In article <579911f5$0$19756$,
Le Moustique wrote:Exactement. On en revient à la base : le principal virus informatique,
c'est l'interface chaise/clavier. :-)
Oui, mais cela va être résolu avec macOS Sierra puisqu'avec Siri, on
n'aura plus besoin du clavier ... :-)
Même que Siri devrait pouvoir proférer quelque insulte si on lui demande
d'aller sur Kickass ou Pirate Bay ...
In article <579911f5$0$19756$426a34cc@news.free.fr>,
Le Moustique <ze.mosquito@free.fr> wrote:
Exactement. On en revient à la base : le principal virus informatique,
c'est l'interface chaise/clavier. :-)
Oui, mais cela va être résolu avec macOS Sierra puisqu'avec Siri, on
n'aura plus besoin du clavier ... :-)
Même que Siri devrait pouvoir proférer quelque insulte si on lui demande
d'aller sur Kickass ou Pirate Bay ...
In article <579911f5$0$19756$,
Le Moustique wrote:Exactement. On en revient à la base : le principal virus informatique,
c'est l'interface chaise/clavier. :-)
Oui, mais cela va être résolu avec macOS Sierra puisqu'avec Siri, on
n'aura plus besoin du clavier ... :-)
Même que Siri devrait pouvoir proférer quelque insulte si on lui demande
d'aller sur Kickass ou Pirate Bay ...
Y'a pas de que ça, mais ça joue.
MacOS X est structurellement mieux armé.
En quoi, précisément ?
Il n'y a ce jour *AUCUN* *virus* compatible MacOS X. Il existe par
contre quelques *trojan* ou *malware*. De d'ailleurs ce sont désormais
surtout les trojan et malware qui sont le problème (y compris sur
Windows), les virus au sens strict ont vus leur existence se réduire
rappel : un virus s'autopropage et autocontamine, ce que ne fait un pas
un trojan (qui ouvre une parte arrière pour d'autres usages de type
malware) ou un malware (qui peut avoir certains effet d'un virus mais
pas l'autopropagation sinon c'est un virus).
Les virus ne constituent plus aujourd'hui une menace importante sous
Windows. Notamment parce que justement l'autopropagation n'est plus
aussi simple qu'avant : on n'est plus en 1998, MS a introduit dans les
Windows grand-public le système de fichiers avec gestion des
permissions, l'UAC (User Access Control), et les mises à jour régulières
: un virus ne peut pas aujourd'hui infecter Windows sans intervention
explicite de l'utilisateur. Ou alors il faut qu'il exploite une faille
qui a été découverte et pas encore comblée.
[...]
Aujourd'hui il existe des milliers (si ce n'est des millions si on
compte les variantes) de malwares pour Windows. Une poignée coté Mac.
Le rapport reste très défavorable envers la plateforme Windows et bien
au delà des parts de marchés.
Tu sors ces chiffres du chapeau ?
Par ailleurs il y a toujours un effet
amplificateur au-delà de la stricte proportion des parts de marché.
[...]
Sachant aussi qu'aujourd'hui beaucoup de malwares passent par des
failles dans les extensions des navigateurs, les utilisateurs Mac ou
Windows sont à égalité de ce point de vue.
Ce n'est pas pour ça que l'on est pas suceptible d'en choper un (il en
existe quelqu'un), ça arrive même aux meilleurs ;-) Mais ça reste un
épiphénomène dont on peu facilement réduire les risques sans utiliser de
logiciels de proctection. Ne télécharger que des logiciels connus et
depuis les sites de leur développeur d'origine ou éventuellement les
AppStore sérieusement protégés (c'est le cas de celui d'Apple). Surtout
pas via des sites pirates ou même des sites d'aggrégations comme
download.com ou autre.
Et bien sur ne pas utiliser un compte admin pour l'usage journalier.
En cas de doute, bien vérifier a quoi on a affaire avant de lancer
(MacOS X pévient d'ailleurs depuis déjà longtemps lorsque l'on lance un
exécutable pour la première fois).
Et éventuellement utiliser un logiciel anti-malware, qui vous préviendra
plus que de raison car il détectera (souvent) des trucs qui n'ont aucun
effet sur un Mac.
