actuellement si je comprend bien se tient la RRC06, une réunion
international qui va permettre l'attribution de canaux DAB bande III
pour la France.
Je lis à travers les forum (merci Nicolas) que la France pourrait
obtenir 7 ou 8 canaux DAB en couverture nationale. Donc en gros un canal
utilisable en SFN (Single Frequency Network ou réseau mono fréquence) de
Lille à Marseille et de Strabourg à Toulouse etc.
Mais ne risque-t-on pas de se retrouver avec des problèmes tel que j'en
connais sur Paris avec le GR1 CH35 ou bien à Lyon ou 3 réseaux sur 5
n'utilisent pas le SFN entre le Mont Pilat et Fourvière ...
Question subsidiaire : combien de canaux régionaux (Band III et L)
peut-on espérer à la fin de la RRC06 ?
Si je comprends bien, il faut donc s'attendre aussi à des problèmes en TNT au N-N-W du Puy -de- Dôme (dans l'azimut 330°-350°) quand Guéret va commencer à émettre le 15 octobre en omnidirectionnel. Les 2 sites TNT ont 2 canaux communs (R2 sur le 31 et R6 sur le 32),
C'est à craindre, en effet, même si (avec l'intervalle de garde de 28 µs retenu en principe) il y aura une "bande" d'un peu plus de 8 km de large à mi-chemin entre les deux sites dans laquelle le SFN sera synchro (on suppose que dans ce cas de figure la même trame est envoyée rigoureusement à la µs près depuis les deux sites).
C'est quand même chiant voire un défaut dans la conception du DVB-T.
Les anciens réseaux analogiques arrosaient à fond le maximum. Le puy de Dôme avec son altitude et sa puissance, te pourri le canal à des centaines (voire milliers ?) (Nicolas si tu as des valeurs précises) et surtout avec une telle puissance, tu peux toujours te brosser pour utiliser les canaux adjacents avec des émetteurs normaux même a 100-200 km je pense. Et comme on les reçoit de loin et que le DVB-T est limité en SFN à une distance intersite de quelques dizaines de km. En gros, ces énormes émetteurs ne sont pas adaptés à une optimisation des ressources fréquentielles.
L'idéal serait, dans ce cas de figure, d'augmenter l'intervalle de garde à 112 µs, comme pour le R1 à Paris, ce qui ferait une bande synchro de plus de 33 km de large, en supposant que de part et d'autre de cette bande le signal en provenance de l'émetteur le plus proche sera suffisant pour "écraser" celui émis depuis le site le plus éloigné (en jouant sur le C/N, donc). Mais pour pouvoir faire cela tout en conservant le débit nécessaire à la diffusion de tous les programmes, il faut passer le taux de code à 3/4 et donc augmenter la puissance d'émission de 2,5 dB. Donc attendre, concrètement, la fin de la période de transition analogique/numérique.
Toujours plus haut et toujours plus fort.
Et finalement pourquoi pas conserver la puissance analogique pour le numérique histoire de bien bien foutre la chianlie ;) Avec toutes les paraboles en France et les antennes de réseau mobile et autres, ça doit pas sorcier de créer des réseaux de diffusion avec des puissances relativement faible (1-5 kW) qui optimiserait les canaux. Juste un petit calage est c'est bon, plutôt que de trouver des astuces à la Lyonnaise qui pénalise soit le sud soit le nord de fourvière ...
Olivier Boudot a écrit :
"chabot-pierre" <chabot-pierre@wanadoo.fr> wrote in
news:447a2077$0$18307$8fcfb975@news.wanadoo.fr:
Si je comprends bien, il faut donc s'attendre aussi à des problèmes en
TNT au N-N-W du Puy -de- Dôme (dans l'azimut 330°-350°) quand Guéret va
commencer à émettre le 15 octobre en omnidirectionnel. Les 2 sites TNT
ont 2 canaux communs (R2 sur le 31 et R6 sur le 32),
C'est à craindre, en effet, même si (avec l'intervalle de garde de 28 µs
retenu en principe) il y aura une "bande" d'un peu plus de 8 km de large à
mi-chemin entre les deux sites dans laquelle le SFN sera synchro (on suppose
que dans ce cas de figure la même trame est envoyée rigoureusement à la µs
près depuis les deux sites).
C'est quand même chiant voire un défaut dans la conception du DVB-T.
