J'ai un site internet sur le d=E9partement de l'Yonne. J'y parle des
communes du d=E9partement.
Pour illustrer un =E9v=E8nement de 1964 qui s'est d=E9roul=E9 dans une
commune, j'ai mis trois extraits audios d'un CD, extraites de moins de
20 secondes.
J'ai indiqu=E9 le nom de l'artiste, le nom du fabriquant du Cd et la
mention de copyright.
On vient de me dire que ce CD est un CD pirate : le concert en question
avait =E9t=E9 enregistr=E9 sur magn=E9tophone, l'enregistrement a =E9t=E9
=E9gar=E9 et s'est retrouv=E9 =E9dit=E9 sur CD sans aucune autorisation.
La personne qui m'a inform=E9 est un ayant droit du propri=E9taire du
magn=E9tophone.
Il m'accuse de complicit=E9 avec le diffuseur du CD et assimile les
mentions que j'ai apport=E9es (nom de la bo=EEte de prod et ann=E9e du
copyright) =E0 de la publicit=E9 pour une contrefa=E7on...
A noter qu'on trouve toujours ce disque en vente sur Ebay comme =E9tant
un "collector"...
Dans ce cas, qui est responsable de quoi ? J'ai retir=E9 les morceaux de
musique.
Le Sat, 23 Dec 2006 06:38:37 -0800, bertin.patrick a écrit:
Bonjour,
J'ai un site internet sur le département de l'Yonne. J'y parle des communes du département. Pour illustrer un évènement de 1964 qui s'est déroulé dans une commune, j'ai mis trois extraits audios d'un CD, extraites de moins de 20 secondes. J'ai indiqué le nom de l'artiste, le nom du fabriquant du Cd et la mention de copyright.
On vient de me dire que ce CD est un CD pirate : le concert en question avait été enregistré sur magnétophone, l'enregistrement a été égaré et s'est retrouvé édité sur CD sans aucune autorisation.
La personne qui m'a informé est un ayant droit du propriétaire du magnétophone. Il m'accuse de complicité avec le diffuseur du CD et assimile les mentions que j'ai apportées (nom de la boîte de prod et année du copyright) à de la publicité pour une contrefaçon...
A noter qu'on trouve toujours ce disque en vente sur Ebay comme étant un "collector"...
Dans ce cas, qui est responsable de quoi ? J'ai retiré les morceaux de musique.
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu importent la longueur des extraits ou les attributions.
Amicalement, -- Albert.
Le Sat, 23 Dec 2006 06:38:37 -0800, bertin.patrick a écrit:
Bonjour,
J'ai un site internet sur le département de l'Yonne. J'y parle des
communes du département.
Pour illustrer un évènement de 1964 qui s'est déroulé dans une
commune, j'ai mis trois extraits audios d'un CD, extraites de moins de
20 secondes.
J'ai indiqué le nom de l'artiste, le nom du fabriquant du Cd et la
mention de copyright.
On vient de me dire que ce CD est un CD pirate : le concert en question
avait été enregistré sur magnétophone, l'enregistrement a été
égaré et s'est retrouvé édité sur CD sans aucune autorisation.
La personne qui m'a informé est un ayant droit du propriétaire du
magnétophone.
Il m'accuse de complicité avec le diffuseur du CD et assimile les
mentions que j'ai apportées (nom de la boîte de prod et année du
copyright) à de la publicité pour une contrefaçon...
A noter qu'on trouve toujours ce disque en vente sur Ebay comme étant
un "collector"...
Dans ce cas, qui est responsable de quoi ? J'ai retiré les morceaux de
musique.
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits
sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu
importent la longueur des extraits ou les attributions.
Le Sat, 23 Dec 2006 06:38:37 -0800, bertin.patrick a écrit:
Bonjour,
J'ai un site internet sur le département de l'Yonne. J'y parle des communes du département. Pour illustrer un évènement de 1964 qui s'est déroulé dans une commune, j'ai mis trois extraits audios d'un CD, extraites de moins de 20 secondes. J'ai indiqué le nom de l'artiste, le nom du fabriquant du Cd et la mention de copyright.
On vient de me dire que ce CD est un CD pirate : le concert en question avait été enregistré sur magnétophone, l'enregistrement a été égaré et s'est retrouvé édité sur CD sans aucune autorisation.
La personne qui m'a informé est un ayant droit du propriétaire du magnétophone. Il m'accuse de complicité avec le diffuseur du CD et assimile les mentions que j'ai apportées (nom de la boîte de prod et année du copyright) à de la publicité pour une contrefaçon...
