J'ai acheté un MBP à un particulier, il me laisse ses applis dessus.
Quand je veux faire les mises à jour, l'AppStore me propose
l'identifiant de l'AppleID de mon vendeur.
Comment change-t-on cela ?
S'il fait un transfert vers mon AppleID, pourra-t-il continuer à
utiliser le sien pour ces mêmes logiciels (ex.: suite iWork) sur une
autre machine ?
In article <1ml3ai6.1etu9sd136hbuoN% .com>, (Gerald) wrote:
...........
C'est, en gros, l'histoire de la "jurisprudence" Bruce Willis (mot très impropre vu qu'il n'a pas donné suite) : <http://www.huffingtonpost.fr/2012/09/03/bruce-willis-apple-itunes-justice-pro ces_n_1851375.html>
Possédant une grosse bibliothèque iTunes, il aurait souhaité pouvoir la transmettre à ses filles. C'est impossible. Un compte iTunes est personnel, nominatif et non cessible (CGV). Il en résulte que "l'achat" de musique tout autant que de logiciels n'en est pas un, mais une sorte de location en viager :-(
Si Bruce Willis ne peut pas alors moi ...
Il n'est toujours pas possible non plus de regrouper deux comptes iTunes même en fournissant des preuves d'un même et unique détenteur.
......
Merci de cette avis qui a le mérite d'être clair et pas polémique :-)
-- Jean-Pierre
In article
<1ml3ai6.1etu9sd136hbuoN%voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide
.com>,
voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com (Gerald) wrote:
...........
C'est, en gros, l'histoire de la "jurisprudence" Bruce Willis (mot très
impropre vu qu'il n'a pas donné suite) :
<http://www.huffingtonpost.fr/2012/09/03/bruce-willis-apple-itunes-justice-pro
ces_n_1851375.html>
Possédant une grosse bibliothèque iTunes, il aurait souhaité pouvoir la
transmettre à ses filles. C'est impossible. Un compte iTunes est
personnel, nominatif et non cessible (CGV). Il en résulte que "l'achat"
de musique tout autant que de logiciels n'en est pas un, mais une sorte
de location en viager :-(
Si Bruce Willis ne peut pas alors moi ...
Il n'est toujours pas possible non plus de regrouper deux comptes iTunes
même en fournissant des preuves d'un même et unique détenteur.
......
Merci de cette avis qui a le mérite d'être clair et pas polémique :-)
In article <1ml3ai6.1etu9sd136hbuoN% .com>, (Gerald) wrote:
...........
C'est, en gros, l'histoire de la "jurisprudence" Bruce Willis (mot très impropre vu qu'il n'a pas donné suite) : <http://www.huffingtonpost.fr/2012/09/03/bruce-willis-apple-itunes-justice-pro ces_n_1851375.html>
Possédant une grosse bibliothèque iTunes, il aurait souhaité pouvoir la transmettre à ses filles. C'est impossible. Un compte iTunes est personnel, nominatif et non cessible (CGV). Il en résulte que "l'achat" de musique tout autant que de logiciels n'en est pas un, mais une sorte de location en viager :-(
Si Bruce Willis ne peut pas alors moi ...
Il n'est toujours pas possible non plus de regrouper deux comptes iTunes même en fournissant des preuves d'un même et unique détenteur.
......
Merci de cette avis qui a le mérite d'être clair et pas polémique :-)
-- Jean-Pierre
J.P
In article <1ml3czx.15w2z3y2p62bsN%, (Benoit) wrote:
Gerald wrote:
.............
..... J'ai une licence PShop 6 et LR 5. J'ai changé de machine et il a fallu que je me batte pour qu'il me renvoie un nouveau code d'activation... parce que cela faisait la troisième fois ! Premier code à l'achat du 17", deuxième code lorsque le 17" revient de l'AppleCare refait à neuf, troisième puisque j'ai une nouvelle machine.
Je vais finir par devoir trouver une version déplombée pour pouvoir utiliser ce que j'ai payé.
C'est comme ça que je vais terminer mon affaire ...
