Bonsoir
L'exécution d'un script Python me renvoie ce message d'erreur :
Microsoft Visual C++ Runtime Library
Runtime Error!
R6025
- pure virtual function call
Evidemment, l'erreur n'est pas interceptée par Python.
Depuis que Python 2.4 est sorti, c'est la 4e fois que j'ai ce genre de chose
; et à chaque fois, dans un contexte différent.
Une idée de solution ?
Bonsoir
L'exécution d'un script Python me renvoie ce message d'erreur :
Microsoft Visual C++ Runtime Library
Runtime Error!
R6025
- pure virtual function call
Evidemment, l'erreur n'est pas interceptée par Python.
Depuis que Python 2.4 est sorti, c'est la 4e fois que j'ai ce genre de chose
; et à chaque fois, dans un contexte différent.
Une idée de solution ?
Bonsoir
L'exécution d'un script Python me renvoie ce message d'erreur :
Microsoft Visual C++ Runtime Library
Runtime Error!
R6025
- pure virtual function call
Evidemment, l'erreur n'est pas interceptée par Python.
Depuis que Python 2.4 est sorti, c'est la 4e fois que j'ai ce genre de chose
; et à chaque fois, dans un contexte différent.
Une idée de solution ?
C'est Noël, il faut passer sous Linux/BSD.
C'est Noël, il faut passer sous Linux/BSD.
C'est Noël, il faut passer sous Linux/BSD.
Bonjour !C'est Noël, il faut passer sous Linux/BSD.
Troller un jour de Noël, il faller oser... ;-)
Plus sérieusement, j'envisagerai une utilisation plus importante de Linux
(et apparentés), le jour où il y aura des fonctionnalités équivalentes. Pour
l'instant, je les réserve à quelques rares cas, pour une utilisation limitée
(qq. serveurs, de l'embarqué, des machines dédiées).
Bonjour !
C'est Noël, il faut passer sous Linux/BSD.
Troller un jour de Noël, il faller oser... ;-)
Plus sérieusement, j'envisagerai une utilisation plus importante de Linux
(et apparentés), le jour où il y aura des fonctionnalités équivalentes. Pour
l'instant, je les réserve à quelques rares cas, pour une utilisation limitée
(qq. serveurs, de l'embarqué, des machines dédiées).
Bonjour !C'est Noël, il faut passer sous Linux/BSD.
Troller un jour de Noël, il faller oser... ;-)
Plus sérieusement, j'envisagerai une utilisation plus importante de Linux
(et apparentés), le jour où il y aura des fonctionnalités équivalentes. Pour
l'instant, je les réserve à quelques rares cas, pour une utilisation limitée
(qq. serveurs, de l'embarqué, des machines dédiées).
Linux est un bon O.S.
Windows est un bon O.S.
Merci.
Linux est un bon O.S.
Windows est un bon O.S.
Merci.
Linux est un bon O.S.
Windows est un bon O.S.
Merci.
Do Re Mi chel La Si Do wrote:Linux est un bon O.S.
Windows est un bon O.S.
Merci.
Note: la suite s'adresse à tous, mais surtout aux linuxiens et à William
Dode, GP.
Passionné par linux depuis un bon nombre d'années, je me suis vite rendu
compte que chaque OS avait à la fois sa vocation et son public, et que ces
deux appréciations variaient d'un utilisateur à l'autre, d'une utilisation
à l'autre.
On choisit son OS pour des raisons très nombreuses, très variables et toutes
très bonnes: philosophiques, économiques, pratiques, et j'en oublie
sûrement.
Toutes ces raisons sont aussi bonnes les unes que les autres.
La seule qui
me fasse vraiment réagir actuellement, c'est la méconnaissance de
l'existant.
Dès que j'ai compris ça, j'ai arrêté de faire du « forcing » auprès de mes
proches. Actuellement, je me limite à simplement leur signaler l'existence
des alternatives (surtout firefox et OOo, un peu moins linux, gimp,
gaim, ...), et ça marche très bien. Cela laisse aux gens la possibilité de
choisir ce qui fonctionne le mieux pour *eux*. Choisir en connaissance de
cause, c'est ce pour quoi il faut se battre aujourd'hui.