A noter qu'on trouve toujours ce disque en vente sur Ebay comme étant un "collector"...
Dans ce cas, qui est responsable de quoi ? J'ai retiré les morceaux de musique.
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu importent la longueur des extraits ou les attributions.
Amicalement, -- Albert.
Ewa (siostra Ani) N.
Le samedi 23 décembre 2006 à 16:10:39, dans <458d46ee$0$14842$ vous écriviez :
Le Sat, 23 Dec 2006 06:38:37 -0800, bertin.patrick a écrit:
Pour illustrer un évènement de 1964 qui s'est déroulé dans une commune, j'ai mis trois extraits audios d'un CD, extraites de moins de 20 secondes. J'ai indiqué le nom de l'artiste, le nom du fabriquant du Cd et la mention de copyright.
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu importent la longueur des extraits ou les attributions.
Et art. L122-5 du CPI, vous en faites quoi ?
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire : 3º Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l'auteur et la source : a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées"
Alors, pourquoi demander l'autorisation de citer à quelqu'un qui ne peut pas l'interdire ?
Ewcia
-- Niesz
Le samedi 23 décembre 2006 à 16:10:39, dans <458d46ee$0$14842$426a74cc@news.free.fr> vous écriviez :
Le Sat, 23 Dec 2006 06:38:37 -0800, bertin.patrick a écrit:
Pour illustrer un évènement de 1964 qui s'est déroulé dans une
commune, j'ai mis trois extraits audios d'un CD, extraites de moins de
20 secondes.
J'ai indiqué le nom de l'artiste, le nom du fabriquant du Cd et la
mention de copyright.
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits
sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu
importent la longueur des extraits ou les attributions.
Et art. L122-5 du CPI, vous en faites quoi ?
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire :
3º Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l'auteur et la source :
a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère
critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de
l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées"
Alors, pourquoi demander l'autorisation de citer à quelqu'un
qui ne peut pas l'interdire ?
Le samedi 23 décembre 2006 à 16:10:39, dans <458d46ee$0$14842$ vous écriviez :
Le Sat, 23 Dec 2006 06:38:37 -0800, bertin.patrick a écrit:
Pour illustrer un évènement de 1964 qui s'est déroulé dans une commune, j'ai mis trois extraits audios d'un CD, extraites de moins de 20 secondes. J'ai indiqué le nom de l'artiste, le nom du fabriquant du Cd et la mention de copyright.
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu importent la longueur des extraits ou les attributions.
Et art. L122-5 du CPI, vous en faites quoi ?
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire : 3º Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l'auteur et la source : a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées"
Alors, pourquoi demander l'autorisation de citer à quelqu'un qui ne peut pas l'interdire ?
Ewcia
-- Niesz
Albert ARIBAUD
Le Sat, 23 Dec 2006 16:52:40 +0100, Ewa (siostra Ani) N. a écrit:
Le samedi 23 décembre 2006 à 16:10:39, dans <458d46ee$0$14842$ vous écriviez :
Le Sat, 23 Dec 2006 06:38:37 -0800, bertin.patrick a écrit:
Pour illustrer un évènement de 1964 qui s'est déroulé dans une commune, j'ai mis trois extraits audios d'un CD, extraites de moins de 20 secondes. J'ai indiqué le nom de l'artiste, le nom du fabriquant du Cd et la mention de copyright.
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu importent la longueur des extraits ou les attributions.
Et art. L122-5 du CPI, vous en faites quoi ?
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire : 3º Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l'auteur et la source : a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées"
Alors, pourquoi demander l'autorisation de citer à quelqu'un qui ne peut pas l'interdire ?
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sache, il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
Amicalement, -- Albert.
Le Sat, 23 Dec 2006 16:52:40 +0100, Ewa (siostra Ani) N. a écrit:
Le samedi 23 décembre 2006 à 16:10:39, dans <458d46ee$0$14842$426a74cc@news.free.fr> vous écriviez :
Le Sat, 23 Dec 2006 06:38:37 -0800, bertin.patrick a écrit:
Pour illustrer un évènement de 1964 qui s'est déroulé dans une
commune, j'ai mis trois extraits audios d'un CD, extraites de moins de
20 secondes.
J'ai indiqué le nom de l'artiste, le nom du fabriquant du Cd et la
mention de copyright.
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits
sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu
importent la longueur des extraits ou les attributions.