Les anciens réseaux analogiques arrosaient à fond le maximum. Le puy de
Dôme avec son altitude et sa puissance, te pourri le canal à des
centaines (voire milliers ?) (Nicolas si tu as des valeurs précises) et
surtout avec une telle puissance, tu peux toujours te brosser pour
utiliser les canaux adjacents avec des émetteurs normaux même a 100-200
km je pense.
Et comme on les reçoit de loin et que le DVB-T est limité en SFN à une
distance intersite de quelques dizaines de km.
En gros, ces énormes émetteurs ne sont pas adaptés à une optimisation
des ressources fréquentielles.
L'idéal serait, dans ce cas de figure, d'augmenter l'intervalle de garde à
112 µs, comme pour le R1 à Paris, ce qui ferait une bande synchro de plus de
33 km de large, en supposant que de part et d'autre de cette bande le signal
en provenance de l'émetteur le plus proche sera suffisant pour "écraser"
celui émis depuis le site le plus éloigné (en jouant sur le C/N, donc). Mais
pour pouvoir faire cela tout en conservant le débit nécessaire à la diffusion
de tous les programmes, il faut passer le taux de code à 3/4 et donc
augmenter la puissance d'émission de 2,5 dB. Donc attendre, concrètement, la
fin de la période de transition analogique/numérique.
Toujours plus haut et toujours plus fort.
Et finalement pourquoi pas conserver la puissance analogique pour le
numérique histoire de bien bien foutre la chianlie ;)
Avec toutes les paraboles en France et les antennes de réseau mobile et
autres, ça doit pas sorcier de créer des réseaux de diffusion avec des
puissances relativement faible (1-5 kW) qui optimiserait les canaux.
Juste un petit calage est c'est bon, plutôt que de trouver des astuces à
la Lyonnaise qui pénalise soit le sud soit le nord de fourvière ...
Si je comprends bien, il faut donc s'attendre aussi à des problèmes en TNT au N-N-W du Puy -de- Dôme (dans l'azimut 330°-350°) quand Guéret va commencer à émettre le 15 octobre en omnidirectionnel. Les 2 sites TNT ont 2 canaux communs (R2 sur le 31 et R6 sur le 32),
C'est à craindre, en effet, même si (avec l'intervalle de garde de 28 µs retenu en principe) il y aura une "bande" d'un peu plus de 8 km de large à mi-chemin entre les deux sites dans laquelle le SFN sera synchro (on suppose que dans ce cas de figure la même trame est envoyée rigoureusement à la µs près depuis les deux sites).
C'est quand même chiant voire un défaut dans la conception du DVB-T.
Les anciens réseaux analogiques arrosaient à fond le maximum. Le puy de Dôme avec son altitude et sa puissance, te pourri le canal à des centaines (voire milliers ?) (Nicolas si tu as des valeurs précises) et surtout avec une telle puissance, tu peux toujours te brosser pour utiliser les canaux adjacents avec des émetteurs normaux même a 100-200 km je pense. Et comme on les reçoit de loin et que le DVB-T est limité en SFN à une distance intersite de quelques dizaines de km. En gros, ces énormes émetteurs ne sont pas adaptés à une optimisation des ressources fréquentielles.
L'idéal serait, dans ce cas de figure, d'augmenter l'intervalle de garde à 112 µs, comme pour le R1 à Paris, ce qui ferait une bande synchro de plus de 33 km de large, en supposant que de part et d'autre de cette bande le signal en provenance de l'émetteur le plus proche sera suffisant pour "écraser" celui émis depuis le site le plus éloigné (en jouant sur le C/N, donc). Mais pour pouvoir faire cela tout en conservant le débit nécessaire à la diffusion de tous les programmes, il faut passer le taux de code à 3/4 et donc augmenter la puissance d'émission de 2,5 dB. Donc attendre, concrètement, la fin de la période de transition analogique/numérique.
Toujours plus haut et toujours plus fort.
Et finalement pourquoi pas conserver la puissance analogique pour le numérique histoire de bien bien foutre la chianlie ;) Avec toutes les paraboles en France et les antennes de réseau mobile et autres, ça doit pas sorcier de créer des réseaux de diffusion avec des puissances relativement faible (1-5 kW) qui optimiserait les canaux. Juste un petit calage est c'est bon, plutôt que de trouver des astuces à la Lyonnaise qui pénalise soit le sud soit le nord de fourvière ...
