Je viens de lire vos contribution sur la fiabilité des CD (je regrette déjà
mes bandelette argentiques !!!!)
Je crois qu'il existe des sortes de serveurs informatique qui conservent ce
genre de données (contre finance évidemment)
Vous connaissez ?
C'est ouvert aux grand public ?
C'est cher ?
Il me semble que sur base des infos techniques que nous connaissons, il suffirait de ne graver que sur des CD dorés, peu importe la marque, si on veut une certaine tranquillité d'esprit...
C'est plus compliqué que ça, il y a plusieurs façons de se dégrader pour les CD, la plus insidieuse étant indépendante du type d'enduit "brulable": ils'agit de la pelade. Un CD, c'est pour simplifir 3 couches déparées par 2 interfaces qu'on espère sans air: le plastique transparent reaversé par le rayon laser, une couche de métal de composition variable, une couche très mince portant le marquage et parfois une étiquette, qui est d'ailleurs le point le plus fragile (si on est obligé de ne protéger qu'une face, exposer plutôt aux risques la face transparente). Le drame est que ce sandwitch se sépare parfois sans prévenir. Détecté assez tôt, et avec un bon logiciel corrigeant les erreurs, on peut faire une copie exacte d'un original devenu très riche en erreurs, d'où l'intérêt de relire de temps à autre > freeware (existant au moins sous Zindoz) "cdcheck" qui "lit" tout un CD, juste pour voir si ça passe (les linuxiens me comprendront : il lit > /dev/null 2 > GUI )
Il y a aussi une thèse selon laquelle plus le CD est gravé vite, plus faible est l'impulsion de gravure (ne peut pas atteindre des puissances importantes à haute vitesse).
Oui, plus on grave lentement (avec un graveur qui sait **reconnaitre** le type du support et se régler de façon optimle), on grave "plus profond et plus net". Facile à vérifier en audio : plus on grave lentement, plus ça passe sur de vieux engins...
Cordialement, Jean-Luc Et moi donc !;-)
"Pochettes en carton ?"
Suis pas partisan...
bien d'accord, manips hasardeuses onligatoires...
"Quels CD ?"
.../...
Il me semble que sur base des infos techniques que nous connaissons, il
suffirait de ne graver que sur des CD dorés, peu importe la marque, si on
veut une certaine tranquillité d'esprit...
C'est plus compliqué que ça, il y a plusieurs façons de se dégrader pour
les CD, la plus insidieuse étant indépendante du type d'enduit
"brulable": ils'agit de la pelade. Un CD, c'est pour simplifir 3 couches
déparées par 2 interfaces qu'on espère sans air: le plastique
transparent reaversé par le rayon laser, une couche de métal de
composition variable, une couche très mince portant le marquage et
parfois une étiquette, qui est d'ailleurs le point le plus fragile (si
on est obligé de ne protéger qu'une face, exposer plutôt aux risques la
face transparente). Le drame est que ce sandwitch se sépare parfois sans
prévenir. Détecté assez tôt, et avec un bon logiciel corrigeant les
erreurs, on peut faire une copie exacte d'un original devenu très riche
en erreurs, d'où l'intérêt de relire de temps à autre > freeware
(existant au moins sous Zindoz) "cdcheck" qui "lit" tout un CD, juste
pour voir si ça passe
(les linuxiens me comprendront : il lit > /dev/null 2 > GUI )
Il y a aussi une thèse selon laquelle plus le CD est gravé vite, plus faible
est l'impulsion de gravure (ne peut pas atteindre des puissances importantes
à haute vitesse).
Oui, plus on grave lentement (avec un graveur qui sait **reconnaitre**
le type du support et se régler de façon optimle), on grave "plus
profond et plus net". Facile à vérifier en audio : plus on grave
lentement, plus ça passe sur de vieux engins...
Il me semble que sur base des infos techniques que nous connaissons, il suffirait de ne graver que sur des CD dorés, peu importe la marque, si on veut une certaine tranquillité d'esprit...
C'est plus compliqué que ça, il y a plusieurs façons de se dégrader pour les CD, la plus insidieuse étant indépendante du type d'enduit "brulable": ils'agit de la pelade. Un CD, c'est pour simplifir 3 couches déparées par 2 interfaces qu'on espère sans air: le plastique transparent reaversé par le rayon laser, une couche de métal de composition variable, une couche très mince portant le marquage et parfois une étiquette, qui est d'ailleurs le point le plus fragile (si on est obligé de ne protéger qu'une face, exposer plutôt aux risques la face transparente). Le drame est que ce sandwitch se sépare parfois sans prévenir. Détecté assez tôt, et avec un bon logiciel corrigeant les erreurs, on peut faire une copie exacte d'un original devenu très riche en erreurs, d'où l'intérêt de relire de temps à autre > freeware (existant au moins sous Zindoz) "cdcheck" qui "lit" tout un CD, juste pour voir si ça passe (les linuxiens me comprendront : il lit > /dev/null 2 > GUI )
Il y a aussi une thèse selon laquelle plus le CD est gravé vite, plus faible est l'impulsion de gravure (ne peut pas atteindre des puissances importantes à haute vitesse).