-- Jean-Pierre
In article <1ml3czx.15w2z3y2p62bsN%benoit@com.invalid>,
benoit@com.invalid (Benoit) wrote:
..... J'ai une licence PShop 6 et LR 5. J'ai changé de machine et
il a fallu que je me batte pour qu'il me renvoie un nouveau code
d'activation... parce que cela faisait la troisième fois ! Premier code
à l'achat du 17", deuxième code lorsque le 17" revient de l'AppleCare
refait à neuf, troisième puisque j'ai une nouvelle machine.
Je vais finir par devoir trouver une version déplombée pour pouvoir
utiliser ce que j'ai payé.
C'est comme ça que je vais terminer mon affaire ...
In article <1ml3czx.15w2z3y2p62bsN%, (Benoit) wrote:
Gerald wrote:
.............
..... J'ai une licence PShop 6 et LR 5. J'ai changé de machine et il a fallu que je me batte pour qu'il me renvoie un nouveau code d'activation... parce que cela faisait la troisième fois ! Premier code à l'achat du 17", deuxième code lorsque le 17" revient de l'AppleCare refait à neuf, troisième puisque j'ai une nouvelle machine.
Je vais finir par devoir trouver une version déplombée pour pouvoir utiliser ce que j'ai payé.
C'est comme ça que je vais terminer mon affaire ...
-- Jean-Pierre
voir_le_reply-to
J.P wrote:
Merci de cette avis qui a le mérite d'être clair et pas polémique :-)
On faiskonpeut ! :-) Note que ce que je disais a été rappelé ce matin ou ce soir au journal de France 2... Seuls les supports "physiques" sont cessibles légalement sans donner lieu à nouveau paiement de droits. On appelle cela l'extinction des droits. Et encore, je devrais ajouter "pour l'instant" parce que les fameux "ayants-droit" semblent vouloir influer à mort pour que ça change.
Aux premiers temps d'iTunes, je trouvais super, économique et presque écologique d'acheter les titres à l'unité et en téléchargement. J'en suis revenu ! Vivent les CD d'occasion !
Dernier gag: l'Apple TV 4 et son Siri complètement khon. Je lui demande de jouer l'automne de Vivaldi (j'ai voulu faire simple !), et il me répond qu'il me lance "du" Vivaldi... en aléatoire le crétin ! Comme si on écoutait des morceaux classiques en "panaché" ! (ça ne devrait pas pouvoir être le cas car on peut bloquer le mode aléatoire dans les préférences iTunes des morceaux et je l'avais évidemment fait pour tout le classique, mais il ne tient compte que de "ses" références !).
Ça situe une vision de la "musique" qui en dit très long sur ceux qui gèrent ces catalogues : pitoyable !
Une fois de plus, la solution consiste à reprendre la main et à débrayer les khonneries. À commencer par Siri ! Restons vigilants.
-- Gérald
J.P <jpp@gmail.com> wrote:
Merci de cette avis qui a le mérite d'être clair et pas polémique :-)
On faiskonpeut ! :-) Note que ce que je disais a été rappelé ce matin ou
ce soir au journal de France 2... Seuls les supports "physiques" sont
cessibles légalement sans donner lieu à nouveau paiement de droits. On
appelle cela l'extinction des droits. Et encore, je devrais ajouter
"pour l'instant" parce que les fameux "ayants-droit" semblent vouloir
influer à mort pour que ça change.
Aux premiers temps d'iTunes, je trouvais super, économique et presque
écologique d'acheter les titres à l'unité et en téléchargement. J'en
suis revenu ! Vivent les CD d'occasion !
Dernier gag: l'Apple TV 4 et son Siri complètement khon. Je lui demande
de jouer l'automne de Vivaldi (j'ai voulu faire simple !), et il me
répond qu'il me lance "du" Vivaldi... en aléatoire le crétin ! Comme si
on écoutait des morceaux classiques en "panaché" ! (ça ne devrait pas
pouvoir être le cas car on peut bloquer le mode aléatoire dans les
préférences iTunes des morceaux et je l'avais évidemment fait pour tout
le classique, mais il ne tient compte que de "ses" références !).
Ça situe une vision de la "musique" qui en dit très long sur ceux qui
gèrent ces catalogues : pitoyable !
Une fois de plus, la solution consiste à reprendre la main et à débrayer
les khonneries. À commencer par Siri ! Restons vigilants.
