LPAC, pour son taux de compression, pouvant aller jusqu'à 33%. Vu la
capacité des disques durs aujourd'hui, ce n'est utile que pour le
téléchargement.
LPAC, pour son taux de compression, pouvant aller jusqu'à 33%. Vu la
capacité des disques durs aujourd'hui, ce n'est utile que pour le
téléchargement.
LPAC, pour son taux de compression, pouvant aller jusqu'à 33%. Vu la
capacité des disques durs aujourd'hui, ce n'est utile que pour le
téléchargement.
La capacité des DD sur les étagères des marchants n'est pas forcément
la même que celle dans les ordinateurs. Il m'est arrivé d'archiver de
l'audio sur une partition de 2 Mo, grace à Monkey Audio, j'ai pu tout
mettre.
La capacité des DD sur les étagères des marchants n'est pas forcément
la même que celle dans les ordinateurs. Il m'est arrivé d'archiver de
l'audio sur une partition de 2 Mo, grace à Monkey Audio, j'ai pu tout
mettre.
La capacité des DD sur les étagères des marchants n'est pas forcément
la même que celle dans les ordinateurs. Il m'est arrivé d'archiver de
l'audio sur une partition de 2 Mo, grace à Monkey Audio, j'ai pu tout
mettre.
> > Shématiquement, le principe est que la différence entre deux
> échantillons successif est en moyenne faible, et peut donc être
> codée sur moins de bits.
Ce que tu décris là est le principe même de la conmpression
destructrive (ou destructrice ?). L'approximation *réalisée* entre
deux échantillons successifs n'est *pas* réversible une fois faite
Par contre je ne connais pas LPAC et Monkey's audio : ils peuvent tout
à fait être non destructifs pour des raisons différentes de celles que
tu invoques.
> > Shématiquement, le principe est que la différence entre deux
> échantillons successif est en moyenne faible, et peut donc être
> codée sur moins de bits.
Ce que tu décris là est le principe même de la conmpression
destructrive (ou destructrice ?). L'approximation *réalisée* entre
deux échantillons successifs n'est *pas* réversible une fois faite
Par contre je ne connais pas LPAC et Monkey's audio : ils peuvent tout
à fait être non destructifs pour des raisons différentes de celles que
tu invoques.
> > Shématiquement, le principe est que la différence entre deux
> échantillons successif est en moyenne faible, et peut donc être
> codée sur moins de bits.
Ce que tu décris là est le principe même de la conmpression
destructrive (ou destructrice ?). L'approximation *réalisée* entre
deux échantillons successifs n'est *pas* réversible une fois faite
Par contre je ne connais pas LPAC et Monkey's audio : ils peuvent tout
à fait être non destructifs pour des raisons différentes de celles que
tu invoques.
"siger" a écrit :
La capacité des DD sur les étagères des marchants n'est pas
forcément la même que celle dans les ordinateurs. Il m'est arrivé
d'archiver de l'audio sur une partition de 2 Mo, grace à Monkey
Audio, j'ai pu tout mettre.
Tu veux dire 2 Go?
"siger" <guinness@hic.invalid> a écrit :
La capacité des DD sur les étagères des marchants n'est pas
forcément la même que celle dans les ordinateurs. Il m'est arrivé
d'archiver de l'audio sur une partition de 2 Mo, grace à Monkey
Audio, j'ai pu tout mettre.
Tu veux dire 2 Go?
"siger" a écrit :
La capacité des DD sur les étagères des marchants n'est pas
forcément la même que celle dans les ordinateurs. Il m'est arrivé
d'archiver de l'audio sur une partition de 2 Mo, grace à Monkey
Audio, j'ai pu tout mettre.
Tu veux dire 2 Go?
Bien sûr que si. Ce sont des échantillons *numériques* représentables
par des entiers. Il n'y a aucune erreur d'arrondi, et l'opération est
exactement réversible (en général, l'inverse d'une soustraction est une
addition.)
Bien sûr que si. Ce sont des échantillons *numériques* représentables
par des entiers. Il n'y a aucune erreur d'arrondi, et l'opération est
exactement réversible (en général, l'inverse d'une soustraction est une
addition.)
Bien sûr que si. Ce sont des échantillons *numériques* représentables
par des entiers. Il n'y a aucune erreur d'arrondi, et l'opération est
exactement réversible (en général, l'inverse d'une soustraction est une
addition.)
Je ne dis pas que tu aies tort, je dis que je ne comprends pas. Si
tu as la possibilité d'expliquer plus avant, ça me permettrait de
me coucher moins con, éventuellement (et peut-être pas le seul ?).
