"François Guillet" a écrit
dans le message de news:3f8fa643$0$258$
>
>
> C'est pas croyable le temps que tu passes à essayer de faire du
aux
> autres, à interférer sur leur vie privée, jusqu'à contacter leur
milieu
> professionnel.
>
> FG
>
"François Guillet" <MyAddressIs-guillet.francois@wanadoo.fr> a écrit
dans le message de news:3f8fa643$0$258$626a54ce@news.free.fr...
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> C'est pas croyable le temps que tu passes à essayer de faire du
aux
> autres, à interférer sur leur vie privée, jusqu'à contacter leur
milieu
> professionnel.
>
> FG
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"François Guillet" a écrit
dans le message de news:3f8fa643$0$258$
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> C'est pas croyable le temps que tu passes à essayer de faire du
aux
> autres, à interférer sur leur vie privée, jusqu'à contacter leur
milieu
> professionnel.
>
> FG
>
Tu as fait dans la diffamation, tu colportes des ragots, tu utilises
des méthodes
dignes des années 40.
Tu es méprisable de par tes écrits, tu te crois intelligent mais tu ne
sais qu'insulter pour faire croire à ta ""grandeur"" Ta quête de
reconnaissance que tu es incapable de trouver ailleurs que sur les
forums et que d'ailleurs tu n'atteints pas, fait que tu es rejeté de
tous les forums où tu sévis.
Il n'y a que sur celui-ci où tu réussi à avoir une petite cour
d'individus aussi méprisable que toi.
Tu as fait dans la diffamation, tu colportes des ragots, tu utilises
des méthodes
dignes des années 40.
Tu es méprisable de par tes écrits, tu te crois intelligent mais tu ne
sais qu'insulter pour faire croire à ta ""grandeur"" Ta quête de
reconnaissance que tu es incapable de trouver ailleurs que sur les
forums et que d'ailleurs tu n'atteints pas, fait que tu es rejeté de
tous les forums où tu sévis.
Il n'y a que sur celui-ci où tu réussi à avoir une petite cour
d'individus aussi méprisable que toi.
Tu as fait dans la diffamation, tu colportes des ragots, tu utilises
des méthodes
dignes des années 40.
Tu es méprisable de par tes écrits, tu te crois intelligent mais tu ne
sais qu'insulter pour faire croire à ta ""grandeur"" Ta quête de
reconnaissance que tu es incapable de trouver ailleurs que sur les
forums et que d'ailleurs tu n'atteints pas, fait que tu es rejeté de
tous les forums où tu sévis.
Il n'y a que sur celui-ci où tu réussi à avoir une petite cour
d'individus aussi méprisable que toi.
Et je persiste et signe : Comme a dit Michel Audiard :
"les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît"
F1BJJ
Et je persiste et signe : Comme a dit Michel Audiard :
"les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît"
F1BJJ
Et je persiste et signe : Comme a dit Michel Audiard :
"les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît"
F1BJJ
Comme a dit Michel Audiard :
"les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît"
Comme a dit Michel Audiard :
"les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît"
Comme a dit Michel Audiard :
"les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît"
Je vais encore faire état du passé, mais c'est peut-être à cause de
l'augmentation progressive du nombre de propos hors-sujet avec la
radio que l'application très stricte des textes, et donc limitative, a
été reprise en supprimant la notion de "faible importance" qui n'est
pas assez stricte pour des utilisateurs peu attentifs. ;-)
En quoi est-ce gênant d'interdire "les communications d'un caractère
personnel" alors que les "remarques" de faible importance sont
tolérées ?
>:La nouvelle rédaction du RR approuvée cet été, a ajouté un article
>:important, le 25.2A : « Les transmissions entre des stations
>d'amateur:de différents pays ne doivent pas être codées en vue d'en
>obscurcir le:sens [...] », tout en réaffirmant que (art 25.2) : «
>[...] les:transmissions entre radioamateurs de pays différents
>doivent se limiter:[...] à des remarques d'un caractère purement
>personnel. »
Pourriez-vous ajouter ici la partie manquante, que vous indiquez par
[...] ? Merci ...
Dans cette optique, c'est à première vue positif. Mais comment rédiger
le texte pour continuer à "limiter" très sérieusement l'importance des
"remarques personnelles" puisque ce n'est pas le rôle des stations
d'amateur que de transmettre de telles informations ?
Difficile d'envoyer une lettre à l'administration ? Ce n'est même pas
à une association de le faire, mais tout simplement au radioamateur
qui souhaite "expérimenter". Vous savez : "l'activité individuelle"...
;-)
Certes, c'est pour une durée de 3 mois et en QRP. Ensuite, si le
système fonctionne, il n'y a aucune raison pour qu'une utilisation
générale soit refusée.
Pourquoi vouloir nous enfermer dans une liste de codes ? Pour
l'instant nous avons une liberté contrôlée. Le seul problème c'est que
nous n'en profitons pas vraiment car nous "expérimentons" très peu.
Quoi qu'il en soit, l'idée de reposer le problème n'est pas mauvaise
en soi et vous en avez le mérite. Mais :
1 - les résultats peuvent éventuellement être décevants pour ceux qui
s'attendent à une liberté encore plus grande en matière de QSO car
attirer l'attention de notre administration sur ce point particulier
va peut-être lui donner l'occasion de rédiger un texte actualisé dans
le sens de la rigueur et du radioamateurisme plutôt que de la CB.
Nous avons beaucoup de liberté pour faire du radioamateurisme mais
nous ne sommes pas autorisés à confondre une station amateur avec les
autres moyens de communication.
2 - il me semble que rien n'interdit de réaliser des transmissions
"codées" au sens "protocole" à condition que l'administration soit en
mesure de comprendre les échanges, ce qui est différent de la
cryptologie qui elle est interdite. Il ne faut pas confondre "langage
clair" et modes couramment utilisés.
3 - il n'est pas possible de créer des "prestations" amateur limitée à
une partie seulement des titulaires d'un indicatif (ex : relais ou BBS
réservé(e) à une liste d'OM sélectionnés selon votre projet
d'identifiant).
4 - une utilisation en HF aura toutes les chances de transmettre ce
type de "codage" en dehors de nos frontières : quelle sera la
situation de telles transmissions au regard des réglementations
étrangères ? Dans beaucoup de nos discutions franco-françaises, les
intervenants oublient assez souvent qu'en HF les frontières n'existent
pas et que nos voisins ne sont pas forcément du même avis que nous.
Je vais encore faire état du passé, mais c'est peut-être à cause de
l'augmentation progressive du nombre de propos hors-sujet avec la
radio que l'application très stricte des textes, et donc limitative, a
été reprise en supprimant la notion de "faible importance" qui n'est
pas assez stricte pour des utilisateurs peu attentifs. ;-)
En quoi est-ce gênant d'interdire "les communications d'un caractère
personnel" alors que les "remarques" de faible importance sont
tolérées ?
>:La nouvelle rédaction du RR approuvée cet été, a ajouté un article
>:important, le 25.2A : « Les transmissions entre des stations
>d'amateur:de différents pays ne doivent pas être codées en vue d'en
>obscurcir le:sens [...] », tout en réaffirmant que (art 25.2) : «
>[...] les:transmissions entre radioamateurs de pays différents
>doivent se limiter:[...] à des remarques d'un caractère purement
>personnel. »
Pourriez-vous ajouter ici la partie manquante, que vous indiquez par
[...] ? Merci ...
Dans cette optique, c'est à première vue positif. Mais comment rédiger
le texte pour continuer à "limiter" très sérieusement l'importance des
"remarques personnelles" puisque ce n'est pas le rôle des stations
d'amateur que de transmettre de telles informations ?