Merci de cette avis qui a le mérite d'être clair et pas polémique :-)
On faiskonpeut ! :-) Note que ce que je disais a été rappelé ce matin ou ce soir au journal de France 2... Seuls les supports "physiques" sont cessibles légalement sans donner lieu à nouveau paiement de droits. On appelle cela l'extinction des droits. Et encore, je devrais ajouter "pour l'instant" parce que les fameux "ayants-droit" semblent vouloir influer à mort pour que ça change.
Aux premiers temps d'iTunes, je trouvais super, économique et presque écologique d'acheter les titres à l'unité et en téléchargement. J'en suis revenu ! Vivent les CD d'occasion !
Dernier gag: l'Apple TV 4 et son Siri complètement khon. Je lui demande de jouer l'automne de Vivaldi (j'ai voulu faire simple !), et il me répond qu'il me lance "du" Vivaldi... en aléatoire le crétin ! Comme si on écoutait des morceaux classiques en "panaché" ! (ça ne devrait pas pouvoir être le cas car on peut bloquer le mode aléatoire dans les préférences iTunes des morceaux et je l'avais évidemment fait pour tout le classique, mais il ne tient compte que de "ses" références !).
Ça situe une vision de la "musique" qui en dit très long sur ceux qui gèrent ces catalogues : pitoyable !
Une fois de plus, la solution consiste à reprendre la main et à débrayer les khonneries. À commencer par Siri ! Restons vigilants.
-- Gérald
DV
Gerald a écrit ceci :
Aux premiers temps d'iTunes, je trouvais super, économique et presque écologique d'acheter les titres à l'unité et en téléchargement. J'en suis revenu ! Vivent les CD d'occasion !
Il n'y a pas si longtemps, tu affirmais que le CD était un support dépassé. Tu ne vas pas te remettre au vinyle, quand même ? ;-)
-- DV
Gerald a écrit ceci :
Aux premiers temps d'iTunes, je trouvais super, économique et presque
écologique d'acheter les titres à l'unité et en téléchargement. J'en
suis revenu ! Vivent les CD d'occasion !
Il n'y a pas si longtemps, tu affirmais que le CD était un support
dépassé. Tu ne vas pas te remettre au vinyle, quand même ? ;-)
Aux premiers temps d'iTunes, je trouvais super, économique et presque écologique d'acheter les titres à l'unité et en téléchargement. J'en suis revenu ! Vivent les CD d'occasion !
Il n'y a pas si longtemps, tu affirmais que le CD était un support dépassé. Tu ne vas pas te remettre au vinyle, quand même ? ;-)
-- DV
voir_le_reply-to
DV wrote:
Il n'y a pas si longtemps, tu affirmais que le CD était un support dépassé. Tu ne vas pas te remettre au vinyle, quand même ? ;-)
Gardons les choses en contexte !
- Oui, je tiens pour probable que le CD soit en voie d'obsolescence rapide au profit de moyens de stockage de plus forte capacité et plus économiques. On parle là des SUPPORTS !
- Pour ce qui est de l'aspect ÉCONOMIQUE associant paiement des droits d'écouter ET accès à la diffusion des oeuvres, c'est plus flou : OUI j'ai tourné casaque vis-à-vis du modèle iTunes classique de l'achat (oups ! location !) des morceaux en ligne. Pire en ce qui concerne les films ! Le modèle d'abonnement Apple Music ou Spotify ne m'ayant pas vraiment séduit pour l'instant (il me reste à le vérifier et surtout à vérifier l'offre, voir ci-dessous), il me semble effectivement que le marché de l'occasion CD/DVDs soit provisoirement une bonne solution.
- Pour ce qui est de l'aspect CULTUREL, l'effet de filtre/entonoir avait déjà été sévère entre vinyles et CDs, il est devenu inacceptable entre CDs et offre des prestataires d'abonnement. Tout est découpé en "morceaux" (c'est le cas de le dire !) faisant disparaître la notion d'oeuvre, de pièce de musique, sans parler du référencement totalement indigent. Dans ce contexte, effectivement, et en attendant que le RETOUR dans le domaine public atteigne les années 60, le vinyle d'occasion reste incontournable. Exemples possibles sur demande, dans tous les genres.
La fracture entre musique et music-business n'a jamais été aussi importante !
-- Gérald
DV <dv@nullepart.invalid> wrote:
Il n'y a pas si longtemps, tu affirmais que le CD était un support
dépassé. Tu ne vas pas te remettre au vinyle, quand même ? ;-)
Gardons les choses en contexte !
