Bonjour,
Mes études de photo, cinéma, digitalis. remontent à longtemps, trop
longtemps.
j'en oublie quelques notions de base ou presque.
je termine la rédaction d'un article dans lequel j'aborde la question du
contraste de diff. supports et je constate que tout le monde ne parle pas
de la même chose :-((
Pouvez-vous confirmer ou précisez ou me corriger les remarques suivantes.
Notamment la question du contraste : pour moi c'est le rapport des
luminosités extrêmes, la différence entre les hautes et les basses
lumières
...
Enfin il y a le contraste des films (negatif, N/B ou transparent)
...
Dans le cas d'un négatif, je ne pense pas qu'on dise réellement qu'il
A+
Thierry
Bonjour,
Mes études de photo, cinéma, digitalis. remontent à longtemps, trop
longtemps.
j'en oublie quelques notions de base ou presque.
je termine la rédaction d'un article dans lequel j'aborde la question du
contraste de diff. supports et je constate que tout le monde ne parle pas
de la même chose :-((
Pouvez-vous confirmer ou précisez ou me corriger les remarques suivantes.
Notamment la question du contraste : pour moi c'est le rapport des
luminosités extrêmes, la différence entre les hautes et les basses
lumières
...
Enfin il y a le contraste des films (negatif, N/B ou transparent)
...
Dans le cas d'un négatif, je ne pense pas qu'on dise réellement qu'il
A+
Thierry
Bonjour,
Mes études de photo, cinéma, digitalis. remontent à longtemps, trop
longtemps.
j'en oublie quelques notions de base ou presque.
je termine la rédaction d'un article dans lequel j'aborde la question du
contraste de diff. supports et je constate que tout le monde ne parle pas
de la même chose :-((
Pouvez-vous confirmer ou précisez ou me corriger les remarques suivantes.
Notamment la question du contraste : pour moi c'est le rapport des
luminosités extrêmes, la différence entre les hautes et les basses
lumières
...
Enfin il y a le contraste des films (negatif, N/B ou transparent)
...
Dans le cas d'un négatif, je ne pense pas qu'on dise réellement qu'il
A+
Thierry
Dans le cas d'un négatif, je ne pense pas qu'on dise réellement qu'il
présente un contraste plus élevé qu'une dia
On parle de rapport entre l'exposition la plus faible et la plus forte en
entrée,
Dans le cas d'un négatif, je ne pense pas qu'on dise réellement qu'il
présente un contraste plus élevé qu'une dia
On parle de rapport entre l'exposition la plus faible et la plus forte en
entrée,
Dans le cas d'un négatif, je ne pense pas qu'on dise réellement qu'il
présente un contraste plus élevé qu'une dia
On parle de rapport entre l'exposition la plus faible et la plus forte en
entrée,
je termine la rédaction d'un article dans lequel j'aborde la question du
contraste de diff. supports et je constate que tout le monde ne parle pas de
la même chose :-((
Pouvez-vous confirmer ou précisez ou me corriger les remarques suivantes.
Notamment la question du contraste : pour moi c'est le rapport des
luminosités extrêmes, la différence entre les hautes et les basses lumières
Enfin il y a la luminance ou luminosité, c'est la quantité d'énergie
réfléchie par un objet (couleur, etc)
(NB. la luminosité est souvent confondu avec ceux de brillance et de
contraste. Or la notion de brillance est subjective car si je ne me trompe
elle est caractérisée par la sensation visuelle ressentie par un objet
émettant plus ou moins de lumière. On oublie donc).
je termine la rédaction d'un article dans lequel j'aborde la question du
contraste de diff. supports et je constate que tout le monde ne parle pas de
la même chose :-((
Pouvez-vous confirmer ou précisez ou me corriger les remarques suivantes.
Notamment la question du contraste : pour moi c'est le rapport des
luminosités extrêmes, la différence entre les hautes et les basses lumières
Enfin il y a la luminance ou luminosité, c'est la quantité d'énergie
réfléchie par un objet (couleur, etc)
(NB. la luminosité est souvent confondu avec ceux de brillance et de
contraste. Or la notion de brillance est subjective car si je ne me trompe
elle est caractérisée par la sensation visuelle ressentie par un objet
émettant plus ou moins de lumière. On oublie donc).
je termine la rédaction d'un article dans lequel j'aborde la question du
contraste de diff. supports et je constate que tout le monde ne parle pas de
la même chose :-((
Pouvez-vous confirmer ou précisez ou me corriger les remarques suivantes.
