Pas du tout. Pourquoi cette obsession du "fric" ???
Une industrie est faite pour permettre une production de
masse. Ca permet aussi de gagner du fric mais c'est pas le
but premier.
Pas du tout. Pourquoi cette obsession du "fric" ???
Une industrie est faite pour permettre une production de
masse. Ca permet aussi de gagner du fric mais c'est pas le
but premier.
Pas du tout. Pourquoi cette obsession du "fric" ???
Une industrie est faite pour permettre une production de
masse. Ca permet aussi de gagner du fric mais c'est pas le
but premier.
De : "Jean-Luc ERNST"
Bonjour,
je suppose qu'ils suppriment ce film parce qu'ils n'en vendent plus en
suffisance pour générer du bénéfice.
De : "Jean-Luc ERNST" <jeanlucxernst@versateladslxbe>
Bonjour,
je suppose qu'ils suppriment ce film parce qu'ils n'en vendent plus en
suffisance pour générer du bénéfice.
De : "Jean-Luc ERNST"
Bonjour,
je suppose qu'ils suppriment ce film parce qu'ils n'en vendent plus en
suffisance pour générer du bénéfice.
Excuse-moi d'être aussi direct, mais là tu es complètement à coté de la
plaque !!!
Excuse-moi d'être aussi direct, mais là tu es complètement à coté de la
plaque !!!
Excuse-moi d'être aussi direct, mais là tu es complètement à coté de la
plaque !!!
Non c'est toi qui est à coté de la plaque. Une analyse basée
sur le seul "fric" ne tient pas la route un instant. Si le
monde n'était fait que de finance ça se saurait.
Non c'est toi qui est à coté de la plaque. Une analyse basée
sur le seul "fric" ne tient pas la route un instant. Si le
monde n'était fait que de finance ça se saurait.
Non c'est toi qui est à coté de la plaque. Une analyse basée
sur le seul "fric" ne tient pas la route un instant. Si le
monde n'était fait que de finance ça se saurait.
D'accord, tu as raison... les industriels sont des philanthropes qui
n'aspirent qu'au bonheur de leurs consommateurs.
D'accord, tu as raison... les industriels sont des philanthropes qui
n'aspirent qu'au bonheur de leurs consommateurs.
D'accord, tu as raison... les industriels sont des philanthropes qui
n'aspirent qu'au bonheur de leurs consommateurs.
Leurs manies ... Tu as une vision de l'espèce humaine bien réductrice.
Si aujourd'hui tu veux faire des photos avec des procédés anciens, tu as
la possibilité de te procurer des produits que ce soit en France, ou aux
USA s'il le faut.
Le polaroid 665 est un film unique. Il n'en existe simplement pas
d'autre. Il combine les avantages du numérique, tirage immédiat
puisqu'il s'agit d'un polaroid (contrôle de l'éclairage et de
l'exposition), et les avantages du négatif puisqu'il est possible
d'agrandir le négatif issu de la prise de vue.
Si une société acceptait de reprendre la techno, il n'y aurait pas de
problème.
Il est vrais. Mais ton action participe à son évolution.
le choix des outils doit rester libre.
Concernant les fonds de pension, etc., je ne suis pas le seul à avoir ce
genre d'analyse :
Georges Giralt écrivait il y a peu concernant Kodak :
"P.S. la production de papiers N&B a été arrettée parce qu'elle n'a fait
"que" 19 % de marge l'an dernier au lieu des 25% demandés..... Mais,
elle était rentable ! Surtout après sa délocalisation en Amérique du Sud
(Brésil, si je ne me trompes) Il faut maintenant surveiller les films
N&b (usine neuve au Texas) et les chimies N&B et E6..... passque si ça
fait pas ses 45% de benef, on va te flinguer tout ça pour que les p'tit
vieux des fonds de pension aient leur ch'tit dividendes a se mettre sous
la dent."
Quand les outils de ton temps ne te permettent pas d'obtenir la qualité
des outils passés, c'est ça qui pose un problème. Si j'arrive à avoir un
tirage numérique noir et blanc (ou couleur) de la même qualité que ce
que l'on peut obtenir sur baryté brillant, pour un coût identique à la
feuille (mais aussi au niveau investissement en matériel), je laisse
volontier tomber l'argentique et je me consacre tout entier aux outils
de mon temps. Mais ce n'est pas le cas.
En tout cas, aujourd'hui tout se passe comme si tout était fait pour
*forcer* les gens à passer au numérique.
Leurs manies ... Tu as une vision de l'espèce humaine bien réductrice.