Et art. L122-5 du CPI, vous en faites quoi ?
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire :
3º Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l'auteur et la source :
a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère
critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de
l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées"
Alors, pourquoi demander l'autorisation de citer à quelqu'un
qui ne peut pas l'interdire ?
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sache,
il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères
pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
Le Sat, 23 Dec 2006 16:52:40 +0100, Ewa (siostra Ani) N. a écrit:
Le samedi 23 décembre 2006 à 16:10:39, dans <458d46ee$0$14842$ vous écriviez :
Le Sat, 23 Dec 2006 06:38:37 -0800, bertin.patrick a écrit:
Pour illustrer un évènement de 1964 qui s'est déroulé dans une commune, j'ai mis trois extraits audios d'un CD, extraites de moins de 20 secondes. J'ai indiqué le nom de l'artiste, le nom du fabriquant du Cd et la mention de copyright.
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu importent la longueur des extraits ou les attributions.
Et art. L122-5 du CPI, vous en faites quoi ?
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire : 3º Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l'auteur et la source : a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées"
Alors, pourquoi demander l'autorisation de citer à quelqu'un qui ne peut pas l'interdire ?
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sache, il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
Amicalement, -- Albert.
bertin.patrick
Albert ARIBAUD a écrit :
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sac he, il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
En fait ça se discute : il s'agit d'un cabaret dans l'Yonne. Johnny Hallyday s'y est produit pour la première fois en public alors que ses biographes indiquent une autre date.
Je faisais mention de ce CD pour montrer que non seulement JH s'était produit en public à une autre date que celle indiquée par ses biographes et qu'en plus un CD de collection avait été édité pour se rappeler l'évènement...
Cordialement,
Patrick Bertin
Albert ARIBAUD a écrit :
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sac he,
il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères
pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
En fait ça se discute : il s'agit d'un cabaret dans l'Yonne. Johnny
Hallyday s'y est produit pour la première fois en public alors que ses
biographes indiquent une autre date.
Je faisais mention de ce CD pour montrer que non seulement JH s'était
produit en public à une autre date que celle indiquée par ses
biographes et qu'en plus un CD de collection avait été édité pour
se rappeler l'évènement...
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sac he, il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
En fait ça se discute : il s'agit d'un cabaret dans l'Yonne. Johnny Hallyday s'y est produit pour la première fois en public alors que ses biographes indiquent une autre date.
Je faisais mention de ce CD pour montrer que non seulement JH s'était produit en public à une autre date que celle indiquée par ses biographes et qu'en plus un CD de collection avait été édité pour se rappeler l'évènement...
Cordialement,
Patrick Bertin
Albert ARIBAUD
Le Sat, 23 Dec 2006 08:54:39 -0800, bertin.patrick a écrit:
Albert ARIBAUD a écrit :
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sache, il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
En fait ça se discute : il s'agit d'un cabaret dans l'Yonne. Johnny Hallyday s'y est produit pour la première fois en public alors que ses biographes indiquent une autre date.
Je faisais mention de ce CD pour montrer que non seulement JH s'était produit en public à une autre date que celle indiquée par ses biographes et qu'en plus un CD de collection avait été édité pour se rappeler l'évènement...
Cordialement,
C'est tout le problème : ça se discute, ce qui signifie que seul un juge pourra décider, en l'espèce, s'il y a un caractère d'information (1) ; on ne peut pas être sûr de ce qu'il en dira.
(1) j'exclus ici, suite à la description de l'événement concerné, l'idée d'un caractère pédagogique ou scientifique.
Amicalement, -- Albert.
Le Sat, 23 Dec 2006 08:54:39 -0800, bertin.patrick a écrit:
Albert ARIBAUD a écrit :
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sache,
il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères
pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
En fait ça se discute : il s'agit d'un cabaret dans l'Yonne. Johnny
Hallyday s'y est produit pour la première fois en public alors que ses
biographes indiquent une autre date.
Je faisais mention de ce CD pour montrer que non seulement JH s'était
produit en public à une autre date que celle indiquée par ses
biographes et qu'en plus un CD de collection avait été édité pour
se rappeler l'évènement...
Cordialement,
C'est tout le problème : ça se discute, ce qui signifie que seul un juge
pourra décider, en l'espèce, s'il y a un caractère d'information (1) ;
on ne peut pas être sûr de ce qu'il en dira.
(1) j'exclus ici, suite à la description de l'événement concerné, l'idée
d'un caractère pédagogique ou scientifique.