Et si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
raison de choper des cochonneries que sur Mac.
> Y'a pas de que ça, mais ça joue.
> MacOS X est structurellement mieux armé.
En quoi, précisément ?
>
> Il n'y a ce jour *AUCUN* *virus* compatible MacOS X. Il existe par
> contre quelques *trojan* ou *malware*. De d'ailleurs ce sont désormais
> surtout les trojan et malware qui sont le problème (y compris sur
> Windows), les virus au sens strict ont vus leur existence se réduire
>
> rappel : un virus s'autopropage et autocontamine, ce que ne fait un pas
> un trojan (qui ouvre une parte arrière pour d'autres usages de type
> malware) ou un malware (qui peut avoir certains effet d'un virus mais
> pas l'autopropagation sinon c'est un virus).
Les virus ne constituent plus aujourd'hui une menace importante sous
Windows. Notamment parce que justement l'autopropagation n'est plus
aussi simple qu'avant : on n'est plus en 1998, MS a introduit dans les
Windows grand-public le système de fichiers avec gestion des
permissions, l'UAC (User Access Control), et les mises à jour régulières
: un virus ne peut pas aujourd'hui infecter Windows sans intervention
explicite de l'utilisateur. Ou alors il faut qu'il exploite une faille
qui a été découverte et pas encore comblée.
> [...]
> Aujourd'hui il existe des milliers (si ce n'est des millions si on
> compte les variantes) de malwares pour Windows. Une poignée coté Mac.
> Le rapport reste très défavorable envers la plateforme Windows et bien
> au delà des parts de marchés.
Tu sors ces chiffres du chapeau ?
Par ailleurs il y a toujours un effet
amplificateur au-delà de la stricte proportion des parts de marché.
[...]
Sachant aussi qu'aujourd'hui beaucoup de malwares passent par des
failles dans les extensions des navigateurs, les utilisateurs Mac ou
Windows sont à égalité de ce point de vue.
>
> Ce n'est pas pour ça que l'on est pas suceptible d'en choper un (il en
> existe quelqu'un), ça arrive même aux meilleurs ;-) Mais ça reste un
> épiphénomène dont on peu facilement réduire les risques sans utiliser de
> logiciels de proctection. Ne télécharger que des logiciels connus et
> depuis les sites de leur développeur d'origine ou éventuellement les
> AppStore sérieusement protégés (c'est le cas de celui d'Apple). Surtout
> pas via des sites pirates ou même des sites d'aggrégations comme
> download.com ou autre.
> Et bien sur ne pas utiliser un compte admin pour l'usage journalier.
>
> En cas de doute, bien vérifier a quoi on a affaire avant de lancer
> (MacOS X pévient d'ailleurs depuis déjà longtemps lorsque l'on lance un
> exécutable pour la première fois).
> Et éventuellement utiliser un logiciel anti-malware, qui vous préviendra
> plus que de raison car il détectera (souvent) des trucs qui n'ont aucun
> effet sur un Mac.
>
Et si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
raison de choper des cochonneries que sur Mac.
Y'a pas de que ça, mais ça joue.
MacOS X est structurellement mieux armé.
En quoi, précisément ?
Il n'y a ce jour *AUCUN* *virus* compatible MacOS X. Il existe par
contre quelques *trojan* ou *malware*. De d'ailleurs ce sont désormais
surtout les trojan et malware qui sont le problème (y compris sur
Windows), les virus au sens strict ont vus leur existence se réduire
rappel : un virus s'autopropage et autocontamine, ce que ne fait un pas
un trojan (qui ouvre une parte arrière pour d'autres usages de type
malware) ou un malware (qui peut avoir certains effet d'un virus mais
pas l'autopropagation sinon c'est un virus).
Les virus ne constituent plus aujourd'hui une menace importante sous
Windows. Notamment parce que justement l'autopropagation n'est plus
aussi simple qu'avant : on n'est plus en 1998, MS a introduit dans les
Windows grand-public le système de fichiers avec gestion des
permissions, l'UAC (User Access Control), et les mises à jour régulières
: un virus ne peut pas aujourd'hui infecter Windows sans intervention
explicite de l'utilisateur. Ou alors il faut qu'il exploite une faille
qui a été découverte et pas encore comblée.
