Nos journaleux télé nous le diront-ils ? http://minilien.com/?7vIJWIikEF
Le type pousse aussi, demander le paiement des heures sup. Encore un gauchiste!
-- PARIS (AFP) - Renvoyé pour avoir réclamé le paiement de ses "heures sup", être tombé malade ou s'être promené en jogging : six mois après la création du contrat nouvelle embauche (CNE), les premiers dossiers de salariés contestant leur licenciement arrivent aux Prud'hommes, selon les syndicats. "Nous suivons déjà une dizaine de dossiers : les premiers jugements interviendront dans trois ou quatre mois", explique le responsable du service juridique de la CFDT, Didier Cochuat.
"Pour le moment ce sont des licenciements pour l'exemple, destinés à bien faire comprendre aux salariés de l'entreprise qu'ils doivent être malléables et corvéables à merci", estime-t-il.
Les autres syndicats commencent, eux aussi à voir affluer les dossiers, à Créteil, Aix-en-Provence, Bordeaux ou Lyon.
Ici, c'est un employé remercié pour dix minutes de retard, là une jeune femme licenciée quelques jours après avoir annoncé sa grossesse. Très souvent, les salariés sont renvoyés après avoir réclamé le paiement d'heures supplémentaires.
La CGT évoque le cas d'un salarié licencié après avoir prévenu son patron qu'il devait se faire opérer. La CFTC a reçu l'appel d'un boucher du nord de la France renvoyé pour avoir fait ses courses "en jogging", un jour de repos, dans le supermarché où il travaille habituellement.
Entré en vigueur en août, le CNE est réservé aux entreprises employant jusqu'à 20 personnes. Signe particulier: au cours des deux premières années, l'employeur peut licencier son salarié sans justifier sa décision. Au delà, il devient un contrat à durée indéterminée (CDI) normal.
"Le gros des ruptures devrait intervenir entre le 15e et le 20e mois", lorsque certains patrons vont vouloir se séparer de leurs employés juste avant que le CNE ne bascule en CDI, prévient M. Cochuat, qui s'attend à une "multiplication du contentieux".
Il est "difficile" de faire émerger les plaintes car le CNE concerne des salariés "peu syndiqués, à qui on a martelé qu'ils n'avaient aucun droit", indique Philippe Masson, responsable juridique de la CGT.
Autre difficulté: contrairement à un CDI ou un CDD, c'est au salarié de prouver que son licenciement est abusif.
Les syndicats doivent donc former leurs représentants aux prud'hommes à cette nouvelle forme de procédure.
"On va utiliser à fond l'argument des motifs de licenciements illégaux (discrimination, femmes enceintes, etc)", explique M. Masson. "A partir du moment où on leur fournit quelques indices troublants, les Prud'hommes ont un pouvoir d'investigation assez large", souligne-t-il.
"Perversion du système: l'ignorance du motif du licenciement va contraindre le salarié désirant le connaître à assigner presque systématiquement en justice son employeur", ont mis en garde des juristes en droit du travail, samedi, dans une tribune au Monde.
"Les nouveaux contrats, CNE et CPE, accroissent l'insécurité sociale sans mettre les entreprises à l'abri des procédures judiciaires", ont-ils prévenu.
"Les employeurs vont déchanter", prédit le secrétaire général de la CFDT François Chérèque.
Le risque de contentieux est d'autant plus important que les tribunaux auront, dans un premier temps à statuer sur la légalité même du CNE et de sa période de "consolidation des droits" de deux ans.
"Il y a des ambiguïtés et ce sont les tribunaux qui vont être amenés à prendre position dessus. Même le Conseil d'Etat l'a reconnu: ces dossiers iront jusqu'à la Cour de cassation", prévient déjà le secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly.
Plouf wrote:
Nos journaleux télé nous le diront-ils ?
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Le type pousse aussi, demander le paiement des heures sup.
Encore un gauchiste!
--
PARIS (AFP) - Renvoyé pour avoir réclamé le paiement de ses "heures
sup", être tombé malade ou s'être promené en jogging : six mois après la
création du contrat nouvelle embauche (CNE), les premiers dossiers de
salariés contestant leur licenciement arrivent aux Prud'hommes, selon
les syndicats.