Notamment la question du contraste : pour moi c'est le rapport des
luminosités extrêmes, la différence entre les hautes et les basses lumières
Enfin il y a la luminance ou luminosité, c'est la quantité d'énergie
réfléchie par un objet (couleur, etc)
(NB. la luminosité est souvent confondu avec ceux de brillance et de
contraste. Or la notion de brillance est subjective car si je ne me trompe
elle est caractérisée par la sensation visuelle ressentie par un objet
émettant plus ou moins de lumière. On oublie donc).
Notamment la question du contraste : pour moi c'est le rapport des
luminosités extrêmes, la différence entre les hautes et les basses
lumières
déposée au pavillon de Breteuil.
Par contre, je pense que la notion pratique de papiers durs ou mous, à
haut ou faible contraste est parfaitement claire. Il suffit d'expliciter
les choses.
On a d'une part la latitude ou dynamique de pose qui est l'écart des
luminosités susceptibles d'être (correctement) enregistrées par l'élément
photosensible (film, papier, capteur),
- la lattitude de pose, pour moi n'a strictement riien a voir avec le
dynamique de restitution du media final, c.à.d. l'écart des luminosités
d'un moniteur ou des densités sur un papier. En log-log, la zone utile de
la courbe de restitution est censée être une droite dont la pente est le
gamma.
A mon avis, il vaut mieux faire du contraste une notion subjective, la
faculté d'avoir une variation plus ou moins grande dans le media de sortie
pour une même variation de luminosité en entrée.Enfin il y a la luminance ou luminosité, c'est la quantité d'énergie
réfléchie par un objet (couleur, etc)
- ca fait appel à l'albedo
Pas «énergie», mais «puissance».
Pas forcément «réfléchie» : un moniteur a droit à sa petite luminance(NB. la luminosité est souvent confondu avec ceux de brillance et de
contraste. Or la notion de brillance est subjective car si je ne me
trompe elle est caractérisée par la sensation visuelle ressentie par un
objet émettant plus ou moins de lumière. On oublie donc).
Quelques réponses (proposées) dans http://couleur.net.free.fr/ notamment
pourquoi la «brillance» est abandonnée... et deux articles partiellement
contradictoires sur la définition de la «luminosité» versus «luminance»
- tout ca me fait penser aux pub pour l'Oréal, " mes cheveux sont 20 fois
Notamment la question du contraste : pour moi c'est le rapport des
luminosités extrêmes, la différence entre les hautes et les basses
lumières
déposée au pavillon de Breteuil.
Par contre, je pense que la notion pratique de papiers durs ou mous, à
haut ou faible contraste est parfaitement claire. Il suffit d'expliciter
les choses.
On a d'une part la latitude ou dynamique de pose qui est l'écart des
luminosités susceptibles d'être (correctement) enregistrées par l'élément
photosensible (film, papier, capteur),
- la lattitude de pose, pour moi n'a strictement riien a voir avec le
dynamique de restitution du media final, c.à.d. l'écart des luminosités
d'un moniteur ou des densités sur un papier. En log-log, la zone utile de
la courbe de restitution est censée être une droite dont la pente est le
gamma.
A mon avis, il vaut mieux faire du contraste une notion subjective, la
faculté d'avoir une variation plus ou moins grande dans le media de sortie
pour une même variation de luminosité en entrée.
Enfin il y a la luminance ou luminosité, c'est la quantité d'énergie
réfléchie par un objet (couleur, etc)
- ca fait appel à l'albedo
Pas «énergie», mais «puissance».
Pas forcément «réfléchie» : un moniteur a droit à sa petite luminance
(NB. la luminosité est souvent confondu avec ceux de brillance et de
contraste. Or la notion de brillance est subjective car si je ne me
trompe elle est caractérisée par la sensation visuelle ressentie par un
objet émettant plus ou moins de lumière. On oublie donc).
Quelques réponses (proposées) dans http://couleur.net.free.fr/ notamment
pourquoi la «brillance» est abandonnée... et deux articles partiellement
contradictoires sur la définition de la «luminosité» versus «luminance»
- tout ca me fait penser aux pub pour l'Oréal, " mes cheveux sont 20 fois
Notamment la question du contraste : pour moi c'est le rapport des
luminosités extrêmes, la différence entre les hautes et les basses
lumières
déposée au pavillon de Breteuil.
