Le 24/06/2020 à 21:58, Every.body a écrit :Gloops a présenté l'énoncé suivant :Le 19/06/2020 à 16:47, Every.body a écrit :MH a exposé le 19/06/2020 :Jean-Christian Le Guellec (COGIP - service logistique) a exprimé avec
précision :https://www.valeursactuelles.com/politique/exclusif-maitre-antonin-levy-francois-fillon-est-la-fois-soulage-et-en-colere-120769[Exclusif] Maître Antonin Lévy : “François Fillon est à la fois soulagé
et en colère”Par Louis de Raguenel / Jeudi 18 juin 2020 à 20:08Entendue par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale consacrée
aux “obstacles à l'indépendance du pouvoir judiciaire”, Eliane
Houlette, l’ancienne patronne du parquet national financier (PNF) a
déclaré avoir été victime de “pressions hiérarchiques” pour aller plus
vite et plus loin contre François Fillon. Après ces révélations et à
quelques jours du délibéré du procès de l’ancien candidat à la
présidentielle, son avocat, Me Antonin Lévy sonne la charge. Entretien.Eliane Houlette a évoqué des « pressions » du parquet général, alors
qu’elle n’avait pas suffisamment d’éléments, pour ouvrir une
information judiciaire à l’encontre de François Fillon, qui a donné
lieu à sa mise en examen. Est-ce grave ?Qu’un haut magistrat estime qu’elle a été soumise à des pressions,
c’est toujours grave. Le terme de « pressions » est très sérieux. On
constate ici que la conduite d’une enquête pénale, au moment crucial de
la campagne pour l’élection présentielle, n’a pas été conduite en
pleine liberté.
Elle évoque également des « pressions » du parquet général, dirigé par
Catherine Champrenault, pour des « demandes de précisions, de
chronologie générale - tout ça à deux ou trois jours d'intervalle -.»
Des fuites systématiques ont d’ailleurs été constatées pendant toute la
procédure.Est-ce habituel ?Les remontées d’informations au Ministère de la Justice font partie des
secrets de polichinelle du fonctionnement de la Justice. Ces
informations, dont personne ne connait la teneur ou la fréquence
sortent parfois dans l’actualité [Note : Jean-Jacques Urvoas a été
condamné pour une transmission d’une note ; Christiane Taubira avait
fait une conférence de presse en tenant des documents qui lui avaient
été remontés]. Quand les enquêteurs et le Parquet perdent la maîtrise
de l’information sur des procédures judiciaires en cours, il est
évident que le risque de fuite augmente. Comment, dans ce dossier, ne
pas mettre en relation les fuites, qui étaient permanentes, avec la
pression que subissait le PNF pour transmettre régulièrement de
l’information sur l’état de la procédure ? Il n’y a aucune raison
objective ou juridique pour que le Parquet Général dispose de mises à
jour fréquentes sur l’état de cette procédure sensible.Le parquet général doit normalement faire remonter ces informations à
la direction des affaires criminelles et des grâces, qui transmet
certains éléments au cabinet du garde des Sceaux. Peut-on penser que le
ministre de la Justice de l’époque a pu être à l’origine de ces
pressions pour faire barrage à François Fillon ? Ou une pression de
certains juges, hostiles à François Fillon ? Ou les deux ?C’est une question difficile. Il faut bien que ces fuites viennent de
quelque part ! Ce qui est certain, c’est que les fuites dans le dossier
de François Fillon ont été permanentes, toujours à charge et savamment
orchestrées pour perturber la campagne présidentielle. Nous avons
déposé plusieurs plaintes pour qu’une enquête soit menée, sans aucun
succès. J’ai lu avec intérêt que la commission d’enquête parlementaire
pourrait entendre Madame Champrenault sur ce sujet. Ce sera l’occasion
de lui poser la question !Pourquoi Eliane Houlette révèle-t-elle ces éléments aujourd’hui ?Ayant aujourd’hui quitté la magistrature, sa parole est plus libre et
c’est tout à son honneur de ne pas garder le silence sur ces faits. Je
ne veux pas parler pour elle, mais on peut imaginer qu’elle a été
choquée des pressions qu’on a exercé sur elle dans ce dossier. Le fait
d’être entendu sous serment devant une commission d’enquête a également
pu compter.Catherine Champrenault a été conseillère au cabinet de Ségolène Royal
en 1999. Cet engagement passé au service d’une politique loin de celle
défendue par François Fillon, pose-t-il problème ?Je ne sais pas sonder les âmes. J’aimerais que ce ne fût pas le cas.
L’indépendance est la garantie d’une justice forte et respectée.Dans quel état d’esprit se trouve votre client, François Fillon, après
avoir entendu les propos d’Eliane Houlette ?Il est à la fois soulagé et en colère. Soulagé d’avoir enfin un début
d’explication aux fuites qui ont perturbé la campagne et l’enquête
pénale. En colère que la justice puisse avoir été instrumentalisée à un
moment clé de notre démocratie qu’est l’élection présidentielle.Si les propos d’Eliane Houlette sont vérifiés et reconnus, pensez-vous
que la présidentielle de 2017 aurait pu être gagnée par François Fillon
?Il est difficile de refaire le passé. Une enquête différente pourrait
bien sur avoir des conséquences différentes. Espérons en revanche que
la justice pourra à l’avenir obtenir de meilleures garanties de son
indépendance.Où en est « l’affaire Fillon » ?Le délibéré sera rendu le 29 juin.
Voilà des infos sur le monde de "Pourris&Pourris". Les choses
étaient quand même super claires à l'époque à l'analyse des "fuites"
illégales. 3 ans plus tard ceux qui ont organisé ces fuites ne sont
toujours pas derrière les barreaux.
MH
Et Fillon n'est toujours pas derrière les barreaux ! Fallait-il lui
laisser obtenir l'immunité présidentielle !
Dans la mesure où on n'a inculpé que lui, ça paraît difficile.
Désolé mais je ne comprends pas ta réponse.
Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Le 24/06/2020 à 21:58, Every.body a écrit :
Gloops a présenté l'énoncé suivant :
Le 19/06/2020 à 16:47, Every.body a écrit :
MH a exposé le 19/06/2020 :
Jean-Christian Le Guellec (COGIP - service logistique) a exprimé avec
précision :
https://www.valeursactuelles.com/politique/exclusif-maitre-antonin-levy-francois-fillon-est-la-fois-soulage-et-en-colere-120769
[Exclusif] Maître Antonin Lévy : “François Fillon est à la fois soulagé
et en colère”
Par Louis de Raguenel / Jeudi 18 juin 2020 à 20:08
Entendue par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale consacrée
aux “obstacles à l'indépendance du pouvoir judiciaire”, Eliane
Houlette, l’ancienne patronne du parquet national financier (PNF) a
déclaré avoir été victime de “pressions hiérarchiques” pour aller plus
vite et plus loin contre François Fillon. Après ces révélations et à
quelques jours du délibéré du procès de l’ancien candidat à la
présidentielle, son avocat, Me Antonin Lévy sonne la charge. Entretien.
Eliane Houlette a évoqué des « pressions » du parquet général, alors
qu’elle n’avait pas suffisamment d’éléments, pour ouvrir une
information judiciaire à l’encontre de François Fillon, qui a donné
lieu à sa mise en examen. Est-ce grave ?
Qu’un haut magistrat estime qu’elle a été soumise à des pressions,
c’est toujours grave. Le terme de « pressions » est très sérieux. On
constate ici que la conduite d’une enquête pénale, au moment crucial de
la campagne pour l’élection présentielle, n’a pas été conduite en
pleine liberté.
Elle évoque également des « pressions » du parquet général, dirigé par
Catherine Champrenault, pour des « demandes de précisions, de
chronologie générale - tout ça à deux ou trois jours d'intervalle -.»
