Je n'ai jamais eu à me plaindre des tirages (11*15) effectués chez
Photoways.
Or lors de ma derniere commande, toutes les photos présentaient ce defaut :
une netteté douteuse, un effet de halo* de couleur leger sur les zones de
fort contraste, et 2 lignes d'à peine quelques pixels de large, dans les
tons rouge/orange en bas de la photo et dans les ton bleu/vert en haut.
En faut j'ai l'impression que les canaux R, V, et B auraient un défaut
d'alignement de quelques pixels ce qui expliquerait ces syndromes....Mais je
ne connais pas le fonctionnement des tireuses, cela est il possible?
Y-a-t-il un moyen d'exiger un retirage (gratuit bien entendu)?
Merci d'avance
Seb
http://s.billard.free.fr/dotclear/?Photoblog
PS : pour le halo je n'ai pas utilisé d'accentuation (d'ailleurs j'aurais du
ca manque de piqué)
1 - préparer une image 1200x900 bien fraiche. 2 - Enregistrer en JPEG, qualité 9 ou 10 -> test1.jpg
Ensuite, une boucle :
3 - Fermer l'image ouverte. Indispensable ! Il faut évidemment se purger complètement de l'image précédente... 4 - Réouvrir la dernière image enregistrée (test1.jpg la première fois) 5 - Sans rien faire sur l'image, enregistrer sous, JPEG même qualité -> test2.jpg 6 - Retour en 3 etc... une dizaine de fois de suite.
Ensuite, rouvrir toutes les images, et à partir de l'une d'entre elles, au menu Image>Operations, différence des couches rouges entre les images (N) et (N-1) dans une nouvelle couche, suivie d'une augmentation du contraste d'un facteur 64 par courbes dans cette couche. On voit la différence décroitre plus ou moins vite et disparaître vers N (ça dépend de l'image de départ)
Bonjour, Je me suis essayé à cet intéressant exercice à l'instant, en allant jusqu'à 12. Image de 1200x1200, qualité 10 à chaque sauvegarde. Mode différence entre N et (N-1) sur l'ensemble des couches, + un calque de niveaux poussé à fond à gamma 9,99. Photoshop CS. D'accord, ce n'est pas exactement le même protocole, mais ça permet de voir s'il y a différence ou pas, ce qui est le but.
On voit des pixels lumineux disséminés par ci par là, même entre N et N! Ca diminue, certes, avec N qui augmente, mais je ne suis pas arrivé à la stabilité à N...
A tout hasard j'ai quand même fait la différence entre N et N : c'est bien tout noir.
Bon, avant de conclure, peut-être faudrait-il quantifier ces différences? Si c'est le bit de poids faible de 0,001% des pixels qui bouge, voire alterne entre 0 et 1 à chaque recompression, c'est bien maigre.
1 - préparer une image 1200x900 bien fraiche.
2 - Enregistrer en JPEG, qualité 9 ou 10 -> test1.jpg
Ensuite, une boucle :
3 - Fermer l'image ouverte. Indispensable ! Il faut évidemment se purger
complètement de l'image précédente...
4 - Réouvrir la dernière image enregistrée (test1.jpg la première fois)
5 - Sans rien faire sur l'image, enregistrer sous, JPEG même qualité ->
test2.jpg
6 - Retour en 3
etc... une dizaine de fois de suite.
Ensuite, rouvrir toutes les images, et à partir de l'une d'entre elles,
au menu Image>Operations, différence des couches rouges entre les images
(N) et (N-1) dans une nouvelle couche, suivie d'une augmentation du
contraste d'un facteur 64 par courbes dans cette couche. On voit la
différence décroitre plus ou moins vite et disparaître vers N (ça
dépend de l'image de départ)
Bonjour,
Je me suis essayé à cet intéressant exercice à l'instant, en allant
jusqu'à 12. Image de 1200x1200, qualité 10 à chaque sauvegarde. Mode
différence entre N et (N-1) sur l'ensemble des couches, + un calque de
niveaux poussé à fond à gamma 9,99. Photoshop CS.
D'accord, ce n'est pas exactement le même protocole, mais ça permet de
voir s'il y a différence ou pas, ce qui est le but.
On voit des pixels lumineux disséminés par ci par là, même entre N et
N! Ca diminue, certes, avec N qui augmente, mais je ne suis pas
arrivé à la stabilité à N...
