Téléporté en un endroit que je ne connais pas encore un lieu biscornu où
je reste seul. De peur à d'autres, c'est le jeu, donnez-moi d'autres lieux
où je puisse m'échapper :
http://cjoint.com/?0khuqeRBlpx
Mais c'est le mot remplir d'Octave qui m'a fait penser à cela, à cette gestion de l'epsace, mais aussi quand tu dis qu'il n'y a pas ce changement de taille des objectifs grand angles, on reste donc dans une échelle similaire...
FiH
L'analogie au allover fonctionne effectivement dans ce sens, comme je dirais qu'à la prise de vue j'empile les photos les une à coté et au dessus des autres, cela étant seulement délimité dans un cadre que j'impose et qui est extérieur à mon action. Mais l'analogie s'arrête quand je considère que toutes les images sont orientées selon un point de vue unique qui les unifie dans la perspective, et les arrête forcément par l'accomplissement du remplissage de la sphère, si on veut, dans la limite des 360°.
Par contre il y a de nombreux cas où la perspective est brisée dans son unité et devient imaginaire (sans limites). A l'époque où je faisais des compositions par surimpressions multiples à la prise de vue, j'étais beaucoup plus proche de la notion de Allover. Il y avait un coté assez grisant de pouvoir photographier les choses par juxtaposition et répétition dans un espace illimité et pourtant cohérent :
Il y a quand même quelque chose qui me questionne constamment : Y-a-t-il une différence fondamentale entre la perspective imaginaire de cette photographie de plage, et celle rendue par une simple image photographique ? Je ne crois pas, les deux sont une illusion.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://perso.orange.fr/albert.lemoine ----------------------------------------------------------
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit :
Mais c'est le mot remplir d'Octave qui m'a fait penser à cela, à cette
gestion de l'epsace, mais aussi quand tu dis qu'il n'y a pas ce
changement de taille des objectifs grand angles, on reste donc dans une
échelle similaire...
FiH
L'analogie au allover fonctionne effectivement dans ce sens, comme je
dirais qu'à la prise de vue j'empile les photos les une à coté et au dessus
des autres, cela étant seulement délimité dans un cadre que j'impose et qui
est extérieur à mon action. Mais l'analogie s'arrête quand je considère que
toutes les images sont orientées selon un point de vue unique qui les unifie
dans la perspective, et les arrête forcément par l'accomplissement du
remplissage de la sphère, si on veut, dans la limite des 360°.
Par contre il y a de nombreux cas où la perspective est brisée dans son
unité et devient imaginaire (sans limites). A l'époque où je faisais des
compositions par surimpressions multiples à la prise de vue, j'étais
beaucoup plus proche de la notion de Allover. Il y avait un coté assez
grisant de pouvoir photographier les choses par juxtaposition et répétition
dans un espace illimité et pourtant cohérent :
Il y a quand même quelque chose qui me questionne constamment : Y-a-t-il
une différence fondamentale entre la perspective imaginaire de cette
photographie de plage, et celle rendue par une simple image photographique ?
Je ne crois pas, les deux sont une illusion.
Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
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Mais c'est le mot remplir d'Octave qui m'a fait penser à cela, à cette gestion de l'epsace, mais aussi quand tu dis qu'il n'y a pas ce changement de taille des objectifs grand angles, on reste donc dans une échelle similaire...
FiH
L'analogie au allover fonctionne effectivement dans ce sens, comme je dirais qu'à la prise de vue j'empile les photos les une à coté et au dessus des autres, cela étant seulement délimité dans un cadre que j'impose et qui est extérieur à mon action. Mais l'analogie s'arrête quand je considère que toutes les images sont orientées selon un point de vue unique qui les unifie dans la perspective, et les arrête forcément par l'accomplissement du remplissage de la sphère, si on veut, dans la limite des 360°.