Oui, plus on grave lentement (avec un graveur qui sait **reconnaitre** le type du support et se régler de façon optimle), on grave "plus profond et plus net". Facile à vérifier en audio : plus on grave lentement, plus ça passe sur de vieux engins...
Cordialement, Jean-Luc Et moi donc !;-)
HyperDupont
Florent a écrit:
j'veux bien quelques liens... voir mieux ! une explications sur l'endroit où se situe cette fonction das nero.. je ne trouve pas... je me passerais bien mes cd de photos à la vérification... (même s'ils sont stockés sur DD par ailleurs)
Tous les liens et explications se trouvent dans le fil... Faut lire ! ;-)
Oui sauf que Nero ne fait pas de miracle. Il reconnait (comme des tas de freewares) le fabricant et le type de la molécule brûlable (quand le fabricant respecte la norme concernant les informations figurant en tête de CD avant la zone d'essais). De plus, la zone d'essai sert justement à varier la puissance du laser et à relire, pour ajuster au plus près de la puissance idéale pour **ce_CD**. Mais la nature de la molécule active ne suffit pas à garantir la durée de vie du CD gravé. Une couche métallique qui reste intacte 1 siècle mais dont un process de sandwichage des 3 couches (c'est ailleurs dans le fil, il y a qqs minutes ;-) douteux fait qu'elle se décolle de la couche transparente bien avant, donne vite un document plein d'infos intactes, et cependant très peu lisibles.
Florent a écrit:
j'veux bien quelques liens... voir mieux ! une explications sur
l'endroit où se situe cette fonction das nero.. je ne trouve pas... je
me passerais bien mes cd de photos à la vérification... (même s'ils
sont stockés sur DD par ailleurs)
Tous les liens et explications se trouvent dans le fil...
Faut lire ! ;-)
Oui sauf que Nero ne fait pas de miracle. Il reconnait (comme des tas de
freewares) le fabricant et le type de la molécule brûlable (quand le
fabricant respecte la norme concernant les informations figurant en tête
de CD avant la zone d'essais). De plus, la zone d'essai sert justement à
varier la puissance du laser et à relire, pour ajuster au plus près de
la puissance idéale pour **ce_CD**.
Mais la nature de la molécule active ne suffit pas à garantir la durée
de vie du CD gravé. Une couche métallique qui reste intacte 1 siècle
mais dont un process de sandwichage des 3 couches (c'est ailleurs dans
le fil, il y a qqs minutes ;-) douteux fait qu'elle se décolle de la
couche transparente bien avant, donne vite un document plein d'infos
intactes, et cependant très peu lisibles.
j'veux bien quelques liens... voir mieux ! une explications sur l'endroit où se situe cette fonction das nero.. je ne trouve pas... je me passerais bien mes cd de photos à la vérification... (même s'ils sont stockés sur DD par ailleurs)
Tous les liens et explications se trouvent dans le fil... Faut lire ! ;-)
Oui sauf que Nero ne fait pas de miracle. Il reconnait (comme des tas de freewares) le fabricant et le type de la molécule brûlable (quand le fabricant respecte la norme concernant les informations figurant en tête de CD avant la zone d'essais). De plus, la zone d'essai sert justement à varier la puissance du laser et à relire, pour ajuster au plus près de la puissance idéale pour **ce_CD**. Mais la nature de la molécule active ne suffit pas à garantir la durée de vie du CD gravé. Une couche métallique qui reste intacte 1 siècle mais dont un process de sandwichage des 3 couches (c'est ailleurs dans le fil, il y a qqs minutes ;-) douteux fait qu'elle se décolle de la couche transparente bien avant, donne vite un document plein d'infos intactes, et cependant très peu lisibles.
Vladimir Chenkov
ça me fait tilt ... mon graveur Plextor à une option varirec que je n'ai jamais utilisé mais qui sert à graver "plus profond je crois" des infos en particulier la dessus ?
-- Vladimir [CB500'00][BXD] [C4000Z] --
ça me fait tilt ... mon graveur Plextor à une option varirec que je
n'ai jamais utilisé mais qui sert à graver "plus profond je crois"
des infos en particulier la dessus ?
ça me fait tilt ... mon graveur Plextor à une option varirec que je n'ai jamais utilisé mais qui sert à graver "plus profond je crois" des infos en particulier la dessus ?