Par contre, je pense que la notion pratique de papiers durs ou mous, à
haut ou faible contraste est parfaitement claire. Il suffit d'expliciter
les choses.
On a d'une part la latitude ou dynamique de pose qui est l'écart des
luminosités susceptibles d'être (correctement) enregistrées par l'élément
photosensible (film, papier, capteur),
- la lattitude de pose, pour moi n'a strictement riien a voir avec le
dynamique de restitution du media final, c.à.d. l'écart des luminosités
d'un moniteur ou des densités sur un papier. En log-log, la zone utile de
la courbe de restitution est censée être une droite dont la pente est le
gamma.
A mon avis, il vaut mieux faire du contraste une notion subjective, la
faculté d'avoir une variation plus ou moins grande dans le media de sortie
pour une même variation de luminosité en entrée.Enfin il y a la luminance ou luminosité, c'est la quantité d'énergie
réfléchie par un objet (couleur, etc)
- ca fait appel à l'albedo
Pas «énergie», mais «puissance».
Pas forcément «réfléchie» : un moniteur a droit à sa petite luminance(NB. la luminosité est souvent confondu avec ceux de brillance et de
contraste. Or la notion de brillance est subjective car si je ne me
trompe elle est caractérisée par la sensation visuelle ressentie par un
objet émettant plus ou moins de lumière. On oublie donc).
Quelques réponses (proposées) dans http://couleur.net.free.fr/ notamment
pourquoi la «brillance» est abandonnée... et deux articles partiellement
contradictoires sur la définition de la «luminosité» versus «luminance»
- tout ca me fait penser aux pub pour l'Oréal, " mes cheveux sont 20 fois
tous les procédés ont leur technique de contraste, je ne comprends pas ce
que tu veux dire en ce qui concerne le procédé photographique, c'est
pareil pour tous types de films et papiers, les mesures arrivant toutes a
une expression du contraste identique, et d'ailleurs comment pourrait il
en être autrement, un film couleur quel qu il soit commençant par être un
film n&b, bon, je ne comprends pas du tout le problème ?
Eric
tous les procédés ont leur technique de contraste, je ne comprends pas ce
que tu veux dire en ce qui concerne le procédé photographique, c'est
pareil pour tous types de films et papiers, les mesures arrivant toutes a
une expression du contraste identique, et d'ailleurs comment pourrait il
en être autrement, un film couleur quel qu il soit commençant par être un
film n&b, bon, je ne comprends pas du tout le problème ?
Eric
tous les procédés ont leur technique de contraste, je ne comprends pas ce
que tu veux dire en ce qui concerne le procédé photographique, c'est
pareil pour tous types de films et papiers, les mesures arrivant toutes a
une expression du contraste identique, et d'ailleurs comment pourrait il
en être autrement, un film couleur quel qu il soit commençant par être un
film n&b, bon, je ne comprends pas du tout le problème ?
Eric
Notamment la question du contraste : pour moi c'est le rapport des
luminosités extrêmes, la différence entre les hautes et les basses
lumières
- dans ce cas, ce rapport s'exprime sous quelle forme, avec quelle unité ?
Je ne crois pas que le «contraste» soit une notion en platine irridiédéposée au pavillon de Breteuil.
...Par contre, je pense que la notion pratique de papiers durs ou mous, à
haut ou faible contraste est parfaitement claire. Il suffit d'expliciter
les choses.
- ce sont des terminologies que nous n'employons pas, je connais des
papiers a contraste élevé, grade 5 par exemple et des papiers a faible
contraste, grade 0, c'est a dire d'etendue sensitomètrique plus ou moins
large, maintenat au toucher certains sont mous, d'autres pas
On a d'une part la latitude ou dynamique de pose qui est l'écart des
luminosités susceptibles d'être (correctement) enregistrées par l'élément
photosensible (film, papier, capteur),
- la lattitude de pose, pour moi n'a strictement riien a voir avec le
contraste, c'est simplement une fourchette entre laquelle une emulsion est
capable d'enregistrer une image
et d'autre part ladynamique de restitution du media final, c.à.d. l'écart des luminosités
d'un moniteur ou des densités sur un papier. En log-log, la zone utile de
la courbe de restitution est censée être une droite dont la pente est le
gamma.