Par contre il y a de nombreux cas où la perspective est brisée dans son unité et devient imaginaire (sans limites). A l'époque où je faisais des compositions par surimpressions multiples à la prise de vue, j'étais beaucoup plus proche de la notion de Allover. Il y avait un coté assez grisant de pouvoir photographier les choses par juxtaposition et répétition dans un espace illimité et pourtant cohérent :
Il y a quand même quelque chose qui me questionne constamment : Y-a-t-il une différence fondamentale entre la perspective imaginaire de cette photographie de plage, et celle rendue par une simple image photographique ? Je ne crois pas, les deux sont une illusion.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://perso.orange.fr/albert.lemoine ----------------------------------------------------------
filh
albert wrote:
"FiLH" a écrit :
> Mais c'est le mot remplir d'Octave qui m'a fait penser à cela, à cette > gestion de l'epsace, mais aussi quand tu dis qu'il n'y a pas ce > changement de taille des objectifs grand angles, on reste donc dans une > échelle similaire... > > FiH
L'analogie au allover fonctionne effectivement dans ce sens, comme je dirais qu'à la prise de vue j'empile les photos les une à coté et au dessus des autres, cela étant seulement délimité dans un cadre que j'impose et qui est extérieur à mon action. Mais l'analogie s'arrête quand je considère que toutes les images sont orientées selon un point de vue unique qui les unifie dans la perspective, et les arrête forcément par l'accomplissement du remplissage de la sphère, si on veut, dans la limite des 360°.
Oui, et cela ne te tente pas de briser cette orientation autour d'un point ?
Il y a quand même quelque chose qui me questionne constamment : Y-a-t-il une différence fondamentale entre la perspective imaginaire de cette photographie de plage, et celle rendue par une simple image photographique ? Je ne crois pas, les deux sont une illusion.
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
albert <albertlemoine.nospam@wanadoo.fr> wrote:
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit :
> Mais c'est le mot remplir d'Octave qui m'a fait penser à cela, à cette
> gestion de l'epsace, mais aussi quand tu dis qu'il n'y a pas ce
> changement de taille des objectifs grand angles, on reste donc dans une
> échelle similaire...
>
> FiH
L'analogie au allover fonctionne effectivement dans ce sens, comme je
dirais qu'à la prise de vue j'empile les photos les une à coté et au dessus
des autres, cela étant seulement délimité dans un cadre que j'impose et qui
est extérieur à mon action. Mais l'analogie s'arrête quand je considère que
toutes les images sont orientées selon un point de vue unique qui les unifie
dans la perspective, et les arrête forcément par l'accomplissement du
remplissage de la sphère, si on veut, dans la limite des 360°.
Oui, et cela ne te tente pas de briser cette orientation autour d'un
point ?
Il y a quand même quelque chose qui me questionne constamment : Y-a-t-il
une différence fondamentale entre la perspective imaginaire de cette
photographie de plage, et celle rendue par une simple image photographique ?
Je ne crois pas, les deux sont une illusion.
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
> Mais c'est le mot remplir d'Octave qui m'a fait penser à cela, à cette > gestion de l'epsace, mais aussi quand tu dis qu'il n'y a pas ce > changement de taille des objectifs grand angles, on reste donc dans une > échelle similaire... > > FiH
L'analogie au allover fonctionne effectivement dans ce sens, comme je dirais qu'à la prise de vue j'empile les photos les une à coté et au dessus des autres, cela étant seulement délimité dans un cadre que j'impose et qui est extérieur à mon action. Mais l'analogie s'arrête quand je considère que toutes les images sont orientées selon un point de vue unique qui les unifie dans la perspective, et les arrête forcément par l'accomplissement du remplissage de la sphère, si on veut, dans la limite des 360°.
Oui, et cela ne te tente pas de briser cette orientation autour d'un point ?
Il y a quand même quelque chose qui me questionne constamment : Y-a-t-il une différence fondamentale entre la perspective imaginaire de cette photographie de plage, et celle rendue par une simple image photographique ? Je ne crois pas, les deux sont une illusion.
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org