[...]
Aujourd'hui il existe des milliers (si ce n'est des millions si on
compte les variantes) de malwares pour Windows. Une poignée coté Mac.
Le rapport reste très défavorable envers la plateforme Windows et bien
au delà des parts de marchés.
Tu sors ces chiffres du chapeau ?
Par ailleurs il y a toujours un effet
amplificateur au-delà de la stricte proportion des parts de marché.
[...]
Sachant aussi qu'aujourd'hui beaucoup de malwares passent par des
failles dans les extensions des navigateurs, les utilisateurs Mac ou
Windows sont à égalité de ce point de vue.
Ce n'est pas pour ça que l'on est pas suceptible d'en choper un (il en
existe quelqu'un), ça arrive même aux meilleurs ;-) Mais ça reste un
épiphénomène dont on peu facilement réduire les risques sans utiliser de
logiciels de proctection. Ne télécharger que des logiciels connus et
depuis les sites de leur développeur d'origine ou éventuellement les
AppStore sérieusement protégés (c'est le cas de celui d'Apple). Surtout
pas via des sites pirates ou même des sites d'aggrégations comme
download.com ou autre.
Et bien sur ne pas utiliser un compte admin pour l'usage journalier.
En cas de doute, bien vérifier a quoi on a affaire avant de lancer
(MacOS X pévient d'ailleurs depuis déjà longtemps lorsque l'on lance un
exécutable pour la première fois).
Et éventuellement utiliser un logiciel anti-malware, qui vous préviendra
plus que de raison car il détectera (souvent) des trucs qui n'ont aucun
effet sur un Mac.
Et si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
raison de choper des cochonneries que sur Mac.
MacOS X est structurellement mieux armé.
En quoi, précisément ?
En rien. Le plus gros point faible de Mac OS X, c'est son utilisateur,
qui se croit "immunisé" contre les virus ou autres saletés.
Du coup, il s'estime tout permis...
>> MacOS X est structurellement mieux armé.
>
> En quoi, précisément ?
En rien. Le plus gros point faible de Mac OS X, c'est son utilisateur,
qui se croit "immunisé" contre les virus ou autres saletés.
Du coup, il s'estime tout permis...
MacOS X est structurellement mieux armé.
En quoi, précisément ?
En rien. Le plus gros point faible de Mac OS X, c'est son utilisateur,
qui se croit "immunisé" contre les virus ou autres saletés.
Du coup, il s'estime tout permis...
Oui, mais cela va être résolu avec macOS Sierra puisqu'avec Siri, on
n'aura plus besoin du clavier ...:-)
Même que Siri devrait pouvoir proférer quelque insulte si on lui demande
d'aller sur Kickass ou Pirate Bay ...
Oui, mais cela va être résolu avec macOS Sierra puisqu'avec Siri, on
n'aura plus besoin du clavier ...:-)
Même que Siri devrait pouvoir proférer quelque insulte si on lui demande
d'aller sur Kickass ou Pirate Bay ...
Oui, mais cela va être résolu avec macOS Sierra puisqu'avec Siri, on
n'aura plus besoin du clavier ...:-)
Même que Siri devrait pouvoir proférer quelque insulte si on lui demande
d'aller sur Kickass ou Pirate Bay ...
pehache wrote:Y'a pas de que ça, mais ça joue.
MacOS X est structurellement mieux armé.
En quoi, précisément ?
Fondation BSD/Unix
Véritable comptes admin
Espaces mémoires protégées
etc...
Il n'y a ce jour *AUCUN* *virus* compatible MacOS X. Il existe par
contre quelques *trojan* ou *malware*. De d'ailleurs ce sont désormais
surtout les trojan et malware qui sont le problème (y compris sur
Windows), les virus au sens strict ont vus leur existence se réduire
rappel : un virus s'autopropage et autocontamine, ce que ne fait un pas
un trojan (qui ouvre une parte arrière pour d'autres usages de type
malware) ou un malware (qui peut avoir certains effet d'un virus mais
pas l'autopropagation sinon c'est un virus).
