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chauffe permanente

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iel B
J'ai un NAD 306 depuis une dizaine d'années Ok.
Ayant lu il y a deja longtemps que les banc d'essais des magazines
s'effectuaient generalement après 24 heures de chauffe necessaire à
l'obtention du meilleur resultat, j'ai pris l'habitude de ne JAMAIS eteindre
mon ampli............
Toutefois qd j'ai dit il y qq jours à mon technicien télé que je procedais
de la sorte il m'a conseillé de ne plus poursuivre dans cette voie car celà
usait les composants même sans signal et potentiometre à zero...............
Qui pourra me donner un avis là-dessus?
Merci de vos reponses.

--
D@niel B.

10 réponses

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Matthieu Villeneuve
MELMOTH a écrit :
Ce cher mammifère du nom de Matthieu Villeneuve nous susurrait, le mardi
20/06/2006, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand
même, et dans le message <4497998e$0$25495$, les
doux mélismes suivants :

Et voila !



Je suppose que tu te crois drôle ?...



Pourquoi cette question ?


--
Matthieu Villeneuve
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albert
Bonjour,

A vous lire, j'entends Le Funeste reprocher à Achille Talon une
évidence. Et pourtant, depuis que je vis dans les montagnes, avec des orages
féroces, je me dis, merde, un orage arrive, il va falloir éteindre l'ampli.
Un 250 Naim, ca ronronne en silence et permet d'écouter Mozart. Oui !
Seulement quand il est chaud. Et c'est sûr, au bout de vingt ans, il vaut
mieux changer les condos. Je ne voudrais pas être méchant, devant l'ampli,
il y a une LP12 Linn, avec du vinyl, c'est peut-être pour cela que je sens
la différence entre chaud et froid. Allez, allez, on va dire que depuis
l'apparition des lecteursd cd, les fabriquants d'ampli ont arrêté de faire
des efforts, avec une source pourrie, à quoi bon. Et ont-ils fait des
progrès ? Pas vraiment. Sur les forums Naim, on regrette un peu le son
d'avant. Héhé ! Je suis un vieux con vintage, avec des oreilles fatiguées,
c'est sûr, et je sens encore très bien la différence, pourtant. C'est
qu'elle est vraiment importante. Ahaha ! Byby !

Amitiés,
albert
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Photographies imaginaires :
http://perso.wanadoo.fr/albert.lemoine
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bluebart
Ben Albert chauffe pas

Y'a pa les uns contre les autres
Si le naim doit rester allumé tout le temps dans le jardin pourquoi
pas...
Quand à dire que les lecteurs cd c'est pourri, ne soit pas si
sectaire, là il y a des
progrès sur les convertisseurs, là sur la psychoacoustique, ici sur
la prise de son, mais faire la guéguerre numérique/analogique, c'est
à la mode, cela fait branché, cela se la pète haut grave, mais il
n'y a que très peu de gus qui peuvent régler un studer correct.
PI Albert pour moi ce qui compte le plus c'est le couple ingé/musicien
et là, ni numérique ni analogique mais des outils au service de la
production...
Donc Albert je résume simple-grave : bon musicien + bon ingénieur =
bon traitement = bonne écoute, du moment que le boutonneux du
marketing ne touche à rien....(Pour le reste c'est: je roule sur
autoroute et c'est mieux en Mercédes 600 qu'en Twingo, des chaîne
y'en a 30 euros et à 15 000...Ce n'est pas comparable...)
Il y a un bon couple en ce moment c'est le numérique avec ampli ou
préampli à tube, y'a même des fabriquants qui se lancent sur l'ampli
"transitube" sorte d'ampli doux qui arrange les transitions
hyper-rapides du numérique...des couples blackgate /goldring (sorte de
résistance à 10/15 euros pièce) et là ce n'est plus un ampli c'est
un instrument de musique.... peut être même des soudures à l'argent
béni va t'en savoir Albert....
de toute façon vive la musique...même à la montagne...
cdlmnt
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Pierre Maurette
albert, le 30/06/2006 a écrit :
[...]
il y a une LP12 Linn, avec du vinyl, c'est peut-être pour cela que je sens
la différence entre chaud et froid.



Je ne serais pas étonné que la cellule, qu'elle soit MM ou MC, soit
l'élément le plus sensible à la température ambiante. En tous cas pour
les montages que je connais, qui sont tous basés sur l'enfichage de la
pointe dans une matière élastique.
D'autant que contrairement à une électronique, la température de cette
suspension n'a aucune raison d'évoluer à l'utilisation.