Donc on en est à des échantillons numériques voisins représentés
par des chiffre entiers. Quelle est l'opération qui leur est
appliquée et comment peut-elle être réversible (où est-elle
mémorisée ?).
Je ne me suis pas intéressé à la compression de son, mais pour
l'image le principe est relativement simple : si deux pixels
(échantillons d'images) voisins ont une différence en couleurs
inférieure à un certain écart, le deuxième est supposé avoir la
couleur du premier et on définit ainsi des "zones" de couleurs
identiques dans lesquelles on ne détermine la couleur qu'une fois.
Là où c'est destructeur, c'est qu'il n'est évidemment mémorisé
nulle part la nature de l'écart pour chaque pixel et qu'il est
donc impossible de savoir a posteriori quelle était sa couleur
initiale. C'est donc différent pour le son ?
Je ne dis pas que tu aies tort, je dis que je ne comprends pas. Si
tu as la possibilité d'expliquer plus avant, ça me permettrait de
me coucher moins con, éventuellement (et peut-être pas le seul ?).
Donc on en est à des échantillons numériques voisins représentés
par des chiffre entiers. Quelle est l'opération qui leur est
appliquée et comment peut-elle être réversible (où est-elle
mémorisée ?).
Je ne me suis pas intéressé à la compression de son, mais pour
l'image le principe est relativement simple : si deux pixels
(échantillons d'images) voisins ont une différence en couleurs
inférieure à un certain écart, le deuxième est supposé avoir la
couleur du premier et on définit ainsi des "zones" de couleurs
identiques dans lesquelles on ne détermine la couleur qu'une fois.
Là où c'est destructeur, c'est qu'il n'est évidemment mémorisé
nulle part la nature de l'écart pour chaque pixel et qu'il est
donc impossible de savoir a posteriori quelle était sa couleur
initiale. C'est donc différent pour le son ?
Je ne dis pas que tu aies tort, je dis que je ne comprends pas. Si
tu as la possibilité d'expliquer plus avant, ça me permettrait de
me coucher moins con, éventuellement (et peut-être pas le seul ?).
Donc on en est à des échantillons numériques voisins représentés
par des chiffre entiers. Quelle est l'opération qui leur est
appliquée et comment peut-elle être réversible (où est-elle
mémorisée ?).
Je ne me suis pas intéressé à la compression de son, mais pour
l'image le principe est relativement simple : si deux pixels
(échantillons d'images) voisins ont une différence en couleurs
inférieure à un certain écart, le deuxième est supposé avoir la
couleur du premier et on définit ainsi des "zones" de couleurs
identiques dans lesquelles on ne détermine la couleur qu'une fois.
Là où c'est destructeur, c'est qu'il n'est évidemment mémorisé
nulle part la nature de l'écart pour chaque pixel et qu'il est
donc impossible de savoir a posteriori quelle était sa couleur
initiale. C'est donc différent pour le son ?
Je ne dis pas que tu aies tort, je dis que je ne comprends pas. Si tu
as la possibilité d'expliquer plus avant, ça me permettrait de me
coucher moins con, éventuellement (et peut-être pas le seul ?).
Donc on en est à des échantillons numériques voisins représentés par
des chiffre entiers. Quelle est l'opération qui leur est appliquée et
comment peut-elle être réversible (où est-elle mémorisée ?).
Je ne me suis pas intéressé à la compression de son, mais pour l'image
le principe est relativement simple : si deux pixels (échantillons
d'images) voisins ont une différence en couleurs inférieure à un
certain écart, le deuxième est supposé avoir la couleur du premier et
on définit ainsi des "zones" de couleurs identiques dans lesquelles on
ne détermine la couleur qu'une fois. Là où c'est destructeur, c'est
qu'il n'est évidemment mémorisé nulle part la nature de l'écart pour
chaque pixel et qu'il est donc impossible de savoir a posteriori
quelle était sa couleur initiale. C'est donc différent pour le son ?
Je ne dis pas que tu aies tort, je dis que je ne comprends pas. Si tu
as la possibilité d'expliquer plus avant, ça me permettrait de me
coucher moins con, éventuellement (et peut-être pas le seul ?).
Donc on en est à des échantillons numériques voisins représentés par
des chiffre entiers. Quelle est l'opération qui leur est appliquée et
comment peut-elle être réversible (où est-elle mémorisée ?).