Windows n'enferme personne, si on sait faire attention. C'est là-dessus que
je base mes argumentaires. Ce sont les formats de fichiers, les protocoles,
voire même les langages, qui enferment.
On peut être « pro-Logiciels Libres » sans être « anti-Logiciels
Propriétaires, » et c'est de cette manière qu'on aura droit à un minimum de
crédibilité. Cracher sur MS n'apportera jamais rien.
Le logiciel ne met pas en prison ! C'est ce qu'on lui laisse faire sans
réfléchir (ou sans savoir) qui risque de nous ôter notre liberté. La
différence est de taille, et je pense que Michel est parfaitement capable
de la faire.
Ne tentons pas de remplacer un non-choix par un un autre, s'il vous plaît.
La force est toujours dans la diversité.
Do Re Mi chel La Si Do wrote:
Linux est un bon O.S.
Windows est un bon O.S.
Merci.
Note: la suite s'adresse à tous, mais surtout aux linuxiens et à William
Dode, GP.
Passionné par linux depuis un bon nombre d'années, je me suis vite rendu
compte que chaque OS avait à la fois sa vocation et son public, et que ces
deux appréciations variaient d'un utilisateur à l'autre, d'une utilisation
à l'autre.
On choisit son OS pour des raisons très nombreuses, très variables et toutes
très bonnes: philosophiques, économiques, pratiques, et j'en oublie
sûrement.
Toutes ces raisons sont aussi bonnes les unes que les autres.
La seule qui
me fasse vraiment réagir actuellement, c'est la méconnaissance de
l'existant.
Dès que j'ai compris ça, j'ai arrêté de faire du « forcing » auprès de mes
proches. Actuellement, je me limite à simplement leur signaler l'existence
des alternatives (surtout firefox et OOo, un peu moins linux, gimp,
gaim, ...), et ça marche très bien. Cela laisse aux gens la possibilité de
choisir ce qui fonctionne le mieux pour *eux*. Choisir en connaissance de
cause, c'est ce pour quoi il faut se battre aujourd'hui.
Windows n'enferme personne, si on sait faire attention. C'est là-dessus que
je base mes argumentaires. Ce sont les formats de fichiers, les protocoles,
voire même les langages, qui enferment.
On peut être « pro-Logiciels Libres » sans être « anti-Logiciels
Propriétaires, » et c'est de cette manière qu'on aura droit à un minimum de
crédibilité. Cracher sur MS n'apportera jamais rien.
Le logiciel ne met pas en prison ! C'est ce qu'on lui laisse faire sans
réfléchir (ou sans savoir) qui risque de nous ôter notre liberté. La
différence est de taille, et je pense que Michel est parfaitement capable
de la faire.
Ne tentons pas de remplacer un non-choix par un un autre, s'il vous plaît.
La force est toujours dans la diversité.
Do Re Mi chel La Si Do wrote:Linux est un bon O.S.
Windows est un bon O.S.
Merci.
Note: la suite s'adresse à tous, mais surtout aux linuxiens et à William
Dode, GP.
Passionné par linux depuis un bon nombre d'années, je me suis vite rendu
compte que chaque OS avait à la fois sa vocation et son public, et que ces
deux appréciations variaient d'un utilisateur à l'autre, d'une utilisation
à l'autre.
On choisit son OS pour des raisons très nombreuses, très variables et toutes
très bonnes: philosophiques, économiques, pratiques, et j'en oublie
sûrement.
Toutes ces raisons sont aussi bonnes les unes que les autres.
La seule qui
me fasse vraiment réagir actuellement, c'est la méconnaissance de
l'existant.
Dès que j'ai compris ça, j'ai arrêté de faire du « forcing » auprès de mes
proches. Actuellement, je me limite à simplement leur signaler l'existence
des alternatives (surtout firefox et OOo, un peu moins linux, gimp,
gaim, ...), et ça marche très bien. Cela laisse aux gens la possibilité de
choisir ce qui fonctionne le mieux pour *eux*. Choisir en connaissance de
cause, c'est ce pour quoi il faut se battre aujourd'hui.