- Oui, je tiens pour probable que le CD soit en voie d'obsolescence
rapide au profit de moyens de stockage de plus forte capacité et plus
économiques. On parle là des SUPPORTS !
- Pour ce qui est de l'aspect ÉCONOMIQUE associant paiement des droits
d'écouter ET accès à la diffusion des oeuvres, c'est plus flou : OUI
j'ai tourné casaque vis-à-vis du modèle iTunes classique de l'achat
(oups ! location !) des morceaux en ligne. Pire en ce qui concerne les
films ! Le modèle d'abonnement Apple Music ou Spotify ne m'ayant pas
vraiment séduit pour l'instant (il me reste à le vérifier et surtout à
vérifier l'offre, voir ci-dessous), il me semble effectivement que le
marché de l'occasion CD/DVDs soit provisoirement une bonne solution.
- Pour ce qui est de l'aspect CULTUREL, l'effet de filtre/entonoir avait
déjà été sévère entre vinyles et CDs, il est devenu inacceptable entre
CDs et offre des prestataires d'abonnement. Tout est découpé en
"morceaux" (c'est le cas de le dire !) faisant disparaître la notion
d'oeuvre, de pièce de musique, sans parler du référencement totalement
indigent. Dans ce contexte, effectivement, et en attendant que le RETOUR
dans le domaine public atteigne les années 60, le vinyle d'occasion
reste incontournable. Exemples possibles sur demande, dans tous les
genres.
La fracture entre musique et music-business n'a jamais été aussi
importante !
Il n'y a pas si longtemps, tu affirmais que le CD était un support dépassé. Tu ne vas pas te remettre au vinyle, quand même ? ;-)
Gardons les choses en contexte !
- Oui, je tiens pour probable que le CD soit en voie d'obsolescence rapide au profit de moyens de stockage de plus forte capacité et plus économiques. On parle là des SUPPORTS !
- Pour ce qui est de l'aspect ÉCONOMIQUE associant paiement des droits d'écouter ET accès à la diffusion des oeuvres, c'est plus flou : OUI j'ai tourné casaque vis-à-vis du modèle iTunes classique de l'achat (oups ! location !) des morceaux en ligne. Pire en ce qui concerne les films ! Le modèle d'abonnement Apple Music ou Spotify ne m'ayant pas vraiment séduit pour l'instant (il me reste à le vérifier et surtout à vérifier l'offre, voir ci-dessous), il me semble effectivement que le marché de l'occasion CD/DVDs soit provisoirement une bonne solution.
- Pour ce qui est de l'aspect CULTUREL, l'effet de filtre/entonoir avait déjà été sévère entre vinyles et CDs, il est devenu inacceptable entre CDs et offre des prestataires d'abonnement. Tout est découpé en "morceaux" (c'est le cas de le dire !) faisant disparaître la notion d'oeuvre, de pièce de musique, sans parler du référencement totalement indigent. Dans ce contexte, effectivement, et en attendant que le RETOUR dans le domaine public atteigne les années 60, le vinyle d'occasion reste incontournable. Exemples possibles sur demande, dans tous les genres.
La fracture entre musique et music-business n'a jamais été aussi importante !
-- Gérald
J.P
In article <1ml62hb.1pxe0f91g2eguaN% .com>, (Gerald) wrote:
La fracture entre musique et music-business n'a jamais été aussi importante !
Tout cela dépend peut-être aussi de ceux qui écoutent la musique, quelle musique , comment (avec quoi) et où . A ce que je crois comprendre, tu ne dois pas faire partie de ce marché là, de ceux que je vois écouteurs en place, dans le métro ou marchant dans le tintamarre des rues.
-- Jean-Pierre
In article
<1ml62hb.1pxe0f91g2eguaN%voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide
.com>,
voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com (Gerald) wrote:
La fracture entre musique et music-business n'a jamais été aussi
importante !
Tout cela dépend peut-être aussi de ceux qui écoutent la musique, quelle
musique , comment (avec quoi) et où .
A ce que je crois comprendre, tu ne dois pas faire partie de ce marché
là, de ceux que je vois écouteurs en place, dans le métro ou marchant
dans le tintamarre des rues.
In article <1ml62hb.1pxe0f91g2eguaN% .com>, (Gerald) wrote:
La fracture entre musique et music-business n'a jamais été aussi importante !