A mon avis, il vaut mieux faire du contraste une notion subjective, la
faculté d'avoir une variation plus ou moins grande dans le media de
sortie pour une même variation de luminosité en entrée.Enfin il y a la luminance ou luminosité, c'est la quantité d'énergie
réfléchie par un objet (couleur, etc)
- ca fait appel à l'albedo
Pas «énergie», mais «puissance».
Pas forcément «réfléchie» : un moniteur a droit à sa petite luminance(NB. la luminosité est souvent confondu avec ceux de brillance et de
contraste. Or la notion de brillance est subjective car si je ne me
trompe elle est caractérisée par la sensation visuelle ressentie par un
objet émettant plus ou moins de lumière. On oublie donc).
Quelques réponses (proposées) dans http://couleur.net.free.fr/ notamment
pourquoi la «brillance» est abandonnée... et deux articles partiellement
contradictoires sur la définition de la «luminosité» versus «luminance»
- tout ca me fait penser aux pub pour l'Oréal, " mes cheveux sont 20 fois
plus brillants maintenant," comme ca ne fait pas appel a une mesure, donc
qui dit mesure dit unité, quelle est l'unité de brillance et son contraire
le terne , moi, je ne connais pas cette unité, c'est facile de dire ca
pour de la pub, comme il n'y apas de possiblité de mesure, qui peut
prouver le contraire, tout ce propos est un pau délayé et pas clair, en ce
qui concerne la photo, en revanche c'est tres clair, revoir les bases de
la sensitometrie, avec laquelle je me suis battu trente ans
Eric
Notamment la question du contraste : pour moi c'est le rapport des
luminosités extrêmes, la différence entre les hautes et les basses
lumières
- dans ce cas, ce rapport s'exprime sous quelle forme, avec quelle unité ?
Je ne crois pas que le «contraste» soit une notion en platine irridié
déposée au pavillon de Breteuil.
...
Par contre, je pense que la notion pratique de papiers durs ou mous, à
haut ou faible contraste est parfaitement claire. Il suffit d'expliciter
les choses.
- ce sont des terminologies que nous n'employons pas, je connais des
papiers a contraste élevé, grade 5 par exemple et des papiers a faible
contraste, grade 0, c'est a dire d'etendue sensitomètrique plus ou moins
large, maintenat au toucher certains sont mous, d'autres pas
On a d'une part la latitude ou dynamique de pose qui est l'écart des
luminosités susceptibles d'être (correctement) enregistrées par l'élément
photosensible (film, papier, capteur),
- la lattitude de pose, pour moi n'a strictement riien a voir avec le
contraste, c'est simplement une fourchette entre laquelle une emulsion est
capable d'enregistrer une image
et d'autre part la
dynamique de restitution du media final, c.à.d. l'écart des luminosités
d'un moniteur ou des densités sur un papier. En log-log, la zone utile de
la courbe de restitution est censée être une droite dont la pente est le
gamma.
A mon avis, il vaut mieux faire du contraste une notion subjective, la
faculté d'avoir une variation plus ou moins grande dans le media de
sortie pour une même variation de luminosité en entrée.
Enfin il y a la luminance ou luminosité, c'est la quantité d'énergie
réfléchie par un objet (couleur, etc)
- ca fait appel à l'albedo
Pas «énergie», mais «puissance».
Pas forcément «réfléchie» : un moniteur a droit à sa petite luminance
(NB. la luminosité est souvent confondu avec ceux de brillance et de
contraste. Or la notion de brillance est subjective car si je ne me
trompe elle est caractérisée par la sensation visuelle ressentie par un
objet émettant plus ou moins de lumière. On oublie donc).
Quelques réponses (proposées) dans http://couleur.net.free.fr/ notamment
pourquoi la «brillance» est abandonnée... et deux articles partiellement
contradictoires sur la définition de la «luminosité» versus «luminance»
- tout ca me fait penser aux pub pour l'Oréal, " mes cheveux sont 20 fois
plus brillants maintenant," comme ca ne fait pas appel a une mesure, donc
qui dit mesure dit unité, quelle est l'unité de brillance et son contraire
le terne , moi, je ne connais pas cette unité, c'est facile de dire ca
pour de la pub, comme il n'y apas de possiblité de mesure, qui peut
prouver le contraire, tout ce propos est un pau délayé et pas clair, en ce
qui concerne la photo, en revanche c'est tres clair, revoir les bases de
la sensitometrie, avec laquelle je me suis battu trente ans
Eric
Notamment la question du contraste : pour moi c'est le rapport des
luminosités extrêmes, la différence entre les hautes et les basses
lumières
- dans ce cas, ce rapport s'exprime sous quelle forme, avec quelle unité ?