A tout hasard j'ai quand même fait la différence entre N et N : c'est
bien tout noir.
Bon, avant de conclure, peut-être faudrait-il quantifier ces
différences? Si c'est le bit de poids faible de 0,001% des pixels qui
bouge, voire alterne entre 0 et 1 à chaque recompression, c'est bien maigre.
1 - préparer une image 1200x900 bien fraiche. 2 - Enregistrer en JPEG, qualité 9 ou 10 -> test1.jpg
Ensuite, une boucle :
3 - Fermer l'image ouverte. Indispensable ! Il faut évidemment se purger complètement de l'image précédente... 4 - Réouvrir la dernière image enregistrée (test1.jpg la première fois) 5 - Sans rien faire sur l'image, enregistrer sous, JPEG même qualité -> test2.jpg 6 - Retour en 3 etc... une dizaine de fois de suite.
Ensuite, rouvrir toutes les images, et à partir de l'une d'entre elles, au menu Image>Operations, différence des couches rouges entre les images (N) et (N-1) dans une nouvelle couche, suivie d'une augmentation du contraste d'un facteur 64 par courbes dans cette couche. On voit la différence décroitre plus ou moins vite et disparaître vers N (ça dépend de l'image de départ)
Bonjour, Je me suis essayé à cet intéressant exercice à l'instant, en allant jusqu'à 12. Image de 1200x1200, qualité 10 à chaque sauvegarde. Mode différence entre N et (N-1) sur l'ensemble des couches, + un calque de niveaux poussé à fond à gamma 9,99. Photoshop CS. D'accord, ce n'est pas exactement le même protocole, mais ça permet de voir s'il y a différence ou pas, ce qui est le but.
On voit des pixels lumineux disséminés par ci par là, même entre N et N! Ca diminue, certes, avec N qui augmente, mais je ne suis pas arrivé à la stabilité à N...
A tout hasard j'ai quand même fait la différence entre N et N : c'est bien tout noir.
Bon, avant de conclure, peut-être faudrait-il quantifier ces différences? Si c'est le bit de poids faible de 0,001% des pixels qui bouge, voire alterne entre 0 et 1 à chaque recompression, c'est bien maigre.
Eh bien ! comme il faut croire à ce qu'on fait -- surtout quand on le fait bien :-) --, je maintiens et mes résultats et mes conclusions.
Tu as bien raison ! Mais moi z'aussi je vais défendre ma position. J'ai donc décidé de refaire un test avec une image de 3MPixels contenant un peu de tout et de chiffrer le résultat.
L'image contient 3.047.424 pixels et est en Tiff au départ. En mode différence, les résultats entre la première génération JPEG et la deuxième :
2.545.385 pixels noirs 498.340 pixels de valeur 1 3699 pixels de valeur 2 0 pixels de valeur 3
Entre la deuxième et la troisième :
2.728.329 pixels noirs 317.930 pixels de valeur 1 1165 pixels de valeur 2 0 pixels de valeur 3
Entre la troisième et la quatrième :
2.818.675 pixels noirs 228.321 pixels de valeur 1 428 pixels de valeur 2 0 pixels de valeur 3
Entre la quatrième et la cinquième :
2.870.344 pixels noirs 176.875 pixels de valeur 1 205 pixels de valeur 2 0 pixel de valeur 3
Quand on sait que des changements de valeur 1 sont invisible à l'oeil et qu'en suite on remarque que ce sont les même coordonnées de pixels qui basculent d'une valeur à l'autre, je considère les variations comme insignifiantes.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Eh bien ! comme il faut croire à ce qu'on fait -- surtout quand on le
fait bien :-) --, je maintiens et mes résultats et mes conclusions.
Tu as bien raison ! Mais moi z'aussi je vais défendre ma position. J'ai donc
décidé de refaire un test avec une image de 3MPixels contenant un peu de
tout et de chiffrer le résultat.
L'image contient 3.047.424 pixels et est en Tiff au départ. En mode
différence, les résultats entre la première génération JPEG et la deuxième :
2.545.385 pixels noirs
498.340 pixels de valeur 1
3699 pixels de valeur 2
0 pixels de valeur 3
Entre la deuxième et la troisième :
2.728.329 pixels noirs
317.930 pixels de valeur 1
1165 pixels de valeur 2
0 pixels de valeur 3
Entre la troisième et la quatrième :
2.818.675 pixels noirs
228.321 pixels de valeur 1
428 pixels de valeur 2
0 pixels de valeur 3
Entre la quatrième et la cinquième :
2.870.344 pixels noirs
176.875 pixels de valeur 1
205 pixels de valeur 2
0 pixel de valeur 3
Quand on sait que des changements de valeur 1 sont invisible à l'oeil et
qu'en suite on remarque que ce sont les même coordonnées de pixels qui
basculent d'une valeur à l'autre, je considère les variations comme
insignifiantes.
