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ça recommence

16 réponses
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Do Re Mi chel La Si Do
Bonsoir

L'exécution d'un script Python me renvoie ce message d'erreur :

Microsoft Visual C++ Runtime Library
Runtime Error!
R6025
- pure virtual function call

Evidemment, l'erreur n'est pas interceptée par Python.
Depuis que Python 2.4 est sorti, c'est la 4e fois que j'ai ce genre de chose
; et à chaque fois, dans un contexte différent.

Une idée de solution ?


@-salutations

Michel Claveau

10 réponses

1 2
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Encolpe Degoute
Bonsoir

L'exécution d'un script Python me renvoie ce message d'erreur :

Microsoft Visual C++ Runtime Library
Runtime Error!
R6025
- pure virtual function call

Evidemment, l'erreur n'est pas interceptée par Python.
Depuis que Python 2.4 est sorti, c'est la 4e fois que j'ai ce genre de chose
; et à chaque fois, dans un contexte différent.

Une idée de solution ?


C'est Noël, il faut passer sous Linux/BSD.

--
Encolpe DEGOUTE, promis, au nouvel an je teste Hurd
http://encolpe.degoute.free.fr/
Logiciels libres, hockey sur glace et autres activités cérébrales

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Do Re Mi chel La Si Do
Bonjour !

C'est Noël, il faut passer sous Linux/BSD.




Troller un jour de Noël, il faller oser... ;-)

Plus sérieusement, j'envisagerai une utilisation plus importante de Linux
(et apparentés), le jour où il y aura des fonctionnalités équivalentes. Pour
l'instant, je les réserve à quelques rares cas, pour une utilisation limitée
(qq. serveurs, de l'embarqué, des machines dédiées).


Quand au problème d'origine, j'ai trouvé moyen de le contourner. Je n'ai pas
creusé, mais c'était lié à un retour de méthode vide. Dans la méthode, j'ai
testé si None, pour mettre False à la place, et le problème a disparu.


@-salutations
--
Michel Claveau



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William Dode
On 25-12-2005, Do Re Mi chel La Si Do wrote:
Bonjour !

C'est Noël, il faut passer sous Linux/BSD.




Troller un jour de Noël, il faller oser... ;-)

Plus sérieusement, j'envisagerai une utilisation plus importante de Linux
(et apparentés), le jour où il y aura des fonctionnalités équivalentes. Pour
l'instant, je les réserve à quelques rares cas, pour une utilisation limitée
(qq. serveurs, de l'embarqué, des machines dédiées).


Plus sérieusement, j'envisagerai de sortir de prison quand j'aurai une
chambre chauffée et des repas servis à l'heure dehors. Pour l'instant je
ne sort que dans de très rares occasions (visites, tribunal).

Cracher dans la soupe le jour de Noël c'est vraiment le signe
d'une overdose de chocolat, attention au foie...

--
William Dodé - http://flibuste.net




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Do Re Mi chel La Si Do
Bonsoir !


Linux est un bon O.S.
Windows est un bon O.S.

Si chacun trouvera dans son O.S. les fonctions qui lui conviennent, pourquoi
vouloir le faire changer ? Surtout s'il n'y a pas l'équivalent de l'autre
côté.
Comme, avec Windows, j'utilise intensivement (y compris avec Python) des
possibilités que je ne retrouve pas ailleurs, je n'ai pas de raison de
changer.


@-salutations

Michel Claveau
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Amand Tihon
Do Re Mi chel La Si Do wrote:

Linux est un bon O.S.
Windows est un bon O.S.
Merci.


Note: la suite s'adresse à tous, mais surtout aux linuxiens et à Wi lliam
Dode, GP.

Passionné par linux depuis un bon nombre d'années, je me suis vite rendu
compte que chaque OS avait à la fois sa vocation et son public, et qu e ces
deux appréciations variaient d'un utilisateur à l'autre, d'une util isation
à l'autre.