Tout cela dépend peut-être aussi de ceux qui écoutent la musique, quelle musique , comment (avec quoi) et où . A ce que je crois comprendre, tu ne dois pas faire partie de ce marché là, de ceux que je vois écouteurs en place, dans le métro ou marchant dans le tintamarre des rues.
-- Jean-Pierre
DV
Gerald a écrit ceci :
DV wrote:
Il n'y a pas si longtemps, tu affirmais que le CD était un support dépassé. Tu ne vas pas te remettre au vinyle, quand même ? ;-)
Gardons les choses en contexte !
Je ne me doutais pas que ma petite boutade aurait besoin d'être si amplement contextualisée. ;-)
Le contexte de mon côté, c'est surtout l'autodérision : moi qui ne jurais que par le CD, je viens d'acheter mon premier album dématérialisé (pas sur l'iTunes Store, mais sur Qobuz).
- Pour ce qui est de l'aspect CULTUREL, l'effet de filtre/entonoir avait déjà été sévère entre vinyles et CDs, il est devenu inacceptable entre CDs et offre des prestataires d'abonnement. Tout est découpé en "morceaux" (c'est le cas de le dire !) faisant disparaître la notion d'oeuvre, de pièce de musique, sans parler du référencement totalement indigent. Dans ce contexte, effectivement, et en attendant que le RETOUR dans le domaine public atteigne les années 60, le vinyle d'occasion reste incontournable. Exemples possibles sur demande, dans tous les genres.
Je ne crois pas que l'industrie musicale ait attendu le numérique pour démembrer les ½uvres. Quand j'étais gamin, c'est-à-dire il y a une cinquantaine d'années, l'un des tout premiers disques qu'on m'ait offerts était une compilation de "trésors" de la musique classique. C'est peu de dire que la notion d'½uvre y était malmenée.
Maintenant, que les albums soit disponibles en portions individuelles sur les plate-formes de téléchargement, c'est un fait, mais tant que ça n'empêche pas d'acheter la galette entière, personnellement, ça ne me dérange pas outre mesure.
-- DV
Gerald a écrit ceci :
DV <dv@nullepart.invalid> wrote:
Il n'y a pas si longtemps, tu affirmais que le CD était un support
dépassé. Tu ne vas pas te remettre au vinyle, quand même ? ;-)
Gardons les choses en contexte !
Je ne me doutais pas que ma petite boutade aurait besoin d'être si
amplement contextualisée. ;-)
Le contexte de mon côté, c'est surtout l'autodérision : moi qui ne
jurais que par le CD, je viens d'acheter mon premier album dématérialisé
(pas sur l'iTunes Store, mais sur Qobuz).
- Pour ce qui est de l'aspect CULTUREL, l'effet de filtre/entonoir avait
déjà été sévère entre vinyles et CDs, il est devenu inacceptable entre
CDs et offre des prestataires d'abonnement. Tout est découpé en
"morceaux" (c'est le cas de le dire !) faisant disparaître la notion
d'oeuvre, de pièce de musique, sans parler du référencement totalement
indigent. Dans ce contexte, effectivement, et en attendant que le RETOUR
dans le domaine public atteigne les années 60, le vinyle d'occasion
reste incontournable. Exemples possibles sur demande, dans tous les
genres.
Je ne crois pas que l'industrie musicale ait attendu le numérique pour
démembrer les ½uvres. Quand j'étais gamin, c'est-à-dire il y a une
cinquantaine d'années, l'un des tout premiers disques qu'on m'ait
offerts était une compilation de "trésors" de la musique classique.
C'est peu de dire que la notion d'½uvre y était malmenée.
Maintenant, que les albums soit disponibles en portions individuelles
sur les plate-formes de téléchargement, c'est un fait, mais tant que ça
n'empêche pas d'acheter la galette entière, personnellement, ça ne me
dérange pas outre mesure.
Il n'y a pas si longtemps, tu affirmais que le CD était un support dépassé. Tu ne vas pas te remettre au vinyle, quand même ? ;-)
Gardons les choses en contexte !
Je ne me doutais pas que ma petite boutade aurait besoin d'être si amplement contextualisée. ;-)
Le contexte de mon côté, c'est surtout l'autodérision : moi qui ne jurais que par le CD, je viens d'acheter mon premier album dématérialisé (pas sur l'iTunes Store, mais sur Qobuz).
