David Hamilton
Le
Richard Hachel

Une question que je me pose aujourd'hui, puisqu'étant devenu avec le
temps une grosse bite
dans l'histoire de l'humanité (pas célèbre, je sais, mais grosse bite
quand même),
je m'autorise aujourd'hui à singer les cons, tous azimuths, en passant
pas Descartes, Einstein,
Saint Paul, etcetera, c'est:
"Comment a-t-on pu glorifier les merdes de ce singe photographe?"
Quelles merdes, mais quelles merdes
Le débat est ouvert.
Autorisation totale de se déchaîner et d'en mettre plein la gueule à
votre cible du jour
R.H.
temps une grosse bite
dans l'histoire de l'humanité (pas célèbre, je sais, mais grosse bite
quand même),
je m'autorise aujourd'hui à singer les cons, tous azimuths, en passant
pas Descartes, Einstein,
Saint Paul, etcetera, c'est:
"Comment a-t-on pu glorifier les merdes de ce singe photographe?"
Quelles merdes, mais quelles merdes
Le débat est ouvert.
Autorisation totale de se déchaîner et d'en mettre plein la gueule à
votre cible du jour
R.H.
t'es un gros mazo, hachel ; ça pue le flicaillon .......
Hamilton c'est un style correpondant à une époque.
que l'on aime ou que l'on n'aime pas c'est l'affaire de chacun.
je ne comprends pas l'intérêt du débat.
David Hamilton, on va lui en mettre plein la gueule.
Flicaillon ou pas.
C'est un nullard (comme toi, d'ailleurs).
R.H.
L'intérêt du débat, c'est de dire:
"Comment se fait-il qu'on aimait sa merde, ou qu'il FALLAIT aimer sa
merde pour être dans le coup?"
R.H.
débattre à partir d'une hypotèse fausse n'a pas bcp d'intérêt.
Sur ça, Hachel a raison. Hamilton, c'était de la merde en barre.
jam
Et de la merde à la limite de la pédophilie.
Ce n'est pas moi qui le dit, ce sont quelques critiques artistisques.
J'en arrive à me demander si les quelques aficionados d'Hamilton ne sont
pas des types
qui ont pris pour habitude de passer leur vacances en Thaïlande.
Nan, je déconne...
R.H.
parce que ça fonctionne comme l'art moderne. Les milieux autorisés du
genre, fabriquent les réputations, montent des expos, écrivent dans des
revues chébran et font du blé avec. Ce sont des conseiller financiers,
tel artiste monte, tel artiste descend, c'est comme les actions. cerise
sur le gâteau, l'art en France n'est pas imposé.
Harouel a écrit un bouquin magistral là dessus : l'Art et le néant
http://www.lefigaro.fr/livres/2009/05/07/03005-20090507ARTFIG00394-l-art-et-le-neant-.php
extrait :
On passe en moins d'un demi-siècle d'Ingres ou Corot à Carré blanc sur
fond blanc de Malevitch. Harouel y voit "l'acte de décès de la peinture,
victime d'une implosion pure et simple". On trouvera alors toutes les
astuces rhétoriques (on devrait plutôt dire tautologiques) pour sauver
l'embardée en considérant comme œuvre d'art ce qui est produit par un
artiste qui se définit, à son tour, par le fait qu'il fait des œuvres
d'art. CQFD. Et impossible de remettre en cause une telle évidence.
Bref, c'est le début de la grande plaisanterie dont Marcel Duchamp saura
se faire le meilleur interprète : « On peut faire avaler n'importe quoi
aux gens. » Au moins les grands esprits ont-ils le mérite de la
sincérité. C'est moins vrai de ceux qui vont s'en faire les héritiers.
Harouel tape dur : « Ne requérant aucun savoir ni aucun effort de
compréhension, cet ersatz d'art se trouve parfaitement adapté à
l'actuelle inculture de la plupart des puissants de l'argent et du
pouvoir. »
Il doit y avoir du vrai dans ce que tu dis.
R.H.