Des fuites systématiques ont d’ailleurs été constatées pendant toute la
procédure.
Est-ce habituel ?
Les remontées d’informations au Ministère de la Justice font partie des
secrets de polichinelle du fonctionnement de la Justice. Ces
informations, dont personne ne connait la teneur ou la fréquence
sortent parfois dans l’actualité [Note : Jean-Jacques Urvoas a été
condamné pour une transmission d’une note ; Christiane Taubira avait
fait une conférence de presse en tenant des documents qui lui avaient
été remontés]. Quand les enquêteurs et le Parquet perdent la maîtrise
de l’information sur des procédures judiciaires en cours, il est
évident que le risque de fuite augmente. Comment, dans ce dossier, ne
pas mettre en relation les fuites, qui étaient permanentes, avec la
pression que subissait le PNF pour transmettre régulièrement de
l’information sur l’état de la procédure ? Il n’y a aucune raison
objective ou juridique pour que le Parquet Général dispose de mises à
jour fréquentes sur l’état de cette procédure sensible.
Le parquet général doit normalement faire remonter ces informations à
la direction des affaires criminelles et des grâces, qui transmet
certains éléments au cabinet du garde des Sceaux. Peut-on penser que le
ministre de la Justice de l’époque a pu être à l’origine de ces
pressions pour faire barrage à François Fillon ? Ou une pression de
certains juges, hostiles à François Fillon ? Ou les deux ?
C’est une question difficile. Il faut bien que ces fuites viennent de
quelque part ! Ce qui est certain, c’est que les fuites dans le dossier
de François Fillon ont été permanentes, toujours à charge et savamment
orchestrées pour perturber la campagne présidentielle. Nous avons
déposé plusieurs plaintes pour qu’une enquête soit menée, sans aucun
succès. J’ai lu avec intérêt que la commission d’enquête parlementaire
pourrait entendre Madame Champrenault sur ce sujet. Ce sera l’occasion
de lui poser la question !
Pourquoi Eliane Houlette révèle-t-elle ces éléments aujourd’hui ?
Ayant aujourd’hui quitté la magistrature, sa parole est plus libre et
c’est tout à son honneur de ne pas garder le silence sur ces faits. Je
ne veux pas parler pour elle, mais on peut imaginer qu’elle a été
choquée des pressions qu’on a exercé sur elle dans ce dossier. Le fait
d’être entendu sous serment devant une commission d’enquête a également
pu compter.
Catherine Champrenault a été conseillère au cabinet de Ségolène Royal
en 1999. Cet engagement passé au service d’une politique loin de celle
défendue par François Fillon, pose-t-il problème ?
Je ne sais pas sonder les âmes. J’aimerais que ce ne fût pas le cas.
L’indépendance est la garantie d’une justice forte et respectée.
Dans quel état d’esprit se trouve votre client, François Fillon, après
avoir entendu les propos d’Eliane Houlette ?
Il est à la fois soulagé et en colère. Soulagé d’avoir enfin un début
d’explication aux fuites qui ont perturbé la campagne et l’enquête
pénale. En colère que la justice puisse avoir été instrumentalisée à un
moment clé de notre démocratie qu’est l’élection présidentielle.
Si les propos d’Eliane Houlette sont vérifiés et reconnus, pensez-vous
que la présidentielle de 2017 aurait pu être gagnée par François Fillon
?
Il est difficile de refaire le passé. Une enquête différente pourrait
bien sur avoir des conséquences différentes. Espérons en revanche que
la justice pourra à l’avenir obtenir de meilleures garanties de son
indépendance.
Où en est « l’affaire Fillon » ?
Le délibéré sera rendu le 29 juin.
Voilà des infos sur le monde de "Pourris&Pourris". Les choses
étaient quand même super claires à l'époque à l'analyse des "fuites"
illégales. 3 ans plus tard ceux qui ont organisé ces fuites ne sont
toujours pas derrière les barreaux.
MH
Et Fillon n'est toujours pas derrière les barreaux ! Fallait-il lui
laisser obtenir l'immunité présidentielle !
Dans la mesure où on n'a inculpé que lui, ça paraît difficile.
Désolé mais je ne comprends pas ta réponse.
Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Le 24/06/2020 à 21:58, Every.body a écrit :Gloops a présenté l'énoncé suivant :Le 19/06/2020 à 16:47, Every.body a écrit :MH a exposé le 19/06/2020 :Jean-Christian Le Guellec (COGIP - service logistique) a exprimé avec
précision :https://www.valeursactuelles.com/politique/exclusif-maitre-antonin-levy-francois-fillon-est-la-fois-soulage-et-en-colere-120769[Exclusif] Maître Antonin Lévy : “François Fillon est à la fois soulagé
et en colère”Par Louis de Raguenel / Jeudi 18 juin 2020 à 20:08Entendue par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale consacrée
aux “obstacles à l'indépendance du pouvoir judiciaire”, Eliane
Houlette, l’ancienne patronne du parquet national financier (PNF) a
déclaré avoir été victime de “pressions hiérarchiques” pour aller plus
vite et plus loin contre François Fillon. Après ces révélations et à
quelques jours du délibéré du procès de l’ancien candidat à la
présidentielle, son avocat, Me Antonin Lévy sonne la charge. Entretien.Eliane Houlette a évoqué des « pressions » du parquet général, alors
qu’elle n’avait pas suffisamment d’éléments, pour ouvrir une
information judiciaire à l’encontre de François Fillon, qui a donné
lieu à sa mise en examen. Est-ce grave ?Qu’un haut magistrat estime qu’elle a été soumise à des pressions,
c’est toujours grave. Le terme de « pressions » est très sérieux. On
constate ici que la conduite d’une enquête pénale, au moment crucial de
la campagne pour l’élection présentielle, n’a pas été conduite en
pleine liberté.
Elle évoque également des « pressions » du parquet général, dirigé par
Catherine Champrenault, pour des « demandes de précisions, de
chronologie générale - tout ça à deux ou trois jours d'intervalle -.»
Des fuites systématiques ont d’ailleurs été constatées pendant toute la
procédure.Est-ce habituel ?Les remontées d’informations au Ministère de la Justice font partie des
secrets de polichinelle du fonctionnement de la Justice. Ces
informations, dont personne ne connait la teneur ou la fréquence
sortent parfois dans l’actualité [Note : Jean-Jacques Urvoas a été
condamné pour une transmission d’une note ; Christiane Taubira avait
fait une conférence de presse en tenant des documents qui lui avaient
été remontés]. Quand les enquêteurs et le Parquet perdent la maîtrise
de l’information sur des procédures judiciaires en cours, il est
évident que le risque de fuite augmente. Comment, dans ce dossier, ne
pas mettre en relation les fuites, qui étaient permanentes, avec la
pression que subissait le PNF pour transmettre régulièrement de
l’information sur l’état de la procédure ? Il n’y a aucune raison
objective ou juridique pour que le Parquet Général dispose de mises à
jour fréquentes sur l’état de cette procédure sensible.Le parquet général doit normalement faire remonter ces informations à
la direction des affaires criminelles et des grâces, qui transmet
certains éléments au cabinet du garde des Sceaux. Peut-on penser que le
ministre de la Justice de l’époque a pu être à l’origine de ces
pressions pour faire barrage à François Fillon ? Ou une pression de
certains juges, hostiles à François Fillon ? Ou les deux ?C’est une question difficile. Il faut bien que ces fuites viennent de
quelque part ! Ce qui est certain, c’est que les fuites dans le dossier
de François Fillon ont été permanentes, toujours à charge et savamment
orchestrées pour perturber la campagne présidentielle. Nous avons
déposé plusieurs plaintes pour qu’une enquête soit menée, sans aucun
succès. J’ai lu avec intérêt que la commission d’enquête parlementaire
pourrait entendre Madame Champrenault sur ce sujet. Ce sera l’occasion
de lui poser la question !Pourquoi Eliane Houlette révèle-t-elle ces éléments aujourd’hui ?Ayant aujourd’hui quitté la magistrature, sa parole est plus libre et
c’est tout à son honneur de ne pas garder le silence sur ces faits. Je
ne veux pas parler pour elle, mais on peut imaginer qu’elle a été
choquée des pressions qu’on a exercé sur elle dans ce dossier. Le fait
d’être entendu sous serment devant une commission d’enquête a également
pu compter.Catherine Champrenault a été conseillère au cabinet de Ségolène Royal
en 1999. Cet engagement passé au service d’une politique loin de celle
défendue par François Fillon, pose-t-il problème ?Je ne sais pas sonder les âmes. J’aimerais que ce ne fût pas le cas.