Difficile d'envoyer une lettre à l'administration ? Ce n'est même pas
à une association de le faire, mais tout simplement au radioamateur
qui souhaite "expérimenter". Vous savez : "l'activité individuelle"...
;-)
Certes, c'est pour une durée de 3 mois et en QRP. Ensuite, si le
système fonctionne, il n'y a aucune raison pour qu'une utilisation
générale soit refusée.
Pourquoi vouloir nous enfermer dans une liste de codes ? Pour
l'instant nous avons une liberté contrôlée. Le seul problème c'est que
nous n'en profitons pas vraiment car nous "expérimentons" très peu.
Quoi qu'il en soit, l'idée de reposer le problème n'est pas mauvaise
en soi et vous en avez le mérite. Mais :
1 - les résultats peuvent éventuellement être décevants pour ceux qui
s'attendent à une liberté encore plus grande en matière de QSO car
attirer l'attention de notre administration sur ce point particulier
va peut-être lui donner l'occasion de rédiger un texte actualisé dans
le sens de la rigueur et du radioamateurisme plutôt que de la CB.
Nous avons beaucoup de liberté pour faire du radioamateurisme mais
nous ne sommes pas autorisés à confondre une station amateur avec les
autres moyens de communication.
2 - il me semble que rien n'interdit de réaliser des transmissions
"codées" au sens "protocole" à condition que l'administration soit en
mesure de comprendre les échanges, ce qui est différent de la
cryptologie qui elle est interdite. Il ne faut pas confondre "langage
clair" et modes couramment utilisés.
3 - il n'est pas possible de créer des "prestations" amateur limitée à
une partie seulement des titulaires d'un indicatif (ex : relais ou BBS
réservé(e) à une liste d'OM sélectionnés selon votre projet
d'identifiant).
4 - une utilisation en HF aura toutes les chances de transmettre ce
type de "codage" en dehors de nos frontières : quelle sera la
situation de telles transmissions au regard des réglementations
étrangères ? Dans beaucoup de nos discutions franco-françaises, les
intervenants oublient assez souvent qu'en HF les frontières n'existent
pas et que nos voisins ne sont pas forcément du même avis que nous.
Je vais encore faire état du passé, mais c'est peut-être à cause de
l'augmentation progressive du nombre de propos hors-sujet avec la
radio que l'application très stricte des textes, et donc limitative, a
été reprise en supprimant la notion de "faible importance" qui n'est
pas assez stricte pour des utilisateurs peu attentifs. ;-)
En quoi est-ce gênant d'interdire "les communications d'un caractère
personnel" alors que les "remarques" de faible importance sont
tolérées ?
>:La nouvelle rédaction du RR approuvée cet été, a ajouté un article
>:important, le 25.2A : « Les transmissions entre des stations
>d'amateur:de différents pays ne doivent pas être codées en vue d'en
>obscurcir le:sens [...] », tout en réaffirmant que (art 25.2) : «
>[...] les:transmissions entre radioamateurs de pays différents
>doivent se limiter:[...] à des remarques d'un caractère purement
>personnel. »
Pourriez-vous ajouter ici la partie manquante, que vous indiquez par
[...] ? Merci ...
Dans cette optique, c'est à première vue positif. Mais comment rédiger
le texte pour continuer à "limiter" très sérieusement l'importance des
"remarques personnelles" puisque ce n'est pas le rôle des stations
d'amateur que de transmettre de telles informations ?
Difficile d'envoyer une lettre à l'administration ? Ce n'est même pas
à une association de le faire, mais tout simplement au radioamateur
qui souhaite "expérimenter". Vous savez : "l'activité individuelle"...
;-)
Certes, c'est pour une durée de 3 mois et en QRP. Ensuite, si le
système fonctionne, il n'y a aucune raison pour qu'une utilisation
générale soit refusée.
Pourquoi vouloir nous enfermer dans une liste de codes ? Pour
l'instant nous avons une liberté contrôlée. Le seul problème c'est que
nous n'en profitons pas vraiment car nous "expérimentons" très peu.
Quoi qu'il en soit, l'idée de reposer le problème n'est pas mauvaise
en soi et vous en avez le mérite. Mais :
1 - les résultats peuvent éventuellement être décevants pour ceux qui
s'attendent à une liberté encore plus grande en matière de QSO car
attirer l'attention de notre administration sur ce point particulier
va peut-être lui donner l'occasion de rédiger un texte actualisé dans
le sens de la rigueur et du radioamateurisme plutôt que de la CB.
Nous avons beaucoup de liberté pour faire du radioamateurisme mais
nous ne sommes pas autorisés à confondre une station amateur avec les
autres moyens de communication.
2 - il me semble que rien n'interdit de réaliser des transmissions
"codées" au sens "protocole" à condition que l'administration soit en
mesure de comprendre les échanges, ce qui est différent de la
cryptologie qui elle est interdite. Il ne faut pas confondre "langage
clair" et modes couramment utilisés.
3 - il n'est pas possible de créer des "prestations" amateur limitée à
une partie seulement des titulaires d'un indicatif (ex : relais ou BBS
réservé(e) à une liste d'OM sélectionnés selon votre projet
d'identifiant).
4 - une utilisation en HF aura toutes les chances de transmettre ce
type de "codage" en dehors de nos frontières : quelle sera la
situation de telles transmissions au regard des réglementations
étrangères ? Dans beaucoup de nos discutions franco-françaises, les
intervenants oublient assez souvent qu'en HF les frontières n'existent
pas et que nos voisins ne sont pas forcément du même avis que nous.
:> En quoi est-ce gênant d'interdire "les communications d'un caractère
:> personnel" alors que les "remarques" de faible importance sont
:> tolérées ?
:Mais non, ni les unes, ni les autres ! Relisez le texte du décret. Il
:n'y est fait mention QUE des communications techniques. Comme le texte
:est en vigueur, et ne peut plus être attaqué judiciairement, il est
:applicable de plein droit.
:Je suis d'accord avec vous quand vous dites qu'il ne faut pas non plus
:que les QSOs dérivent vers la conversation de comptoir. Mais, il est
:quand même important de s'assurer d'un minimum de liberté quant au
:contenu.
: En outre, le nouveau RR dispose que les communications pour des
:tiers sont maintenant autorisées en cas d'urgence, ce qui n'est pas
:transcrit en droit français à l'heure actuelle.
:Pour le reste, c'est une question d'éducation, pour ainsi dire.
:Voici les textes intégraux :
:
:25.2
:« Les transmission entre stations d'amateur de pays différents doivent
:se limiter à des communications en rapport avec l'objet du service
:d'amateur, tel qu'il est défini au numéro 1.56 et à des remarques d'un
:caractère purement personnel. »
:25.2A
:« Les transmissions entre des stations d'amateurs de différents pays ne
:doivent pas être codées en vue d'en obscurcir le sens, sauf pour les
:signaux de commande échangés entre des stations terriennes de commande
:et les stations spatiales du service d'amateur par satellite. »
:> Dans cette optique, c'est à première vue positif. Mais comment rédiger
:> le texte pour continuer à "limiter" très sérieusement l'importance des
:> "remarques personnelles" puisque ce n'est pas le rôle des stations
:> d'amateur que de transmettre de telles informations ?
:Il faudrait rédiger quelque chose comme : « les communications doivent
:se limiter à des échanges techniques éventuellement entrecoupées de
:remarques à caractère personnel, etc. » ou autre.
:> Difficile d'envoyer une lettre à l'administration ? Ce n'est même pas
:> à une association de le faire, mais tout simplement au radioamateur
:> qui souhaite "expérimenter". Vous savez : "l'activité individuelle"...