Le Sat, 23 Dec 2006 08:54:39 -0800, bertin.patrick a écrit:
Albert ARIBAUD a écrit :
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sache, il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
En fait ça se discute : il s'agit d'un cabaret dans l'Yonne. Johnny Hallyday s'y est produit pour la première fois en public alors que ses biographes indiquent une autre date.
Je faisais mention de ce CD pour montrer que non seulement JH s'était produit en public à une autre date que celle indiquée par ses biographes et qu'en plus un CD de collection avait été édité pour se rappeler l'évènement...
Cordialement,
C'est tout le problème : ça se discute, ce qui signifie que seul un juge pourra décider, en l'espèce, s'il y a un caractère d'information (1) ; on ne peut pas être sûr de ce qu'il en dira.
(1) j'exclus ici, suite à la description de l'événement concerné, l'idée d'un caractère pédagogique ou scientifique.
Amicalement, -- Albert.
bertin.patrick
Albert ARIBAUD a écrit :
(1) j'exclus ici, suite à la description de l'événement concerné, l'idée d'un caractère pédagogique ou scientifique.
OK sur ce point (même si l'anecdote est racontée dans plusieurs livres et que le cabaret en question a été réhabilité pour redevenir un centre culturel important dans la région...).
1) La personne qui dit vouloir m'attaquer est le petit fils de l'ex propriétaire du cabaret (qui enregistrait les concerts joués dans son établissement). Ce grand père est toujours vivant, ce n'est pas lui qui menace.
2) On dit vouloir nous attaquer, non pas sur le fait de passer des extraits, mais sur le fait qu'en reprenant les infos portées sur le CD (nom du producteur et date du copyright) nous ferions de la publicité pour le disque.
3) Le disque est toujours en vente sur Ebay, visiblement personne n'a cherché à en faire stopper la vente.
Indiquer qu'un produit existe est-il un moyen de faire sa publicité ?
Qui devrait nous attaquer ? Johnny Hallyday ou la personne qui a fait un enregistrement "sauvage" et qui l'a perdu ou encore le petit-fils de ce dernier ?
Cordialement
Albert ARIBAUD a écrit :
(1) j'exclus ici, suite à la description de l'événement concerné, l'idée
d'un caractère pédagogique ou scientifique.
OK sur ce point (même si l'anecdote est racontée dans plusieurs
livres et que le cabaret en question a été réhabilité pour
redevenir un centre culturel important dans la région...).
1) La personne qui dit vouloir m'attaquer est le petit fils de l'ex
propriétaire du cabaret (qui enregistrait les concerts joués dans son
établissement). Ce grand père est toujours vivant, ce n'est pas lui
qui menace.
2) On dit vouloir nous attaquer, non pas sur le fait de passer des
extraits, mais sur le fait qu'en reprenant les infos portées sur le CD
(nom du producteur et date du copyright) nous ferions de la publicité
pour le disque.
3) Le disque est toujours en vente sur Ebay, visiblement personne n'a
cherché à en faire stopper la vente.
Indiquer qu'un produit existe est-il un moyen de faire sa publicité ?
Qui devrait nous attaquer ? Johnny Hallyday ou la personne qui a fait
un enregistrement "sauvage" et qui l'a perdu ou encore le petit-fils de
ce dernier ?
(1) j'exclus ici, suite à la description de l'événement concerné, l'idée d'un caractère pédagogique ou scientifique.
OK sur ce point (même si l'anecdote est racontée dans plusieurs livres et que le cabaret en question a été réhabilité pour redevenir un centre culturel important dans la région...).
1) La personne qui dit vouloir m'attaquer est le petit fils de l'ex propriétaire du cabaret (qui enregistrait les concerts joués dans son établissement). Ce grand père est toujours vivant, ce n'est pas lui qui menace.
2) On dit vouloir nous attaquer, non pas sur le fait de passer des extraits, mais sur le fait qu'en reprenant les infos portées sur le CD (nom du producteur et date du copyright) nous ferions de la publicité pour le disque.
3) Le disque est toujours en vente sur Ebay, visiblement personne n'a cherché à en faire stopper la vente.
Indiquer qu'un produit existe est-il un moyen de faire sa publicité ?
Qui devrait nous attaquer ? Johnny Hallyday ou la personne qui a fait un enregistrement "sauvage" et qui l'a perdu ou encore le petit-fils de ce dernier ?
Cordialement
Ewa (siostra Ani) N.