Si aujourd'hui tu veux faire des photos avec des procédés anciens, tu as
la possibilité de te procurer des produits que ce soit en France, ou aux
USA s'il le faut.
Le polaroid 665 est un film unique. Il n'en existe simplement pas
d'autre. Il combine les avantages du numérique, tirage immédiat
puisqu'il s'agit d'un polaroid (contrôle de l'éclairage et de
l'exposition), et les avantages du négatif puisqu'il est possible
d'agrandir le négatif issu de la prise de vue.
Si une société acceptait de reprendre la techno, il n'y aurait pas de
problème.
Il est vrais. Mais ton action participe à son évolution.
le choix des outils doit rester libre.
Concernant les fonds de pension, etc., je ne suis pas le seul à avoir ce
genre d'analyse :
Georges Giralt écrivait il y a peu concernant Kodak :
"P.S. la production de papiers N&B a été arrettée parce qu'elle n'a fait
"que" 19 % de marge l'an dernier au lieu des 25% demandés..... Mais,
elle était rentable ! Surtout après sa délocalisation en Amérique du Sud
(Brésil, si je ne me trompes) Il faut maintenant surveiller les films
N&b (usine neuve au Texas) et les chimies N&B et E6..... passque si ça
fait pas ses 45% de benef, on va te flinguer tout ça pour que les p'tit
vieux des fonds de pension aient leur ch'tit dividendes a se mettre sous
la dent."
Quand les outils de ton temps ne te permettent pas d'obtenir la qualité
des outils passés, c'est ça qui pose un problème. Si j'arrive à avoir un
tirage numérique noir et blanc (ou couleur) de la même qualité que ce
que l'on peut obtenir sur baryté brillant, pour un coût identique à la
feuille (mais aussi au niveau investissement en matériel), je laisse
volontier tomber l'argentique et je me consacre tout entier aux outils
de mon temps. Mais ce n'est pas le cas.
En tout cas, aujourd'hui tout se passe comme si tout était fait pour
*forcer* les gens à passer au numérique.
Leurs manies ... Tu as une vision de l'espèce humaine bien réductrice.
Si aujourd'hui tu veux faire des photos avec des procédés anciens, tu as
la possibilité de te procurer des produits que ce soit en France, ou aux
USA s'il le faut.
Le polaroid 665 est un film unique. Il n'en existe simplement pas
d'autre. Il combine les avantages du numérique, tirage immédiat
puisqu'il s'agit d'un polaroid (contrôle de l'éclairage et de
l'exposition), et les avantages du négatif puisqu'il est possible
d'agrandir le négatif issu de la prise de vue.
Si une société acceptait de reprendre la techno, il n'y aurait pas de
problème.
Il est vrais. Mais ton action participe à son évolution.
le choix des outils doit rester libre.
Concernant les fonds de pension, etc., je ne suis pas le seul à avoir ce
genre d'analyse :
Georges Giralt écrivait il y a peu concernant Kodak :
"P.S. la production de papiers N&B a été arrettée parce qu'elle n'a fait
"que" 19 % de marge l'an dernier au lieu des 25% demandés..... Mais,
elle était rentable ! Surtout après sa délocalisation en Amérique du Sud
(Brésil, si je ne me trompes) Il faut maintenant surveiller les films
N&b (usine neuve au Texas) et les chimies N&B et E6..... passque si ça
fait pas ses 45% de benef, on va te flinguer tout ça pour que les p'tit
vieux des fonds de pension aient leur ch'tit dividendes a se mettre sous
la dent."
Quand les outils de ton temps ne te permettent pas d'obtenir la qualité
des outils passés, c'est ça qui pose un problème. Si j'arrive à avoir un
tirage numérique noir et blanc (ou couleur) de la même qualité que ce
que l'on peut obtenir sur baryté brillant, pour un coût identique à la
feuille (mais aussi au niveau investissement en matériel), je laisse
volontier tomber l'argentique et je me consacre tout entier aux outils
de mon temps. Mais ce n'est pas le cas.
En tout cas, aujourd'hui tout se passe comme si tout était fait pour
*forcer* les gens à passer au numérique.
La créativité nait, entre autres choses, des contraintes que l'on se
fixe dans un certain champ des possibles. Si le champ des possibles est
restreint, de façon non volontaire, la créativité, en général, en prend
un coup au niveau de sa liberté.
Je suis à peu prés d'accord sur le reste, mais pas là.
La
disparition (à quelques passionnés prés) des plaques de verre n'a
pas empêché la photo de continuer à se dévelloper.