(ce n'est pas une réponse au message de albert, juste une remarque)

--
Pierre Maurette
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albert
Bonjour bluebart,

"bluebart" a écrit :
bon musicien + bon ingénieur bon traitement = bonne écoute

Tout à fait d'accord avec toi. De toute façon, je n'y connais rien, je
ne suis ni ingénieur ni musicien, juste un peu mélomane. Cela fait des
années que j'écoute de temps à autre des sources numériques, pour voir,
façon de parler, si il y a des progrès. Oui, petit à petit, mais je ne suis
toujours pas convaincu. C'est sans doute une question d'habitude, très
subjective. Au sujet de l'enregistrement lui même, la aussi , difficile de
trouver le CD valable, parmi tant de trucs foireux. Avec le vinyle, c'était
pareil, quoique... Pour ce qui est du chaud et froid, qu'importe la source
(je voulais juste titiller un peu), c'est que les discours dans le fil
m'avaient un peu énervé, je le regrette, car il faut toujours rester aimable
et gentil. Et je reste sur l'évidence : A froid, cela ne marche pas, si on
ne sait pas faire le différence, il faudrait se poser des questions, mais au
fait, chacun son truc, hein ! C'est comme un type qui voulait me vendre des
super enceintes Thiel, enfin, je ne me souviens plus de l'orthographe, mais
je me souviens très bien du son merveilleux qu'elle délivraient, précis,
chirurgical, oui, j'avais comme l'impression d'être sur une table
d'opération. Il y en a qui aiment ça, encore une fois, chacun son truc.

Amitiés,
albert
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Pierre Maurette
albert, le 30/06/2006 a écrit :
[...]
je me souviens très bien du son merveilleux qu'elle délivraient, précis,
chirurgical, oui, j'avais comme l'impression d'être sur une table
d'opération. Il y en a qui aiment ça, encore une fois, chacun son truc.



A quoi correspond acoustiquement "l'impression d'être sur une table
d'opération" ?

--
Pierre Maurette
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Nicolas
Pierre Maurette wrote:

A quoi correspond acoustiquement "l'impression d'être sur une table
d'opération" ?



ca doit être quand y' beaucoup de réverbération :p


--
Nicolas
http://www.pbase.com/dishio
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albert
Bonjour,

Non, non, pas du tout . Soyons poète pour une fois. Une machine à coudre
et un parapluie sur une table de dissection. Cela vous rappelle quelque
chose ? Sauf que là, Monsieur Thiel ne rigole pas. C'est une vraie table de
vivisection des oreilles, avec les notes découpées au scalpel ; Mozart, au
triolisme aurait préféré sans l'appât du sexe, un trio plus doux. Pourtant
son cadavre est exquisement ressuscité et nous fait comme un petit rythme
techno, à toute vitesse, mais arrêtez donc, je n'en peux plus.

Vous voyez, cela est très difficile de partager des impressions. Il
faudrait venir boire un café, on discutera et peut-être qu'on écoutera un
peu de musique.

Amitiés,
albert
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Pierre Maurette
albert, le 01/07/2006 a écrit :
Bonjour,

Non, non, pas du tout . Soyons poète pour une fois. Une machine à coudre
et un parapluie sur une table de dissection. Cela vous rappelle quelque
chose ? Sauf que là, Monsieur Thiel ne rigole pas. C'est une vraie table de
vivisection des oreilles, avec les notes découpées au scalpel ; Mozart, au
triolisme aurait préféré sans l'appât du sexe, un trio plus doux. Pourtant
son cadavre est exquisement ressuscité et nous fait comme un petit rythme
techno, à toute vitesse, mais arrêtez donc, je n'en peux plus.

Vous voyez, cela est très difficile de partager des impressions. Il
faudrait venir boire un café, on discutera et peut-être qu'on écoutera un
peu de musique.

Amitiés,
albert
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Macarel ! Grave ... "Soyons poète pour une fois" MDR MDR MDR
Ça se prend pour Lautréamont, et c'est incapable de poéter plus haut
que son cul ...

--
Pierre Maurette
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albert
Bonjour Pierre,


"Pierre Maurette" a écrit :
Macarel ! Grave ... "Soyons poète pour une fois" MDR MDR MDR
Ça se prend pour Lautréamont, et c'est incapable de poéter plus haut
que son cul ...

--
Pierre Maurette





La liberté du langage est parfois déroutante. Je l'en verrais gêné.
Sincères excuses. Toutefois, la vulgarité du propos ne contribue guère à
prendre l'ascendant. Piétinerais-tu la pensée qu'il faudrait, au risque du
ridicule, le faire avec élégance...

PS : Merci pour l'allusion à Lautréamont. Je suis très flatté. Jamais je
n'oserais prétendre atteindre pareil génie. Mais il en reste d'autres...
Hummm ?! Par exemple Mallarmé, que j'affectionnerais plus, et sa pensée
inouïe sur l'imaginaire, comme celle-ci, qui nous ramène (tant mieux) à la
musique et à la notion difficile de l'absence de la chose. La musique comme
la poésie, sont des entités pures, et finalement n'ont besoin de support que
pour être entendues :

«Je dis: une fleur! et, hors de l'oubli où ma voix relègue aucun
contour, en tant que quelque chose d'autre que les calices sus,
musicalement se lève, idée même et suave, l'absente de tous bouquets.»
Mallarmé

Amitiés,
albert
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