Le samedi 23 décembre 2006 à 17:18:36, dans <458d56db$0$8224$ vous écriviez :
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu importent la longueur des extraits ou les attributions.
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire : 3º Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l'auteur et la source : a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées"
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sache, il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
Et "d'information", cela ne vous dit rien ? Il n'est pas informatif ce site Web ?
Il n'y a pas à pinailler, l'esprit de cet article est très clair : vous avez le droit de citer si les citations illustrent votre propre texte. C'est tout, et c'est le cas ici.
Là où l'histoire de Patrick devient intéressante c'est que il a cité, à son insu, quelque chose qui n'a pas été publié par son auteur. Où plutôt qui a été publiée sans son accord. Et là, c'est un autre article du CPI qui s'applique, je vous laisse le retrouver :)
Ewcia
-- Niesz
Le samedi 23 décembre 2006 à 17:18:36, dans <458d56db$0$8224$426a74cc@news.free.fr> vous écriviez :
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits
sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu
importent la longueur des extraits ou les attributions.
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire :
3º Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l'auteur et la source :
a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère
critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de
l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées"
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sache,
il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères
pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
Et "d'information", cela ne vous dit rien ? Il n'est pas informatif
ce site Web ?
Il n'y a pas à pinailler, l'esprit de cet article est très clair :
vous avez le droit de citer si les citations illustrent votre propre
texte. C'est tout, et c'est le cas ici.
Là où l'histoire de Patrick devient intéressante c'est que il a cité,
à son insu, quelque chose qui n'a pas été publié par son auteur. Où
plutôt qui a été publiée sans son accord. Et là, c'est un autre article
du CPI qui s'applique, je vous laisse le retrouver :)
Le samedi 23 décembre 2006 à 17:18:36, dans <458d56db$0$8224$ vous écriviez :
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu importent la longueur des extraits ou les attributions.
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire : 3º Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l'auteur et la source : a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées"
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sache, il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
Et "d'information", cela ne vous dit rien ? Il n'est pas informatif ce site Web ?
Il n'y a pas à pinailler, l'esprit de cet article est très clair : vous avez le droit de citer si les citations illustrent votre propre texte. C'est tout, et c'est le cas ici.
Là où l'histoire de Patrick devient intéressante c'est que il a cité, à son insu, quelque chose qui n'a pas été publié par son auteur. Où plutôt qui a été publiée sans son accord. Et là, c'est un autre article du CPI qui s'applique, je vous laisse le retrouver :)
Ewcia
-- Niesz
Albert ARIBAUD
Le Sat, 23 Dec 2006 10:15:30 -0800, a écrit:
Albert ARIBAUD a écrit :
(1) j'exclus ici, suite à la description de l'événement concerné, l'idée d'un caractère pédagogique ou scientifique.
OK sur ce point (même si l'anecdote est racontée dans plusieurs livres et que le cabaret en question a été réhabilité pour redevenir un centre culturel important dans la région...).
1) La personne qui dit vouloir m'attaquer est le petit fils de l'ex propriétaire du cabaret (qui enregistrait les concerts joués dans son établissement). Ce grand père est toujours vivant, ce n'est pas lui qui menace.
Quels sont les droits du petit-fils ? Si je comprends bien, il s'agit d'un droit patrimonial. De mémoire seul l'auteur d'une oeuvre peut en transmettre des droits à ses descendants. Le grand-père a fixé l'oeuvre, il ne l'a pas créée : il n'en est pas l'auteur. Il a peut-être des droits patrimoniaux sur le phonogramme, mais c'est impossible à dire sans voir le contrat entre l'ayant-droit de l'oeuvre et lui.
2) On dit vouloir nous attaquer, non pas sur le fait de passer des extraits, mais sur le fait qu'en reprenant les infos portées sur le CD (nom du producteur et date du copyright) nous ferions de la publicité pour le disque.
Je ne vois pas à quel article du Code de la Propriété Intellectuelle cela correspond.
3) Le disque est toujours en vente sur Ebay, visiblement personne n'a cherché à en faire stopper la vente.
Ceci n'est pas un argument en soi pour établir le caractère licite des faits, AMA.
Indiquer qu'un produit existe est-il un moyen de faire sa publicité ?
Avant cela, il faut se demander si faire la publicité d'un produit, si tant est que vous la faites, est-il un acte illégal ?
Qui devrait nous attaquer ? Johnny Hallyday ou la personne qui a fait un enregistrement "sauvage" et qui l'a perdu ou encore le petit-fils de ce dernier ?
