle même, ne veut pas agir, difficile d'agir à sa place,
sauf à alerter les services sociaux?
Il ne faut pas dire un peu n'importe quoi.
Il n'y a pas besoin de l'existance d'une supposée famille dans le cas cité
et penser que la puissance publique va attendre une telle révélation.
L'agression est un délit susceptible d'une condamnation à de la prison
ferme.
Comme il vous a été signalé, lorsqu'on trouve le corps d'une personne
assassinée, on n'attend pas la plainte de la famille pour instruire le
crime.
Pour peu que la famille en question habite en papouasie orientale par
exemple.
Donc je vois une personne traumatisée et blessée, je suppose, suppose
seulement, qu'elle a été agressée, je peux déposer plainte? Je parle bien de
plainte n'est-ce pas.
Je répond à moisse qui a écrit :Marc-Antoine a utilisé son clavier pour écrire :Je répond à Frantz qui a écrit :Le 07/11/2011 11:34, Marc-Antoine a écrit :Je répond à Frantz qui a écrit :
[...]Une amie de cette personne, la connaissant depuis plusieurs années,
pense qu'il s'agit d'une agression et souhaiterait "porter plainte"
pour
qu'il y ai enquête (car manifestement la famille de la victime n'a rien
entrepris).
La police répond qu'il n'y a que la victime ou a défaut son tuteur qui
puisse agir.
Le plus simple d'un point de vue pratique sera peut-être de rechercher
le tuteur, mais du point de vue de la loi, qu'en est-il ?
En principe seule la victime ou son tuteur peut déposer plainte.
http://vosdroits.service-public.fr/F1435.xhtml
Imagine si tout à chacun pouvait déposer plainte pour une affaire qui ne
le concerne pas, et dont, en plus, il n'aurait même pas été témoin.
Merci pour le lien, mais j'avais mis le "porter plainte" entre "", car
si c'était les mots de la personne, je pensais bien que ce n'était pas
le terme approprié.
On peut prendre le cas d'une disparition, la victime éventuelle ne
pourra rien faire, il faudra bien qu'une autre personne s'en inquiète.
Les parents ou tuteur.
Il y a le témoignage, bien sur, mais dans le cas présent tu dis que l'amie
de la victime *pense* qu'il s'agit d'agression, donc elle ne peux même pas
témoigner.
Si la famille, elle même, ne veut pas agir, difficile d'agir à sa place,
sauf à alerter les services sociaux?
Il ne faut pas dire un peu n'importe quoi.
Il n'y a pas besoin de l'existance d'une supposée famille dans le cas cité
et penser que la puissance publique va attendre une telle révélation.
L'agression est un délit susceptible d'une condamnation à de la prison
ferme.
Comme il vous a été signalé, lorsqu'on trouve le corps d'une personne
assassinée, on n'attend pas la plainte de la famille pour instruire le
crime.
Pour peu que la famille en question habite en papouasie orientale par
exemple.
Donc je vois une personne traumatisée et blessée, je suppose, suppose
seulement, qu'elle a été agressée, je peux déposer plainte? Je parle bien de
plainte n'est-ce pas.
Le 07/11/2011 14:47, Michelle Niouz a écrit :[...]
Ce qui est curieux c'est que ni les pompiers ni l'hopital n'aient réagi.
Ils ont l'habitude des agressions et s'agissant d'une personne en état
de "faiblesse", ils ont l'obligation de prévenir services sociaux et
police...
Ah, une indication sur "qui doit signaler ?". D'où viendrait cette
obligation ? Ne s'imposerait-elle pas à toute personne ayant connaissance ?
Peut-être l'amie c'est elle pas au courant de toute l'affaire ?
Le risque c'est que personne ne soit au courant...
Le 07/11/2011 14:47, Michelle Niouz a écrit :
[...]
Ce qui est curieux c'est que ni les pompiers ni l'hopital n'aient réagi.
Ils ont l'habitude des agressions et s'agissant d'une personne en état
de "faiblesse", ils ont l'obligation de prévenir services sociaux et
police...
Ah, une indication sur "qui doit signaler ?". D'où viendrait cette
obligation ? Ne s'imposerait-elle pas à toute personne ayant connaissance ?
Peut-être l'amie c'est elle pas au courant de toute l'affaire ?
Le risque c'est que personne ne soit au courant...