Les virus ne constituent plus aujourd'hui une menace importante sous
Windows. Notamment parce que justement l'autopropagation n'est plus
aussi simple qu'avant : on n'est plus en 1998, MS a introduit dans les
Windows grand-public le système de fichiers avec gestion des
permissions, l'UAC (User Access Control), et les mises à jour régulières
: un virus ne peut pas aujourd'hui infecter Windows sans intervention
explicite de l'utilisateur. Ou alors il faut qu'il exploite une faille
qui a été découverte et pas encore comblée.
C'est aussi que les trojans sont plus faciles a réalisés (de part ce que
tu signales notamment) et bien plus "rentables". Les trojans et malwares
permettent de pomper des thunes, les virus étaient plus là pour faire du
mal au hasard...[...]
Aujourd'hui il existe des milliers (si ce n'est des millions si on
compte les variantes) de malwares pour Windows. Une poignée coté Mac.
Le rapport reste très défavorable envers la plateforme Windows et bien
au delà des parts de marchés.
Tu sors ces chiffres du chapeau ?
Non, mais j'ai pas vérifier les chiffres exacts. Mais il suffit de
regarder les bases de données des antivirus.Par ailleurs il y a toujours un effet
amplificateur au-delà de la stricte proportion des parts de marché.
Oui, c'est exactement ce que je disais, ce n'est pas la part de marché
seul qui explique la disymétrie des menaces.[...]
Sachant aussi qu'aujourd'hui beaucoup de malwares passent par des
failles dans les extensions des navigateurs, les utilisateurs Mac ou
Windows sont à égalité de ce point de vue.
Par seulement, car l'exploitations des failles nécessite des
spécificités des plateformes, et là Mac reste très différent de Windows
et aussi de Linux (syntaxe des chemins d'accès, localisation des
ressources, protocoles, etc...). Du coup la plupart des mlawares, même
explotiant une faille de navigateur, même écris en javascript, ne
fonctionne que sous windows la plupart du temps.
Et si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
raison de choper des cochonneries que sur Mac.
Je pense que si, car la quantité de menaces est phénomèmelement plus
importante (exposition aux risques), et le système reste
strcuturellement plus faible.
Mais bon, c'est ce que je pense, je dis pas que c'est la vérité.
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
> Y'a pas de que ça, mais ça joue.
> MacOS X est structurellement mieux armé.
En quoi, précisément ?
Fondation BSD/Unix
Véritable comptes admin
Espaces mémoires protégées
etc...
>
> Il n'y a ce jour *AUCUN* *virus* compatible MacOS X. Il existe par
> contre quelques *trojan* ou *malware*. De d'ailleurs ce sont désormais
> surtout les trojan et malware qui sont le problème (y compris sur
> Windows), les virus au sens strict ont vus leur existence se réduire
>
> rappel : un virus s'autopropage et autocontamine, ce que ne fait un pas
> un trojan (qui ouvre une parte arrière pour d'autres usages de type
> malware) ou un malware (qui peut avoir certains effet d'un virus mais
> pas l'autopropagation sinon c'est un virus).
Les virus ne constituent plus aujourd'hui une menace importante sous
Windows. Notamment parce que justement l'autopropagation n'est plus
aussi simple qu'avant : on n'est plus en 1998, MS a introduit dans les
Windows grand-public le système de fichiers avec gestion des
permissions, l'UAC (User Access Control), et les mises à jour régulières
: un virus ne peut pas aujourd'hui infecter Windows sans intervention
explicite de l'utilisateur. Ou alors il faut qu'il exploite une faille
qui a été découverte et pas encore comblée.
C'est aussi que les trojans sont plus faciles a réalisés (de part ce que
tu signales notamment) et bien plus "rentables". Les trojans et malwares
permettent de pomper des thunes, les virus étaient plus là pour faire du
mal au hasard...
> [...]
> Aujourd'hui il existe des milliers (si ce n'est des millions si on
> compte les variantes) de malwares pour Windows. Une poignée coté Mac.