Difficile à dire, mais plutôt que se demander qui pourrait vous attaquer, contentez-vous d'essayer de savoir quels droits possède si celui qui veut vous attaquer, à savoir le petit-fils de celui qui a enregistré ce concert.
Amicalement, -- Albert.
Le Sat, 23 Dec 2006 10:15:30 -0800, bertin.patrick@free.fr a écrit:
Albert ARIBAUD a écrit :
(1) j'exclus ici, suite à la description de l'événement concerné, l'idée
d'un caractère pédagogique ou scientifique.
OK sur ce point (même si l'anecdote est racontée dans plusieurs
livres et que le cabaret en question a été réhabilité pour
redevenir un centre culturel important dans la région...).
1) La personne qui dit vouloir m'attaquer est le petit fils de l'ex
propriétaire du cabaret (qui enregistrait les concerts joués dans son
établissement). Ce grand père est toujours vivant, ce n'est pas lui
qui menace.
Quels sont les droits du petit-fils ? Si je comprends bien, il s'agit d'un
droit patrimonial. De mémoire seul l'auteur d'une oeuvre peut en
transmettre des droits à ses descendants. Le grand-père a fixé l'oeuvre,
il ne l'a pas créée : il n'en est pas l'auteur. Il a peut-être des droits
patrimoniaux sur le phonogramme, mais c'est impossible à dire sans voir le
contrat entre l'ayant-droit de l'oeuvre et lui.
2) On dit vouloir nous attaquer, non pas sur le fait de passer des
extraits, mais sur le fait qu'en reprenant les infos portées sur le CD
(nom du producteur et date du copyright) nous ferions de la publicité
pour le disque.
Je ne vois pas à quel article du Code de la Propriété Intellectuelle cela
correspond.
3) Le disque est toujours en vente sur Ebay, visiblement personne n'a
cherché à en faire stopper la vente.
Ceci n'est pas un argument en soi pour établir le caractère licite des
faits, AMA.
Indiquer qu'un produit existe est-il un moyen de faire sa publicité ?
Avant cela, il faut se demander si faire la publicité d'un produit, si
tant est que vous la faites, est-il un acte illégal ?
Qui devrait nous attaquer ? Johnny Hallyday ou la personne qui a fait un
enregistrement "sauvage" et qui l'a perdu ou encore le petit-fils de ce
dernier ?
Difficile à dire, mais plutôt que se demander qui pourrait vous attaquer,
contentez-vous d'essayer de savoir quels droits possède si celui qui veut
vous attaquer, à savoir le petit-fils de celui qui a enregistré ce concert.
(1) j'exclus ici, suite à la description de l'événement concerné, l'idée d'un caractère pédagogique ou scientifique.
OK sur ce point (même si l'anecdote est racontée dans plusieurs livres et que le cabaret en question a été réhabilité pour redevenir un centre culturel important dans la région...).
1) La personne qui dit vouloir m'attaquer est le petit fils de l'ex propriétaire du cabaret (qui enregistrait les concerts joués dans son établissement). Ce grand père est toujours vivant, ce n'est pas lui qui menace.
Quels sont les droits du petit-fils ? Si je comprends bien, il s'agit d'un droit patrimonial. De mémoire seul l'auteur d'une oeuvre peut en transmettre des droits à ses descendants. Le grand-père a fixé l'oeuvre, il ne l'a pas créée : il n'en est pas l'auteur. Il a peut-être des droits patrimoniaux sur le phonogramme, mais c'est impossible à dire sans voir le contrat entre l'ayant-droit de l'oeuvre et lui.
2) On dit vouloir nous attaquer, non pas sur le fait de passer des extraits, mais sur le fait qu'en reprenant les infos portées sur le CD (nom du producteur et date du copyright) nous ferions de la publicité pour le disque.
Je ne vois pas à quel article du Code de la Propriété Intellectuelle cela correspond.
3) Le disque est toujours en vente sur Ebay, visiblement personne n'a cherché à en faire stopper la vente.
Ceci n'est pas un argument en soi pour établir le caractère licite des faits, AMA.
Indiquer qu'un produit existe est-il un moyen de faire sa publicité ?
Avant cela, il faut se demander si faire la publicité d'un produit, si tant est que vous la faites, est-il un acte illégal ?
Qui devrait nous attaquer ? Johnny Hallyday ou la personne qui a fait un enregistrement "sauvage" et qui l'a perdu ou encore le petit-fils de ce dernier ?