"Nous suivons déjà une dizaine de dossiers : les premiers jugements
interviendront dans trois ou quatre mois", explique le responsable du
service juridique de la CFDT, Didier Cochuat.
"Pour le moment ce sont des licenciements pour l'exemple, destinés à
bien faire comprendre aux salariés de l'entreprise qu'ils doivent être
malléables et corvéables à merci", estime-t-il.
Les autres syndicats commencent, eux aussi à voir affluer les dossiers,
à Créteil, Aix-en-Provence, Bordeaux ou Lyon.
Ici, c'est un employé remercié pour dix minutes de retard, là une jeune
femme licenciée quelques jours après avoir annoncé sa grossesse. Très
souvent, les salariés sont renvoyés après avoir réclamé le paiement
d'heures supplémentaires.
La CGT évoque le cas d'un salarié licencié après avoir prévenu son
patron qu'il devait se faire opérer. La CFTC a reçu l'appel d'un boucher
du nord de la France renvoyé pour avoir fait ses courses "en jogging",
un jour de repos, dans le supermarché où il travaille habituellement.
Entré en vigueur en août, le CNE est réservé aux entreprises employant
jusqu'à 20 personnes. Signe particulier: au cours des deux premières
années, l'employeur peut licencier son salarié sans justifier sa
décision. Au delà, il devient un contrat à durée indéterminée (CDI) normal.
"Le gros des ruptures devrait intervenir entre le 15e et le 20e mois",
lorsque certains patrons vont vouloir se séparer de leurs employés juste
avant que le CNE ne bascule en CDI, prévient M. Cochuat, qui s'attend à
une "multiplication du contentieux".
Il est "difficile" de faire émerger les plaintes car le CNE concerne des
salariés "peu syndiqués, à qui on a martelé qu'ils n'avaient aucun
droit", indique Philippe Masson, responsable juridique de la CGT.
Autre difficulté: contrairement à un CDI ou un CDD, c'est au salarié de
prouver que son licenciement est abusif.
Les syndicats doivent donc former leurs représentants aux prud'hommes à
cette nouvelle forme de procédure.
"On va utiliser à fond l'argument des motifs de licenciements illégaux
(discrimination, femmes enceintes, etc)", explique M. Masson. "A partir
du moment où on leur fournit quelques indices troublants, les
Prud'hommes ont un pouvoir d'investigation assez large", souligne-t-il.
"Perversion du système: l'ignorance du motif du licenciement va
contraindre le salarié désirant le connaître à assigner presque
systématiquement en justice son employeur", ont mis en garde des
juristes en droit du travail, samedi, dans une tribune au Monde.
"Les nouveaux contrats, CNE et CPE, accroissent l'insécurité sociale
sans mettre les entreprises à l'abri des procédures judiciaires",
ont-ils prévenu.
"Les employeurs vont déchanter", prédit le secrétaire général de la CFDT
François Chérèque.
Le risque de contentieux est d'autant plus important que les tribunaux
auront, dans un premier temps à statuer sur la légalité même du CNE et
de sa période de "consolidation des droits" de deux ans.
"Il y a des ambiguïtés et ce sont les tribunaux qui vont être amenés à
prendre position dessus. Même le Conseil d'Etat l'a reconnu: ces
dossiers iront jusqu'à la Cour de cassation", prévient déjà le
secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly.
Nos journaleux télé nous le diront-ils ? http://minilien.com/?7vIJWIikEF
Le type pousse aussi, demander le paiement des heures sup. Encore un gauchiste!
-- PARIS (AFP) - Renvoyé pour avoir réclamé le paiement de ses "heures sup", être tombé malade ou s'être promené en jogging : six mois après la création du contrat nouvelle embauche (CNE), les premiers dossiers de salariés contestant leur licenciement arrivent aux Prud'hommes, selon les syndicats. "Nous suivons déjà une dizaine de dossiers : les premiers jugements interviendront dans trois ou quatre mois", explique le responsable du service juridique de la CFDT, Didier Cochuat.