On choisit son OS pour des raisons très nombreuses, très variables et toutes
très bonnes: philosophiques, économiques, pratiques, et j'en oublie
sûrement.
Toutes ces raisons sont aussi bonnes les unes que les autres. La seule qui
me fasse vraiment réagir actuellement, c'est la méconnaissance de
l'existant.

Dès que j'ai compris ça, j'ai arrêté de faire du « forcing » auprès de mes
proches. Actuellement, je me limite à simplement leur signaler l'exis tence
des alternatives (surtout firefox et OOo, un peu moins linux, gimp,
gaim, ...), et ça marche très bien. Cela laisse aux gens la possibi lité de
choisir ce qui fonctionne le mieux pour *eux*. Choisir en connaissance de
cause, c'est ce pour quoi il faut se battre aujourd'hui.

Windows n'enferme personne, si on sait faire attention. C'est là-dess us que
je base mes argumentaires. Ce sont les formats de fichiers, les protoco les,
voire même les langages, qui enferment.

On peut être « pro-Logiciels Libres » sans être « anti-Logici els
Propriétaires, » et c'est de cette manière qu'on aura droit à u n minimum de
crédibilité. Cracher sur MS n'apportera jamais rien.

Le logiciel ne met pas en prison ! C'est ce qu'on lui laisse faire sans
réfléchir (ou sans savoir) qui risque de nous ôter notre liberté . La
différence est de taille, et je pense que Michel est parfaitement cap able
de la faire.

Ne tentons pas de remplacer un non-choix par un un autre, s'il vous pla ît.
La force est toujours dans la diversité.

--
Amand Tihon, un linuxien qui en a marre des jugements à l'emporte-piè ce.

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William Dode
On 26-12-2005, Amand Tihon wrote:
Do Re Mi chel La Si Do wrote:

Linux est un bon O.S.
Windows est un bon O.S.
Merci.



C'est Noël, tout le monde est bon et gentil, c'est super :-)


Note: la suite s'adresse à tous, mais surtout aux linuxiens et à William
Dode, GP.


Python étant un logiciel libre, je pense qu'il est important que tout
les utilisateurs sachent ce que cela signifie.


Passionné par linux depuis un bon nombre d'années, je me suis vite rendu
compte que chaque OS avait à la fois sa vocation et son public, et que ces
deux appréciations variaient d'un utilisateur à l'autre, d'une utilisation
à l'autre.

On choisit son OS pour des raisons très nombreuses, très variables et toutes
très bonnes: philosophiques, économiques, pratiques, et j'en oublie
sûrement.
Toutes ces raisons sont aussi bonnes les unes que les autres.


Justement non, toutes ces raisons ne sont pas aussi bonnes les unes que
les autres, du moins si on les compare entre elles. Il n'y a qu'à
regarder ce qui se passe à grande échelle lorsque les administrations
(et donc nous) se rendent compte à quel point elles sont pieds et poings
liés aujourd'hui du fait d'avoir privilégié les aspects pratiques et
économiques hier.
D'une part on est obligé de verser une rente à une personne déjà
multi-milliardaire, et d'autre part on ne controle pas du tout les
outils dont on dépend.
Ensuite n'oublions pas qu'un logiciel proriétaire n'est rien d'autre
qu'une réappropriation des conaissances communautaires et des
subventions publiques par le biais des écoles.
Prennons l'exemple de jim hugunin (iron-python). MS en l'embauchant se
réapproprie dans ses logiciels propriétaires toutes les conaissances
qu'il a acquises d'une part à l'école et d'autre part par la communauté
(python en particulier).
Tout ça me semble sans commune mesure avec les choix pratiques pour
gagner quelques minutes en utilisant un activeX...

Ceci dit, j'utilise aussi des logiciels propriétaires car je n'ais pas
toujours le choix non plus, tout comme j'utilise parfois du pétrole par
exemple, ce n'est pas pour autant que je qualifierai tout ça de "bon".
Ponctuellement pratique à la rigueur...

La seule qui
me fasse vraiment réagir actuellement, c'est la méconnaissance de
l'existant.


De quel existant parles-tu ?