Le 07/11/2011 14:47, Michelle Niouz a écrit :[...]
Ce qui est curieux c'est que ni les pompiers ni l'hopital n'aient réagi.
Ils ont l'habitude des agressions et s'agissant d'une personne en état
de "faiblesse", ils ont l'obligation de prévenir services sociaux et
police...
Ah, une indication sur "qui doit signaler ?". D'où viendrait cette
obligation ? Ne s'imposerait-elle pas à toute personne ayant connaissance ?
Peut-être l'amie c'est elle pas au courant de toute l'affaire ?
Le risque c'est que personne ne soit au courant...
Bonjour,
une question qui m'a été soumise :
Une personne souffrant d'un handicap mental a été retrouvée par les
pompiers, dans un lieu public (station de tramway), avec des blessures
importantes au visage (un mois d'hospitalisation déjà).
La victime, que ce soit à cause du choc ou de son handicap, est
incapable de dire ce qui lui est arrivé.
Une amie de cette personne, la connaissant depuis plusieurs années,
pense qu'il s'agit d'une agression et souhaiterait "porter plainte" pour
qu'il y ai enquête (car manifestement la famille de la victime n'a rien
entrepris).
La police répond qu'il n'y a que la victime ou a défaut son tuteur qu i
puisse agir.
Le plus simple d'un point de vue pratique sera peut-être de rechercher
le tuteur, mais du point de vue de la loi, qu'en est-il ?
Merci d'avance pour vos avis !
--
Frantz
Bonjour,
une question qui m'a été soumise :
Une personne souffrant d'un handicap mental a été retrouvée par les
pompiers, dans un lieu public (station de tramway), avec des blessures
importantes au visage (un mois d'hospitalisation déjà).
La victime, que ce soit à cause du choc ou de son handicap, est
incapable de dire ce qui lui est arrivé.
Une amie de cette personne, la connaissant depuis plusieurs années,
pense qu'il s'agit d'une agression et souhaiterait "porter plainte" pour
qu'il y ai enquête (car manifestement la famille de la victime n'a rien
entrepris).
La police répond qu'il n'y a que la victime ou a défaut son tuteur qu i
puisse agir.
Le plus simple d'un point de vue pratique sera peut-être de rechercher
le tuteur, mais du point de vue de la loi, qu'en est-il ?
Merci d'avance pour vos avis !
--
Frantz
Bonjour,
une question qui m'a été soumise :
Une personne souffrant d'un handicap mental a été retrouvée par les
pompiers, dans un lieu public (station de tramway), avec des blessures
importantes au visage (un mois d'hospitalisation déjà).
La victime, que ce soit à cause du choc ou de son handicap, est
incapable de dire ce qui lui est arrivé.
Une amie de cette personne, la connaissant depuis plusieurs années,
pense qu'il s'agit d'une agression et souhaiterait "porter plainte" pour
qu'il y ai enquête (car manifestement la famille de la victime n'a rien
entrepris).
La police répond qu'il n'y a que la victime ou a défaut son tuteur qu i
puisse agir.
Le plus simple d'un point de vue pratique sera peut-être de rechercher
le tuteur, mais du point de vue de la loi, qu'en est-il ?
Merci d'avance pour vos avis !
--
Frantz
Donc je vois une personne traumatisée et blessée, je suppose, suppose
seulement, qu'elle a été agressée, je peux déposer plainte? Je parle bien
de plainte n'est-ce pas.
Mais vous supposez que la mise en mouvement de l'action publique nécessite un
dépôt de plainte, donc de la victime, d'un proche tuteur ou réputé tel qui a
un intérêt direct à le faire.
Donc je vois une personne traumatisée et blessée, je suppose, suppose
seulement, qu'elle a été agressée, je peux déposer plainte? Je parle bien
de plainte n'est-ce pas.
Mais vous supposez que la mise en mouvement de l'action publique nécessite un
dépôt de plainte, donc de la victime, d'un proche tuteur ou réputé tel qui a
un intérêt direct à le faire.
Donc je vois une personne traumatisée et blessée, je suppose, suppose
seulement, qu'elle a été agressée, je peux déposer plainte? Je parle bien
de plainte n'est-ce pas.
Mais vous supposez que la mise en mouvement de l'action publique nécessite un
dépôt de plainte, donc de la victime, d'un proche tuteur ou réputé tel qui a
un intérêt direct à le faire.