:> ;-)
:
:J'imagine mal le 1er Ministre recevant 15000 lettres différentes
:sollicitant chacune l'autorisation d'un mode de trafic particulier :)
:> Certes, c'est pour une durée de 3 mois et en QRP. Ensuite, si le
:> système fonctionne, il n'y a aucune raison pour qu'une utilisation
:> générale soit refusée.
:Effectivement, 1 watt crête pour 3 mois. Pas terrible, hein ?
:Quant aux raisons, il y en a beaucoup, entre autres la possibilité que
:l'administration ne puisse s'assurer du contenu des communications.
:Allez donc demander de faire de l'étalement de spectre ou du saut de
:fréquence... qui sont pourtant des modes de trafic extrêmement
:efficaces.
:Le fameux M. Delime a été très
:clair à ce sujet lors de la réunion d'information : l'utilisation de
:signatures numériques, de codes d'authentification pour la télécommande
:de relais terrestre est INTERDIT, point barre.
:> 1 - les résultats peuvent éventuellement être décevants pour ceux qui
:> s'attendent à une liberté encore plus grande en matière de QSO car
:> attirer l'attention de notre administration sur ce point particulier
:> va peut-être lui donner l'occasion de rédiger un texte actualisé dans
:> le sens de la rigueur et du radioamateurisme plutôt que de la CB.
:> Nous avons beaucoup de liberté pour faire du radioamateurisme mais
:> nous ne sommes pas autorisés à confondre une station amateur avec les
:> autres moyens de communication.
:Impossible juridiquement. L'administration est tenue, par la
:Constitution, de se conformer aux dispositions du RR.
:En outre, philosophiquement, je préfère laisser de la liberté aux gens,
:et les inviter à l'utiliser correctement, que de fermer le robinet sous
:pretexte que certains font n'importe quoi.
:> 2 - il me semble que rien n'interdit de réaliser des transmissions
:> "codées" au sens "protocole" à condition que l'administration soit en
:> mesure de comprendre les échanges, ce qui est différent de la
:> cryptologie qui elle est interdite. Il ne faut pas confondre "langage
:> clair" et modes couramment utilisés.
:
:Vous non. L'administration cependant considère qu'il s'agit des mêmes
:choses.
:> 3 - il n'est pas possible de créer des "prestations" amateur limitée à
:> une partie seulement des titulaires d'un indicatif (ex : relais ou BBS
:> réservé(e) à une liste d'OM sélectionnés selon votre projet
:> d'identifiant).
:
:Quel rapport ?
:> 4 - une utilisation en HF aura toutes les chances de transmettre ce
:> type de "codage" en dehors de nos frontières : quelle sera la
:> situation de telles transmissions au regard des réglementations
:> étrangères ? Dans beaucoup de nos discutions franco-françaises, les
:> intervenants oublient assez souvent qu'en HF les frontières n'existent
:> pas et que nos voisins ne sont pas forcément du même avis que nous.
:
:Remarque non avenue : quel est le statut des émissions de radiodiffusion
:sur 7,25 kHz issues de la Région 1 en Région 2 où ce segment est réservé
:aux amateurs en exclusivité ?
:Quel est le statut de Syltrack dans les zones frontalières allemandes,
:belges ou autres ? Etc.
:73s
:Vincent F5RCS
:> En quoi est-ce gênant d'interdire "les communications d'un caractère
:> personnel" alors que les "remarques" de faible importance sont
:> tolérées ?
:Mais non, ni les unes, ni les autres ! Relisez le texte du décret. Il
:n'y est fait mention QUE des communications techniques. Comme le texte
:est en vigueur, et ne peut plus être attaqué judiciairement, il est
:applicable de plein droit.
:Je suis d'accord avec vous quand vous dites qu'il ne faut pas non plus
:que les QSOs dérivent vers la conversation de comptoir. Mais, il est
:quand même important de s'assurer d'un minimum de liberté quant au
:contenu.
: En outre, le nouveau RR dispose que les communications pour des
:tiers sont maintenant autorisées en cas d'urgence, ce qui n'est pas
:transcrit en droit français à l'heure actuelle.
:Pour le reste, c'est une question d'éducation, pour ainsi dire.
:Voici les textes intégraux :
:
:25.2
:« Les transmission entre stations d'amateur de pays différents doivent
:se limiter à des communications en rapport avec l'objet du service
:d'amateur, tel qu'il est défini au numéro 1.56 et à des remarques d'un
:caractère purement personnel. »
:25.2A
:« Les transmissions entre des stations d'amateurs de différents pays ne
:doivent pas être codées en vue d'en obscurcir le sens, sauf pour les
:signaux de commande échangés entre des stations terriennes de commande
:et les stations spatiales du service d'amateur par satellite. »
:> Dans cette optique, c'est à première vue positif. Mais comment rédiger
:> le texte pour continuer à "limiter" très sérieusement l'importance des
:> "remarques personnelles" puisque ce n'est pas le rôle des stations
:> d'amateur que de transmettre de telles informations ?
:Il faudrait rédiger quelque chose comme : « les communications doivent
:se limiter à des échanges techniques éventuellement entrecoupées de
:remarques à caractère personnel, etc. » ou autre.
:> Difficile d'envoyer une lettre à l'administration ? Ce n'est même pas
:> à une association de le faire, mais tout simplement au radioamateur
:> qui souhaite "expérimenter". Vous savez : "l'activité individuelle"...
:> ;-)
:
:J'imagine mal le 1er Ministre recevant 15000 lettres différentes
:sollicitant chacune l'autorisation d'un mode de trafic particulier :)
:> Certes, c'est pour une durée de 3 mois et en QRP. Ensuite, si le
:> système fonctionne, il n'y a aucune raison pour qu'une utilisation
:> générale soit refusée.
:Effectivement, 1 watt crête pour 3 mois. Pas terrible, hein ?
:Quant aux raisons, il y en a beaucoup, entre autres la possibilité que
:l'administration ne puisse s'assurer du contenu des communications.
:Allez donc demander de faire de l'étalement de spectre ou du saut de
:fréquence... qui sont pourtant des modes de trafic extrêmement
:efficaces.
:Le fameux M. Delime a été très
:clair à ce sujet lors de la réunion d'information : l'utilisation de
:signatures numériques, de codes d'authentification pour la télécommande
:de relais terrestre est INTERDIT, point barre.
:> 1 - les résultats peuvent éventuellement être décevants pour ceux qui
:> s'attendent à une liberté encore plus grande en matière de QSO car
:> attirer l'attention de notre administration sur ce point particulier
:> va peut-être lui donner l'occasion de rédiger un texte actualisé dans
:> le sens de la rigueur et du radioamateurisme plutôt que de la CB.
:> Nous avons beaucoup de liberté pour faire du radioamateurisme mais
:> nous ne sommes pas autorisés à confondre une station amateur avec les
:> autres moyens de communication.
:Impossible juridiquement. L'administration est tenue, par la
:Constitution, de se conformer aux dispositions du RR.
:En outre, philosophiquement, je préfère laisser de la liberté aux gens,
:et les inviter à l'utiliser correctement, que de fermer le robinet sous
:pretexte que certains font n'importe quoi.
:> 2 - il me semble que rien n'interdit de réaliser des transmissions
:> "codées" au sens "protocole" à condition que l'administration soit en
:> mesure de comprendre les échanges, ce qui est différent de la
:> cryptologie qui elle est interdite. Il ne faut pas confondre "langage
:> clair" et modes couramment utilisés.
:
:Vous non. L'administration cependant considère qu'il s'agit des mêmes
:choses.
:> 3 - il n'est pas possible de créer des "prestations" amateur limitée à
:> une partie seulement des titulaires d'un indicatif (ex : relais ou BBS
:> réservé(e) à une liste d'OM sélectionnés selon votre projet
:> d'identifiant).