L’indépendance est la garantie d’une justice forte et respectée.Dans quel état d’esprit se trouve votre client, François Fillon, après
avoir entendu les propos d’Eliane Houlette ?Il est à la fois soulagé et en colère. Soulagé d’avoir enfin un début
d’explication aux fuites qui ont perturbé la campagne et l’enquête
pénale. En colère que la justice puisse avoir été instrumentalisée à un
moment clé de notre démocratie qu’est l’élection présidentielle.Si les propos d’Eliane Houlette sont vérifiés et reconnus, pensez-vous
que la présidentielle de 2017 aurait pu être gagnée par François Fillon
?Il est difficile de refaire le passé. Une enquête différente pourrait
bien sur avoir des conséquences différentes. Espérons en revanche que
la justice pourra à l’avenir obtenir de meilleures garanties de son
indépendance.Où en est « l’affaire Fillon » ?Le délibéré sera rendu le 29 juin.
Voilà des infos sur le monde de "Pourris&Pourris". Les choses
étaient quand même super claires à l'époque à l'analyse des "fuites"
illégales. 3 ans plus tard ceux qui ont organisé ces fuites ne sont
toujours pas derrière les barreaux.
MH
Et Fillon n'est toujours pas derrière les barreaux ! Fallait-il lui
laisser obtenir l'immunité présidentielle !
Dans la mesure où on n'a inculpé que lui, ça paraît difficile.
Désolé mais je ne comprends pas ta réponse.
Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Gloops avait prétendu :Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Gloops avait prétendu :
Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Gloops avait prétendu :Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Le 25/06/2020 à 22:06, Every.body a écrit :Gloops avait prétendu :Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Ah oui, comme Macron et Philippe qui sont payés pour obéir aux Français mais
en réalité font les putes à Soros !
Le 25/06/2020 à 22:06, Every.body a écrit :
Gloops avait prétendu :
Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Ah oui, comme Macron et Philippe qui sont payés pour obéir aux Français mais
en réalité font les putes à Soros !
Le 25/06/2020 à 22:06, Every.body a écrit :Gloops avait prétendu :Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Ah oui, comme Macron et Philippe qui sont payés pour obéir aux Français mais
en réalité font les putes à Soros !
Il se trouve que La mère Cabas a formulé :Le 25/06/2020 à 22:06, Every.body a écrit :Gloops avait prétendu :Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Ah oui, comme Macron et Philippe qui sont payés pour obéir aux
Français mais en réalité font les putes à Soros !
Fallait pas voter pour EM.
Il se trouve que La mère Cabas a formulé :
Le 25/06/2020 à 22:06, Every.body a écrit :
Gloops avait prétendu :
Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Ah oui, comme Macron et Philippe qui sont payés pour obéir aux
Français mais en réalité font les putes à Soros !
Fallait pas voter pour EM.
Il se trouve que La mère Cabas a formulé :Le 25/06/2020 à 22:06, Every.body a écrit :Gloops avait prétendu :Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Ah oui, comme Macron et Philippe qui sont payés pour obéir aux
Français mais en réalité font les putes à Soros !
Fallait pas voter pour EM.
Gloops avait prétendu :Le 24/06/2020 à 21:58, Every.body a écrit :Gloops a présenté l'énoncé suivant :Le 19/06/2020 à 16:47, Every.body a écrit :MH a exposé le 19/06/2020 :Jean-Christian Le Guellec (COGIP - service logistique) a exprimé
avec précision :https://www.valeursactuelles.com/politique/exclusif-maitre-antonin-levy-francois-fillon-est-la-fois-soulage-et-en-colere-120769[Exclusif] Maître Antonin Lévy : “François Fillon est à la fois
soulagé et en colère”Par Louis de Raguenel / Jeudi 18 juin 2020 à 20:08Entendue par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale
consacrée aux “obstacles à l'indépendance du pouvoir judiciaire”,
Eliane Houlette, l’ancienne patronne du parquet national
financier (PNF) a déclaré avoir été victime de “pressions
hiérarchiques” pour aller plus vite et plus loin contre François
Fillon. Après ces révélations et à quelques jours du délibéré du
procès de l’ancien candidat à la présidentielle, son avocat, Me
Antonin Lévy sonne la charge. Entretien.Eliane Houlette a évoqué des « pressions » du parquet général,
alors qu’elle n’avait pas suffisamment d’éléments, pour ouvrir
une information judiciaire à l’encontre de François Fillon, qui a
donné lieu à sa mise en examen. Est-ce grave ?Qu’un haut magistrat estime qu’elle a été soumise à des
pressions, c’est toujours grave. Le terme de « pressions » est
très sérieux. On constate ici que la conduite d’une enquête
pénale, au moment crucial de la campagne pour l’élection
présentielle, n’a pas été conduite en pleine liberté.
Elle évoque également des « pressions » du parquet général,
dirigé par Catherine Champrenault, pour des « demandes de
précisions, de chronologie générale - tout ça à deux ou trois
jours d'intervalle -.» Des fuites systématiques ont d’ailleurs
été constatées pendant toute la procédure.Est-ce habituel ?Les remontées d’informations au Ministère de la Justice font
partie des secrets de polichinelle du fonctionnement de la
Justice. Ces informations, dont personne ne connait la teneur ou
la fréquence sortent parfois dans l’actualité [Note :
Jean-Jacques Urvoas a été condamné pour une transmission d’une
note ; Christiane Taubira avait fait une conférence de presse en
tenant des documents qui lui avaient été remontés]. Quand les
enquêteurs et le Parquet perdent la maîtrise de l’information sur
des procédures judiciaires en cours, il est évident que le risque
de fuite augmente. Comment, dans ce dossier, ne pas mettre en
relation les fuites, qui étaient permanentes, avec la pression
que subissait le PNF pour transmettre régulièrement de
l’information sur l’état de la procédure ? Il n’y a aucune raison
objective ou juridique pour que le Parquet Général dispose de
mises à jour fréquentes sur l’état de cette procédure sensible.Le parquet général doit normalement faire remonter ces
informations à la direction des affaires criminelles et des
grâces, qui transmet certains éléments au cabinet du garde des
Sceaux. Peut-on penser que le ministre de la Justice de l’époque
a pu être à l’origine de ces pressions pour faire barrage à
François Fillon ? Ou une pression de certains juges, hostiles à
François Fillon ? Ou les deux ?C’est une question difficile. Il faut bien que ces fuites
viennent de quelque part ! Ce qui est certain, c’est que les
fuites dans le dossier de François Fillon ont été permanentes,
toujours à charge et savamment orchestrées pour perturber la
campagne présidentielle. Nous avons déposé plusieurs plaintes
pour qu’une enquête soit menée, sans aucun succès. J’ai lu avec
intérêt que la commission d’enquête parlementaire pourrait
entendre Madame Champrenault sur ce sujet. Ce sera l’occasion de
lui poser la question !Pourquoi Eliane Houlette révèle-t-elle ces éléments aujourd’hui ?Ayant aujourd’hui quitté la magistrature, sa parole est plus
libre et c’est tout à son honneur de ne pas garder le silence sur
ces faits. Je ne veux pas parler pour elle, mais on peut imaginer
qu’elle a été choquée des pressions qu’on a exercé sur elle dans
ce dossier. Le fait d’être entendu sous serment devant une
commission d’enquête a également pu compter.Catherine Champrenault a été conseillère au cabinet de Ségolène
Royal en 1999. Cet engagement passé au service d’une politique
loin de celle défendue par François Fillon, pose-t-il problème ?Je ne sais pas sonder les âmes. J’aimerais que ce ne fût pas le
cas. L’indépendance est la garantie d’une justice forte et
respectée.Dans quel état d’esprit se trouve votre client, François Fillon,
après avoir entendu les propos d’Eliane Houlette ?Il est à la fois soulagé et en colère. Soulagé d’avoir enfin un
début d’explication aux fuites qui ont perturbé la campagne et
l’enquête pénale. En colère que la justice puisse avoir été
instrumentalisée à un moment clé de notre démocratie qu’est
l’élection présidentielle.Si les propos d’Eliane Houlette sont vérifiés et reconnus,
pensez-vous que la présidentielle de 2017 aurait pu être gagnée
par François Fillon ?Il est difficile de refaire le passé. Une enquête différente
pourrait bien sur avoir des conséquences différentes. Espérons en
revanche que la justice pourra à l’avenir obtenir de meilleures
garanties de son indépendance.Où en est « l’affaire Fillon » ?Le délibéré sera rendu le 29 juin.