Dès que j'ai compris ça, j'ai arrêté de faire du « forcing » auprès de mes
proches. Actuellement, je me limite à simplement leur signaler l'existence
des alternatives (surtout firefox et OOo, un peu moins linux, gimp,
gaim, ...), et ça marche très bien. Cela laisse aux gens la possibilité de
choisir ce qui fonctionne le mieux pour *eux*. Choisir en connaissance de
cause, c'est ce pour quoi il faut se battre aujourd'hui.


Je suis d'accord avec le fait qu'il faut choisir en connaisance de
cause, c'est bien pour ça qu'on en parle :-)
Mais "choisir ce qui fonctionne le mieux pour *eux*" ne doit pas occulter
le côté politique, sinon il n'y aura plus du tout de choix...


Windows n'enferme personne, si on sait faire attention. C'est là-dessus que
je base mes argumentaires. Ce sont les formats de fichiers, les protocoles,
voire même les langages, qui enferment.


C'est essentiellement la licence qui enferme.
Un exemple concret, il y a 20 ans quand je commençais l'informatique,
mon seul moyen pour apprendre l'informatique vu le manque de
documentation qu'il y avait c'était de cracker les logiciels pour voir
comment ils faisaient. Je risquais la prison, on peut pas mieux comme
enfermement ;-)
Par contre j'ai apris la mécanique en bricolant mon vélo et ma mob, et
là c'était légal. Un logiciel libre n'est rien d'autre que ça mais c'est
déjà beaucoup.


On peut être « pro-Logiciels Libres » sans être « anti-Logiciels
Propriétaires, » et c'est de cette manière qu'on aura droit à un minimum de
crédibilité. Cracher sur MS n'apportera jamais rien.


Politiquement ça ne tient pas, on ne peut pas être à la fois d'accord
avec l'appropriation des ressources communes et à la fois pour le
partage des conaissances.
Cracher sur MS, ou plus poliment lui faire des procès pour monopole et
lutter contre les brevets non seulement ça apporte beaucoup mais ça
devient de plus en plus indispensable.


Le logiciel ne met pas en prison ! C'est ce qu'on lui laisse faire sans
réfléchir (ou sans savoir) qui risque de nous ôter notre liberté. La
différence est de taille, et je pense que Michel est parfaitement capable
de la faire.

Ne tentons pas de remplacer un non-choix par un un autre, s'il vous plaît.
La force est toujours dans la diversité.



Comment peut-on parler de diversité et de MS en même temps ?
Du reste les logiciels libres ne sont pas UN choix mais un principe qui
permet d'avoir des milliers de choix. C'est d'ailleur pour ça que quand
on parle de fonctionnalités qu'il y a ou n'y a pas d'un côté ou de
l'autre ne veut rien dire du tout. D'un côté il y a des fonctionnalités
bien précises et autorisées à prendre comme elles sont et de l'autre des
possibilités innombrables qu'il faut dénicher, adapter et éventuellement
créer...

Bon allez, l'année 2006 sera une année charnière pour l'adoption des
logiciels libres, l'administration en veut, l'offre bureautique est
quasiment complète, les débats sur les brevets sont chauds... Faut pas
lacher la pression ;-)

--
William Dodé - http://flibuste.net


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Do Re Mi chel La Si Do
Bonsoir !



les administrations (et donc nous)




Je crains que tu ne fasses une confusion entre la Nation et l'État...


obligé de verser une rente à une personne déjà multi-milliardaire




ça, c'est simplement de la jalousie. Lorsqu'on paye, soit le prix est
justifié, soit ça ne l'est pas. Que l'argent aille à Tartempion, à une
administration, ou à toi, ne changera rien.


un logiciel proriétaire n'est rien d'autre qu'une réappropriation des
conaissances communautaires et des subventions publiques par le biais
des écoles.