:
:Quel rapport ?
:> 4 - une utilisation en HF aura toutes les chances de transmettre ce
:> type de "codage" en dehors de nos frontières : quelle sera la
:> situation de telles transmissions au regard des réglementations
:> étrangères ? Dans beaucoup de nos discutions franco-françaises, les
:> intervenants oublient assez souvent qu'en HF les frontières n'existent
:> pas et que nos voisins ne sont pas forcément du même avis que nous.
:
:Remarque non avenue : quel est le statut des émissions de radiodiffusion
:sur 7,25 kHz issues de la Région 1 en Région 2 où ce segment est réservé
:aux amateurs en exclusivité ?
:Quel est le statut de Syltrack dans les zones frontalières allemandes,
:belges ou autres ? Etc.
:73s
:Vincent F5RCS
:> En quoi est-ce gênant d'interdire "les communications d'un caractère
:> personnel" alors que les "remarques" de faible importance sont
:> tolérées ?
:Mais non, ni les unes, ni les autres ! Relisez le texte du décret. Il
:n'y est fait mention QUE des communications techniques. Comme le texte
:est en vigueur, et ne peut plus être attaqué judiciairement, il est
:applicable de plein droit.
:Je suis d'accord avec vous quand vous dites qu'il ne faut pas non plus
:que les QSOs dérivent vers la conversation de comptoir. Mais, il est
:quand même important de s'assurer d'un minimum de liberté quant au
:contenu.
: En outre, le nouveau RR dispose que les communications pour des
:tiers sont maintenant autorisées en cas d'urgence, ce qui n'est pas
:transcrit en droit français à l'heure actuelle.
:Pour le reste, c'est une question d'éducation, pour ainsi dire.
:Voici les textes intégraux :
:
:25.2
:« Les transmission entre stations d'amateur de pays différents doivent
:se limiter à des communications en rapport avec l'objet du service
:d'amateur, tel qu'il est défini au numéro 1.56 et à des remarques d'un
:caractère purement personnel. »
:25.2A
:« Les transmissions entre des stations d'amateurs de différents pays ne
:doivent pas être codées en vue d'en obscurcir le sens, sauf pour les
:signaux de commande échangés entre des stations terriennes de commande
:et les stations spatiales du service d'amateur par satellite. »
:> Dans cette optique, c'est à première vue positif. Mais comment rédiger
:> le texte pour continuer à "limiter" très sérieusement l'importance des
:> "remarques personnelles" puisque ce n'est pas le rôle des stations
:> d'amateur que de transmettre de telles informations ?
:Il faudrait rédiger quelque chose comme : « les communications doivent
:se limiter à des échanges techniques éventuellement entrecoupées de
:remarques à caractère personnel, etc. » ou autre.
:> Difficile d'envoyer une lettre à l'administration ? Ce n'est même pas
:> à une association de le faire, mais tout simplement au radioamateur
:> qui souhaite "expérimenter". Vous savez : "l'activité individuelle"...
:> ;-)
:
:J'imagine mal le 1er Ministre recevant 15000 lettres différentes
:sollicitant chacune l'autorisation d'un mode de trafic particulier :)
:> Certes, c'est pour une durée de 3 mois et en QRP. Ensuite, si le
:> système fonctionne, il n'y a aucune raison pour qu'une utilisation
:> générale soit refusée.
:Effectivement, 1 watt crête pour 3 mois. Pas terrible, hein ?
:Quant aux raisons, il y en a beaucoup, entre autres la possibilité que
:l'administration ne puisse s'assurer du contenu des communications.
:Allez donc demander de faire de l'étalement de spectre ou du saut de
:fréquence... qui sont pourtant des modes de trafic extrêmement
:efficaces.
:Le fameux M. Delime a été très
:clair à ce sujet lors de la réunion d'information : l'utilisation de
:signatures numériques, de codes d'authentification pour la télécommande
:de relais terrestre est INTERDIT, point barre.
:> 1 - les résultats peuvent éventuellement être décevants pour ceux qui
:> s'attendent à une liberté encore plus grande en matière de QSO car
:> attirer l'attention de notre administration sur ce point particulier
:> va peut-être lui donner l'occasion de rédiger un texte actualisé dans
:> le sens de la rigueur et du radioamateurisme plutôt que de la CB.
:> Nous avons beaucoup de liberté pour faire du radioamateurisme mais
:> nous ne sommes pas autorisés à confondre une station amateur avec les
:> autres moyens de communication.
:Impossible juridiquement. L'administration est tenue, par la
:Constitution, de se conformer aux dispositions du RR.
:En outre, philosophiquement, je préfère laisser de la liberté aux gens,
:et les inviter à l'utiliser correctement, que de fermer le robinet sous
:pretexte que certains font n'importe quoi.
:> 2 - il me semble que rien n'interdit de réaliser des transmissions
:> "codées" au sens "protocole" à condition que l'administration soit en
:> mesure de comprendre les échanges, ce qui est différent de la
:> cryptologie qui elle est interdite. Il ne faut pas confondre "langage
:> clair" et modes couramment utilisés.
:
:Vous non. L'administration cependant considère qu'il s'agit des mêmes
:choses.
:> 3 - il n'est pas possible de créer des "prestations" amateur limitée à
:> une partie seulement des titulaires d'un indicatif (ex : relais ou BBS
:> réservé(e) à une liste d'OM sélectionnés selon votre projet
:> d'identifiant).
:
:Quel rapport ?
:> 4 - une utilisation en HF aura toutes les chances de transmettre ce
:> type de "codage" en dehors de nos frontières : quelle sera la
:> situation de telles transmissions au regard des réglementations
:> étrangères ? Dans beaucoup de nos discutions franco-françaises, les
:> intervenants oublient assez souvent qu'en HF les frontières n'existent
:> pas et que nos voisins ne sont pas forcément du même avis que nous.
:
:Remarque non avenue : quel est le statut des émissions de radiodiffusion
:sur 7,25 kHz issues de la Région 1 en Région 2 où ce segment est réservé
:aux amateurs en exclusivité ?
:Quel est le statut de Syltrack dans les zones frontalières allemandes,
:belges ou autres ? Etc.
:73s
:Vincent F5RCS
Minimum de liberté, c'est à dire ?
Maintenant, s'il s'agit de s'adapter aux (in)capacités de certains,
comme par exemple cet "amateur de conversations de comptoir" attablé
quotidiennement en phonie sur 30 m il y a quelques mois et déclarant
avec son accent du sud-ouest : "mais s'il fallait parler de radio ou
de technique nous n'aurions plus rien à nous dire", tout est résumé
par cette phrase.
;-)
Le texte international est évocateur : "qui ne justifie pas le recours
aux services de télécommunication". Ceci repose aussi sur
"l'éducation" de l'opérateur et sur son aptitude à séparer ce qui est
de la sphère privée de la teneur habituelle des QSO.
Je suis même prêt à parier une QSL avec un beau château en couleur,
que l'administration n'a malheureusement pas reçu une telle demande
d'autorisation spéciale depuis ... un siècle ou deux.
>:Effectivement, 1 watt crête pour 3 mois. Pas terrible, hein ?
Point de vue discutable, hi ...
Lorsqu'on expérimente, la puissance initiale n'est pas le critère le
plus important et la distance parcourue rarement le premier objectif.
L'accumulation de QSO faciles et confortables non plus.
:-)
Justement, pourquoi ne pas demander cela ? Avec un cahier des charges
précis et des ambitions simples ? Cela nous sortirait peut-être de ces
30 dernières années de SSB maintenant ringarde et récupérée par les
cibistes/amateur-radio qui franchissent la ligne blanche ...