Voilà des infos sur le monde de "Pourris&Pourris". Les choses
étaient quand même super claires à l'époque à l'analyse des
"fuites" illégales. 3 ans plus tard ceux qui ont organisé ces
fuites ne sont toujours pas derrière les barreaux.
MH
Et Fillon n'est toujours pas derrière les barreaux ! Fallait-il lui
laisser obtenir l'immunité présidentielle !
Dans la mesure où on n'a inculpé que lui, ça paraît difficile.
Désolé mais je ne comprends pas ta réponse.
Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Gloops avait prétendu :
Le 24/06/2020 à 21:58, Every.body a écrit :
Gloops a présenté l'énoncé suivant :
Le 19/06/2020 à 16:47, Every.body a écrit :
MH a exposé le 19/06/2020 :
Jean-Christian Le Guellec (COGIP - service logistique) a exprimé
avec précision :
https://www.valeursactuelles.com/politique/exclusif-maitre-antonin-levy-francois-fillon-est-la-fois-soulage-et-en-colere-120769
[Exclusif] Maître Antonin Lévy : “François Fillon est à la fois
soulagé et en colère”
Par Louis de Raguenel / Jeudi 18 juin 2020 à 20:08
Entendue par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale
consacrée aux “obstacles à l'indépendance du pouvoir judiciaire”,
Eliane Houlette, l’ancienne patronne du parquet national
financier (PNF) a déclaré avoir été victime de “pressions
hiérarchiques” pour aller plus vite et plus loin contre François
Fillon. Après ces révélations et à quelques jours du délibéré du
procès de l’ancien candidat à la présidentielle, son avocat, Me
Antonin Lévy sonne la charge. Entretien.
Eliane Houlette a évoqué des « pressions » du parquet général,
alors qu’elle n’avait pas suffisamment d’éléments, pour ouvrir
une information judiciaire à l’encontre de François Fillon, qui a
donné lieu à sa mise en examen. Est-ce grave ?
Qu’un haut magistrat estime qu’elle a été soumise à des
pressions, c’est toujours grave. Le terme de « pressions » est
très sérieux. On constate ici que la conduite d’une enquête
pénale, au moment crucial de la campagne pour l’élection
présentielle, n’a pas été conduite en pleine liberté.
Elle évoque également des « pressions » du parquet général,
dirigé par Catherine Champrenault, pour des « demandes de
précisions, de chronologie générale - tout ça à deux ou trois
jours d'intervalle -.» Des fuites systématiques ont d’ailleurs
été constatées pendant toute la procédure.
Est-ce habituel ?
Les remontées d’informations au Ministère de la Justice font
partie des secrets de polichinelle du fonctionnement de la
Justice. Ces informations, dont personne ne connait la teneur ou
la fréquence sortent parfois dans l’actualité [Note :
Jean-Jacques Urvoas a été condamné pour une transmission d’une
note ; Christiane Taubira avait fait une conférence de presse en
tenant des documents qui lui avaient été remontés]. Quand les
enquêteurs et le Parquet perdent la maîtrise de l’information sur
des procédures judiciaires en cours, il est évident que le risque
de fuite augmente. Comment, dans ce dossier, ne pas mettre en
relation les fuites, qui étaient permanentes, avec la pression
que subissait le PNF pour transmettre régulièrement de
l’information sur l’état de la procédure ? Il n’y a aucune raison
objective ou juridique pour que le Parquet Général dispose de
mises à jour fréquentes sur l’état de cette procédure sensible.
Le parquet général doit normalement faire remonter ces
informations à la direction des affaires criminelles et des
grâces, qui transmet certains éléments au cabinet du garde des
Sceaux. Peut-on penser que le ministre de la Justice de l’époque
a pu être à l’origine de ces pressions pour faire barrage à
François Fillon ? Ou une pression de certains juges, hostiles à
François Fillon ? Ou les deux ?
C’est une question difficile. Il faut bien que ces fuites
viennent de quelque part ! Ce qui est certain, c’est que les
fuites dans le dossier de François Fillon ont été permanentes,
toujours à charge et savamment orchestrées pour perturber la
campagne présidentielle. Nous avons déposé plusieurs plaintes
pour qu’une enquête soit menée, sans aucun succès. J’ai lu avec
intérêt que la commission d’enquête parlementaire pourrait
entendre Madame Champrenault sur ce sujet. Ce sera l’occasion de
lui poser la question !
Pourquoi Eliane Houlette révèle-t-elle ces éléments aujourd’hui ?
Ayant aujourd’hui quitté la magistrature, sa parole est plus
libre et c’est tout à son honneur de ne pas garder le silence sur
ces faits. Je ne veux pas parler pour elle, mais on peut imaginer
qu’elle a été choquée des pressions qu’on a exercé sur elle dans
ce dossier. Le fait d’être entendu sous serment devant une
commission d’enquête a également pu compter.
Catherine Champrenault a été conseillère au cabinet de Ségolène
Royal en 1999. Cet engagement passé au service d’une politique
loin de celle défendue par François Fillon, pose-t-il problème ?
Je ne sais pas sonder les âmes. J’aimerais que ce ne fût pas le
cas. L’indépendance est la garantie d’une justice forte et
respectée.
Dans quel état d’esprit se trouve votre client, François Fillon,
après avoir entendu les propos d’Eliane Houlette ?
Il est à la fois soulagé et en colère. Soulagé d’avoir enfin un
début d’explication aux fuites qui ont perturbé la campagne et
l’enquête pénale. En colère que la justice puisse avoir été
instrumentalisée à un moment clé de notre démocratie qu’est
l’élection présidentielle.
Si les propos d’Eliane Houlette sont vérifiés et reconnus,
pensez-vous que la présidentielle de 2017 aurait pu être gagnée
par François Fillon ?
Il est difficile de refaire le passé. Une enquête différente
pourrait bien sur avoir des conséquences différentes. Espérons en
revanche que la justice pourra à l’avenir obtenir de meilleures
garanties de son indépendance.
Où en est « l’affaire Fillon » ?
Le délibéré sera rendu le 29 juin.
Voilà des infos sur le monde de "Pourris&Pourris". Les choses
étaient quand même super claires à l'époque à l'analyse des
"fuites" illégales. 3 ans plus tard ceux qui ont organisé ces
fuites ne sont toujours pas derrière les barreaux.