Difficile à dire, mais plutôt que se demander qui pourrait vous attaquer, contentez-vous d'essayer de savoir quels droits possède si celui qui veut vous attaquer, à savoir le petit-fils de celui qui a enregistré ce concert.
Amicalement, -- Albert.
Albert ARIBAUD
Le Sat, 23 Dec 2006 19:45:59 +0100, Ewa (siostra Ani) N. a écrit:
Le samedi 23 décembre 2006 à 17:18:36, dans <458d56db$0$8224$ vous écriviez :
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu importent la longueur des extraits ou les attributions.
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire : 3º Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l'auteur et la source : a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées"
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sache, il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
Et "d'information", cela ne vous dit rien ? Il n'est pas informatif ce site Web ?
Il ne suffit pas de le dire pour qu'il le soit : c'est au juge qui traitera cette affaire, si elle va jusque là, de décider du caractère informatif ou non.
Il n'y a pas à pinailler, l'esprit de cet article est très clair : vous avez le droit de citer si les citations illustrent votre propre texte. C'est tout, et c'est le cas ici.
Malheureusement pour l'esprit de l'article, les juges, eux, l'interprètent assez strictement ; il faut se rappeler que c'est une exception à un droit, et non un droit en soi--et encore, on n'a pas évoqué la question douloureuse de l'ajout fait via DADVSI, à savoir que l'exception ne doit pas porter atteinte aux intérêts de l'ayant-droit.
Là où l'histoire de Patrick devient intéressante c'est que il a cité, à son insu, quelque chose qui n'a pas été publié par son auteur. Où plutôt qui a été publiée sans son accord. Et là, c'est un autre article du CPI qui s'applique, je vous laisse le retrouver :)
Je ne joue pas aux devinettes.
Amicalement, -- Albert.
Le Sat, 23 Dec 2006 19:45:59 +0100, Ewa (siostra Ani) N. a écrit:
Le samedi 23 décembre 2006 à 17:18:36, dans <458d56db$0$8224$426a74cc@news.free.fr> vous écriviez :
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits
sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu
importent la longueur des extraits ou les attributions.
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire :
3º Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l'auteur et la source :
a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère
critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de
l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées"
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sache,
il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères
pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
Et "d'information", cela ne vous dit rien ? Il n'est pas informatif
ce site Web ?
Il ne suffit pas de le dire pour qu'il le soit : c'est au juge qui
traitera cette affaire, si elle va jusque là, de décider du caractère
informatif ou non.
Il n'y a pas à pinailler, l'esprit de cet article est très clair : vous
avez le droit de citer si les citations illustrent votre propre texte.
C'est tout, et c'est le cas ici.
Malheureusement pour l'esprit de l'article, les juges, eux, l'interprètent
assez strictement ; il faut se rappeler que c'est une exception à un
droit, et non un droit en soi--et encore, on n'a pas évoqué la question
douloureuse de l'ajout fait via DADVSI, à savoir que l'exception ne doit
pas porter atteinte aux intérêts de l'ayant-droit.
Là où l'histoire de Patrick devient intéressante c'est que il a cité, à
son insu, quelque chose qui n'a pas été publié par son auteur. Où plutôt
qui a été publiée sans son accord. Et là, c'est un autre article du CPI
qui s'applique, je vous laisse le retrouver :)
Le Sat, 23 Dec 2006 19:45:59 +0100, Ewa (siostra Ani) N. a écrit:
Le samedi 23 décembre 2006 à 17:18:36, dans <458d56db$0$8224$ vous écriviez :
Quelle que soit la source que vous auriez prise, en publier des extraits sans l'autorisation de l'auteur ou de l'ayant droit était illégal, peu importent la longueur des extraits ou les attributions.
"Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire : 3º Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l'auteur et la source : a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d'information de l'oeuvre à laquelle elles sont incorporées"
Parce qu'il faut que le 3a du L.122-5 s'applique, et qu'à ce que je sache, il ne s'agit pas ici de critique ou de polémique, et les caractères pédagogique, scientifique ou d'information ne sont pas acquis.
Et "d'information", cela ne vous dit rien ? Il n'est pas informatif ce site Web ?
Il ne suffit pas de le dire pour qu'il le soit : c'est au juge qui traitera cette affaire, si elle va jusque là, de décider du caractère informatif ou non.