Cela permettrait de reparler technique dans les QSO au lieu de
s'échanger des suites de références de matériel commercial. ;-)
Et alors ?
Tel qu'est rédigé le RR, il est évident qu'il constitue les limites
maximum de ce que chaque Etat peut autoriser, mais est-ce que les
Etats sont dans l'incapacité juridique d'autoriser moins que le
maximum ? Je ne pense pas. L'examen peut être durci, les bandes
réduites, la puissance utilisable réduite, les antennes limitées, sans
que cela perturbe les autres nations.
Le psk 31 est un mode de transmission codée. J'oserais même dire
qu'il s'agit d'une communication cryptée puisqu'il y a utilisation
d'une table de transcodage qu'il suffirait de modifier pour que
l'administration ne comprenne plus ... temporairement. Or le psk 31
n'est pas interdit.
Quel rapport ? ;-)
J'étais dans le strict débat radioamateur ...
Minimum de liberté, c'est à dire ?
Maintenant, s'il s'agit de s'adapter aux (in)capacités de certains,
comme par exemple cet "amateur de conversations de comptoir" attablé
quotidiennement en phonie sur 30 m il y a quelques mois et déclarant
avec son accent du sud-ouest : "mais s'il fallait parler de radio ou
de technique nous n'aurions plus rien à nous dire", tout est résumé
par cette phrase.
;-)
Le texte international est évocateur : "qui ne justifie pas le recours
aux services de télécommunication". Ceci repose aussi sur
"l'éducation" de l'opérateur et sur son aptitude à séparer ce qui est
de la sphère privée de la teneur habituelle des QSO.
Je suis même prêt à parier une QSL avec un beau château en couleur,
que l'administration n'a malheureusement pas reçu une telle demande
d'autorisation spéciale depuis ... un siècle ou deux.
>:Effectivement, 1 watt crête pour 3 mois. Pas terrible, hein ?
Point de vue discutable, hi ...
Lorsqu'on expérimente, la puissance initiale n'est pas le critère le
plus important et la distance parcourue rarement le premier objectif.
L'accumulation de QSO faciles et confortables non plus.
:-)
Justement, pourquoi ne pas demander cela ? Avec un cahier des charges
précis et des ambitions simples ? Cela nous sortirait peut-être de ces
30 dernières années de SSB maintenant ringarde et récupérée par les
cibistes/amateur-radio qui franchissent la ligne blanche ...
Cela permettrait de reparler technique dans les QSO au lieu de
s'échanger des suites de références de matériel commercial. ;-)
Et alors ?
Tel qu'est rédigé le RR, il est évident qu'il constitue les limites
maximum de ce que chaque Etat peut autoriser, mais est-ce que les
Etats sont dans l'incapacité juridique d'autoriser moins que le
maximum ? Je ne pense pas. L'examen peut être durci, les bandes
réduites, la puissance utilisable réduite, les antennes limitées, sans
que cela perturbe les autres nations.
Le psk 31 est un mode de transmission codée. J'oserais même dire
qu'il s'agit d'une communication cryptée puisqu'il y a utilisation
d'une table de transcodage qu'il suffirait de modifier pour que
l'administration ne comprenne plus ... temporairement. Or le psk 31
n'est pas interdit.
Quel rapport ? ;-)
J'étais dans le strict débat radioamateur ...
Minimum de liberté, c'est à dire ?
Maintenant, s'il s'agit de s'adapter aux (in)capacités de certains,
comme par exemple cet "amateur de conversations de comptoir" attablé
quotidiennement en phonie sur 30 m il y a quelques mois et déclarant
avec son accent du sud-ouest : "mais s'il fallait parler de radio ou
de technique nous n'aurions plus rien à nous dire", tout est résumé
par cette phrase.
;-)
Le texte international est évocateur : "qui ne justifie pas le recours
aux services de télécommunication". Ceci repose aussi sur
"l'éducation" de l'opérateur et sur son aptitude à séparer ce qui est
de la sphère privée de la teneur habituelle des QSO.
Je suis même prêt à parier une QSL avec un beau château en couleur,
que l'administration n'a malheureusement pas reçu une telle demande
d'autorisation spéciale depuis ... un siècle ou deux.
>:Effectivement, 1 watt crête pour 3 mois. Pas terrible, hein ?
Point de vue discutable, hi ...
Lorsqu'on expérimente, la puissance initiale n'est pas le critère le
plus important et la distance parcourue rarement le premier objectif.
L'accumulation de QSO faciles et confortables non plus.
:-)
Justement, pourquoi ne pas demander cela ? Avec un cahier des charges
précis et des ambitions simples ? Cela nous sortirait peut-être de ces
30 dernières années de SSB maintenant ringarde et récupérée par les
cibistes/amateur-radio qui franchissent la ligne blanche ...
Cela permettrait de reparler technique dans les QSO au lieu de
s'échanger des suites de références de matériel commercial. ;-)
Et alors ?
Tel qu'est rédigé le RR, il est évident qu'il constitue les limites
maximum de ce que chaque Etat peut autoriser, mais est-ce que les
Etats sont dans l'incapacité juridique d'autoriser moins que le
maximum ? Je ne pense pas. L'examen peut être durci, les bandes
réduites, la puissance utilisable réduite, les antennes limitées, sans
que cela perturbe les autres nations.
Le psk 31 est un mode de transmission codée. J'oserais même dire
qu'il s'agit d'une communication cryptée puisqu'il y a utilisation
d'une table de transcodage qu'il suffirait de modifier pour que
l'administration ne comprenne plus ... temporairement. Or le psk 31
n'est pas interdit.
Quel rapport ? ;-)
J'étais dans le strict débat radioamateur ...
:> Minimum de liberté, c'est à dire ?
:
:On ne peut pas parler technique 100 % du temps.
:Ne serait-ce que, par exemple, si votre chat renverse votre émetteur QRP
:sur 24 GHz à base de DRO et de doubleur à INPATT, vous dites quoi ? Euh,
:un parasite technique a éteint mon émetteur QRP ?
:> Maintenant, s'il s'agit de s'adapter aux (in)capacités de certains,
:> comme par exemple cet "amateur de conversations de comptoir" attablé
:> quotidiennement en phonie sur 30 m il y a quelques mois et déclarant
:> avec son accent du sud-ouest : "mais s'il fallait parler de radio ou
:> de technique nous n'aurions plus rien à nous dire", tout est résumé
:> par cette phrase.
:> ;-)
:Que voulez-vous ? Les bandes basses sont les bandes basses !
:Sur les bandes SHF, il n'y a peut-être personne, mais au moins, les
:rares QSO qui s'y tiennent sont parfaitement dans l'esprit...
:Qu'est-ce qu'il reste à expérimenter en HF ?
:> Le texte international est évocateur : "qui ne justifie pas le recours
:> aux services de télécommunication". Ceci repose aussi sur
:> "l'éducation" de l'opérateur et sur son aptitude à séparer ce qui est
:> de la sphère privée de la teneur habituelle des QSO.
:Inutile de développer ce point, cette formulation n'a pas été reprise
:par le nouveau RR.
:> Je suis même prêt à parier une QSL avec un beau château en couleur,
:> que l'administration n'a malheureusement pas reçu une telle demande
:> d'autorisation spéciale depuis ... un siècle ou deux.
:Qui sait ?
:> >:Effectivement, 1 watt crête pour 3 mois. Pas terrible, hein ?
:> Point de vue discutable, hi ...
:> Lorsqu'on expérimente, la puissance initiale n'est pas le critère le
:> plus important et la distance parcourue rarement le premier objectif.