MH
Et Fillon n'est toujours pas derrière les barreaux ! Fallait-il lui
laisser obtenir l'immunité présidentielle !
Dans la mesure où on n'a inculpé que lui, ça paraît difficile.
Désolé mais je ne comprends pas ta réponse.
Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Gloops avait prétendu :Le 24/06/2020 à 21:58, Every.body a écrit :Gloops a présenté l'énoncé suivant :Le 19/06/2020 à 16:47, Every.body a écrit :MH a exposé le 19/06/2020 :Jean-Christian Le Guellec (COGIP - service logistique) a exprimé
avec précision :https://www.valeursactuelles.com/politique/exclusif-maitre-antonin-levy-francois-fillon-est-la-fois-soulage-et-en-colere-120769[Exclusif] Maître Antonin Lévy : “François Fillon est à la fois
soulagé et en colère”Par Louis de Raguenel / Jeudi 18 juin 2020 à 20:08Entendue par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale
consacrée aux “obstacles à l'indépendance du pouvoir judiciaire”,
Eliane Houlette, l’ancienne patronne du parquet national
financier (PNF) a déclaré avoir été victime de “pressions
hiérarchiques” pour aller plus vite et plus loin contre François
Fillon. Après ces révélations et à quelques jours du délibéré du
procès de l’ancien candidat à la présidentielle, son avocat, Me
Antonin Lévy sonne la charge. Entretien.Eliane Houlette a évoqué des « pressions » du parquet général,
alors qu’elle n’avait pas suffisamment d’éléments, pour ouvrir
une information judiciaire à l’encontre de François Fillon, qui a
donné lieu à sa mise en examen. Est-ce grave ?Qu’un haut magistrat estime qu’elle a été soumise à des
pressions, c’est toujours grave. Le terme de « pressions » est
très sérieux. On constate ici que la conduite d’une enquête
pénale, au moment crucial de la campagne pour l’élection
présentielle, n’a pas été conduite en pleine liberté.
Elle évoque également des « pressions » du parquet général,
dirigé par Catherine Champrenault, pour des « demandes de
précisions, de chronologie générale - tout ça à deux ou trois
jours d'intervalle -.» Des fuites systématiques ont d’ailleurs
été constatées pendant toute la procédure.Est-ce habituel ?Les remontées d’informations au Ministère de la Justice font
partie des secrets de polichinelle du fonctionnement de la
Justice. Ces informations, dont personne ne connait la teneur ou
la fréquence sortent parfois dans l’actualité [Note :
Jean-Jacques Urvoas a été condamné pour une transmission d’une
note ; Christiane Taubira avait fait une conférence de presse en
tenant des documents qui lui avaient été remontés]. Quand les
enquêteurs et le Parquet perdent la maîtrise de l’information sur
des procédures judiciaires en cours, il est évident que le risque
de fuite augmente. Comment, dans ce dossier, ne pas mettre en
relation les fuites, qui étaient permanentes, avec la pression
que subissait le PNF pour transmettre régulièrement de
l’information sur l’état de la procédure ? Il n’y a aucune raison
objective ou juridique pour que le Parquet Général dispose de
mises à jour fréquentes sur l’état de cette procédure sensible.Le parquet général doit normalement faire remonter ces
informations à la direction des affaires criminelles et des
grâces, qui transmet certains éléments au cabinet du garde des
Sceaux. Peut-on penser que le ministre de la Justice de l’époque
a pu être à l’origine de ces pressions pour faire barrage à
François Fillon ? Ou une pression de certains juges, hostiles à
François Fillon ? Ou les deux ?C’est une question difficile. Il faut bien que ces fuites
viennent de quelque part ! Ce qui est certain, c’est que les
fuites dans le dossier de François Fillon ont été permanentes,
toujours à charge et savamment orchestrées pour perturber la
campagne présidentielle. Nous avons déposé plusieurs plaintes
pour qu’une enquête soit menée, sans aucun succès. J’ai lu avec
intérêt que la commission d’enquête parlementaire pourrait
entendre Madame Champrenault sur ce sujet. Ce sera l’occasion de
lui poser la question !Pourquoi Eliane Houlette révèle-t-elle ces éléments aujourd’hui ?Ayant aujourd’hui quitté la magistrature, sa parole est plus
libre et c’est tout à son honneur de ne pas garder le silence sur
ces faits. Je ne veux pas parler pour elle, mais on peut imaginer
qu’elle a été choquée des pressions qu’on a exercé sur elle dans
ce dossier. Le fait d’être entendu sous serment devant une
commission d’enquête a également pu compter.Catherine Champrenault a été conseillère au cabinet de Ségolène
Royal en 1999. Cet engagement passé au service d’une politique
loin de celle défendue par François Fillon, pose-t-il problème ?Je ne sais pas sonder les âmes. J’aimerais que ce ne fût pas le
cas. L’indépendance est la garantie d’une justice forte et
respectée.Dans quel état d’esprit se trouve votre client, François Fillon,
après avoir entendu les propos d’Eliane Houlette ?Il est à la fois soulagé et en colère. Soulagé d’avoir enfin un
début d’explication aux fuites qui ont perturbé la campagne et
l’enquête pénale. En colère que la justice puisse avoir été
instrumentalisée à un moment clé de notre démocratie qu’est
l’élection présidentielle.Si les propos d’Eliane Houlette sont vérifiés et reconnus,
pensez-vous que la présidentielle de 2017 aurait pu être gagnée
par François Fillon ?Il est difficile de refaire le passé. Une enquête différente
pourrait bien sur avoir des conséquences différentes. Espérons en
revanche que la justice pourra à l’avenir obtenir de meilleures
garanties de son indépendance.Où en est « l’affaire Fillon » ?Le délibéré sera rendu le 29 juin.
Voilà des infos sur le monde de "Pourris&Pourris". Les choses
étaient quand même super claires à l'époque à l'analyse des
"fuites" illégales. 3 ans plus tard ceux qui ont organisé ces
fuites ne sont toujours pas derrière les barreaux.
MH
Et Fillon n'est toujours pas derrière les barreaux ! Fallait-il lui
laisser obtenir l'immunité présidentielle !
Dans la mesure où on n'a inculpé que lui, ça paraît difficile.
Désolé mais je ne comprends pas ta réponse.
Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Ceux qui ont voté Le Pen ont compris trop tard qu'elle ne servait qu'à
faire élire Macron. Voter Le Pen, voter Macron, voter Mélenchon, voter
Fillon, voter Hamon, voter socialo, voter écolo, c'est kifkif bourricot
puisque ça revient à voter pour Soros, Gates, Rothschild, Arnault...
Ceux qui ont voté Le Pen ont compris trop tard qu'elle ne servait qu'à
faire élire Macron. Voter Le Pen, voter Macron, voter Mélenchon, voter
Fillon, voter Hamon, voter socialo, voter écolo, c'est kifkif bourricot
puisque ça revient à voter pour Soros, Gates, Rothschild, Arnault...
Ceux qui ont voté Le Pen ont compris trop tard qu'elle ne servait qu'à
faire élire Macron. Voter Le Pen, voter Macron, voter Mélenchon, voter
Fillon, voter Hamon, voter socialo, voter écolo, c'est kifkif bourricot
puisque ça revient à voter pour Soros, Gates, Rothschild, Arnault...