Olivier Boudot
=?ISO-8859-15?Q?Pierre_PANTALÉON?= wrote in news:447ae5c3$0$12357$:
C'est à craindre, en effet, même si (avec l'intervalle de garde de 28 µs retenu en principe) il y aura une "bande" d'un peu plus de 8 km de large à mi-chemin entre les deux sites dans laquelle le SFN sera synchro (on suppose que dans ce cas de figure la même trame est envoyée rigoureusement à la µs près depuis les deux sites).
C'est quand même chiant voire un défaut dans la conception du DVB-T.
Non, un défaut de planification. Et c'est aussi dû à la volonté de "fourguer" le plus de chaînes par multiplex.
L'idéal serait de ne mettre que quatre programmes par multiplex, et comme cela l'intervalle de garde le plus long (224 µs) pourraît être utilisé, ce qui autorise des distances de SFN de l'ordre de 67 km.
Note que le DAB mode I possède une supériorité intrinsèque à ce niveau-là, puisque, pour le débit garanti correspondant à l'utilisation des 864 CUs d'un mux, tu as une distance de réutilisation de 89 km car, comme c'est expliqué dans l'article dont Nicolas a posté les références hier, avec un e modulation différentielle tu peux te permettre de commencer à brouiller marginalement le symbole d'avant/d'après tant que le "recoupement" inter-symboles (N, N+1 ou N-1, donc) reste limité. Ce qui fait qu'avec 246 µs d'intervalle de garde en mode I, ça te fait 74 km de distance théorique de planification + une petite marge, d'où en pratique 89 km sur un réseau DAB réel.
Et finalement pourquoi pas conserver la puissance analogique pour le numérique histoire de bien bien foutre la chianlie ;)
Parce-que les règles de l'UIT fixées lors de la CRR04 (conférence préparatoire à la CRR06) a fixé la PAR maximale en numérique à 200 kW.
-- A+,
Olivier
=?ISO-8859-15?Q?Pierre_PANTALÉON?= <000pipantal@free.fr000> wrote in
news:447ae5c3$0$12357$626a54ce@news.free.fr:
C'est à craindre, en effet, même si (avec l'intervalle de garde de 28
µs retenu en principe) il y aura une "bande" d'un peu plus de 8 km de
large à mi-chemin entre les deux sites dans laquelle le SFN sera
synchro (on suppose que dans ce cas de figure la même trame est envoyée
rigoureusement à la µs près depuis les deux sites).
C'est quand même chiant voire un défaut dans la conception du DVB-T.
Non, un défaut de planification. Et c'est aussi dû à la volonté de
"fourguer" le plus de chaînes par multiplex.
L'idéal serait de ne mettre que quatre programmes par multiplex, et comme
cela l'intervalle de garde le plus long (224 µs) pourraît être utilisé, ce
qui autorise des distances de SFN de l'ordre de 67 km.
Note que le DAB mode I possède une supériorité intrinsèque à ce niveau-là,
puisque, pour le débit garanti correspondant à l'utilisation des 864 CUs d'un
mux, tu as une distance de réutilisation de 89 km car, comme c'est expliqué
dans l'article dont Nicolas a posté les références hier, avec un e modulation
différentielle tu peux te permettre de commencer à brouiller marginalement le
symbole d'avant/d'après tant que le "recoupement" inter-symboles (N, N+1 ou
N-1, donc) reste limité. Ce qui fait qu'avec 246 µs d'intervalle de garde en
mode I, ça te fait 74 km de distance théorique de planification + une petite
marge, d'où en pratique 89 km sur un réseau DAB réel.
Et finalement pourquoi pas conserver la puissance analogique pour le
numérique histoire de bien bien foutre la chianlie ;)
Parce-que les règles de l'UIT fixées lors de la CRR04 (conférence
préparatoire à la CRR06) a fixé la PAR maximale en numérique à 200 kW.
=?ISO-8859-15?Q?Pierre_PANTALÉON?= wrote in news:447ae5c3$0$12357$:
C'est à craindre, en effet, même si (avec l'intervalle de garde de 28 µs retenu en principe) il y aura une "bande" d'un peu plus de 8 km de large à mi-chemin entre les deux sites dans laquelle le SFN sera synchro (on suppose que dans ce cas de figure la même trame est envoyée rigoureusement à la µs près depuis les deux sites).