Windows n'enferme personne, si on sait faire attention. C'est là-dessus que
je base mes argumentaires. Ce sont les formats de fichiers, les protocoles,
voire même les langages, qui enferment.
On peut être « pro-Logiciels Libres » sans être « anti-Logiciels
Propriétaires, » et c'est de cette manière qu'on aura droit à un minimum de
crédibilité. Cracher sur MS n'apportera jamais rien.
Le logiciel ne met pas en prison ! C'est ce qu'on lui laisse faire sans
réfléchir (ou sans savoir) qui risque de nous ôter notre liberté. La
différence est de taille, et je pense que Michel est parfaitement capable
de la faire.
Ne tentons pas de remplacer un non-choix par un un autre, s'il vous plaît.
La force est toujours dans la diversité.
les administrations (et donc nous)
obligé de verser une rente à une personne déjà multi-milliardaire
un logiciel proriétaire n'est rien d'autre qu'une réappropriation des
conaissances communautaires et des subventions publiques par le biais
des écoles.
C'est essentiellement la licence qui enferme.
cracker les logiciels pour voir comment ils faisaient. Je risquais la
prison
les administrations (et donc nous)
obligé de verser une rente à une personne déjà multi-milliardaire
un logiciel proriétaire n'est rien d'autre qu'une réappropriation des
conaissances communautaires et des subventions publiques par le biais
des écoles.
C'est essentiellement la licence qui enferme.
cracker les logiciels pour voir comment ils faisaient. Je risquais la
prison
les administrations (et donc nous)
obligé de verser une rente à une personne déjà multi-milliardaire
un logiciel proriétaire n'est rien d'autre qu'une réappropriation des
conaissances communautaires et des subventions publiques par le biais
des écoles.
C'est essentiellement la licence qui enferme.
cracker les logiciels pour voir comment ils faisaient. Je risquais la
prison
Bonsoir !les administrations (et donc nous)
Je crains que tu ne fasses une confusion entre la Nation et l'État...
obligé de verser une rente à une personne déjà multi-milliardaire
ça, c'est simplement de la jalousie. Lorsqu'on paye, soit le prix est
justifié, soit ça ne l'est pas. Que l'argent aille à Tartempion, à une
administration, ou à toi, ne changera rien.
un logiciel proriétaire n'est rien d'autre qu'une réappropriation des
conaissances communautaires et des subventions publiques par le biais
des écoles.
1) 18 % de l'enseignement français est privé
2) les subventions publiques existent essentiellement grâce aux impôts payés
par les entreprises
3) un logiciel n'est pas qu'une réappropriation de connaissances ; il y a un
travail important d'étude, de conception, de développement.
4) tu oublies une catégorie particulière de logiciels propriétaires : les
logiciels privés. Tous ces logiciels développés par des gens, des
entreprises, des entités, pour leurs besoins, ou ceux de leurs clients, et
parce qu'il n'existe pas d'autres bonnes solutions.
C'est essentiellement la licence qui enferme.
La technique enferme beaucoup plus. La licence enferme théoriquement ; la
technique enferme pratiquement.
2 exemples :
- si tu développes un truc sous XUL, tu seras quasiment coincé sur firefox.
- si tu développes un gros logiciel en Python, tu seras pratiquement
empêché de passer à un autre langage, tel que Delphi, C#, ou Erlang (entre
autres).
cracker les logiciels pour voir comment ils faisaient. Je risquais la
prison
Faux, en Europe ; grâce à la directive européenne sur l'interopérabilité des
logiciels.
En fait, tu milites pour une révolution dure, très orientée, politiquement.
Perso, avant de vouloir tout changer j'aimerais mieux être sûr que le
système proposé soit viable, et laisse suffisamment de liberté aux gens.
Je pense qu'il est préférable d'adapter notre système actuel, et de
développer l'usage mixte, et harmonieux, des logiciels libre et non-libres.
Cela entraînera une émulation entre les solutions, un plus grand choix pour
les utilisateurs ; cela sera source de progrès.