Le 25/06/2020 à 22:06, Every.body a écrit :Gloops avait prétendu :Le 24/06/2020 à 21:58, Every.body a écrit :Gloops a présenté l'énoncé suivant :Le 19/06/2020 à 16:47, Every.body a écrit :MH a exposé le 19/06/2020 :Jean-Christian Le Guellec (COGIP - service logistique) a exprimé avec
précision :https://www.valeursactuelles.com/politique/exclusif-maitre-antonin-levy-francois-fillon-est-la-fois-soulage-et-en-colere-120769[Exclusif] Maître Antonin Lévy : “François Fillon est à la fois
soulagé et en colère”Par Louis de Raguenel / Jeudi 18 juin 2020 à 20:08Entendue par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale
consacrée aux “obstacles à l'indépendance du pouvoir judiciaire”,
Eliane Houlette, l’ancienne patronne du parquet national financier
(PNF) a déclaré avoir été victime de “pressions hiérarchiques” pour
aller plus vite et plus loin contre François Fillon. Après ces
révélations et à quelques jours du délibéré du procès de l’ancien
candidat à la présidentielle, son avocat, Me Antonin Lévy sonne la
charge. Entretien.Eliane Houlette a évoqué des « pressions » du parquet général, alors
qu’elle n’avait pas suffisamment d’éléments, pour ouvrir une
information judiciaire à l’encontre de François Fillon, qui a donné
lieu à sa mise en examen. Est-ce grave ?Qu’un haut magistrat estime qu’elle a été soumise à des pressions,
c’est toujours grave. Le terme de « pressions » est très sérieux. On
constate ici que la conduite d’une enquête pénale, au moment crucial
de la campagne pour l’élection présentielle, n’a pas été conduite en
pleine liberté.
Elle évoque également des « pressions » du parquet général, dirigé
par Catherine Champrenault, pour des « demandes de précisions, de
chronologie générale - tout ça à deux ou trois jours d'intervalle -.»
Des fuites systématiques ont d’ailleurs été constatées pendant toute
la procédure.Est-ce habituel ?Les remontées d’informations au Ministère de la Justice font partie
des secrets de polichinelle du fonctionnement de la Justice. Ces
informations, dont personne ne connait la teneur ou la fréquence
sortent parfois dans l’actualité [Note : Jean-Jacques Urvoas a été
condamné pour une transmission d’une note ; Christiane Taubira avait
fait une conférence de presse en tenant des documents qui lui avaient
été remontés]. Quand les enquêteurs et le Parquet perdent la maîtrise
de l’information sur des procédures judiciaires en cours, il est
évident que le risque de fuite augmente. Comment, dans ce dossier, ne
pas mettre en relation les fuites, qui étaient permanentes, avec la
pression que subissait le PNF pour transmettre régulièrement de
l’information sur l’état de la procédure ? Il n’y a aucune raison
objective ou juridique pour que le Parquet Général dispose de mises à
jour fréquentes sur l’état de cette procédure sensible.Le parquet général doit normalement faire remonter ces informations à
la direction des affaires criminelles et des grâces, qui transmet
certains éléments au cabinet du garde des Sceaux. Peut-on penser que
le ministre de la Justice de l’époque a pu être à l’origine de ces
pressions pour faire barrage à François Fillon ? Ou une pression de
certains juges, hostiles à François Fillon ? Ou les deux ?C’est une question difficile. Il faut bien que ces fuites viennent de
quelque part ! Ce qui est certain, c’est que les fuites dans le
dossier de François Fillon ont été permanentes, toujours à charge et
savamment orchestrées pour perturber la campagne présidentielle. Nous
avons déposé plusieurs plaintes pour qu’une enquête soit menée, sans
aucun succès. J’ai lu avec intérêt que la commission d’enquête
parlementaire pourrait entendre Madame Champrenault sur ce sujet. Ce
sera l’occasion de lui poser la question !Pourquoi Eliane Houlette révèle-t-elle ces éléments aujourd’hui ?Ayant aujourd’hui quitté la magistrature, sa parole est plus libre et
c’est tout à son honneur de ne pas garder le silence sur ces faits.
Je ne veux pas parler pour elle, mais on peut imaginer qu’elle a été
choquée des pressions qu’on a exercé sur elle dans ce dossier. Le
fait d’être entendu sous serment devant une commission d’enquête a
également pu compter.Catherine Champrenault a été conseillère au cabinet de Ségolène Royal
en 1999. Cet engagement passé au service d’une politique loin de
celle défendue par François Fillon, pose-t-il problème ?Je ne sais pas sonder les âmes. J’aimerais que ce ne fût pas le cas.
L’indépendance est la garantie d’une justice forte et respectée.Dans quel état d’esprit se trouve votre client, François Fillon,
après avoir entendu les propos d’Eliane Houlette ?Il est à la fois soulagé et en colère. Soulagé d’avoir enfin un début
d’explication aux fuites qui ont perturbé la campagne et l’enquête
pénale. En colère que la justice puisse avoir été instrumentalisée à
un moment clé de notre démocratie qu’est l’élection présidentielle.Si les propos d’Eliane Houlette sont vérifiés et reconnus,
pensez-vous que la présidentielle de 2017 aurait pu être gagnée par
François Fillon ?Il est difficile de refaire le passé. Une enquête différente pourrait
bien sur avoir des conséquences différentes. Espérons en revanche que
la justice pourra à l’avenir obtenir de meilleures garanties de son
indépendance.Où en est « l’affaire Fillon » ?Le délibéré sera rendu le 29 juin.
Voilà des infos sur le monde de "Pourris&Pourris". Les choses
étaient quand même super claires à l'époque à l'analyse des "fuites"
illégales. 3 ans plus tard ceux qui ont organisé ces fuites ne sont
toujours pas derrière les barreaux.
MH
Et Fillon n'est toujours pas derrière les barreaux ! Fallait-il lui
laisser obtenir l'immunité présidentielle !
Dans la mesure où on n'a inculpé que lui, ça paraît difficile.
Désolé mais je ne comprends pas ta réponse.
Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Est-ce que ça n'a pas à voir avec la corruption ?
Le 25/06/2020 à 22:06, Every.body a écrit :
Gloops avait prétendu :
Le 24/06/2020 à 21:58, Every.body a écrit :
Gloops a présenté l'énoncé suivant :
Le 19/06/2020 à 16:47, Every.body a écrit :
MH a exposé le 19/06/2020 :
Jean-Christian Le Guellec (COGIP - service logistique) a exprimé avec
précision :
https://www.valeursactuelles.com/politique/exclusif-maitre-antonin-levy-francois-fillon-est-la-fois-soulage-et-en-colere-120769
[Exclusif] Maître Antonin Lévy : “François Fillon est à la fois
soulagé et en colère”
Par Louis de Raguenel / Jeudi 18 juin 2020 à 20:08
Entendue par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale
consacrée aux “obstacles à l'indépendance du pouvoir judiciaire”,
Eliane Houlette, l’ancienne patronne du parquet national financier
(PNF) a déclaré avoir été victime de “pressions hiérarchiques” pour
aller plus vite et plus loin contre François Fillon. Après ces
révélations et à quelques jours du délibéré du procès de l’ancien
candidat à la présidentielle, son avocat, Me Antonin Lévy sonne la
charge. Entretien.
Eliane Houlette a évoqué des « pressions » du parquet général, alors
qu’elle n’avait pas suffisamment d’éléments, pour ouvrir une
information judiciaire à l’encontre de François Fillon, qui a donné
lieu à sa mise en examen. Est-ce grave ?
Qu’un haut magistrat estime qu’elle a été soumise à des pressions,
c’est toujours grave. Le terme de « pressions » est très sérieux. On
constate ici que la conduite d’une enquête pénale, au moment crucial
de la campagne pour l’élection présentielle, n’a pas été conduite en
pleine liberté.
Elle évoque également des « pressions » du parquet général, dirigé
par Catherine Champrenault, pour des « demandes de précisions, de
chronologie générale - tout ça à deux ou trois jours d'intervalle -.»
Des fuites systématiques ont d’ailleurs été constatées pendant toute
la procédure.
Est-ce habituel ?