1) 18 % de l'enseignement français est privé
2) les subventions publiques existent essentiellement grâce aux impôts payés
par les entreprises
3) un logiciel n'est pas qu'une réappropriation de connaissances ; il y a un
travail important d'étude, de conception, de développement.
4) tu oublies une catégorie particulière de logiciels propriétaires : les
logiciels privés. Tous ces logiciels développés par des gens, des
entreprises, des entités, pour leurs besoins, ou ceux de leurs clients, et
parce qu'il n'existe pas d'autres bonnes solutions.



C'est essentiellement la licence qui enferme.




La technique enferme beaucoup plus. La licence enferme théoriquement ; la
technique enferme pratiquement.

2 exemples :
- si tu développes un truc sous XUL, tu seras quasiment coincé sur firefox.
- si tu développes un gros logiciel en Python, tu seras pratiquement
empêché de passer à un autre langage, tel que Delphi, C#, ou Erlang (entre
autres).



cracker les logiciels pour voir comment ils faisaient. Je risquais la
prison




Faux, en Europe ; grâce à la directive européenne sur l'interopérabilité des
logiciels.





En fait, tu milites pour une révolution dure, très orientée, politiquement.
Perso, avant de vouloir tout changer j'aimerais mieux être sûr que le
système proposé soit viable, et laisse suffisamment de liberté aux gens.

Je pense qu'il est préférable d'adapter notre système actuel, et de
développer l'usage mixte, et harmonieux, des logiciels libre et non-libres.
Cela entraînera une émulation entre les solutions, un plus grand choix pour
les utilisateurs ; cela sera source de progrès.



@-salutations

Michel Claveau



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Andréï
Salut et joyeuses fetes,
perso je ne suis pas du genre à taper sur microcrotte, mais faut avouer
qu'en matière de jeux linux est plutot pauvre voir tres tres pauvre.
Donc comme compromis, j'utilise MS avec des logiciels libres ou
gratuit:

mesnews : lecteur de news
firefox : nav web (mais je suis obligé de garder IE quand un illuminé
bloque son site pour qu'il ne soit visible que sur IE)
foxmail : mails
gimp : images
winamp : lecteur multimédia
audacity : traitement musique
maxima : maple like (ou l'inverse? maple = maxima like)
OOo2 : bureautique
firbird, postgresql, sqlite : sgbd
python, gnat, sharpdev, lazarus(j'essaie) : outils de dev
blender pov-ray : 3D
miktex : pour creer de beau documents pdf

Qui connait un particulier qui peux dire qu'il n'a aucun logiciel
piraté sur son ordi (a part moi, je connais personne dans ce cas).
Grace aux logiciels libre, je peux me passer completement de logiciels
piratés. Quand j'ai commencer, le commun des utilisateurs étaient
quasiments obligés d'avoir son dur rempli de logiciels piratés (comme
moi j'avais à l'époque msdos, windows 2.21, turboC, turbopascal, word2,
multiplan). grace aux logiciels libres la donne à changé, il existe une
version windows, pour beaucoups de logiciels libres...
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William Dode
On 27-12-2005, Do Re Mi chel La Si Do wrote:
Bonsoir !



les administrations (et donc nous)




Je crains que tu ne fasses une confusion entre la Nation et l'État...



Qu'est-ce que ça change ? on est à la fois utilisateur et contributeur,
donc concerné.


obligé de verser une rente à une personne déjà multi-milliardaire




ça, c'est simplement de la jalousie. Lorsqu'on paye, soit le prix est
justifié, soit ça ne l'est pas. Que l'argent aille à Tartempion, à une
administration, ou à toi, ne changera rien.


C'est le côté rente surtout qui me gène, le fait d'être coincé.



un logiciel proriétaire n'est rien d'autre qu'une réappropriation des
conaissances communautaires et des subventions publiques par le biais
des écoles.




1) 18 % de l'enseignement français est privé


Ce qui n'empêche pas de recevoir des subventions et de bénéficier de la
culture générale.
N'importe quel enseignement hérite des connaissances générales de la
communauté.

2) les subventions publiques existent essentiellement grâce aux impôts payés
par les entreprises


C'est un moyen de faire circuler l'argent, le problème c'est justement
quand ça ne circule plus, que ce soit l'argent ou les conaissances.