"Pour le moment ce sont des licenciements pour l'exemple, destinés à bien faire comprendre aux salariés de l'entreprise qu'ils doivent être malléables et corvéables à merci", estime-t-il.
Les autres syndicats commencent, eux aussi à voir affluer les dossiers, à Créteil, Aix-en-Provence, Bordeaux ou Lyon.
Ici, c'est un employé remercié pour dix minutes de retard, là une jeune femme licenciée quelques jours après avoir annoncé sa grossesse. Très souvent, les salariés sont renvoyés après avoir réclamé le paiement d'heures supplémentaires.
La CGT évoque le cas d'un salarié licencié après avoir prévenu son patron qu'il devait se faire opérer. La CFTC a reçu l'appel d'un boucher du nord de la France renvoyé pour avoir fait ses courses "en jogging", un jour de repos, dans le supermarché où il travaille habituellement.
Entré en vigueur en août, le CNE est réservé aux entreprises employant jusqu'à 20 personnes. Signe particulier: au cours des deux premières années, l'employeur peut licencier son salarié sans justifier sa décision. Au delà, il devient un contrat à durée indéterminée (CDI) normal.
"Le gros des ruptures devrait intervenir entre le 15e et le 20e mois", lorsque certains patrons vont vouloir se séparer de leurs employés juste avant que le CNE ne bascule en CDI, prévient M. Cochuat, qui s'attend à une "multiplication du contentieux".
Il est "difficile" de faire émerger les plaintes car le CNE concerne des salariés "peu syndiqués, à qui on a martelé qu'ils n'avaient aucun droit", indique Philippe Masson, responsable juridique de la CGT.
Autre difficulté: contrairement à un CDI ou un CDD, c'est au salarié de prouver que son licenciement est abusif.
Les syndicats doivent donc former leurs représentants aux prud'hommes à cette nouvelle forme de procédure.
"On va utiliser à fond l'argument des motifs de licenciements illégaux (discrimination, femmes enceintes, etc)", explique M. Masson. "A partir du moment où on leur fournit quelques indices troublants, les Prud'hommes ont un pouvoir d'investigation assez large", souligne-t-il.
"Perversion du système: l'ignorance du motif du licenciement va contraindre le salarié désirant le connaître à assigner presque systématiquement en justice son employeur", ont mis en garde des juristes en droit du travail, samedi, dans une tribune au Monde.
"Les nouveaux contrats, CNE et CPE, accroissent l'insécurité sociale sans mettre les entreprises à l'abri des procédures judiciaires", ont-ils prévenu.
"Les employeurs vont déchanter", prédit le secrétaire général de la CFDT François Chérèque.
Le risque de contentieux est d'autant plus important que les tribunaux auront, dans un premier temps à statuer sur la légalité même du CNE et de sa période de "consolidation des droits" de deux ans.
"Il y a des ambiguïtés et ce sont les tribunaux qui vont être amenés à prendre position dessus. Même le Conseil d'Etat l'a reconnu: ces dossiers iront jusqu'à la Cour de cassation", prévient déjà le secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly.
John Deuf
Plouf :
Nos journaleux télé nous le diront-ils ? http://minilien.com/?7vIJWIikEF
Et pourquoi ils nous le diraient ? De plaintes au prud'hommes yen a tous les jours.
-- John Deuf
Plouf :
Nos journaleux télé nous le diront-ils ?
http://minilien.com/?7vIJWIikEF
Et pourquoi ils nous le diraient ? De plaintes au prud'hommes yen a tous
les jours.
Nos journaleux télé nous le diront-ils ? http://minilien.com/?7vIJWIikEF
Et pourquoi ils nous le diraient ? De plaintes au prud'hommes yen a tous les jours.
-- John Deuf
Plouf
John Deuf a écrit :
Et pourquoi ils nous le diraient ?