Les remontées d’informations au Ministère de la Justice font partie
des secrets de polichinelle du fonctionnement de la Justice. Ces
informations, dont personne ne connait la teneur ou la fréquence
sortent parfois dans l’actualité [Note : Jean-Jacques Urvoas a été
condamné pour une transmission d’une note ; Christiane Taubira avait
fait une conférence de presse en tenant des documents qui lui avaient
été remontés]. Quand les enquêteurs et le Parquet perdent la maîtrise
de l’information sur des procédures judiciaires en cours, il est
évident que le risque de fuite augmente. Comment, dans ce dossier, ne
pas mettre en relation les fuites, qui étaient permanentes, avec la
pression que subissait le PNF pour transmettre régulièrement de
l’information sur l’état de la procédure ? Il n’y a aucune raison
objective ou juridique pour que le Parquet Général dispose de mises à
jour fréquentes sur l’état de cette procédure sensible.
Le parquet général doit normalement faire remonter ces informations à
la direction des affaires criminelles et des grâces, qui transmet
certains éléments au cabinet du garde des Sceaux. Peut-on penser que
le ministre de la Justice de l’époque a pu être à l’origine de ces
pressions pour faire barrage à François Fillon ? Ou une pression de
certains juges, hostiles à François Fillon ? Ou les deux ?
C’est une question difficile. Il faut bien que ces fuites viennent de
quelque part ! Ce qui est certain, c’est que les fuites dans le
dossier de François Fillon ont été permanentes, toujours à charge et
savamment orchestrées pour perturber la campagne présidentielle. Nous
avons déposé plusieurs plaintes pour qu’une enquête soit menée, sans
aucun succès. J’ai lu avec intérêt que la commission d’enquête
parlementaire pourrait entendre Madame Champrenault sur ce sujet. Ce
sera l’occasion de lui poser la question !
Pourquoi Eliane Houlette révèle-t-elle ces éléments aujourd’hui ?
Ayant aujourd’hui quitté la magistrature, sa parole est plus libre et
c’est tout à son honneur de ne pas garder le silence sur ces faits.
Je ne veux pas parler pour elle, mais on peut imaginer qu’elle a été
choquée des pressions qu’on a exercé sur elle dans ce dossier. Le
fait d’être entendu sous serment devant une commission d’enquête a
également pu compter.
Catherine Champrenault a été conseillère au cabinet de Ségolène Royal
en 1999. Cet engagement passé au service d’une politique loin de
celle défendue par François Fillon, pose-t-il problème ?
Je ne sais pas sonder les âmes. J’aimerais que ce ne fût pas le cas.
L’indépendance est la garantie d’une justice forte et respectée.
Dans quel état d’esprit se trouve votre client, François Fillon,
après avoir entendu les propos d’Eliane Houlette ?
Il est à la fois soulagé et en colère. Soulagé d’avoir enfin un début
d’explication aux fuites qui ont perturbé la campagne et l’enquête
pénale. En colère que la justice puisse avoir été instrumentalisée à
un moment clé de notre démocratie qu’est l’élection présidentielle.
Si les propos d’Eliane Houlette sont vérifiés et reconnus,
pensez-vous que la présidentielle de 2017 aurait pu être gagnée par
François Fillon ?
Il est difficile de refaire le passé. Une enquête différente pourrait
bien sur avoir des conséquences différentes. Espérons en revanche que
la justice pourra à l’avenir obtenir de meilleures garanties de son
indépendance.
Où en est « l’affaire Fillon » ?
Le délibéré sera rendu le 29 juin.
Voilà des infos sur le monde de "Pourris&Pourris". Les choses
étaient quand même super claires à l'époque à l'analyse des "fuites"
illégales. 3 ans plus tard ceux qui ont organisé ces fuites ne sont
toujours pas derrière les barreaux.
MH
Et Fillon n'est toujours pas derrière les barreaux ! Fallait-il lui
laisser obtenir l'immunité présidentielle !
Dans la mesure où on n'a inculpé que lui, ça paraît difficile.
Désolé mais je ne comprends pas ta réponse.
Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Est-ce que ça n'a pas à voir avec la corruption ?
Le 25/06/2020 à 22:06, Every.body a écrit :Gloops avait prétendu :Le 24/06/2020 à 21:58, Every.body a écrit :Gloops a présenté l'énoncé suivant :Le 19/06/2020 à 16:47, Every.body a écrit :MH a exposé le 19/06/2020 :Jean-Christian Le Guellec (COGIP - service logistique) a exprimé avec
précision :https://www.valeursactuelles.com/politique/exclusif-maitre-antonin-levy-francois-fillon-est-la-fois-soulage-et-en-colere-120769[Exclusif] Maître Antonin Lévy : “François Fillon est à la fois
soulagé et en colère”Par Louis de Raguenel / Jeudi 18 juin 2020 à 20:08Entendue par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale
consacrée aux “obstacles à l'indépendance du pouvoir judiciaire”,
Eliane Houlette, l’ancienne patronne du parquet national financier
(PNF) a déclaré avoir été victime de “pressions hiérarchiques” pour
aller plus vite et plus loin contre François Fillon. Après ces
révélations et à quelques jours du délibéré du procès de l’ancien
candidat à la présidentielle, son avocat, Me Antonin Lévy sonne la
charge. Entretien.Eliane Houlette a évoqué des « pressions » du parquet général, alors
qu’elle n’avait pas suffisamment d’éléments, pour ouvrir une
information judiciaire à l’encontre de François Fillon, qui a donné
lieu à sa mise en examen. Est-ce grave ?Qu’un haut magistrat estime qu’elle a été soumise à des pressions,
c’est toujours grave. Le terme de « pressions » est très sérieux. On
constate ici que la conduite d’une enquête pénale, au moment crucial
de la campagne pour l’élection présentielle, n’a pas été conduite en
pleine liberté.
Elle évoque également des « pressions » du parquet général, dirigé
par Catherine Champrenault, pour des « demandes de précisions, de
chronologie générale - tout ça à deux ou trois jours d'intervalle -.»
Des fuites systématiques ont d’ailleurs été constatées pendant toute
la procédure.Est-ce habituel ?Les remontées d’informations au Ministère de la Justice font partie
des secrets de polichinelle du fonctionnement de la Justice. Ces
informations, dont personne ne connait la teneur ou la fréquence
sortent parfois dans l’actualité [Note : Jean-Jacques Urvoas a été
condamné pour une transmission d’une note ; Christiane Taubira avait
fait une conférence de presse en tenant des documents qui lui avaient
été remontés]. Quand les enquêteurs et le Parquet perdent la maîtrise
de l’information sur des procédures judiciaires en cours, il est
évident que le risque de fuite augmente. Comment, dans ce dossier, ne
pas mettre en relation les fuites, qui étaient permanentes, avec la
pression que subissait le PNF pour transmettre régulièrement de
l’information sur l’état de la procédure ? Il n’y a aucune raison
objective ou juridique pour que le Parquet Général dispose de mises à
jour fréquentes sur l’état de cette procédure sensible.Le parquet général doit normalement faire remonter ces informations à
la direction des affaires criminelles et des grâces, qui transmet
certains éléments au cabinet du garde des Sceaux. Peut-on penser que
le ministre de la Justice de l’époque a pu être à l’origine de ces
pressions pour faire barrage à François Fillon ? Ou une pression de
certains juges, hostiles à François Fillon ? Ou les deux ?C’est une question difficile. Il faut bien que ces fuites viennent de
quelque part ! Ce qui est certain, c’est que les fuites dans le
dossier de François Fillon ont été permanentes, toujours à charge et
savamment orchestrées pour perturber la campagne présidentielle. Nous
avons déposé plusieurs plaintes pour qu’une enquête soit menée, sans
aucun succès. J’ai lu avec intérêt que la commission d’enquête
parlementaire pourrait entendre Madame Champrenault sur ce sujet. Ce
sera l’occasion de lui poser la question !Pourquoi Eliane Houlette révèle-t-elle ces éléments aujourd’hui ?Ayant aujourd’hui quitté la magistrature, sa parole est plus libre et
c’est tout à son honneur de ne pas garder le silence sur ces faits.
