De l'avantage du calibrage écran... quand on n'imprime pas sois même ???
47 réponses
emef
Bonjour à tous,
j'envisage d'acheter une sonde pour calibrer mon écran CRT.
Non seulement j'aurais besoin de conseils pour cet achat, mais aussi d'avis
sur l'utilité de cet achat alors que je veux faire imprimé mes photos soit
par le net (foto.com ou autres) soit chez un photographe important de ma
ville (fnac ou autres photogalerie).
Je demande cet avis car les conseils reçus en magasin me laissent un peux
perplexe :(
D'après mon interlocuteur, je n'aurais qu'à envoyer une image "brut" à
tirer chez eux, puis calibrer mon écran d'après le tirage qu'ils m'auront
fourni. Moi qui m'attendait à "x points de ceci" ou "x points de cela"
(compensation avec la sonde) ça me semble un peu trop simple (simpliste) ?
Alors, achat nécessaire ou pas ?
Et si oui, quoi et à quel prix ? (dixit la même personne les sondes
"premiers prix" ne servent à rien ---> lui ne jure que par "LaCie").
Bref, je me tâte...
Merci d'avance.
--
emef
« La seule journée complètement perdue, est celle où l'on n'a pas ri »
Chamfort
Oui, c'est-à-dire un espacement des gouttes pour que celles-ci, mélangées au blanc du papier, donnent l'impression de la teinte désirée.
ou cela peut être une telle épaisseur de liquide, qui par translucidité et avec le blanc du papier, donne une couleur très claire
Même si l'effet est parfaitement convaincant, ce n'est jamais que des gouttelettes raréfiées sur du papier blanc.
ou un papier blanc légérement coloré
C'est assez loin du ton ben si la couleur est totalement étalé&e, on est dans le ton.
continu des tireuses photos... je ne comprend pourquoi ce si merveilleux ton est si limité pour la
reproduction d'un nombre de couleur
Pour autant il ne faut pas croire que je suis réfractaire aux tirages jet d'encre, au contraire, j'aime beaucoup. Une de mes expos fut d'ailleurs entièrement réalisée en jet d'encre,
mais quand ? les imprimantes font des bonds considérables au niveau qualitatif à chaque gamme: le rendu des détails, le contraste, l'élargissement du gamut, la perennité..... je ne pense qu'il y ai un secteur en photographie qui fasse des progrès si rapide. et pour tout dire, même à la loupe, un tirage d'ip8500 ne laisse voir aucune trame ou point quelconque. c'est donc un ton continu à la loupe ! ce n'était pas le cas de la s900, qui laissait voir des points dans les dégradés claires
mais il ne faut non plus
sous-estimer le potentiel des tireuses numériques. ce sont des machines industriel qui ont sûrement des caratéristiques
rendement/qualité adaptées au labo grand public
Et puis les tireuses thermiques arrivent en masse...
à suivre donc, même si ma méthode de travail me convient: mais j'attends peut être un gamut totalement identique au rvb98, pour être cohérent avec mon espace de travail, et puis pourquoi pas des encres/papiers moins cheres, des papiers canon et hp plus diversifiés dans le mat
Oui, c'est-à-dire un espacement des gouttes pour que celles-ci,
mélangées au blanc du papier, donnent l'impression de la teinte désirée.
ou cela peut être une telle épaisseur de liquide, qui par translucidité
et avec le blanc du papier, donne une couleur très claire
Même si l'effet est parfaitement convaincant, ce n'est jamais que des
gouttelettes raréfiées sur du papier blanc.
ou un papier blanc légérement coloré
C'est assez loin du ton
ben si la couleur est totalement étalé&e, on est dans le ton.
continu des tireuses photos...
je ne comprend pourquoi ce si merveilleux ton est si limité pour la
reproduction d'un nombre de couleur
Pour autant il ne faut pas croire que je suis réfractaire aux tirages
jet d'encre, au contraire, j'aime beaucoup. Une de mes expos fut
d'ailleurs entièrement réalisée en jet d'encre,
mais quand ? les imprimantes font des bonds considérables au niveau
qualitatif à chaque gamme: le rendu des détails, le contraste,
l'élargissement du gamut, la perennité.....
je ne pense qu'il y ai un secteur en photographie qui fasse des progrès
si rapide.
et pour tout dire, même à la loupe, un tirage d'ip8500 ne laisse voir
aucune trame ou point quelconque.
c'est donc un ton continu à la loupe !
ce n'était pas le cas de la s900, qui laissait voir des points dans les
dégradés claires
mais il ne faut non plus
sous-estimer le potentiel des tireuses numériques.
ce sont des machines industriel qui ont sûrement des caratéristiques
rendement/qualité adaptées au labo grand public
Et puis les tireuses thermiques arrivent en masse...
à suivre donc, même si ma méthode de travail me convient:
mais j'attends peut être un gamut totalement identique au rvb98, pour
être cohérent avec mon espace de travail, et puis pourquoi pas des
encres/papiers moins cheres, des papiers canon et hp plus diversifiés
dans le mat
Oui, c'est-à-dire un espacement des gouttes pour que celles-ci, mélangées au blanc du papier, donnent l'impression de la teinte désirée.
ou cela peut être une telle épaisseur de liquide, qui par translucidité et avec le blanc du papier, donne une couleur très claire
Même si l'effet est parfaitement convaincant, ce n'est jamais que des gouttelettes raréfiées sur du papier blanc.
ou un papier blanc légérement coloré
C'est assez loin du ton ben si la couleur est totalement étalé&e, on est dans le ton.