Je ne crois pas que le «contraste» soit une notion en platine irridiédéposée au pavillon de Breteuil.
...Par contre, je pense que la notion pratique de papiers durs ou mous, à
haut ou faible contraste est parfaitement claire. Il suffit d'expliciter
les choses.
- ce sont des terminologies que nous n'employons pas, je connais des
papiers a contraste élevé, grade 5 par exemple et des papiers a faible
contraste, grade 0, c'est a dire d'etendue sensitomètrique plus ou moins
large, maintenat au toucher certains sont mous, d'autres pas
On a d'une part la latitude ou dynamique de pose qui est l'écart des
luminosités susceptibles d'être (correctement) enregistrées par l'élément
photosensible (film, papier, capteur),
- la lattitude de pose, pour moi n'a strictement riien a voir avec le
contraste, c'est simplement une fourchette entre laquelle une emulsion est
capable d'enregistrer une image
et d'autre part ladynamique de restitution du media final, c.à.d. l'écart des luminosités
d'un moniteur ou des densités sur un papier. En log-log, la zone utile de
la courbe de restitution est censée être une droite dont la pente est le
gamma.
A mon avis, il vaut mieux faire du contraste une notion subjective, la
faculté d'avoir une variation plus ou moins grande dans le media de
sortie pour une même variation de luminosité en entrée.Enfin il y a la luminance ou luminosité, c'est la quantité d'énergie
réfléchie par un objet (couleur, etc)
- ca fait appel à l'albedo
Pas «énergie», mais «puissance».
Pas forcément «réfléchie» : un moniteur a droit à sa petite luminance(NB. la luminosité est souvent confondu avec ceux de brillance et de
contraste. Or la notion de brillance est subjective car si je ne me
trompe elle est caractérisée par la sensation visuelle ressentie par un
objet émettant plus ou moins de lumière. On oublie donc).
Quelques réponses (proposées) dans http://couleur.net.free.fr/ notamment
pourquoi la «brillance» est abandonnée... et deux articles partiellement
contradictoires sur la définition de la «luminosité» versus «luminance»
- tout ca me fait penser aux pub pour l'Oréal, " mes cheveux sont 20 fois
plus brillants maintenant," comme ca ne fait pas appel a une mesure, donc
qui dit mesure dit unité, quelle est l'unité de brillance et son contraire
le terne , moi, je ne connais pas cette unité, c'est facile de dire ca
pour de la pub, comme il n'y apas de possiblité de mesure, qui peut
prouver le contraire, tout ce propos est un pau délayé et pas clair, en ce
qui concerne la photo, en revanche c'est tres clair, revoir les bases de
la sensitometrie, avec laquelle je me suis battu trente ans
Eric
Thierry a formulé ce mardi :Dans le cas d'un négatif, je ne pense pas qu'on dise réellement qu'il
présente un contraste plus élevé qu'une dia
C'est généralement l'inverse.
...
Grande dynamique et grand contraste sont antinomiques...
Quelques bonnes adresses :
http://www.abmt.unibas.ch/SKRIPTEN/bildtechnologieI/V03_sensitometrie_noirblanc.pdf
http://www.med.univ-rennes1.fr/cerf/edicerf/BASES/BA001_cv_rb_30.html
http://www.film-making.com/cybtr18.html
http://wwwfr.kodak.com/FR/plugins/acrobat/fr/motion/vision2_5229.pdf
--
Jacques DASSIÉ
http://archaero.com/
Thierry a formulé ce mardi :
Dans le cas d'un négatif, je ne pense pas qu'on dise réellement qu'il
présente un contraste plus élevé qu'une dia
C'est généralement l'inverse.
...
Grande dynamique et grand contraste sont antinomiques...
Quelques bonnes adresses :
http://www.abmt.unibas.ch/SKRIPTEN/bildtechnologieI/V03_sensitometrie_noirblanc.pdf
http://www.med.univ-rennes1.fr/cerf/edicerf/BASES/BA001_cv_rb_30.html
http://www.film-making.com/cybtr18.html
http://wwwfr.kodak.com/FR/plugins/acrobat/fr/motion/vision2_5229.pdf
--
Jacques DASSIÉ
http://archaero.com/
Thierry a formulé ce mardi :Dans le cas d'un négatif, je ne pense pas qu'on dise réellement qu'il
présente un contraste plus élevé qu'une dia
C'est généralement l'inverse.