C'est quand même chiant voire un défaut dans la conception du DVB-T.
Non, un défaut de planification. Et c'est aussi dû à la volonté de "fourguer" le plus de chaînes par multiplex.
L'idéal serait de ne mettre que quatre programmes par multiplex, et comme cela l'intervalle de garde le plus long (224 µs) pourraît être utilisé, ce qui autorise des distances de SFN de l'ordre de 67 km.
Note que le DAB mode I possède une supériorité intrinsèque à ce niveau-là, puisque, pour le débit garanti correspondant à l'utilisation des 864 CUs d'un mux, tu as une distance de réutilisation de 89 km car, comme c'est expliqué dans l'article dont Nicolas a posté les références hier, avec un e modulation différentielle tu peux te permettre de commencer à brouiller marginalement le symbole d'avant/d'après tant que le "recoupement" inter-symboles (N, N+1 ou N-1, donc) reste limité. Ce qui fait qu'avec 246 µs d'intervalle de garde en mode I, ça te fait 74 km de distance théorique de planification + une petite marge, d'où en pratique 89 km sur un réseau DAB réel.
Et finalement pourquoi pas conserver la puissance analogique pour le numérique histoire de bien bien foutre la chianlie ;)
Parce-que les règles de l'UIT fixées lors de la CRR04 (conférence préparatoire à la CRR06) a fixé la PAR maximale en numérique à 200 kW.
-- A+,
Olivier
Pierre PANTALÉON
Olivier Boudot a écrit :
Non, un défaut de planification. Et c'est aussi dû à la volonté de "fourguer" le plus de chaînes par multiplex.
Non je ne pense pas. Autant en DAB on se prend la tête tous les 15 jours, autant pour la TNT je pense que c'est très correct en terme de qualité global et de définition.
L'idéal serait de ne mettre que quatre programmes par multiplex, et comme cela l'intervalle de garde le plus long (224 µs) pourraît être utilisé, ce qui autorise des distances de SFN de l'ordre de 67 km.
Je ne suis pas du même avis. Je trouve que les gros emetteurs n'ont pas de place sur un marché mature. Peut-être au lancement pour couvrir le maximum de consommateur, mais par la suite ... Les anciens réseaux de TV possèdent des milliers d'émetteurs pour certains de quelques watt pour couvrir les zones d'ombre inévitable lorsqu'on arrose de loin avec des puissances aussi énorme. Donc au final il y a le même nombre d'émetteur que si on utilisait des puissances plus modérées. Dans ton exemple du Puy de dôme, un émétteur intermédiaire ou deux permettrait de résoudre le problème certainement.
Parce-que les règles de l'UIT fixées lors de la CRR04 (conférence préparatoire à la CRR06) a fixé la PAR maximale en numérique à 200 kW.
Ce qui est énorme ! N'oublions pas qu'on parle de numérique !
Olivier Boudot a écrit :
Non, un défaut de planification. Et c'est aussi dû à la volonté de
"fourguer" le plus de chaînes par multiplex.
Non je ne pense pas.
Autant en DAB on se prend la tête tous les 15 jours, autant pour la TNT
je pense que c'est très correct en terme de qualité global et de définition.
L'idéal serait de ne mettre que quatre programmes par multiplex, et comme
cela l'intervalle de garde le plus long (224 µs) pourraît être utilisé, ce
qui autorise des distances de SFN de l'ordre de 67 km.
Je ne suis pas du même avis.
Je trouve que les gros emetteurs n'ont pas de place sur un marché
mature. Peut-être au lancement pour couvrir le maximum de consommateur,
mais par la suite ...
Les anciens réseaux de TV possèdent des milliers d'émetteurs pour
certains de quelques watt pour couvrir les zones d'ombre inévitable
lorsqu'on arrose de loin avec des puissances aussi énorme. Donc au final
il y a le même nombre d'émetteur que si on utilisait des puissances plus
modérées.
Dans ton exemple du Puy de dôme, un émétteur intermédiaire ou deux
permettrait de résoudre le problème certainement.
Parce-que les règles de l'UIT fixées lors de la CRR04 (conférence
préparatoire à la CRR06) a fixé la PAR maximale en numérique à 200 kW.
Ce qui est énorme !
N'oublions pas qu'on parle de numérique !
Non, un défaut de planification. Et c'est aussi dû à la volonté de "fourguer" le plus de chaînes par multiplex.