Bonsoir !
les administrations (et donc nous)
Je crains que tu ne fasses une confusion entre la Nation et l'État...
obligé de verser une rente à une personne déjà multi-milliardaire
ça, c'est simplement de la jalousie. Lorsqu'on paye, soit le prix est
justifié, soit ça ne l'est pas. Que l'argent aille à Tartempion, à une
administration, ou à toi, ne changera rien.
un logiciel proriétaire n'est rien d'autre qu'une réappropriation des
conaissances communautaires et des subventions publiques par le biais
des écoles.
1) 18 % de l'enseignement français est privé
2) les subventions publiques existent essentiellement grâce aux impôts payés
par les entreprises
3) un logiciel n'est pas qu'une réappropriation de connaissances ; il y a un
travail important d'étude, de conception, de développement.
4) tu oublies une catégorie particulière de logiciels propriétaires : les
logiciels privés. Tous ces logiciels développés par des gens, des
entreprises, des entités, pour leurs besoins, ou ceux de leurs clients, et
parce qu'il n'existe pas d'autres bonnes solutions.
C'est essentiellement la licence qui enferme.
La technique enferme beaucoup plus. La licence enferme théoriquement ; la
technique enferme pratiquement.
2 exemples :
- si tu développes un truc sous XUL, tu seras quasiment coincé sur firefox.
- si tu développes un gros logiciel en Python, tu seras pratiquement
empêché de passer à un autre langage, tel que Delphi, C#, ou Erlang (entre
autres).
cracker les logiciels pour voir comment ils faisaient. Je risquais la
prison
Faux, en Europe ; grâce à la directive européenne sur l'interopérabilité des
logiciels.
En fait, tu milites pour une révolution dure, très orientée, politiquement.
Perso, avant de vouloir tout changer j'aimerais mieux être sûr que le
système proposé soit viable, et laisse suffisamment de liberté aux gens.
Je pense qu'il est préférable d'adapter notre système actuel, et de
développer l'usage mixte, et harmonieux, des logiciels libre et non-libres.
Cela entraînera une émulation entre les solutions, un plus grand choix pour
les utilisateurs ; cela sera source de progrès.
Bonsoir !les administrations (et donc nous)
Je crains que tu ne fasses une confusion entre la Nation et l'État...
obligé de verser une rente à une personne déjà multi-milliardaire
ça, c'est simplement de la jalousie. Lorsqu'on paye, soit le prix est
justifié, soit ça ne l'est pas. Que l'argent aille à Tartempion, à une
administration, ou à toi, ne changera rien.
un logiciel proriétaire n'est rien d'autre qu'une réappropriation des
conaissances communautaires et des subventions publiques par le biais
des écoles.
1) 18 % de l'enseignement français est privé
2) les subventions publiques existent essentiellement grâce aux impôts payés
par les entreprises
3) un logiciel n'est pas qu'une réappropriation de connaissances ; il y a un
travail important d'étude, de conception, de développement.
4) tu oublies une catégorie particulière de logiciels propriétaires : les
logiciels privés. Tous ces logiciels développés par des gens, des
entreprises, des entités, pour leurs besoins, ou ceux de leurs clients, et
parce qu'il n'existe pas d'autres bonnes solutions.
C'est essentiellement la licence qui enferme.
La technique enferme beaucoup plus. La licence enferme théoriquement ; la
technique enferme pratiquement.
2 exemples :
- si tu développes un truc sous XUL, tu seras quasiment coincé sur firefox.
- si tu développes un gros logiciel en Python, tu seras pratiquement
empêché de passer à un autre langage, tel que Delphi, C#, ou Erlang (entre
autres).
cracker les logiciels pour voir comment ils faisaient. Je risquais la
prison
Faux, en Europe ; grâce à la directive européenne sur l'interopérabilité des
logiciels.
En fait, tu milites pour une révolution dure, très orientée, politiquement.
Perso, avant de vouloir tout changer j'aimerais mieux être sûr que le
système proposé soit viable, et laisse suffisamment de liberté aux gens.
Je pense qu'il est préférable d'adapter notre système actuel, et de
développer l'usage mixte, et harmonieux, des logiciels libre et non-libres.
Cela entraînera une émulation entre les solutions, un plus grand choix pour
les utilisateurs ; cela sera source de progrès.