Je ne me suis pas intéressé à la compression de son, mais pour l'image
le principe est relativement simple : si deux pixels (échantillons
d'images) voisins ont une différence en couleurs inférieure à un
certain écart, le deuxième est supposé avoir la couleur du premier et
on définit ainsi des "zones" de couleurs identiques dans lesquelles on
ne détermine la couleur qu'une fois. Là où c'est destructeur, c'est
qu'il n'est évidemment mémorisé nulle part la nature de l'écart pour
chaque pixel et qu'il est donc impossible de savoir a posteriori
quelle était sa couleur initiale. C'est donc différent pour le son ?
Je ne dis pas que tu aies tort, je dis que je ne comprends pas. Si tu
as la possibilité d'expliquer plus avant, ça me permettrait de me
coucher moins con, éventuellement (et peut-être pas le seul ?).
Donc on en est à des échantillons numériques voisins représentés par
des chiffre entiers. Quelle est l'opération qui leur est appliquée et
comment peut-elle être réversible (où est-elle mémorisée ?).
Je ne me suis pas intéressé à la compression de son, mais pour l'image
le principe est relativement simple : si deux pixels (échantillons
d'images) voisins ont une différence en couleurs inférieure à un
certain écart, le deuxième est supposé avoir la couleur du premier et
on définit ainsi des "zones" de couleurs identiques dans lesquelles on
ne détermine la couleur qu'une fois. Là où c'est destructeur, c'est
qu'il n'est évidemment mémorisé nulle part la nature de l'écart pour
chaque pixel et qu'il est donc impossible de savoir a posteriori
quelle était sa couleur initiale. C'est donc différent pour le son ?
Si le fichier ne contient pas de fréquences trop élévées, les
différences entre les échantillons sont moins grandes en moyenne que les
échantillons eux même. Il y a alors une deuxième phase qui consiste à
retirer les bits de plus fort poids qui sont nuls, et à compacter les
nombres ainsi obtenus.
Cette méthode est peu efficace, mais on la réitère pour obtenir des
méthodes d'ordre supérieur. Le principe général est de prévoir la
valeur de l'échantillon suivant en fonction des précédents, et de ne
conserver que la différence entre la prédiction et l'échantillon.
Si le fichier ne contient pas de fréquences trop élévées, les
différences entre les échantillons sont moins grandes en moyenne que les
échantillons eux même. Il y a alors une deuxième phase qui consiste à
retirer les bits de plus fort poids qui sont nuls, et à compacter les
nombres ainsi obtenus.
Cette méthode est peu efficace, mais on la réitère pour obtenir des
méthodes d'ordre supérieur. Le principe général est de prévoir la
valeur de l'échantillon suivant en fonction des précédents, et de ne
conserver que la différence entre la prédiction et l'échantillon.
Si le fichier ne contient pas de fréquences trop élévées, les
différences entre les échantillons sont moins grandes en moyenne que les
échantillons eux même. Il y a alors une deuxième phase qui consiste à
retirer les bits de plus fort poids qui sont nuls, et à compacter les
nombres ainsi obtenus.
Cette méthode est peu efficace, mais on la réitère pour obtenir des
méthodes d'ordre supérieur. Le principe général est de prévoir la
valeur de l'échantillon suivant en fonction des précédents, et de ne
conserver que la différence entre la prédiction et l'échantillon.
L'oeil fait déjà
une compression drastique en ne différenciant que trois domaines de
fréquences, mais l'oreille peut discerner un très grand nombre de
fréquences différentes.
L'oeil fait déjà
une compression drastique en ne différenciant que trois domaines de
fréquences, mais l'oreille peut discerner un très grand nombre de
fréquences différentes.
L'oeil fait déjà
une compression drastique en ne différenciant que trois domaines de
fréquences, mais l'oreille peut discerner un très grand nombre de
fréquences différentes.
Questions subsidiaires : de telles opérations ne sont probablement pas
possibles "à la volée"
et comme dans le cas du zip ou du sit, cela donne
des archives "compactées" (et non "compressées").
Cela présente-t-il encore un intérêt au prix actuel du Mo de
stockage?
Questions subsidiaires : de telles opérations ne sont probablement pas
possibles "à la volée"
et comme dans le cas du zip ou du sit, cela donne
des archives "compactées" (et non "compressées").
Cela présente-t-il encore un intérêt au prix actuel du Mo de
stockage?
Questions subsidiaires : de telles opérations ne sont probablement pas
possibles "à la volée"
et comme dans le cas du zip ou du sit, cela donne
des archives "compactées" (et non "compressées").
Cela présente-t-il encore un intérêt au prix actuel du Mo de
stockage?