Non je ne pense pas. Autant en DAB on se prend la tête tous les 15 jours, autant pour la TNT je pense que c'est très correct en terme de qualité global et de définition.
L'idéal serait de ne mettre que quatre programmes par multiplex, et comme cela l'intervalle de garde le plus long (224 µs) pourraît être utilisé, ce qui autorise des distances de SFN de l'ordre de 67 km.
Je ne suis pas du même avis. Je trouve que les gros emetteurs n'ont pas de place sur un marché mature. Peut-être au lancement pour couvrir le maximum de consommateur, mais par la suite ... Les anciens réseaux de TV possèdent des milliers d'émetteurs pour certains de quelques watt pour couvrir les zones d'ombre inévitable lorsqu'on arrose de loin avec des puissances aussi énorme. Donc au final il y a le même nombre d'émetteur que si on utilisait des puissances plus modérées. Dans ton exemple du Puy de dôme, un émétteur intermédiaire ou deux permettrait de résoudre le problème certainement.
Parce-que les règles de l'UIT fixées lors de la CRR04 (conférence préparatoire à la CRR06) a fixé la PAR maximale en numérique à 200 kW.
Ce qui est énorme ! N'oublions pas qu'on parle de numérique !
Nicolas Croiset
Pierre PANTALÉON wrote :
Olivier Boudot a écrit :
Non, un défaut de planification. Et c'est aussi dû à la volonté de "fourguer" le plus de chaînes par multiplex.
Non je ne pense pas. Autant en DAB on se prend la tête tous les 15 jours, autant pour la TNT je pense que c'est très correct en terme de qualité global et de définition.
Le réseau R1 était prévu à l'origine avec le R5 pour France télévision et consoeurs. Mais le gouvernement à la dernière minute a décidé de ne préempter qu'un seul multiplexe sur les 2 et de remplir le premier multiplexe avec tous les programmes qui étaient initialement répartis sur 2 multiplexes.
Le problème que la planif avait tenu compte des paramètres alors que France télévision avait deux mux.
L'idéal serait de ne mettre que quatre programmes par multiplex, et comme cela l'intervalle de garde le plus long (224 µs) pourraît être utilisé, ce qui autorise des distances de SFN de l'ordre de 67 km.
Je ne suis pas du même avis. Je trouve que les gros emetteurs n'ont pas de place sur un marché mature. Peut-être au lancement pour couvrir le maximum de consommateur, mais par la suite ... Les anciens réseaux de TV possèdent des milliers d'émetteurs pour certains de quelques watt pour couvrir les zones d'ombre inévitable lorsqu'on arrose de loin avec des puissances aussi énorme. Donc au final il y a le même nombre d'émetteur que si on utilisait des puissances plus modérées. Dans ton exemple du Puy de dôme, un émétteur intermédiaire ou deux permettrait de résoudre le problème certainement.
Durant la phase de transition tu ne peux pas être aux puissances max prévues après la phase de transition sinon tu brouilles des éméetteurs analogique lointains qui sont nettement plus sensibles aux brouillages.
Parce-que les règles de l'UIT fixées lors de la CRR04 (conférence préparatoire à la CRR06) a fixé la PAR maximale en numérique à 200 kW.
Ce qui est énorme ! N'oublions pas qu'on parle de numérique !
Les puissances en analogique UHF sont bien plus importantes encore.
Non, un défaut de planification. Et c'est aussi dû à la volonté de
"fourguer" le plus de chaînes par multiplex.
Non je ne pense pas.
Autant en DAB on se prend la tête tous les 15 jours, autant pour la TNT
je pense que c'est très correct en terme de qualité global et de définition.
Le réseau R1 était prévu à l'origine avec le R5 pour France télévision
et consoeurs. Mais le gouvernement à la dernière minute a décidé de ne
préempter qu'un seul multiplexe sur les 2 et de remplir le premier
multiplexe avec tous les programmes qui étaient initialement répartis
sur 2 multiplexes.
Le problème que la planif avait tenu compte des paramètres alors que
France télévision avait deux mux.
L'idéal serait de ne mettre que quatre programmes par multiplex, et comme
cela l'intervalle de garde le plus long (224 µs) pourraît être utilisé, ce
qui autorise des distances de SFN de l'ordre de 67 km.
Je ne suis pas du même avis.