Eh bien ! comme il faut croire à ce qu'on fait -- surtout quand on le fait bien :-) --, je maintiens et mes résultats et mes conclusions.
Tu as bien raison ! Mais moi z'aussi je vais défendre ma position. J'ai donc décidé de refaire un test avec une image de 3MPixels contenant un peu de tout et de chiffrer le résultat.
L'image contient 3.047.424 pixels et est en Tiff au départ. En mode différence, les résultats entre la première génération JPEG et la deuxième :
2.545.385 pixels noirs 498.340 pixels de valeur 1 3699 pixels de valeur 2 0 pixels de valeur 3
Entre la deuxième et la troisième :
2.728.329 pixels noirs 317.930 pixels de valeur 1 1165 pixels de valeur 2 0 pixels de valeur 3
Entre la troisième et la quatrième :
2.818.675 pixels noirs 228.321 pixels de valeur 1 428 pixels de valeur 2 0 pixels de valeur 3
Entre la quatrième et la cinquième :
2.870.344 pixels noirs 176.875 pixels de valeur 1 205 pixels de valeur 2 0 pixel de valeur 3
Quand on sait que des changements de valeur 1 sont invisible à l'oeil et qu'en suite on remarque que ce sont les même coordonnées de pixels qui basculent d'une valeur à l'autre, je considère les variations comme insignifiantes.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Charles VASSALLO
Jean-Claude Ghislain wrote:
Quand on sait que des changements de valeur 1 sont invisible à l'oeil et qu'en suite on remarque que ce sont les même coordonnées de pixels qui basculent d'une valeur à l'autre, je considère les variations comme insignifiantes.
On converge ! Mais le point de départ était l'affirmation sans nuance que ça ne bougeait pas, et donc, vite sous-entendu, qu'on pouvait utiliser le JPEG pour des sauvegardes répétées.
Moralité : tant qu'on ne fait rien, on ne court aucun risque réel à continuer en JPEG. Je sens que cette conclusion raisonable est d'une grande utilité pratique ! :-))
Charles
Jean-Claude Ghislain wrote:
Quand on sait que des changements de valeur 1 sont invisible à l'oeil et
qu'en suite on remarque que ce sont les même coordonnées de pixels qui
basculent d'une valeur à l'autre, je considère les variations comme
insignifiantes.
On converge ! Mais le point de départ était l'affirmation sans nuance
que ça ne bougeait pas, et donc, vite sous-entendu, qu'on pouvait
utiliser le JPEG pour des sauvegardes répétées.
Moralité : tant qu'on ne fait rien, on ne court aucun risque réel à
continuer en JPEG. Je sens que cette conclusion raisonable est d'une
grande utilité pratique !
:-))
Quand on sait que des changements de valeur 1 sont invisible à l'oeil et qu'en suite on remarque que ce sont les même coordonnées de pixels qui basculent d'une valeur à l'autre, je considère les variations comme insignifiantes.
On converge ! Mais le point de départ était l'affirmation sans nuance que ça ne bougeait pas, et donc, vite sous-entendu, qu'on pouvait utiliser le JPEG pour des sauvegardes répétées.
Moralité : tant qu'on ne fait rien, on ne court aucun risque réel à continuer en JPEG. Je sens que cette conclusion raisonable est d'une grande utilité pratique ! :-))
Charles
Jean-Claude Ghislain
Moralité : tant qu'on ne fait rien, on ne court aucun risque réel à continuer en JPEG. Je sens que cette conclusion raisonable est d'une grande utilité pratique !
Le JPEG inciterait-il à la fainéantise ?
;-))
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Moralité : tant qu'on ne fait rien, on ne court aucun risque réel à
continuer en JPEG. Je sens que cette conclusion raisonable est d'une
grande utilité pratique !
Moralité : tant qu'on ne fait rien, on ne court aucun risque réel à continuer en JPEG. Je sens que cette conclusion raisonable est d'une grande utilité pratique !