> Le rapport reste très défavorable envers la plateforme Windows et bien
> au delà des parts de marchés.
Tu sors ces chiffres du chapeau ?
Non, mais j'ai pas vérifier les chiffres exacts. Mais il suffit de
regarder les bases de données des antivirus.
Par ailleurs il y a toujours un effet
amplificateur au-delà de la stricte proportion des parts de marché.
Oui, c'est exactement ce que je disais, ce n'est pas la part de marché
seul qui explique la disymétrie des menaces.
[...]
Sachant aussi qu'aujourd'hui beaucoup de malwares passent par des
failles dans les extensions des navigateurs, les utilisateurs Mac ou
Windows sont à égalité de ce point de vue.
Par seulement, car l'exploitations des failles nécessite des
spécificités des plateformes, et là Mac reste très différent de Windows
et aussi de Linux (syntaxe des chemins d'accès, localisation des
ressources, protocoles, etc...). Du coup la plupart des mlawares, même
explotiant une faille de navigateur, même écris en javascript, ne
fonctionne que sous windows la plupart du temps.
Et si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
raison de choper des cochonneries que sur Mac.
Je pense que si, car la quantité de menaces est phénomèmelement plus
importante (exposition aux risques), et le système reste
strcuturellement plus faible.
Mais bon, c'est ce que je pense, je dis pas que c'est la vérité.
pehache wrote:Y'a pas de que ça, mais ça joue.
MacOS X est structurellement mieux armé.
En quoi, précisément ?
Fondation BSD/Unix
Véritable comptes admin
Espaces mémoires protégées
etc...
Il n'y a ce jour *AUCUN* *virus* compatible MacOS X. Il existe par
contre quelques *trojan* ou *malware*. De d'ailleurs ce sont désormais
surtout les trojan et malware qui sont le problème (y compris sur
Windows), les virus au sens strict ont vus leur existence se réduire
rappel : un virus s'autopropage et autocontamine, ce que ne fait un pas
un trojan (qui ouvre une parte arrière pour d'autres usages de type
malware) ou un malware (qui peut avoir certains effet d'un virus mais
pas l'autopropagation sinon c'est un virus).
Les virus ne constituent plus aujourd'hui une menace importante sous
Windows. Notamment parce que justement l'autopropagation n'est plus
aussi simple qu'avant : on n'est plus en 1998, MS a introduit dans les
Windows grand-public le système de fichiers avec gestion des
permissions, l'UAC (User Access Control), et les mises à jour régulières
: un virus ne peut pas aujourd'hui infecter Windows sans intervention
explicite de l'utilisateur. Ou alors il faut qu'il exploite une faille
qui a été découverte et pas encore comblée.
C'est aussi que les trojans sont plus faciles a réalisés (de part ce que
tu signales notamment) et bien plus "rentables". Les trojans et malwares
permettent de pomper des thunes, les virus étaient plus là pour faire du
mal au hasard...[...]
Aujourd'hui il existe des milliers (si ce n'est des millions si on
compte les variantes) de malwares pour Windows. Une poignée coté Mac.
Le rapport reste très défavorable envers la plateforme Windows et bien
au delà des parts de marchés.
Tu sors ces chiffres du chapeau ?
Non, mais j'ai pas vérifier les chiffres exacts. Mais il suffit de
regarder les bases de données des antivirus.Par ailleurs il y a toujours un effet
amplificateur au-delà de la stricte proportion des parts de marché.
Oui, c'est exactement ce que je disais, ce n'est pas la part de marché
seul qui explique la disymétrie des menaces.[...]
Sachant aussi qu'aujourd'hui beaucoup de malwares passent par des
failles dans les extensions des navigateurs, les utilisateurs Mac ou
Windows sont à égalité de ce point de vue.
Par seulement, car l'exploitations des failles nécessite des
spécificités des plateformes, et là Mac reste très différent de Windows
et aussi de Linux (syntaxe des chemins d'accès, localisation des
ressources, protocoles, etc...). Du coup la plupart des mlawares, même
explotiant une faille de navigateur, même écris en javascript, ne
fonctionne que sous windows la plupart du temps.
Et si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
raison de choper des cochonneries que sur Mac.