:> L'accumulation de QSO faciles et confortables non plus.
:> :-)
:Certes. Mais il faut quand même qu'on puisse vous recevoir au-delà du
:salon, non ? Surtout si, par exemple, vous testez la compatibilité de
:votre signal avec d'autres modulations...
:En plus, trois mois, cela signifie que vous faites votre demande
:pratiquement au moment où vous avez fini la mise au point de votre
:système... C'est-à-dire sûrement après avoir commencé à émettre pour les
:tests.
:> Justement, pourquoi ne pas demander cela ? Avec un cahier des charges
:> précis et des ambitions simples ? Cela nous sortirait peut-être de ces
:> 30 dernières années de SSB maintenant ringarde et récupérée par les
:> cibistes/amateur-radio qui franchissent la ligne blanche ...
:> Cela permettrait de reparler technique dans les QSO au lieu de
:> s'échanger des suites de références de matériel commercial. ;-)
:
:Chiche.
:Je vais faire la demande. Je rédige une lettre avant la fin de l'année.
:> Et alors ?
:> Tel qu'est rédigé le RR, il est évident qu'il constitue les limites
:> maximum de ce que chaque Etat peut autoriser, mais est-ce que les
:> Etats sont dans l'incapacité juridique d'autoriser moins que le
:> maximum ? Je ne pense pas. L'examen peut être durci, les bandes
:> réduites, la puissance utilisable réduite, les antennes limitées, sans
:> que cela perturbe les autres nations.
:
:Les autres États sont maîtres chez eux. Chez nous, le RR s'applique de
:plein droit d'après le fameux article 55 de la Constitution. Ce qui est
:permis dans le RR doit l'être en France.
: Ce qui est permis dans le RR doit l'être en France.
:Si une modulation est autorisée dans un pays X, je ne vois pas pourquoi
:les OMs de ce pays ne l'utiliseraient pas. C'est au contraire un
:excellent argument pour que les pays voisins l'autorisent à leur tour.
:> Minimum de liberté, c'est à dire ?
:
:On ne peut pas parler technique 100 % du temps.
:Ne serait-ce que, par exemple, si votre chat renverse votre émetteur QRP
:sur 24 GHz à base de DRO et de doubleur à INPATT, vous dites quoi ? Euh,
:un parasite technique a éteint mon émetteur QRP ?
:> Maintenant, s'il s'agit de s'adapter aux (in)capacités de certains,
:> comme par exemple cet "amateur de conversations de comptoir" attablé
:> quotidiennement en phonie sur 30 m il y a quelques mois et déclarant
:> avec son accent du sud-ouest : "mais s'il fallait parler de radio ou
:> de technique nous n'aurions plus rien à nous dire", tout est résumé
:> par cette phrase.
:> ;-)
:Que voulez-vous ? Les bandes basses sont les bandes basses !
:Sur les bandes SHF, il n'y a peut-être personne, mais au moins, les
:rares QSO qui s'y tiennent sont parfaitement dans l'esprit...
:Qu'est-ce qu'il reste à expérimenter en HF ?
:> Le texte international est évocateur : "qui ne justifie pas le recours
:> aux services de télécommunication". Ceci repose aussi sur
:> "l'éducation" de l'opérateur et sur son aptitude à séparer ce qui est
:> de la sphère privée de la teneur habituelle des QSO.
:Inutile de développer ce point, cette formulation n'a pas été reprise
:par le nouveau RR.
:> Je suis même prêt à parier une QSL avec un beau château en couleur,
:> que l'administration n'a malheureusement pas reçu une telle demande
:> d'autorisation spéciale depuis ... un siècle ou deux.
:Qui sait ?
:> >:Effectivement, 1 watt crête pour 3 mois. Pas terrible, hein ?
:> Point de vue discutable, hi ...
:> Lorsqu'on expérimente, la puissance initiale n'est pas le critère le
:> plus important et la distance parcourue rarement le premier objectif.
:> L'accumulation de QSO faciles et confortables non plus.
:> :-)
:Certes. Mais il faut quand même qu'on puisse vous recevoir au-delà du
:salon, non ? Surtout si, par exemple, vous testez la compatibilité de
:votre signal avec d'autres modulations...
:En plus, trois mois, cela signifie que vous faites votre demande
:pratiquement au moment où vous avez fini la mise au point de votre
:système... C'est-à-dire sûrement après avoir commencé à émettre pour les
:tests.
:> Justement, pourquoi ne pas demander cela ? Avec un cahier des charges
:> précis et des ambitions simples ? Cela nous sortirait peut-être de ces
:> 30 dernières années de SSB maintenant ringarde et récupérée par les
:> cibistes/amateur-radio qui franchissent la ligne blanche ...
:> Cela permettrait de reparler technique dans les QSO au lieu de
:> s'échanger des suites de références de matériel commercial. ;-)
:
:Chiche.
:Je vais faire la demande. Je rédige une lettre avant la fin de l'année.
:> Et alors ?
:> Tel qu'est rédigé le RR, il est évident qu'il constitue les limites
:> maximum de ce que chaque Etat peut autoriser, mais est-ce que les
:> Etats sont dans l'incapacité juridique d'autoriser moins que le
:> maximum ? Je ne pense pas. L'examen peut être durci, les bandes
:> réduites, la puissance utilisable réduite, les antennes limitées, sans
:> que cela perturbe les autres nations.
:
:Les autres États sont maîtres chez eux. Chez nous, le RR s'applique de
:plein droit d'après le fameux article 55 de la Constitution. Ce qui est
:permis dans le RR doit l'être en France.
: Ce qui est permis dans le RR doit l'être en France.
:Si une modulation est autorisée dans un pays X, je ne vois pas pourquoi
:les OMs de ce pays ne l'utiliseraient pas. C'est au contraire un
:excellent argument pour que les pays voisins l'autorisent à leur tour.
:> Minimum de liberté, c'est à dire ?
:
:On ne peut pas parler technique 100 % du temps.
:Ne serait-ce que, par exemple, si votre chat renverse votre émetteur QRP
:sur 24 GHz à base de DRO et de doubleur à INPATT, vous dites quoi ? Euh,
:un parasite technique a éteint mon émetteur QRP ?
:> Maintenant, s'il s'agit de s'adapter aux (in)capacités de certains,
:> comme par exemple cet "amateur de conversations de comptoir" attablé
:> quotidiennement en phonie sur 30 m il y a quelques mois et déclarant
:> avec son accent du sud-ouest : "mais s'il fallait parler de radio ou
:> de technique nous n'aurions plus rien à nous dire", tout est résumé
:> par cette phrase.
:> ;-)
:Que voulez-vous ? Les bandes basses sont les bandes basses !
:Sur les bandes SHF, il n'y a peut-être personne, mais au moins, les
:rares QSO qui s'y tiennent sont parfaitement dans l'esprit...
:Qu'est-ce qu'il reste à expérimenter en HF ?
:> Le texte international est évocateur : "qui ne justifie pas le recours
:> aux services de télécommunication". Ceci repose aussi sur
:> "l'éducation" de l'opérateur et sur son aptitude à séparer ce qui est
:> de la sphère privée de la teneur habituelle des QSO.
:Inutile de développer ce point, cette formulation n'a pas été reprise
:par le nouveau RR.
:> Je suis même prêt à parier une QSL avec un beau château en couleur,
:> que l'administration n'a malheureusement pas reçu une telle demande
:> d'autorisation spéciale depuis ... un siècle ou deux.
:Qui sait ?
:> >:Effectivement, 1 watt crête pour 3 mois. Pas terrible, hein ?
:> Point de vue discutable, hi ...
:> Lorsqu'on expérimente, la puissance initiale n'est pas le critère le
:> plus important et la distance parcourue rarement le premier objectif.