- Pour ce qui est de l'aspect CULTUREL, l'effet de filtre/entonoir avait déjà été sévère entre vinyles et CDs, il est devenu inacceptable entre CDs et offre des prestataires d'abonnement. Tout est découpé en "morceaux" (c'est le cas de le dire !) faisant disparaître la notion d'oeuvre, de pièce de musique, sans parler du référencement totalement indigent. Dans ce contexte, effectivement, et en attendant que le RETOUR dans le domaine public atteigne les années 60, le vinyle d'occasion reste incontournable. Exemples possibles sur demande, dans tous les genres.
Je ne crois pas que l'industrie musicale ait attendu le numérique pour démembrer les ½uvres. Quand j'étais gamin, c'est-à-dire il y a une cinquantaine d'années, l'un des tout premiers disques qu'on m'ait offerts était une compilation de "trésors" de la musique classique. C'est peu de dire que la notion d'½uvre y était malmenée.
Maintenant, que les albums soit disponibles en portions individuelles sur les plate-formes de téléchargement, c'est un fait, mais tant que ça n'empêche pas d'acheter la galette entière, personnellement, ça ne me dérange pas outre mesure.
-- DV
voir_le_reply-to
J.P wrote:
A ce que je crois comprendre, tu ne dois pas faire partie de ce marché là, de ceux que je vois écouteurs en place, dans le métro ou marchant dans le tintamarre des rues.
Je n'en fais pas partie, c'est vrai. Au plan commercial, les musiques que je préfère doivent être à peu près toutes sous le 1 % des scores de vente (quand pas seulement des pouillèmes !), MAIS si on sort du strict ensemble des con-sommateurs/acheteurs pour prendre comme référence... disons l'humanité, sur l'ensemble de la planète Terre et, disons, depuis qu'on dispose de traces de transmission de musique à peu près fiables (environ -700 EC, en Grèce), d'un seul coup mes goûts prennent un sacré coup de fouet statistique !
Prends le plain-chant ou chant "grégorien" par exemple : pendant MILLE ANS on n'a chanté que ça ou quasi ! En tout cas des monodies (éventuellement rythmées ou accompagnées, mais sans d'accords). Dans toute l'Europe (le "monde" d'alors ?), idem pour une bonne partie des musiques orientales et probablement pour la plupart des musiques amérindiennes ! C'est chaud !
Après je n'oblige absolument personne ! Juste j'évoque :-)
-- Gérald
J.P <jpp@gmail.com> wrote:
A ce que je crois comprendre, tu ne dois pas faire partie de ce marché
là, de ceux que je vois écouteurs en place, dans le métro ou marchant
dans le tintamarre des rues.
Je n'en fais pas partie, c'est vrai. Au plan commercial, les musiques
que je préfère doivent être à peu près toutes sous le 1 % des scores de
vente (quand pas seulement des pouillèmes !), MAIS si on sort du strict
ensemble des con-sommateurs/acheteurs pour prendre comme référence...
disons l'humanité, sur l'ensemble de la planète Terre et, disons, depuis
qu'on dispose de traces de transmission de musique à peu près fiables
(environ -700 EC, en Grèce), d'un seul coup mes goûts prennent un sacré
coup de fouet statistique !
Prends le plain-chant ou chant "grégorien" par exemple : pendant MILLE
ANS on n'a chanté que ça ou quasi ! En tout cas des monodies
(éventuellement rythmées ou accompagnées, mais sans d'accords). Dans
toute l'Europe (le "monde" d'alors ?), idem pour une bonne partie des
musiques orientales et probablement pour la plupart des musiques
amérindiennes ! C'est chaud !
Après je n'oblige absolument personne ! Juste j'évoque :-)
A ce que je crois comprendre, tu ne dois pas faire partie de ce marché là, de ceux que je vois écouteurs en place, dans le métro ou marchant dans le tintamarre des rues.
Je n'en fais pas partie, c'est vrai. Au plan commercial, les musiques que je préfère doivent être à peu près toutes sous le 1 % des scores de vente (quand pas seulement des pouillèmes !), MAIS si on sort du strict ensemble des con-sommateurs/acheteurs pour prendre comme référence... disons l'humanité, sur l'ensemble de la planète Terre et, disons, depuis qu'on dispose de traces de transmission de musique à peu près fiables (environ -700 EC, en Grèce), d'un seul coup mes goûts prennent un sacré coup de fouet statistique !