3) un logiciel n'est pas qu'une réappropriation de connaissances ; il y a un
travail important d'étude, de conception, de développement.


L'étude et la conception ne tombent pas du ciel, lorsque tu pose une
question sur un forum et que la réponse te permet de réaliser un
logiciel propriétaire quelque part tu t'approprie une connaissance
publique.
Un truc marrant c'est que d'un côté on voudrait qu'un logiciel soit une
oeuvre de l'esprit inédite pour pouvoir se l'approprier et la breveter
et de l'autre côté au regard de la loi, exceptionnelement, les
réalisations informatiques ne bénéficient pas des mêmes droits que les
autres puisque la paternité de la réalisation d'un salarié sera dévolue
à son employeur.

4) tu oublies une catégorie particulière de logiciels propriétaires : les
logiciels privés. Tous ces logiciels développés par des gens, des
entreprises, des entités, pour leurs besoins, ou ceux de leurs clients, et
parce qu'il n'existe pas d'autres bonnes solutions.


En quoi je les oublie ?




C'est essentiellement la licence qui enferme.




La technique enferme beaucoup plus. La licence enferme théoriquement ; la
technique enferme pratiquement.

2 exemples :
- si tu développes un truc sous XUL, tu seras quasiment coincé sur firefox.
- si tu développes un gros logiciel en Python, tu seras pratiquement
empêché de passer à un autre langage, tel que Delphi, C#, ou Erlang (entre
autres).


Que ça demande du travail certe, mais je ne vois pas en quoi ça enferme.




cracker les logiciels pour voir comment ils faisaient. Je risquais la
prison




Faux, en Europe ; grâce à la directive européenne sur l'interopérabilité des
logiciels.


Depuis quand ? Et encore faut-il disposer des logiciels en question...






En fait, tu milites pour une révolution dure, très orientée, politiquement.


Effectivement j'essaye d'expliquer que le fait qu'un logiciel soit libre
ou propriétaire n'a jamais été un critère technique ni une
fonctionnalité.

Question révolution, ce n'est pas moi qui vais discuter de logiciel
libre sur les forums de microsoft ;-) !

Et je ne vois pas en quoi il est "dur" de pacifiquement boycoter les
logiciels propriétaires en expliquant pourquoi ils sont dangereux et
comment on peut avoir mieux.

Perso, avant de vouloir tout changer j'aimerais mieux être sûr que le
système proposé soit viable, et laisse suffisamment de liberté aux gens.


Les fondements d'unix datant des années 60 et étant utilisé aujourd'hui
dans à peu près tous les domaines de l'embarqué aux plus gros clusters
sous des formes les plus diverses, je ne vois pas ce qu'on peut demander
de plus en terme de viabilité ! Niveau liberté on s'offre même le luxe
de pouvoir utiliser des logiciels libres sur des plateformes non libres,
que demander de plus ?


Je pense qu'il est préférable d'adapter notre système actuel, et de
développer l'usage mixte, et harmonieux, des logiciels libre et non-libres.
Cela entraînera une émulation entre les solutions, un plus grand choix pour
les utilisateurs ; cela sera source de progrès.


Comme je l'ais écris juste au dessus, on peut utiliser la plupart des
logiciels libres sur des plateformes non libres, en revanche l'inverse
est rarement possible, ce qui est assez logique.

--
William Dodé - http://flibuste.net




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Do Re Mi chel La Si Do
Bonsoir !


Je ne suis pas du tout d'accord.

Pour moi, le libre est synonyme de liberté. J'apprécie les logiciels libres,
dont Python, parce qu'ils apportent un degré de liberté supplémentaire aux
utilisateurs.

Donc, pour moi, les logiciels libres n'ont rien à voir avec la dictature
collectiviste dont tu fais l'apologie.

Et, tout utilisateur doit être libre d'utiliser les logiciels qu'il veut,
qu'ils soient des logiciels libres ou des logiciels non libres.


@-salutations

Michel Claveau
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