Car ce sont les motifs des licenciements qui sont intéressants et qui contredisent les bonnes paroles du gouvernement sur le CNE. Bonnes paroles dont nos télés se sont largement fait l'écho... CQFD
John Deuf a écrit :
Et pourquoi ils nous le diraient ?
Car ce sont les motifs des licenciements qui sont intéressants et
qui contredisent les bonnes paroles du gouvernement sur
le CNE. Bonnes paroles dont nos télés se sont largement fait l'écho...
CQFD
Car ce sont les motifs des licenciements qui sont intéressants et qui contredisent les bonnes paroles du gouvernement sur le CNE. Bonnes paroles dont nos télés se sont largement fait l'écho... CQFD
Roaringriri
KF a écrit :
Plouf wrote:
Nos journaleux télé nous le diront-ils ? http://minilien.com/?7vIJWIikEF
Le type pousse aussi, demander le paiement des heures sup. Encore un gauchiste!
Bientôt vouloir être payé plus cher qu'une chinoise de 16 ans aussi. Voulir se faire payer ses HS frise le sabotage économique. Déjà qu'avec les 35 heures des sauces, elles étaient devenues obligatoires et gratuites, et passant à +10% si le patron ne pouvait vraiment pas te les faire "rattraper" .......
KF a écrit :
Plouf wrote:
Nos journaleux télé nous le diront-ils ?
http://minilien.com/?7vIJWIikEF
Le type pousse aussi, demander le paiement des heures sup.
Encore un gauchiste!
Bientôt vouloir être payé plus cher qu'une chinoise de 16 ans aussi.
Voulir se faire payer ses HS frise le sabotage économique.
Déjà qu'avec les 35 heures des sauces, elles étaient devenues
obligatoires et gratuites, et passant à +10% si le patron ne pouvait
vraiment pas te les faire "rattraper" .......
Nos journaleux télé nous le diront-ils ? http://minilien.com/?7vIJWIikEF
Le type pousse aussi, demander le paiement des heures sup. Encore un gauchiste!
Bientôt vouloir être payé plus cher qu'une chinoise de 16 ans aussi. Voulir se faire payer ses HS frise le sabotage économique. Déjà qu'avec les 35 heures des sauces, elles étaient devenues obligatoires et gratuites, et passant à +10% si le patron ne pouvait vraiment pas te les faire "rattraper" .......
Laurent Martin
> >Et pourquoi ils nous le diraient ? > Car ce sont les motifs des licenciements qui sont intéressants et qui contredisent les bonnes paroles du gouvernement sur le CNE. Bonnes paroles dont nos télés se sont largement fait l'écho... CQFD
N'importe quoi ! Ca prouve surtout que ce contrat n'autorise pas l'employeur à licencier n'importe comment, pour n'importe quelle raison, contrairement à ce qu'une certaine gauche veut nous le faire croire... A moins que ce soit une nouvelle manipulation des syndicats qui veulent foutre le bordel en incitant les salariés à systématiquement poursuivre l'employeur au TPH même quand la rupture du contrat est légitime... Evidemment, qui sont les seuls perdants d'un engorgement systématique du TPH : les salariés...
> >Et pourquoi ils nous le diraient ?
>
Car ce sont les motifs des licenciements qui sont intéressants et
qui contredisent les bonnes paroles du gouvernement sur
le CNE. Bonnes paroles dont nos télés se sont largement fait l'écho...
CQFD
N'importe quoi !
Ca prouve surtout que ce contrat n'autorise pas l'employeur à licencier
n'importe comment, pour n'importe quelle raison, contrairement à ce qu'une
certaine gauche veut nous le faire croire...
A moins que ce soit une nouvelle manipulation des syndicats qui veulent
foutre le bordel en incitant les salariés à systématiquement poursuivre
l'employeur au TPH même quand la rupture du contrat est légitime...
Evidemment, qui sont les seuls perdants d'un engorgement systématique du TPH
: les salariés...