Je ne veux pas parler pour elle, mais on peut imaginer qu’elle a été
choquée des pressions qu’on a exercé sur elle dans ce dossier. Le
fait d’être entendu sous serment devant une commission d’enquête a
également pu compter.Catherine Champrenault a été conseillère au cabinet de Ségolène Royal
en 1999. Cet engagement passé au service d’une politique loin de
celle défendue par François Fillon, pose-t-il problème ?Je ne sais pas sonder les âmes. J’aimerais que ce ne fût pas le cas.
L’indépendance est la garantie d’une justice forte et respectée.Dans quel état d’esprit se trouve votre client, François Fillon,
après avoir entendu les propos d’Eliane Houlette ?Il est à la fois soulagé et en colère. Soulagé d’avoir enfin un début
d’explication aux fuites qui ont perturbé la campagne et l’enquête
pénale. En colère que la justice puisse avoir été instrumentalisée à
un moment clé de notre démocratie qu’est l’élection présidentielle.Si les propos d’Eliane Houlette sont vérifiés et reconnus,
pensez-vous que la présidentielle de 2017 aurait pu être gagnée par
François Fillon ?Il est difficile de refaire le passé. Une enquête différente pourrait
bien sur avoir des conséquences différentes. Espérons en revanche que
la justice pourra à l’avenir obtenir de meilleures garanties de son
indépendance.Où en est « l’affaire Fillon » ?Le délibéré sera rendu le 29 juin.
Voilà des infos sur le monde de "Pourris&Pourris". Les choses
étaient quand même super claires à l'époque à l'analyse des "fuites"
illégales. 3 ans plus tard ceux qui ont organisé ces fuites ne sont
toujours pas derrière les barreaux.
MH
Et Fillon n'est toujours pas derrière les barreaux ! Fallait-il lui
laisser obtenir l'immunité présidentielle !
Dans la mesure où on n'a inculpé que lui, ça paraît difficile.
Désolé mais je ne comprends pas ta réponse.
Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Est-ce que ça n'a pas à voir avec la corruption ?
Le 26/06/2020 à 14:03, Every.body a écrit :Il se trouve que La mère Cabas a formulé :Le 25/06/2020 à 22:06, Every.body a écrit :Gloops avait prétendu :Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Ah oui, comme Macron et Philippe qui sont payés pour obéir aux Français
mais en réalité font les putes à Soros !
Fallait pas voter pour EM.
Ceux qui ont voté Le Pen ont compris trop tard qu'elle ne servait qu'à faire
élire Macron. Voter Le Pen, voter Macron, voter Mélenchon, voter Fillon,
voter Hamon, voter socialo, voter écolo, c'est kifkif bourricot puisque ça
revient à voter pour Soros, Gates, Rothschild, Arnault...
Le 26/06/2020 à 14:03, Every.body a écrit :
Il se trouve que La mère Cabas a formulé :
Le 25/06/2020 à 22:06, Every.body a écrit :
Gloops avait prétendu :
Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Ah oui, comme Macron et Philippe qui sont payés pour obéir aux Français
mais en réalité font les putes à Soros !
Fallait pas voter pour EM.
Ceux qui ont voté Le Pen ont compris trop tard qu'elle ne servait qu'à faire
élire Macron. Voter Le Pen, voter Macron, voter Mélenchon, voter Fillon,
voter Hamon, voter socialo, voter écolo, c'est kifkif bourricot puisque ça
revient à voter pour Soros, Gates, Rothschild, Arnault...
Le 26/06/2020 à 14:03, Every.body a écrit :Il se trouve que La mère Cabas a formulé :Le 25/06/2020 à 22:06, Every.body a écrit :Gloops avait prétendu :Si on n'a pas pour objectif de lutter contre la corruption, pourquoi
emprisonnerait-on Fillon ?
Emploi fictif ?
Ah oui, comme Macron et Philippe qui sont payés pour obéir aux Français
mais en réalité font les putes à Soros !
Fallait pas voter pour EM.
Ceux qui ont voté Le Pen ont compris trop tard qu'elle ne servait qu'à faire
élire Macron. Voter Le Pen, voter Macron, voter Mélenchon, voter Fillon,
voter Hamon, voter socialo, voter écolo, c'est kifkif bourricot puisque ça
revient à voter pour Soros, Gates, Rothschild, Arnault...
Rathon Laveur a couché sur son écran :Ceux qui ont voté Le Pen ont compris trop tard qu'elle ne servait qu'à
faire élire Macron. Voter Le Pen, voter Macron, voter Mélenchon, voter
Fillon, voter Hamon, voter socialo, voter écolo, c'est kifkif
bourricot puisque ça revient à voter pour Soros, Gates, Rothschild,
Arnault...
et comme tu n'as pas mieux à proposer, tu peux continuer à agiter tes
petits bras.
Rathon Laveur a couché sur son écran :
Ceux qui ont voté Le Pen ont compris trop tard qu'elle ne servait qu'à
faire élire Macron. Voter Le Pen, voter Macron, voter Mélenchon, voter
Fillon, voter Hamon, voter socialo, voter écolo, c'est kifkif
bourricot puisque ça revient à voter pour Soros, Gates, Rothschild,
Arnault...
et comme tu n'as pas mieux à proposer, tu peux continuer à agiter tes
petits bras.
Rathon Laveur a couché sur son écran :Ceux qui ont voté Le Pen ont compris trop tard qu'elle ne servait qu'à
faire élire Macron. Voter Le Pen, voter Macron, voter Mélenchon, voter
Fillon, voter Hamon, voter socialo, voter écolo, c'est kifkif
bourricot puisque ça revient à voter pour Soros, Gates, Rothschild,
Arnault...
et comme tu n'as pas mieux à proposer, tu peux continuer à agiter tes
petits bras.
Every.body :Rathon Laveur :Ceux qui ont voté Le Pen ont compris trop tard qu'elle ne servait
qu'à faire élire Macron. Voter Le Pen, voter Macron, voter
Mélenchon, voter Fillon, voter Hamon, voter socialo, voter écolo,
c'est kifkif bourricot puisque ça revient à voter pour Soros,
Gates, Rothschild, Arnault...
et comme tu n'as pas mieux à proposer, tu peux continuer à agiter
tes petits bras.
En effet, tout le monde est d'accord pour estimer qu'en attendant
l'émergence d'un parti musulman mieux vaut s'abstenir de voter.
Every.body :
Rathon Laveur :
Ceux qui ont voté Le Pen ont compris trop tard qu'elle ne servait
qu'à faire élire Macron. Voter Le Pen, voter Macron, voter
Mélenchon, voter Fillon, voter Hamon, voter socialo, voter écolo,
c'est kifkif bourricot puisque ça revient à voter pour Soros,
Gates, Rothschild, Arnault...
et comme tu n'as pas mieux à proposer, tu peux continuer à agiter
tes petits bras.
En effet, tout le monde est d'accord pour estimer qu'en attendant
l'émergence d'un parti musulman mieux vaut s'abstenir de voter.
Every.body :Rathon Laveur :Ceux qui ont voté Le Pen ont compris trop tard qu'elle ne servait
qu'à faire élire Macron. Voter Le Pen, voter Macron, voter
Mélenchon, voter Fillon, voter Hamon, voter socialo, voter écolo,
c'est kifkif bourricot puisque ça revient à voter pour Soros,
Gates, Rothschild, Arnault...
et comme tu n'as pas mieux à proposer, tu peux continuer à agiter
tes petits bras.
En effet, tout le monde est d'accord pour estimer qu'en attendant
l'émergence d'un parti musulman mieux vaut s'abstenir de voter.