Mais la photo a
ceci de particulier qu'elle attire les technophiles, arc-boutés sur
leur marque de matériel ou leurs consommables alors que finalement,
tout ça ne change pas grand chose... de mon point de vue.
La créativité nait, entre autres choses, des contraintes que l'on se
fixe dans un certain champ des possibles. Si le champ des possibles est
restreint, de façon non volontaire, la créativité, en général, en prend
un coup au niveau de sa liberté.
Je suis à peu prés d'accord sur le reste, mais pas là.
La
disparition (à quelques passionnés prés) des plaques de verre n'a
pas empêché la photo de continuer à se dévelloper.
Mais la photo a
ceci de particulier qu'elle attire les technophiles, arc-boutés sur
leur marque de matériel ou leurs consommables alors que finalement,
tout ça ne change pas grand chose... de mon point de vue.
La créativité nait, entre autres choses, des contraintes que l'on se
fixe dans un certain champ des possibles. Si le champ des possibles est
restreint, de façon non volontaire, la créativité, en général, en prend
un coup au niveau de sa liberté.
Je suis à peu prés d'accord sur le reste, mais pas là.
La
disparition (à quelques passionnés prés) des plaques de verre n'a
pas empêché la photo de continuer à se dévelloper.
Mais la photo a
ceci de particulier qu'elle attire les technophiles, arc-boutés sur
leur marque de matériel ou leurs consommables alors que finalement,
tout ça ne change pas grand chose... de mon point de vue.
? et alors ? je n'ai absolument rien contre ! chacun sa voie...Le polaroid 665 est un film unique. Il n'en existe simplement pas
d'autre. Il combine les avantages du numérique, tirage immédiat
puisqu'il s'agit d'un polaroid (contrôle de l'éclairage et de
l'exposition), et les avantages du négatif puisqu'il est possible
d'agrandir le négatif issu de la prise de vue.
C'est bien la première fois que je vois comparer le pola à du numérique
et ça ne me semble pas du tout pertinent...
Si une société acceptait de reprendre la techno, il n'y aurait pas de
problème.
Une société comme tu dis ne vis pas de l'air du temps mais des ventes de
ses produits. Et si ses produits ne se vendent pas elle ne peut pas
vivre. Donc si il y a un problème !
Il est vrais. Mais ton action participe à son évolution.
Oui et alors ? Le "bon vieux temps" n'est bon que dans les mythes.
le choix des outils doit rester libre.
Personne n'oblige personne à utiliser quelque outil que ce soit
maintenant, pour prendre un exemple hors de la photographie, si je veux
faire graver et presser un disque 78 tours je vais avoir du mal et je ne
crois pas pouvoir exiger de la société qu'elle mette l'opération à ma
disposition...
Je ne suis pas en train de dire que nous vivons dans un monde parfait
mais simplement qu'on ne peut pas s'accrocher aux techniques du passé
dont la production industrielle cesse en raison de l'absence de demande
et de l'apparition d'autres techniques qui les remplacent.
Reste à savoir si le nb a réellement un avenir.
En tout cas, aujourd'hui tout se passe comme si tout était fait pour
*forcer* les gens à passer au numérique.
Il n'y a pas de forces cachées qui oeuvrent dans l'ombre...
? et alors ? je n'ai absolument rien contre ! chacun sa voie...
Le polaroid 665 est un film unique. Il n'en existe simplement pas
d'autre. Il combine les avantages du numérique, tirage immédiat
puisqu'il s'agit d'un polaroid (contrôle de l'éclairage et de
l'exposition), et les avantages du négatif puisqu'il est possible
d'agrandir le négatif issu de la prise de vue.
C'est bien la première fois que je vois comparer le pola à du numérique
et ça ne me semble pas du tout pertinent...
Si une société acceptait de reprendre la techno, il n'y aurait pas de
problème.
Une société comme tu dis ne vis pas de l'air du temps mais des ventes de
ses produits. Et si ses produits ne se vendent pas elle ne peut pas
vivre. Donc si il y a un problème !
Il est vrais. Mais ton action participe à son évolution.
Oui et alors ? Le "bon vieux temps" n'est bon que dans les mythes.
le choix des outils doit rester libre.
Personne n'oblige personne à utiliser quelque outil que ce soit
maintenant, pour prendre un exemple hors de la photographie, si je veux
faire graver et presser un disque 78 tours je vais avoir du mal et je ne
crois pas pouvoir exiger de la société qu'elle mette l'opération à ma
disposition...