Il n'y a pas à pinailler, l'esprit de cet article est très clair : vous avez le droit de citer si les citations illustrent votre propre texte. C'est tout, et c'est le cas ici.
Malheureusement pour l'esprit de l'article, les juges, eux, l'interprètent assez strictement ; il faut se rappeler que c'est une exception à un droit, et non un droit en soi--et encore, on n'a pas évoqué la question douloureuse de l'ajout fait via DADVSI, à savoir que l'exception ne doit pas porter atteinte aux intérêts de l'ayant-droit.
Là où l'histoire de Patrick devient intéressante c'est que il a cité, à son insu, quelque chose qui n'a pas été publié par son auteur. Où plutôt qui a été publiée sans son accord. Et là, c'est un autre article du CPI qui s'applique, je vous laisse le retrouver :)
Je ne joue pas aux devinettes.
Amicalement, -- Albert.
Ewa (siostra Ani) N.
Le samedi 23 décembre 2006 à 20:18:06, dans <458d80ee$0$28207$ vous écriviez :
Malheureusement pour l'esprit de l'article, les juges, eux, l'interprètent assez strictement ; il faut se rappeler que c'est une exception à un droit, et non un droit en soi--et encore, on n'a pas évoqué la question douloureuse de l'ajout fait via DADVSI, à savoir que l'exception ne doit pas porter atteinte aux intérêts de l'ayant-droit.
Si vous permettez... ne faites pas du boudin (c'est Noêl) avec le CPI. Vous confondez DADVSI avec CPI et le droit de citation avec le droit à la copie privée.
Le droit de citation ne relève pas d'une exception quelconque mais tout simplement de liberté d'expression.
Là où l'histoire de Patrick devient intéressante c'est que il a cité, à son insu, quelque chose qui n'a pas été publié par son auteur. Où plutôt qui a été publiée sans son accord. Et là, c'est un autre article du CPI qui s'applique, je vous laisse le retrouver :)
Je ne joue pas aux devinettes.
Je ne vous demande pas de deviner :)
C'est le L121-2. Sur ce, je retourne à mes casseroles.
Ewcia
-- Niesz
Le samedi 23 décembre 2006 à 20:18:06, dans <458d80ee$0$28207$426a74cc@news.free.fr> vous écriviez :
Malheureusement pour l'esprit de l'article, les juges, eux, l'interprètent
assez strictement ; il faut se rappeler que c'est une exception à un
droit, et non un droit en soi--et encore, on n'a pas évoqué la question
douloureuse de l'ajout fait via DADVSI, à savoir que l'exception ne doit
pas porter atteinte aux intérêts de l'ayant-droit.
Si vous permettez... ne faites pas du boudin (c'est Noêl) avec le CPI. Vous
confondez DADVSI avec CPI et le droit de citation avec le droit à la
copie privée.
Le droit de citation ne relève pas d'une exception quelconque mais
tout simplement de liberté d'expression.
Là où l'histoire de Patrick devient intéressante c'est que il a cité, à
son insu, quelque chose qui n'a pas été publié par son auteur. Où plutôt
qui a été publiée sans son accord. Et là, c'est un autre article du CPI
qui s'applique, je vous laisse le retrouver :)
Je ne joue pas aux devinettes.
Je ne vous demande pas de deviner :)
C'est le L121-2. Sur ce, je retourne à mes casseroles.
Le samedi 23 décembre 2006 à 20:18:06, dans <458d80ee$0$28207$ vous écriviez :
Malheureusement pour l'esprit de l'article, les juges, eux, l'interprètent assez strictement ; il faut se rappeler que c'est une exception à un droit, et non un droit en soi--et encore, on n'a pas évoqué la question douloureuse de l'ajout fait via DADVSI, à savoir que l'exception ne doit pas porter atteinte aux intérêts de l'ayant-droit.
Si vous permettez... ne faites pas du boudin (c'est Noêl) avec le CPI. Vous confondez DADVSI avec CPI et le droit de citation avec le droit à la copie privée.
Le droit de citation ne relève pas d'une exception quelconque mais tout simplement de liberté d'expression.
Là où l'histoire de Patrick devient intéressante c'est que il a cité, à son insu, quelque chose qui n'a pas été publié par son auteur. Où plutôt qui a été publiée sans son accord. Et là, c'est un autre article du CPI qui s'applique, je vous laisse le retrouver :)
Je ne joue pas aux devinettes.
Je ne vous demande pas de deviner :)
C'est le L121-2. Sur ce, je retourne à mes casseroles.