Je pense que si, car la quantité de menaces est phénomèmelement plus
importante (exposition aux risques), et le système reste
strcuturellement plus faible.
Mais bon, c'est ce que je pense, je dis pas que c'est la vérité.
[...]la pluspart du temps, donc pour le reste un AV est utile.
Par seulement, car l'exploitations des failles nécessite des
spécificités des plateformes, et là Mac reste très différent de Windows
et aussi de Linux (syntaxe des chemins d'accès, localisation des
ressources, protocoles, etc...). Du coup la plupart des mlawares, même
explotiant une faille de navigateur, même écris en javascript, ne
fonctionne que sous windows la plupart du temps.
un système exposé aux risques d'une manière phénoménale disposeEt si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
raison de choper des cochonneries que sur Mac.
Je pense que si, car la quantité de menaces est phénomèmelement plus
importante (exposition aux risques), et le système reste
strcuturellement plus faible.
forcement d'un minimum de solidité structurelle
> [...]
>Par seulement, car l'exploitations des failles nécessite des
>spécificités des plateformes, et là Mac reste très différent de Windows
>et aussi de Linux (syntaxe des chemins d'accès, localisation des
>ressources, protocoles, etc...). Du coup la plupart des mlawares, même
>explotiant une faille de navigateur, même écris en javascript, ne
>fonctionne que sous windows la plupart du temps.
>
la pluspart du temps, donc pour le reste un AV est utile.
>
>> Et si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
>> raison de choper des cochonneries que sur Mac.
>
>Je pense que si, car la quantité de menaces est phénomèmelement plus
>importante (exposition aux risques), et le système reste
>strcuturellement plus faible.
>
un système exposé aux risques d'une manière phénoménale dispose
forcement d'un minimum de solidité structurelle
[...]la pluspart du temps, donc pour le reste un AV est utile.
Par seulement, car l'exploitations des failles nécessite des
spécificités des plateformes, et là Mac reste très différent de Windows
et aussi de Linux (syntaxe des chemins d'accès, localisation des
ressources, protocoles, etc...). Du coup la plupart des mlawares, même
explotiant une faille de navigateur, même écris en javascript, ne
fonctionne que sous windows la plupart du temps.
un système exposé aux risques d'une manière phénoménale disposeEt si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
raison de choper des cochonneries que sur Mac.
Je pense que si, car la quantité de menaces est phénomèmelement plus
importante (exposition aux risques), et le système reste
strcuturellement plus faible.
forcement d'un minimum de solidité structurelle
un système exposé aux risques d'une manière phénoménale disposeEt si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
raison de choper des cochonneries que sur Mac.
Je pense que si, car la quantité de menaces est phénomèmelement plus
importante (exposition aux risques), et le système reste
strcuturellement plus faible.
forcement d'un minimum de solidité structurelle
J'admire l'argument technique imparable (en lien avec ton rejet de
l'argument fondation BSD/Unix) ;-)
>
>> Et si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
>> raison de choper des cochonneries que sur Mac.
>
>Je pense que si, car la quantité de menaces est phénomèmelement plus
>importante (exposition aux risques), et le système reste
>strcuturellement plus faible.
>
un système exposé aux risques d'une manière phénoménale dispose
forcement d'un minimum de solidité structurelle
J'admire l'argument technique imparable (en lien avec ton rejet de
l'argument fondation BSD/Unix) ;-)
un système exposé aux risques d'une manière phénoménale disposeEt si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
raison de choper des cochonneries que sur Mac.
Je pense que si, car la quantité de menaces est phénomèmelement plus
importante (exposition aux risques), et le système reste
strcuturellement plus faible.
forcement d'un minimum de solidité structurelle
J'admire l'argument technique imparable (en lien avec ton rejet de
l'argument fondation BSD/Unix) ;-)
Olivier B. a écrit :il me semble que le noyaiu unix n'est arrivé qu'en cours de route dans
l'histoire des macs, certains (con)/(in)firmeront.
Le noyau Unix est arrivé après le rachat par Apple du système
d'exploitation NextStep à Steve Jobes en personne en 1996 (ce dernier
en a profité pour revenir chez Apple).