:> L'accumulation de QSO faciles et confortables non plus.
:> :-)
:Certes. Mais il faut quand même qu'on puisse vous recevoir au-delà du
:salon, non ? Surtout si, par exemple, vous testez la compatibilité de
:votre signal avec d'autres modulations...
:En plus, trois mois, cela signifie que vous faites votre demande
:pratiquement au moment où vous avez fini la mise au point de votre
:système... C'est-à-dire sûrement après avoir commencé à émettre pour les
:tests.
:> Justement, pourquoi ne pas demander cela ? Avec un cahier des charges
:> précis et des ambitions simples ? Cela nous sortirait peut-être de ces
:> 30 dernières années de SSB maintenant ringarde et récupérée par les
:> cibistes/amateur-radio qui franchissent la ligne blanche ...
:> Cela permettrait de reparler technique dans les QSO au lieu de
:> s'échanger des suites de références de matériel commercial. ;-)
:
:Chiche.
:Je vais faire la demande. Je rédige une lettre avant la fin de l'année.
:> Et alors ?
:> Tel qu'est rédigé le RR, il est évident qu'il constitue les limites
:> maximum de ce que chaque Etat peut autoriser, mais est-ce que les
:> Etats sont dans l'incapacité juridique d'autoriser moins que le
:> maximum ? Je ne pense pas. L'examen peut être durci, les bandes
:> réduites, la puissance utilisable réduite, les antennes limitées, sans
:> que cela perturbe les autres nations.
:
:Les autres États sont maîtres chez eux. Chez nous, le RR s'applique de
:plein droit d'après le fameux article 55 de la Constitution. Ce qui est
:permis dans le RR doit l'être en France.
: Ce qui est permis dans le RR doit l'être en France.
:Si une modulation est autorisée dans un pays X, je ne vois pas pourquoi
:les OMs de ce pays ne l'utiliseraient pas. C'est au contraire un
:excellent argument pour que les pays voisins l'autorisent à leur tour.
Tout ce jargon est resté dans le patrimoine radioamateur, mais très
sincèrement, l'utilisation du langage normal est aussi simple, court
et ... toléré.
Depuis au moins 25 ans, la tolérance repose sur la notion de faible
importance, donc de l'aptitude de chaque radioamateur à
s'auto-censurer en fonction des circonstances. C'est plus un problème
de société qu'un problème de réglementation.
Peu importe ! Le RR continue à définir le service amateur comme un
moyen d'instruction individuelle et la maîtrise de ses propres
comportement en fait partie. C'est grâce à cela qu'il existe encore
des radioamateurs capables de mettre en place un réseau d'urgence qui
fonctionne plutôt qu'un QSO multiple où règne une foire d'empoigne,
d'ailleurs habituelle maintenant un peu partout ailleurs, y compris
dans les débats télévisés.
Si cette législation existe, par exemple, pour protéger l'Etat
d'expérimentations "sauvages" ou d'émissions suspectes, le plus simple
c'est peut-être de "communiquer" et informer que le "bruit" qui est
éventuellement perceptible sur telle fréquence est de votre fait. Cela
évitera aux services chargés de la surveillance du spectre de se poser
trop de questions. ;-)
Il y a eu récemment des QSO en numérique réalisés entre la France et
les USA (Radio-club Thalès, je crois).
Ouf ! Il n'y a pas que des amateurs de QSO conviviaux en France. :-))
Dommage que le bruit de fond masque leurs activités ...
Le but du RR est d'encadrer, d'organiser, les activités de
radiocommunications. Il fixe le cadre, les limites à ne pas dépasser.
Mais les pays restent libres de restreindre plus ou moins le cadre
interne à leur territoire, voire même interdire toute émission.
Encore un fois, puisque le fameux article S25, relatif à la
connaissance de la télégraphie pour devenir radioamateur est au coeur
du sujet, la nouvelle écriture de cet article n'oblige absolument pas
les administrations nationale à supprimer tout examen de télégraphie.
Par exemple, on ne va pas en-deça de la fréquence de 30 MHz si
l'opérateur-radioamateur n'a pas démontré son aptitude à recevoir et
transmettre du Code Morse.
C'est par respect du RR qu'il n'a jamais été possible de descendre
"la barre", par exemple à 28 MHz, pour que les F1 puissent accéder aux
bandes HF.
Mais rien n'aurait pu empêcher, dans ce même RR, que l'administration
n'exempte du Code Morse, que les radioamateurs qui n'accéderaient par
exemple qu'aux bandes supérieures à 146 MHz, excluant ainsi le 6 m et
le 2 m des possibilités offertes aux "classe 2".
Oui, bien entendu. Mais les radioamateurs d'autres pays ne peuvent
l'utiliser, EN EMISSION, que si leur administration nationale les y
autorise.
Tout ce jargon est resté dans le patrimoine radioamateur, mais très
sincèrement, l'utilisation du langage normal est aussi simple, court
et ... toléré.
Depuis au moins 25 ans, la tolérance repose sur la notion de faible
importance, donc de l'aptitude de chaque radioamateur à
s'auto-censurer en fonction des circonstances. C'est plus un problème
de société qu'un problème de réglementation.
Peu importe ! Le RR continue à définir le service amateur comme un
moyen d'instruction individuelle et la maîtrise de ses propres
comportement en fait partie. C'est grâce à cela qu'il existe encore
des radioamateurs capables de mettre en place un réseau d'urgence qui
fonctionne plutôt qu'un QSO multiple où règne une foire d'empoigne,
d'ailleurs habituelle maintenant un peu partout ailleurs, y compris
dans les débats télévisés.
Si cette législation existe, par exemple, pour protéger l'Etat
d'expérimentations "sauvages" ou d'émissions suspectes, le plus simple
c'est peut-être de "communiquer" et informer que le "bruit" qui est
éventuellement perceptible sur telle fréquence est de votre fait. Cela
évitera aux services chargés de la surveillance du spectre de se poser
trop de questions. ;-)
Il y a eu récemment des QSO en numérique réalisés entre la France et
les USA (Radio-club Thalès, je crois).
Ouf ! Il n'y a pas que des amateurs de QSO conviviaux en France. :-))
Dommage que le bruit de fond masque leurs activités ...
Le but du RR est d'encadrer, d'organiser, les activités de
radiocommunications. Il fixe le cadre, les limites à ne pas dépasser.
Mais les pays restent libres de restreindre plus ou moins le cadre
interne à leur territoire, voire même interdire toute émission.
Encore un fois, puisque le fameux article S25, relatif à la
connaissance de la télégraphie pour devenir radioamateur est au coeur
du sujet, la nouvelle écriture de cet article n'oblige absolument pas
les administrations nationale à supprimer tout examen de télégraphie.
Par exemple, on ne va pas en-deça de la fréquence de 30 MHz si
l'opérateur-radioamateur n'a pas démontré son aptitude à recevoir et
transmettre du Code Morse.
C'est par respect du RR qu'il n'a jamais été possible de descendre
"la barre", par exemple à 28 MHz, pour que les F1 puissent accéder aux
bandes HF.
Mais rien n'aurait pu empêcher, dans ce même RR, que l'administration
n'exempte du Code Morse, que les radioamateurs qui n'accéderaient par
exemple qu'aux bandes supérieures à 146 MHz, excluant ainsi le 6 m et
le 2 m des possibilités offertes aux "classe 2".
Oui, bien entendu. Mais les radioamateurs d'autres pays ne peuvent
l'utiliser, EN EMISSION, que si leur administration nationale les y
autorise.
Tout ce jargon est resté dans le patrimoine radioamateur, mais très
sincèrement, l'utilisation du langage normal est aussi simple, court
et ... toléré.