> >Et pourquoi ils nous le diraient ? > Car ce sont les motifs des licenciements qui sont intéressants et qui contredisent les bonnes paroles du gouvernement sur le CNE. Bonnes paroles dont nos télés se sont largement fait l'écho... CQFD
N'importe quoi ! Ca prouve surtout que ce contrat n'autorise pas l'employeur à licencier n'importe comment, pour n'importe quelle raison, contrairement à ce qu'une certaine gauche veut nous le faire croire... A moins que ce soit une nouvelle manipulation des syndicats qui veulent foutre le bordel en incitant les salariés à systématiquement poursuivre l'employeur au TPH même quand la rupture du contrat est légitime... Evidemment, qui sont les seuls perdants d'un engorgement systématique du TPH : les salariés...
MJ
Laurent Martin a écrit :
Ca prouve surtout que ce contrat n'autorise pas l'employeur à licencier n'importe comment, pour n'importe quelle raison,
Bien sûr que si. Ne vous en déplaise, les faits sont là : des salariés ont été licenciés pour des motifs ahurissants.
contrairement à ce qu'une certaine gauche veut nous le faire croire...
Ah, je comprends mieux.
A moins que ce soit une nouvelle manipulation des syndicats qui veulent foutre le bordel en incitant les salariés à systématiquement poursuivre l'employeur au TPH même quand la rupture du contrat est légitime...
Vous n'avez pas lu l'article ou vous êtes vraiment de mauvaise fois. Se faire licencier pour avoir fait ses courses en jogging un jour de repos, dans le magasin qui vous emploie, vous appelez ça une rupture légitime ?
Evidemment, qui sont les seuls perdants d'un engorgement systématique du TPH : les salariés...
Certainement pas et l'avenir le dira lorsque les jugements seront rendus. Il y a fort à parier que les employeurs seront condamnés, ce qui entraînerait le versement d'indemnités. MJ
Laurent Martin a écrit :
Ca prouve surtout que ce contrat n'autorise pas l'employeur à licencier
n'importe comment, pour n'importe quelle raison,
Bien sûr que si.
Ne vous en déplaise, les faits sont là : des salariés ont été
licenciés pour des motifs ahurissants.
contrairement à ce qu'une
certaine gauche veut nous le faire croire...
Ah, je comprends mieux.
A moins que ce soit une nouvelle manipulation des syndicats qui veulent
foutre le bordel en incitant les salariés à systématiquement poursuivre
l'employeur au TPH même quand la rupture du contrat est légitime...
Vous n'avez pas lu l'article ou vous êtes vraiment de mauvaise fois.
Se faire licencier pour avoir fait ses courses en jogging un
jour de repos, dans le magasin qui vous emploie, vous appelez ça une
rupture légitime ?
Evidemment, qui sont les seuls perdants d'un engorgement systématique du TPH
: les salariés...
Certainement pas et l'avenir le dira lorsque les
jugements seront rendus.
Il y a fort à parier que les employeurs seront condamnés, ce
qui entraînerait le versement d'indemnités.
MJ
Ca prouve surtout que ce contrat n'autorise pas l'employeur à licencier n'importe comment, pour n'importe quelle raison,
Bien sûr que si. Ne vous en déplaise, les faits sont là : des salariés ont été licenciés pour des motifs ahurissants.
contrairement à ce qu'une certaine gauche veut nous le faire croire...
Ah, je comprends mieux.
A moins que ce soit une nouvelle manipulation des syndicats qui veulent foutre le bordel en incitant les salariés à systématiquement poursuivre l'employeur au TPH même quand la rupture du contrat est légitime...
Vous n'avez pas lu l'article ou vous êtes vraiment de mauvaise fois. Se faire licencier pour avoir fait ses courses en jogging un jour de repos, dans le magasin qui vous emploie, vous appelez ça une rupture légitime ?
Evidemment, qui sont les seuls perdants d'un engorgement systématique du TPH : les salariés...
Certainement pas et l'avenir le dira lorsque les jugements seront rendus. Il y a fort à parier que les employeurs seront condamnés, ce qui entraînerait le versement d'indemnités. MJ
Barbara
"MJ" <noSpam> a écrit dans le message de news: 43f3154c$0$11073$
Ne vous en déplaise, les faits sont là : des salariés ont été licenciés pour des motifs ahurissants.