...
Grande dynamique et grand contraste sont antinomiques...
Quelques bonnes adresses :
http://www.abmt.unibas.ch/SKRIPTEN/bildtechnologieI/V03_sensitometrie_noirblanc.pdf
http://www.med.univ-rennes1.fr/cerf/edicerf/BASES/BA001_cv_rb_30.html
http://www.film-making.com/cybtr18.html
http://wwwfr.kodak.com/FR/plugins/acrobat/fr/motion/vision2_5229.pdf
--
Jacques DASSIÉ
http://archaero.com/
Thierry a formulé ce mardi :Dans le cas d'un négatif, je ne pense pas qu'on dise réellement qu'il
présente un contraste plus élevé qu'une dia
C'est généralement l'inverse.
...
Grande dynamique et grand contraste sont antinomiques...
- ah, depuis qu on a parlé de dynamique, moi, jamais entendu ca dans un labo
On trouve de tout sur Internet. Des gars qui disent que les film neg
couleur ont un contraste > aux diapositives, et l'inverse.
En théorie, à la limite ils tous ont raison, en fct du côté que l'on se
place
En pratique ils ont généralement tous tord car leur propos manque de
précision.
Comme j'ai dit dans ma réponse à mon propre post, (les souvenirs me sont
revenus)
tout dépend de ce qu'on regarde, ce qu'enregistre le film ou se qu'il
restitue.
A partir de là tout le monde sera d'accord.
dia : faible tolérance et écarts de luminance en entrée, faible contraste
à l'enregistrement. Mais support transparent, gamma 1.5-2 et donc fort
écart de densité, grand contraste en sortie (visualisation par
transparence)
A+
Thierry
Faut pas regarder sur internet, un bon manuel de sensitometrie fera bien
l'affaire
eric
Thierry a formulé ce mardi :
Dans le cas d'un négatif, je ne pense pas qu'on dise réellement qu'il
présente un contraste plus élevé qu'une dia
C'est généralement l'inverse.
...
Grande dynamique et grand contraste sont antinomiques...
- ah, depuis qu on a parlé de dynamique, moi, jamais entendu ca dans un labo
On trouve de tout sur Internet. Des gars qui disent que les film neg
couleur ont un contraste > aux diapositives, et l'inverse.
En théorie, à la limite ils tous ont raison, en fct du côté que l'on se
place
En pratique ils ont généralement tous tord car leur propos manque de
précision.
Comme j'ai dit dans ma réponse à mon propre post, (les souvenirs me sont
revenus)
tout dépend de ce qu'on regarde, ce qu'enregistre le film ou se qu'il
restitue.
A partir de là tout le monde sera d'accord.
dia : faible tolérance et écarts de luminance en entrée, faible contraste
à l'enregistrement. Mais support transparent, gamma 1.5-2 et donc fort
écart de densité, grand contraste en sortie (visualisation par
transparence)
A+
Thierry
Faut pas regarder sur internet, un bon manuel de sensitometrie fera bien
l'affaire
eric
Thierry a formulé ce mardi :Dans le cas d'un négatif, je ne pense pas qu'on dise réellement qu'il
présente un contraste plus élevé qu'une dia
C'est généralement l'inverse.
...
Grande dynamique et grand contraste sont antinomiques...
- ah, depuis qu on a parlé de dynamique, moi, jamais entendu ca dans un labo
On trouve de tout sur Internet. Des gars qui disent que les film neg
couleur ont un contraste > aux diapositives, et l'inverse.
En théorie, à la limite ils tous ont raison, en fct du côté que l'on se
place
En pratique ils ont généralement tous tord car leur propos manque de
précision.
Comme j'ai dit dans ma réponse à mon propre post, (les souvenirs me sont
revenus)
tout dépend de ce qu'on regarde, ce qu'enregistre le film ou se qu'il
restitue.
A partir de là tout le monde sera d'accord.
dia : faible tolérance et écarts de luminance en entrée, faible contraste
à l'enregistrement. Mais support transparent, gamma 1.5-2 et donc fort
écart de densité, grand contraste en sortie (visualisation par
transparence)
A+
Thierry
Faut pas regarder sur internet, un bon manuel de sensitometrie fera bien
l'affaire
eric