Je ne suis pas en train de dire que nous vivons dans un monde parfait
mais simplement qu'on ne peut pas s'accrocher aux techniques du passé
dont la production industrielle cesse en raison de l'absence de demande
et de l'apparition d'autres techniques qui les remplacent.
Reste à savoir si le nb a réellement un avenir.
En tout cas, aujourd'hui tout se passe comme si tout était fait pour
*forcer* les gens à passer au numérique.
Il n'y a pas de forces cachées qui oeuvrent dans l'ombre...
? et alors ? je n'ai absolument rien contre ! chacun sa voie...Le polaroid 665 est un film unique. Il n'en existe simplement pas
d'autre. Il combine les avantages du numérique, tirage immédiat
puisqu'il s'agit d'un polaroid (contrôle de l'éclairage et de
l'exposition), et les avantages du négatif puisqu'il est possible
d'agrandir le négatif issu de la prise de vue.
C'est bien la première fois que je vois comparer le pola à du numérique
et ça ne me semble pas du tout pertinent...
Si une société acceptait de reprendre la techno, il n'y aurait pas de
problème.
Une société comme tu dis ne vis pas de l'air du temps mais des ventes de
ses produits. Et si ses produits ne se vendent pas elle ne peut pas
vivre. Donc si il y a un problème !
Il est vrais. Mais ton action participe à son évolution.
Oui et alors ? Le "bon vieux temps" n'est bon que dans les mythes.
le choix des outils doit rester libre.
Personne n'oblige personne à utiliser quelque outil que ce soit
maintenant, pour prendre un exemple hors de la photographie, si je veux
faire graver et presser un disque 78 tours je vais avoir du mal et je ne
crois pas pouvoir exiger de la société qu'elle mette l'opération à ma
disposition...
Je ne suis pas en train de dire que nous vivons dans un monde parfait
mais simplement qu'on ne peut pas s'accrocher aux techniques du passé
dont la production industrielle cesse en raison de l'absence de demande
et de l'apparition d'autres techniques qui les remplacent.
Reste à savoir si le nb a réellement un avenir.
En tout cas, aujourd'hui tout se passe comme si tout était fait pour
*forcer* les gens à passer au numérique.
Il n'y a pas de forces cachées qui oeuvrent dans l'ombre...
... snip ...
Tout à fait d'accord avec toi, mais c'est le plus beau film que je
connaisse
et mon 180 est rentré de réparation (après 3 mois!) et j'y ai laissé
150
euros, tu comprends que ça me foute un peu les boules, non ?
Raymond Delhaye
... snip ...
Tout à fait d'accord avec toi, mais c'est le plus beau film que je
connaisse
et mon 180 est rentré de réparation (après 3 mois!) et j'y ai laissé
150
euros, tu comprends que ça me foute un peu les boules, non ?
Raymond Delhaye
... snip ...
Tout à fait d'accord avec toi, mais c'est le plus beau film que je
connaisse
et mon 180 est rentré de réparation (après 3 mois!) et j'y ai laissé
150
euros, tu comprends que ça me foute un peu les boules, non ?
Raymond Delhaye
C'est toi qui me parlait d'avoir un photographie immédiatement. Je
reprenais ton argument pour ce film, simplement.
Aujourd'hui, ce n'est plus tout à fait aussi simple que cela. Il est
parfois plus rentable de dépenser de l'argent à virer des salariés, sans
savoir qui est compétent et qui ne l'est pas, que de produire des biens,
industriels ou intellectuels.
Tu te trompes. Le fait de passer ses disques en 78 tours ou en 45 tours
n'a rien à voir avec l'aspect artistique (et encore on pourrait en
discuter). Que le support existe encore, et que l'on puisse encore avoir
des disques vinyls en 33 ou 45 tours, c'est ça qui est important.
Je le répète, à moins que je me trompe, le film Polaroid 665 est "U N I
Q U E".
On s'y accroche car en terme de simple rapport investissement / qualité
/ prix c'est très bien. Sauf que cela ne correspond pas aux schémas des
marketeux qui doivent justifier leurs salaires et leurs positions dans
les sociétés.
Le Noir et Blanc a encore un avenir. C'est un peu comme si tu disais,
est-ce que la poésie a encore un avenir par rapport aux romans ... (un
peu capilo-tracté). Il y a un avenir tant que des personnes utilisent
les procédés. Ce que l'on attend des entreprises comme Kodak et
Polaroid, c'est de verser dans le domaine public, de mettre à
disposition toute la documentation, le savoir-faire pour que des
sociétés moins gourmandes d'un point de vue financier, puissent
facilement reprendre leur activité si un marché existe, ce qui semble
être encore le cas.