Depuis au moins 25 ans, la tolérance repose sur la notion de faible
importance, donc de l'aptitude de chaque radioamateur à
s'auto-censurer en fonction des circonstances. C'est plus un problème
de société qu'un problème de réglementation.
Peu importe ! Le RR continue à définir le service amateur comme un
moyen d'instruction individuelle et la maîtrise de ses propres
comportement en fait partie. C'est grâce à cela qu'il existe encore
des radioamateurs capables de mettre en place un réseau d'urgence qui
fonctionne plutôt qu'un QSO multiple où règne une foire d'empoigne,
d'ailleurs habituelle maintenant un peu partout ailleurs, y compris
dans les débats télévisés.
Si cette législation existe, par exemple, pour protéger l'Etat
d'expérimentations "sauvages" ou d'émissions suspectes, le plus simple
c'est peut-être de "communiquer" et informer que le "bruit" qui est
éventuellement perceptible sur telle fréquence est de votre fait. Cela
évitera aux services chargés de la surveillance du spectre de se poser
trop de questions. ;-)
Il y a eu récemment des QSO en numérique réalisés entre la France et
les USA (Radio-club Thalès, je crois).
Ouf ! Il n'y a pas que des amateurs de QSO conviviaux en France. :-))
Dommage que le bruit de fond masque leurs activités ...
Le but du RR est d'encadrer, d'organiser, les activités de
radiocommunications. Il fixe le cadre, les limites à ne pas dépasser.
Mais les pays restent libres de restreindre plus ou moins le cadre
interne à leur territoire, voire même interdire toute émission.
Encore un fois, puisque le fameux article S25, relatif à la
connaissance de la télégraphie pour devenir radioamateur est au coeur
du sujet, la nouvelle écriture de cet article n'oblige absolument pas
les administrations nationale à supprimer tout examen de télégraphie.
Par exemple, on ne va pas en-deça de la fréquence de 30 MHz si
l'opérateur-radioamateur n'a pas démontré son aptitude à recevoir et
transmettre du Code Morse.
C'est par respect du RR qu'il n'a jamais été possible de descendre
"la barre", par exemple à 28 MHz, pour que les F1 puissent accéder aux
bandes HF.
Mais rien n'aurait pu empêcher, dans ce même RR, que l'administration
n'exempte du Code Morse, que les radioamateurs qui n'accéderaient par
exemple qu'aux bandes supérieures à 146 MHz, excluant ainsi le 6 m et
le 2 m des possibilités offertes aux "classe 2".
Oui, bien entendu. Mais les radioamateurs d'autres pays ne peuvent
l'utiliser, EN EMISSION, que si leur administration nationale les y
autorise.
:Vous avez raison. Il m'arrive souvent de dire : « pas sur l'air ». De
:toute façon, la possibilité d'être écouté par les autres limite
:automatiquement le contenu des conversations !
:> Le but du RR est d'encadrer, d'organiser, les activités de
:> radiocommunications. Il fixe le cadre, les limites à ne pas dépasser.
:> Mais les pays restent libres de restreindre plus ou moins le cadre
:> interne à leur territoire, voire même interdire toute émission.
:Bien sûr !
:Mais si la France s'engage à appliquer les textes, qu'elle le fasse !
:> Encore un fois, puisque le fameux article S25, relatif à la
:> connaissance de la télégraphie pour devenir radioamateur est au coeur
:> du sujet, la nouvelle écriture de cet article n'oblige absolument pas
:> les administrations nationale à supprimer tout examen de télégraphie.
:Non, c'est exact, et c'est pour cela qu'il n'y a aucun moyen juridique
:de contraindre l'administration a eliminer l'épreuve de lecture au son.
:> Mais rien n'aurait pu empêcher, dans ce même RR, que l'administration
:> n'exempte du Code Morse, que les radioamateurs qui n'accéderaient par
:> exemple qu'aux bandes supérieures à 146 MHz, excluant ainsi le 6 m et
:> le 2 m des possibilités offertes aux "classe 2".
:Exact, puisque le texte ancien disposait que : « Les administrations
:PEUVENT ne pas exiger ... »
:> Oui, bien entendu. Mais les radioamateurs d'autres pays ne peuvent
:> l'utiliser, EN EMISSION, que si leur administration nationale les y
:> autorise.
:Tout à fait.
:Bonne soirée !
:Vincent
:Vous avez raison. Il m'arrive souvent de dire : « pas sur l'air ». De
:toute façon, la possibilité d'être écouté par les autres limite
:automatiquement le contenu des conversations !
:> Le but du RR est d'encadrer, d'organiser, les activités de
:> radiocommunications. Il fixe le cadre, les limites à ne pas dépasser.
:> Mais les pays restent libres de restreindre plus ou moins le cadre
:> interne à leur territoire, voire même interdire toute émission.
:Bien sûr !
:Mais si la France s'engage à appliquer les textes, qu'elle le fasse !
:> Encore un fois, puisque le fameux article S25, relatif à la
:> connaissance de la télégraphie pour devenir radioamateur est au coeur
:> du sujet, la nouvelle écriture de cet article n'oblige absolument pas
:> les administrations nationale à supprimer tout examen de télégraphie.
:Non, c'est exact, et c'est pour cela qu'il n'y a aucun moyen juridique
:de contraindre l'administration a eliminer l'épreuve de lecture au son.
:> Mais rien n'aurait pu empêcher, dans ce même RR, que l'administration
:> n'exempte du Code Morse, que les radioamateurs qui n'accéderaient par
:> exemple qu'aux bandes supérieures à 146 MHz, excluant ainsi le 6 m et
:> le 2 m des possibilités offertes aux "classe 2".
:Exact, puisque le texte ancien disposait que : « Les administrations
:PEUVENT ne pas exiger ... »
:> Oui, bien entendu. Mais les radioamateurs d'autres pays ne peuvent
:> l'utiliser, EN EMISSION, que si leur administration nationale les y
:> autorise.
:Tout à fait.
:Bonne soirée !
:Vincent
:Vous avez raison. Il m'arrive souvent de dire : « pas sur l'air ». De
:toute façon, la possibilité d'être écouté par les autres limite
:automatiquement le contenu des conversations !
:> Le but du RR est d'encadrer, d'organiser, les activités de
:> radiocommunications. Il fixe le cadre, les limites à ne pas dépasser.
:> Mais les pays restent libres de restreindre plus ou moins le cadre
:> interne à leur territoire, voire même interdire toute émission.
:Bien sûr !
:Mais si la France s'engage à appliquer les textes, qu'elle le fasse !
:> Encore un fois, puisque le fameux article S25, relatif à la
:> connaissance de la télégraphie pour devenir radioamateur est au coeur
:> du sujet, la nouvelle écriture de cet article n'oblige absolument pas
:> les administrations nationale à supprimer tout examen de télégraphie.
:Non, c'est exact, et c'est pour cela qu'il n'y a aucun moyen juridique
:de contraindre l'administration a eliminer l'épreuve de lecture au son.
:> Mais rien n'aurait pu empêcher, dans ce même RR, que l'administration
:> n'exempte du Code Morse, que les radioamateurs qui n'accéderaient par
:> exemple qu'aux bandes supérieures à 146 MHz, excluant ainsi le 6 m et
:> le 2 m des possibilités offertes aux "classe 2".
:Exact, puisque le texte ancien disposait que : « Les administrations
:PEUVENT ne pas exiger ... »
:> Oui, bien entendu. Mais les radioamateurs d'autres pays ne peuvent
:> l'utiliser, EN EMISSION, que si leur administration nationale les y
:> autorise.
:Tout à fait.
:Bonne soirée !
:Vincent