Prends le plain-chant ou chant "grégorien" par exemple : pendant MILLE ANS on n'a chanté que ça ou quasi ! En tout cas des monodies (éventuellement rythmées ou accompagnées, mais sans d'accords). Dans toute l'Europe (le "monde" d'alors ?), idem pour une bonne partie des musiques orientales et probablement pour la plupart des musiques amérindiennes ! C'est chaud !
Après je n'oblige absolument personne ! Juste j'évoque :-)
-- Gérald
J.P
In article <1ml75pr.jid7d1r6yfpeN% om>, (Gerald) wrote:
Prends le plain-chant ou chant "grégorien" par exemple : pendant MILLE ANS on n'a chanté que ça ou quasi !
J'ai rencontré ça tout gamin à l'abbaye de Ligugé (86) où mon père avait aidé à installer la première sono. Magique ! J'y suis retourné bien plus tard, toujours aussi magique, ça prend aux tripes, croyant ou pas.
-- Jean-Pierre
In article
<1ml75pr.jid7d1r6yfpeN%voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.c
om>,
voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com (Gerald) wrote:
Prends le plain-chant ou chant "grégorien" par exemple : pendant MILLE
ANS on n'a chanté que ça ou quasi !
J'ai rencontré ça tout gamin à l'abbaye de Ligugé (86) où mon père avait
aidé à installer la première sono.
Magique !
J'y suis retourné bien plus tard, toujours aussi magique, ça prend aux
tripes, croyant ou pas.
In article <1ml75pr.jid7d1r6yfpeN% om>, (Gerald) wrote:
Prends le plain-chant ou chant "grégorien" par exemple : pendant MILLE ANS on n'a chanté que ça ou quasi !
J'ai rencontré ça tout gamin à l'abbaye de Ligugé (86) où mon père avait aidé à installer la première sono. Magique ! J'y suis retourné bien plus tard, toujours aussi magique, ça prend aux tripes, croyant ou pas.
-- Jean-Pierre
michel.vauquois
Je vous souhaite bien le bonjour,
L'inénarrable J.P, le déglingos de service, nous fredonne :
J'ai acheté un MBP à un particulier, il me laisse ses applis dessus. Quand je veux faire les mises à jour, l'AppStore me propose l'identifiant de l'AppleID de mon vendeur. Comment change-t-on cela ?
Je viens de retomber sur ta question. Tu connais la solution maintenant mais l'as-tu essayé et si oui, avec quel résultat ? -- Michel Vauquois Que Dieu vous garde... Moi j'ai pas le temps (RD) MàJ 2015 : <http://michelvauquois.free-h.fr> Matière à voir : <http://matiere-a-voir.michelvauquois.free-h.fr>
Je vous souhaite bien le bonjour,
L'inénarrable J.P, le déglingos de service, nous fredonne :
J'ai acheté un MBP à un particulier, il me laisse ses applis dessus.
Quand je veux faire les mises à jour, l'AppStore me propose
l'identifiant de l'AppleID de mon vendeur.
Comment change-t-on cela ?
Je viens de retomber sur ta question.
Tu connais la solution maintenant mais l'as-tu essayé et si oui, avec
quel résultat ?
--
Michel Vauquois
Que Dieu vous garde... Moi j'ai pas le temps (RD)
MàJ 2015 : <http://michelvauquois.free-h.fr>
Matière à voir : <http://matiere-a-voir.michelvauquois.free-h.fr>
L'inénarrable J.P, le déglingos de service, nous fredonne :
J'ai acheté un MBP à un particulier, il me laisse ses applis dessus. Quand je veux faire les mises à jour, l'AppStore me propose l'identifiant de l'AppleID de mon vendeur. Comment change-t-on cela ?
Je viens de retomber sur ta question. Tu connais la solution maintenant mais l'as-tu essayé et si oui, avec quel résultat ? -- Michel Vauquois Que Dieu vous garde... Moi j'ai pas le temps (RD) MàJ 2015 : <http://michelvauquois.free-h.fr> Matière à voir : <http://matiere-a-voir.michelvauquois.free-h.fr>