Ca n'arrivait pas avant le CNE ?
"MJ" <noSpam> a écrit dans le message de news:
43f3154c$0$11073$636a55ce@news.free.fr...
Ne vous en déplaise, les faits sont là : des salariés ont été
licenciés pour des motifs ahurissants.
Et pourquoi ils nous le diraient ? De plaintes au prud'hommes yen a tous les jours.
Bingo ! Reportage en ce moment même (15/02/06, 13h25) sur France 2. MJ
Laurent Martin
> Vous n'avez pas lu l'article ou vous êtes vraiment de mauvaise fois. Se faire licencier pour avoir fait ses courses en jogging un jour de repos, dans le magasin qui vous emploie, vous appelez ça une rupture légitime ?
Je voudrais qu'on me montre un employeur assez con pour mettre ça sur une lettre de licenciement ou le dire en entretien préalable...
Et ça a quelque chose à voir avec le CNE ?????? Des licenciement abusifs, il y en a en quelque soit le contrat de travail... Et dire que c'est la faute du CNE, c'est tout simplement malhonnête et mensonger... Au contraire, on le voit bien, si des procédures sont en cours, c'est que le CNE protège des licenciement abusifs autant qu'un autre contrat...
Mon avis, c'est que ce contrat n'a aucun intérêt pour personne : il ne permet pas vraiment plus de licencier qu'un autre contrat et il n'est pas moins précaire qu'un CDI... Dans les petites entreprises, tous les emplois sont précaires...
> Vous n'avez pas lu l'article ou vous êtes vraiment de mauvaise fois.
Se faire licencier pour avoir fait ses courses en jogging un
jour de repos, dans le magasin qui vous emploie, vous appelez ça une
rupture légitime ?
Je voudrais qu'on me montre un employeur assez con pour mettre ça sur une
lettre de licenciement ou le dire en entretien préalable...
Et ça a quelque chose à voir avec le CNE ??????
Des licenciement abusifs, il y en a en quelque soit le contrat de travail...
Et dire que c'est la faute du CNE, c'est tout simplement malhonnête et
mensonger...
Au contraire, on le voit bien, si des procédures sont en cours, c'est que le
CNE protège des licenciement abusifs autant qu'un autre contrat...
Mon avis, c'est que ce contrat n'a aucun intérêt pour personne : il ne
permet pas vraiment plus de licencier qu'un autre contrat et il n'est pas
moins précaire qu'un CDI... Dans les petites entreprises, tous les emplois
sont précaires...
> Vous n'avez pas lu l'article ou vous êtes vraiment de mauvaise fois. Se faire licencier pour avoir fait ses courses en jogging un jour de repos, dans le magasin qui vous emploie, vous appelez ça une rupture légitime ?
Je voudrais qu'on me montre un employeur assez con pour mettre ça sur une lettre de licenciement ou le dire en entretien préalable...
Et ça a quelque chose à voir avec le CNE ?????? Des licenciement abusifs, il y en a en quelque soit le contrat de travail... Et dire que c'est la faute du CNE, c'est tout simplement malhonnête et mensonger... Au contraire, on le voit bien, si des procédures sont en cours, c'est que le CNE protège des licenciement abusifs autant qu'un autre contrat...
Mon avis, c'est que ce contrat n'a aucun intérêt pour personne : il ne permet pas vraiment plus de licencier qu'un autre contrat et il n'est pas moins précaire qu'un CDI... Dans les petites entreprises, tous les emplois sont précaires...
Jeff Ain
Plouf wrote:
Nos journaleux télé nous le diront-ils ? http://minilien.com/?7vIJWIikEF
Le CNE c'est tres bien ! Si t'es bon, ils te gardent, sinon tu dégages. En fait ca ne fait chier que les feignasses et les incapables.
Plouf wrote:
Nos journaleux télé nous le diront-ils ?
http://minilien.com/?7vIJWIikEF
Le CNE c'est tres bien ! Si t'es bon, ils te gardent, sinon tu dégages. En
fait ca ne fait chier que les feignasses et les incapables.