Je trouve que les gros emetteurs n'ont pas de place sur un marché
mature. Peut-être au lancement pour couvrir le maximum de consommateur,
mais par la suite ...
Les anciens réseaux de TV possèdent des milliers d'émetteurs pour
certains de quelques watt pour couvrir les zones d'ombre inévitable
lorsqu'on arrose de loin avec des puissances aussi énorme. Donc au final
il y a le même nombre d'émetteur que si on utilisait des puissances plus
modérées.
Dans ton exemple du Puy de dôme, un émétteur intermédiaire ou deux
permettrait de résoudre le problème certainement.
Durant la phase de transition tu ne peux pas être aux puissances max
prévues après la phase de transition sinon tu brouilles des éméetteurs
analogique lointains qui sont nettement plus sensibles aux brouillages.
Parce-que les règles de l'UIT fixées lors de la CRR04 (conférence
préparatoire à la CRR06) a fixé la PAR maximale en numérique à 200 kW.
Ce qui est énorme !
N'oublions pas qu'on parle de numérique !
Les puissances en analogique UHF sont bien plus importantes encore.
Non, un défaut de planification. Et c'est aussi dû à la volonté de "fourguer" le plus de chaînes par multiplex.
Non je ne pense pas. Autant en DAB on se prend la tête tous les 15 jours, autant pour la TNT je pense que c'est très correct en terme de qualité global et de définition.
Le réseau R1 était prévu à l'origine avec le R5 pour France télévision et consoeurs. Mais le gouvernement à la dernière minute a décidé de ne préempter qu'un seul multiplexe sur les 2 et de remplir le premier multiplexe avec tous les programmes qui étaient initialement répartis sur 2 multiplexes.
Le problème que la planif avait tenu compte des paramètres alors que France télévision avait deux mux.
L'idéal serait de ne mettre que quatre programmes par multiplex, et comme cela l'intervalle de garde le plus long (224 µs) pourraît être utilisé, ce qui autorise des distances de SFN de l'ordre de 67 km.
Je ne suis pas du même avis. Je trouve que les gros emetteurs n'ont pas de place sur un marché mature. Peut-être au lancement pour couvrir le maximum de consommateur, mais par la suite ... Les anciens réseaux de TV possèdent des milliers d'émetteurs pour certains de quelques watt pour couvrir les zones d'ombre inévitable lorsqu'on arrose de loin avec des puissances aussi énorme. Donc au final il y a le même nombre d'émetteur que si on utilisait des puissances plus modérées. Dans ton exemple du Puy de dôme, un émétteur intermédiaire ou deux permettrait de résoudre le problème certainement.
Durant la phase de transition tu ne peux pas être aux puissances max prévues après la phase de transition sinon tu brouilles des éméetteurs analogique lointains qui sont nettement plus sensibles aux brouillages.
Parce-que les règles de l'UIT fixées lors de la CRR04 (conférence préparatoire à la CRR06) a fixé la PAR maximale en numérique à 200 kW.
Ce qui est énorme ! N'oublions pas qu'on parle de numérique !
Les puissances en analogique UHF sont bien plus importantes encore.
Non, un défaut de planification. Et c'est aussi dû à la volonté de "fourguer" le plus de chaînes par multiplex.
Non je ne pense pas. Autant en DAB on se prend la tête tous les 15 jours, autant pour la TNT je pense que c'est très correct en terme de qualité global et de définition.
Le réseau R1 était prévu à l'origine avec le R5 pour France télévision et consoeurs. Mais le gouvernement à la dernière minute a décidé de ne préempter qu'un seul multiplexe sur les 2 et de remplir le premier multiplexe avec tous les programmes qui étaient initialement répartis sur 2 multiplexes.
Le problème que la planif avait tenu compte des paramètres alors que France télévision avait deux mux.
Et il voulait mettre combien de chaine par mux ?
Durant la phase de transition tu ne peux pas être aux puissances max prévues après la phase de transition sinon tu brouilles des éméetteurs analogique lointains qui sont nettement plus sensibles aux brouillages.
Mais comme les émetteur sont trop éloignés pour fonctionner comme il faut un SFN, cela ne fera qu'augmenter le problème !
Parce-que les règles de l'UIT fixées lors de la CRR04 (conférence préparatoire à la CRR06) a fixé la PAR maximale en numérique à 200 kW.
Ce qui est énorme ! N'oublions pas qu'on parle de numérique !