Olivier B. a écrit :
il me semble que le noyaiu unix n'est arrivé qu'en cours de route dans
l'histoire des macs, certains (con)/(in)firmeront.
Le noyau Unix est arrivé après le rachat par Apple du système
d'exploitation NextStep à Steve Jobes en personne en 1996 (ce dernier
en a profité pour revenir chez Apple).
Olivier B. a écrit :il me semble que le noyaiu unix n'est arrivé qu'en cours de route dans
l'histoire des macs, certains (con)/(in)firmeront.
Le noyau Unix est arrivé après le rachat par Apple du système
d'exploitation NextStep à Steve Jobes en personne en 1996 (ce dernier
en a profité pour revenir chez Apple).
Hier je surfais sur le web avec firefox.
Hier je surfais sur le web avec firefox.
Hier je surfais sur le web avec firefox.
pehache wrote:Y'a pas de que ça, mais ça joue.
MacOS X est structurellement mieux armé.
En quoi, précisément ?
Fondation BSD/Unix
Véritable comptes admin
Espaces mémoires protégées
etc...
Les virus ne constituent plus aujourd'hui une menace importante sous
Windows. Notamment parce que justement l'autopropagation n'est plus
aussi simple qu'avant : on n'est plus en 1998, MS a introduit dans les
Windows grand-public le système de fichiers avec gestion des
permissions, l'UAC (User Access Control), et les mises à jour
régulières
: un virus ne peut pas aujourd'hui infecter Windows sans intervention
explicite de l'utilisateur. Ou alors il faut qu'il exploite une faille
qui a été découverte et pas encore comblée.
C'est aussi que les trojans sont plus faciles a réalisés (de part ce que
tu signales notamment) et bien plus "rentables". Les trojans et malwares
permettent de pomper des thunes, les virus étaient plus là pour faire du
mal au hasard...
[...]
Aujourd'hui il existe des milliers (si ce n'est des millions si on
compte les variantes) de malwares pour Windows. Une poignée coté Mac.
Le rapport reste très défavorable envers la plateforme Windows et bien
au delà des parts de marchés.
Tu sors ces chiffres du chapeau ?
Non, mais j'ai pas vérifier les chiffres exacts. Mais il suffit de
regarder les bases de données des antivirus.Par ailleurs il y a toujours un effet
amplificateur au-delà de la stricte proportion des parts de marché.
Oui, c'est exactement ce que je disais, ce n'est pas la part de marché
seul qui explique la disymétrie des menaces.
[...]
Sachant aussi qu'aujourd'hui beaucoup de malwares passent par des
failles dans les extensions des navigateurs, les utilisateurs Mac ou
Windows sont à égalité de ce point de vue.
Par seulement, car l'exploitations des failles nécessite des
spécificités des plateformes, et là Mac reste très différent de Windows
et aussi de Linux (syntaxe des chemins d'accès, localisation des
ressources, protocoles, etc...). Du coup la plupart des mlawares, même
explotiant une faille de navigateur, même écris en javascript, ne
fonctionne que sous windows la plupart du temps.
Et si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
raison de choper des cochonneries que sur Mac.
Je pense que si, car la quantité de menaces est phénomèmelement plus
importante (exposition aux risques),
et le système reste
strcuturellement plus faible.
pehache <pehache.7@gmail.com> wrote:
> Y'a pas de que ça, mais ça joue.
> MacOS X est structurellement mieux armé.
En quoi, précisément ?
Fondation BSD/Unix
Véritable comptes admin
Espaces mémoires protégées
etc...
Les virus ne constituent plus aujourd'hui une menace importante sous
Windows. Notamment parce que justement l'autopropagation n'est plus
aussi simple qu'avant : on n'est plus en 1998, MS a introduit dans les
Windows grand-public le système de fichiers avec gestion des
permissions, l'UAC (User Access Control), et les mises à jour
régulières
: un virus ne peut pas aujourd'hui infecter Windows sans intervention
explicite de l'utilisateur. Ou alors il faut qu'il exploite une faille
qui a été découverte et pas encore comblée.