Il n'y a pas de forces cachées qui oeuvrent dans l'ombre...
Non, c'est la structure de notre société et la structure de pensée qui
agit. Le reste n'est qu'une conséquence.
quand ils décident de virer un PDG ou qu'ils décident de se séparer
d'une activité, directement, ou indirectement à travers le PDG qu'ils
ont nommé ou qu'ils soutiennent, les fonds de pension sont à l'oeuvre
... au grand jour.
C'est toi qui me parlait d'avoir un photographie immédiatement. Je
reprenais ton argument pour ce film, simplement.
Aujourd'hui, ce n'est plus tout à fait aussi simple que cela. Il est
parfois plus rentable de dépenser de l'argent à virer des salariés, sans
savoir qui est compétent et qui ne l'est pas, que de produire des biens,
industriels ou intellectuels.
Tu te trompes. Le fait de passer ses disques en 78 tours ou en 45 tours
n'a rien à voir avec l'aspect artistique (et encore on pourrait en
discuter). Que le support existe encore, et que l'on puisse encore avoir
des disques vinyls en 33 ou 45 tours, c'est ça qui est important.
Je le répète, à moins que je me trompe, le film Polaroid 665 est "U N I
Q U E".
On s'y accroche car en terme de simple rapport investissement / qualité
/ prix c'est très bien. Sauf que cela ne correspond pas aux schémas des
marketeux qui doivent justifier leurs salaires et leurs positions dans
les sociétés.
Le Noir et Blanc a encore un avenir. C'est un peu comme si tu disais,
est-ce que la poésie a encore un avenir par rapport aux romans ... (un
peu capilo-tracté). Il y a un avenir tant que des personnes utilisent
les procédés. Ce que l'on attend des entreprises comme Kodak et
Polaroid, c'est de verser dans le domaine public, de mettre à
disposition toute la documentation, le savoir-faire pour que des
sociétés moins gourmandes d'un point de vue financier, puissent
facilement reprendre leur activité si un marché existe, ce qui semble
être encore le cas.
Il n'y a pas de forces cachées qui oeuvrent dans l'ombre...
Non, c'est la structure de notre société et la structure de pensée qui
agit. Le reste n'est qu'une conséquence.
quand ils décident de virer un PDG ou qu'ils décident de se séparer
d'une activité, directement, ou indirectement à travers le PDG qu'ils
ont nommé ou qu'ils soutiennent, les fonds de pension sont à l'oeuvre
... au grand jour.
C'est toi qui me parlait d'avoir un photographie immédiatement. Je
reprenais ton argument pour ce film, simplement.
Aujourd'hui, ce n'est plus tout à fait aussi simple que cela. Il est
parfois plus rentable de dépenser de l'argent à virer des salariés, sans
savoir qui est compétent et qui ne l'est pas, que de produire des biens,
industriels ou intellectuels.
Tu te trompes. Le fait de passer ses disques en 78 tours ou en 45 tours
n'a rien à voir avec l'aspect artistique (et encore on pourrait en
discuter). Que le support existe encore, et que l'on puisse encore avoir
des disques vinyls en 33 ou 45 tours, c'est ça qui est important.
Je le répète, à moins que je me trompe, le film Polaroid 665 est "U N I
Q U E".
On s'y accroche car en terme de simple rapport investissement / qualité
/ prix c'est très bien. Sauf que cela ne correspond pas aux schémas des
marketeux qui doivent justifier leurs salaires et leurs positions dans
les sociétés.
Le Noir et Blanc a encore un avenir. C'est un peu comme si tu disais,
est-ce que la poésie a encore un avenir par rapport aux romans ... (un
peu capilo-tracté). Il y a un avenir tant que des personnes utilisent
les procédés. Ce que l'on attend des entreprises comme Kodak et
Polaroid, c'est de verser dans le domaine public, de mettre à
disposition toute la documentation, le savoir-faire pour que des
sociétés moins gourmandes d'un point de vue financier, puissent
facilement reprendre leur activité si un marché existe, ce qui semble
être encore le cas.
Il n'y a pas de forces cachées qui oeuvrent dans l'ombre...
Non, c'est la structure de notre société et la structure de pensée qui
agit. Le reste n'est qu'une conséquence.
quand ils décident de virer un PDG ou qu'ils décident de se séparer
d'une activité, directement, ou indirectement à travers le PDG qu'ils
ont nommé ou qu'ils soutiennent, les fonds de pension sont à l'oeuvre
... au grand jour.