Les puissances en analogique UHF sont bien plus importantes encore.
Oui je sais, c'est pour cela que 200 kW en numérique en terme de couverture cela donne plus de 1 MW en analogique, non ?
Nicolas Croiset a écrit :
Pierre PANTALÉON <000pipantal@free.fr000> wrote :
Olivier Boudot a écrit :
Non, un défaut de planification. Et c'est aussi dû à la volonté de
"fourguer" le plus de chaînes par multiplex.
Non je ne pense pas.
Autant en DAB on se prend la tête tous les 15 jours, autant pour la TNT
je pense que c'est très correct en terme de qualité global et de définition.
Le réseau R1 était prévu à l'origine avec le R5 pour France télévision
et consoeurs. Mais le gouvernement à la dernière minute a décidé de ne
préempter qu'un seul multiplexe sur les 2 et de remplir le premier
multiplexe avec tous les programmes qui étaient initialement répartis
sur 2 multiplexes.
Le problème que la planif avait tenu compte des paramètres alors que
France télévision avait deux mux.
Et il voulait mettre combien de chaine par mux ?
Durant la phase de transition tu ne peux pas être aux puissances max
prévues après la phase de transition sinon tu brouilles des éméetteurs
analogique lointains qui sont nettement plus sensibles aux brouillages.
Mais comme les émetteur sont trop éloignés pour fonctionner comme il
faut un SFN, cela ne fera qu'augmenter le problème !
Parce-que les règles de l'UIT fixées lors de la CRR04 (conférence
préparatoire à la CRR06) a fixé la PAR maximale en numérique à 200 kW.
Ce qui est énorme !
N'oublions pas qu'on parle de numérique !
Les puissances en analogique UHF sont bien plus importantes encore.
Oui je sais, c'est pour cela que 200 kW en numérique en terme de
couverture cela donne plus de 1 MW en analogique, non ?
Non, un défaut de planification. Et c'est aussi dû à la volonté de "fourguer" le plus de chaînes par multiplex.
Non je ne pense pas. Autant en DAB on se prend la tête tous les 15 jours, autant pour la TNT je pense que c'est très correct en terme de qualité global et de définition.
Le réseau R1 était prévu à l'origine avec le R5 pour France télévision et consoeurs. Mais le gouvernement à la dernière minute a décidé de ne préempter qu'un seul multiplexe sur les 2 et de remplir le premier multiplexe avec tous les programmes qui étaient initialement répartis sur 2 multiplexes.
Le problème que la planif avait tenu compte des paramètres alors que France télévision avait deux mux.
Et il voulait mettre combien de chaine par mux ?
Durant la phase de transition tu ne peux pas être aux puissances max prévues après la phase de transition sinon tu brouilles des éméetteurs analogique lointains qui sont nettement plus sensibles aux brouillages.
Mais comme les émetteur sont trop éloignés pour fonctionner comme il faut un SFN, cela ne fera qu'augmenter le problème !
Parce-que les règles de l'UIT fixées lors de la CRR04 (conférence préparatoire à la CRR06) a fixé la PAR maximale en numérique à 200 kW.
Ce qui est énorme ! N'oublions pas qu'on parle de numérique !
Les puissances en analogique UHF sont bien plus importantes encore.
Oui je sais, c'est pour cela que 200 kW en numérique en terme de couverture cela donne plus de 1 MW en analogique, non ?
Nicolas Croiset
switcher wrote :
In article , Nicolas Croiset wrote:
Ce problème existe également en FM, ce n'est pas lié au numérique mais au fait qu'un récepteur est ébloui (cf Bagnolet par exemple). La solution pour résoudre est de placer coté récepteur un filtre centré sur le 12A afin d'en atténuer le signal.
In article <1k1l721rpnldtqtl8jlihiceuie43uodf4@4ax.com>,
Nicolas Croiset <nicolas.croiset@brume.org> wrote:
Ce problème existe également en FM, ce n'est pas lié au numérique mais
au fait qu'un récepteur est ébloui (cf Bagnolet par exemple). La
solution pour résoudre est de placer coté récepteur un filtre centré sur
le 12A afin d'en atténuer le signal.
Ce problème existe également en FM, ce n'est pas lié au numérique mais au fait qu'un récepteur est ébloui (cf Bagnolet par exemple). La solution pour résoudre est de placer coté récepteur un filtre centré sur le 12A afin d'en atténuer le signal.