C'est aussi que les trojans sont plus faciles a réalisés (de part ce que
tu signales notamment) et bien plus "rentables". Les trojans et malwares
permettent de pomper des thunes, les virus étaient plus là pour faire du
mal au hasard...
> [...]
> Aujourd'hui il existe des milliers (si ce n'est des millions si on
> compte les variantes) de malwares pour Windows. Une poignée coté Mac.
> Le rapport reste très défavorable envers la plateforme Windows et bien
> au delà des parts de marchés.
Tu sors ces chiffres du chapeau ?
Non, mais j'ai pas vérifier les chiffres exacts. Mais il suffit de
regarder les bases de données des antivirus.
Par ailleurs il y a toujours un effet
amplificateur au-delà de la stricte proportion des parts de marché.
Oui, c'est exactement ce que je disais, ce n'est pas la part de marché
seul qui explique la disymétrie des menaces.
[...]
Sachant aussi qu'aujourd'hui beaucoup de malwares passent par des
failles dans les extensions des navigateurs, les utilisateurs Mac ou
Windows sont à égalité de ce point de vue.
Par seulement, car l'exploitations des failles nécessite des
spécificités des plateformes, et là Mac reste très différent de Windows
et aussi de Linux (syntaxe des chemins d'accès, localisation des
ressources, protocoles, etc...). Du coup la plupart des mlawares, même
explotiant une faille de navigateur, même écris en javascript, ne
fonctionne que sous windows la plupart du temps.
Et si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
raison de choper des cochonneries que sur Mac.
Je pense que si, car la quantité de menaces est phénomèmelement plus
importante (exposition aux risques),
et le système reste
strcuturellement plus faible.
pehache wrote:Y'a pas de que ça, mais ça joue.
MacOS X est structurellement mieux armé.
En quoi, précisément ?
Fondation BSD/Unix
Véritable comptes admin
Espaces mémoires protégées
etc...
Les virus ne constituent plus aujourd'hui une menace importante sous
Windows. Notamment parce que justement l'autopropagation n'est plus
aussi simple qu'avant : on n'est plus en 1998, MS a introduit dans les
Windows grand-public le système de fichiers avec gestion des
permissions, l'UAC (User Access Control), et les mises à jour
régulières
: un virus ne peut pas aujourd'hui infecter Windows sans intervention
explicite de l'utilisateur. Ou alors il faut qu'il exploite une faille
qui a été découverte et pas encore comblée.
C'est aussi que les trojans sont plus faciles a réalisés (de part ce que
tu signales notamment) et bien plus "rentables". Les trojans et malwares
permettent de pomper des thunes, les virus étaient plus là pour faire du
mal au hasard...
[...]
Aujourd'hui il existe des milliers (si ce n'est des millions si on
compte les variantes) de malwares pour Windows. Une poignée coté Mac.
Le rapport reste très défavorable envers la plateforme Windows et bien
au delà des parts de marchés.
Tu sors ces chiffres du chapeau ?
Non, mais j'ai pas vérifier les chiffres exacts. Mais il suffit de
regarder les bases de données des antivirus.Par ailleurs il y a toujours un effet
amplificateur au-delà de la stricte proportion des parts de marché.
Oui, c'est exactement ce que je disais, ce n'est pas la part de marché
seul qui explique la disymétrie des menaces.
[...]
Sachant aussi qu'aujourd'hui beaucoup de malwares passent par des
failles dans les extensions des navigateurs, les utilisateurs Mac ou
Windows sont à égalité de ce point de vue.
Par seulement, car l'exploitations des failles nécessite des
spécificités des plateformes, et là Mac reste très différent de Windows
et aussi de Linux (syntaxe des chemins d'accès, localisation des
ressources, protocoles, etc...). Du coup la plupart des mlawares, même
explotiant une faille de navigateur, même écris en javascript, ne
fonctionne que sous windows la plupart du temps.
Et si tu suis ces conseils de prudence sur Windows, tu n'as pas plus de
raison de choper des cochonneries que sur Mac.
Je pense que si, car la quantité de menaces est phénomèmelement plus
importante (exposition aux risques),
et le système reste
strcuturellement plus faible.