continu des tireuses photos... je ne comprend pourquoi ce si merveilleux ton est si limité pour la
reproduction d'un nombre de couleur
Pour autant il ne faut pas croire que je suis réfractaire aux tirages jet d'encre, au contraire, j'aime beaucoup. Une de mes expos fut d'ailleurs entièrement réalisée en jet d'encre,
mais quand ? les imprimantes font des bonds considérables au niveau qualitatif à chaque gamme: le rendu des détails, le contraste, l'élargissement du gamut, la perennité..... je ne pense qu'il y ai un secteur en photographie qui fasse des progrès si rapide. et pour tout dire, même à la loupe, un tirage d'ip8500 ne laisse voir aucune trame ou point quelconque. c'est donc un ton continu à la loupe ! ce n'était pas le cas de la s900, qui laissait voir des points dans les dégradés claires
mais il ne faut non plus
sous-estimer le potentiel des tireuses numériques. ce sont des machines industriel qui ont sûrement des caratéristiques
rendement/qualité adaptées au labo grand public
Et puis les tireuses thermiques arrivent en masse...
à suivre donc, même si ma méthode de travail me convient: mais j'attends peut être un gamut totalement identique au rvb98, pour être cohérent avec mon espace de travail, et puis pourquoi pas des encres/papiers moins cheres, des papiers canon et hp plus diversifiés dans le mat
Jean-Luc ERNST
Bonjour Jean-Claude, par "tireuses thermiques", tu entends le même procédé que le papier Fuji (PrintPix) qui se développe à la chaleur ou d'un autre système ?
Cordialement, Jean-Luc
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de news:
on utilise une quantité très faible de colorant et le blanc du papier
Ca je sais.
c'est d'ailleurs l'interet des "petites gouttes" cela permet d'avoir des dosages très très faibles et très précis
Oui, c'est-à-dire un espacement des gouttes pour que celles-ci, mélangées au blanc du papier, donnent l'impression de la teinte désirée. Même si l'effet est parfaitement convaincant, ce n'est jamais que des gouttelettes raréfiées sur du papier blanc. C'est assez loin du ton continu des tireuses photos...
Pour autant il ne faut pas croire que je suis réfractaire aux tirages jet d'encre, au contraire, j'aime beaucoup. Une de mes expos fut d'ailleurs entièrement réalisée en jet d'encre, mais il ne faut non plus sous-estimer le potentiel des tireuses numériques.
Et puis les tireuses thermiques arrivent en masse...
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Bonjour Jean-Claude,
par "tireuses thermiques", tu entends le même procédé que le papier Fuji
(PrintPix) qui se développe à la chaleur ou d'un autre système ?
Cordialement,
Jean-Luc
"Jean-Claude Ghislain" <jcg@grimart.com> a écrit dans le message de news:
3a6aaqF6abdpdU1@individual.net...
on utilise une quantité très faible de colorant et le blanc du papier
Ca je sais.
c'est d'ailleurs l'interet des "petites gouttes" cela permet d'avoir
des dosages très très faibles et très précis
Oui, c'est-à-dire un espacement des gouttes pour que celles-ci, mélangées
au blanc du papier, donnent l'impression de la teinte désirée. Même si
l'effet est parfaitement convaincant, ce n'est jamais que des gouttelettes
raréfiées sur du papier blanc. C'est assez loin du ton continu des
tireuses photos...
Pour autant il ne faut pas croire que je suis réfractaire aux tirages
jet d'encre, au contraire, j'aime beaucoup. Une de mes expos fut
d'ailleurs entièrement réalisée en jet d'encre, mais il ne faut non plus
sous-estimer le potentiel des tireuses numériques.
Et puis les tireuses thermiques arrivent en masse...
Bonjour Jean-Claude, par "tireuses thermiques", tu entends le même procédé que le papier Fuji (PrintPix) qui se développe à la chaleur ou d'un autre système ?
Cordialement, Jean-Luc
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de news:
on utilise une quantité très faible de colorant et le blanc du papier
Ca je sais.
c'est d'ailleurs l'interet des "petites gouttes" cela permet d'avoir des dosages très très faibles et très précis
Oui, c'est-à-dire un espacement des gouttes pour que celles-ci, mélangées au blanc du papier, donnent l'impression de la teinte désirée. Même si l'effet est parfaitement convaincant, ce n'est jamais que des gouttelettes raréfiées sur du papier blanc. C'est assez loin du ton continu des tireuses photos...
Pour autant il ne faut pas croire que je suis réfractaire aux tirages jet d'encre, au contraire, j'aime beaucoup. Une de mes expos fut d'ailleurs entièrement réalisée en jet d'encre, mais il ne faut non plus sous-estimer le potentiel des tireuses numériques.
Et puis les tireuses thermiques arrivent en masse...
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Jean-Luc ERNST
COPIE DE MON MAIL (qui n'est pas passé, effectivemeent): --------------------------
Bonjour, ce que je voulais dire par là c'est que le réglage que j'indique, au sein de Paint Shop Pro, n'a de valeur qu'au sein de Paint Shop Pro. Si tu ouvres en même temps une autre application, elle ne sera pas influencée par le réglage fait dans Paint Shop Pro. Pour autant que je sache, le réglage PhotoShop s'effectue en dehors de PhotoShop (via Adobe Gamma) et influence l'affichage des autres applications également. Me trompe-je ? C'est une autre philosophie de travail.
Je ne vois pas pourquoi tu aurais peur de la réponse de ton vendeur. Il fait honnêtement son boulot et toi tu en sais plus que lui car tes besoins sont plus pointus. %:>)
C'est qui ton "grand magasin de photographie" à Liège: Evrard, La Fnac? Pour ce qui est du choix de ton magasin, tu n'as pas fait le bon choix ou bien le vendeur ne connaît pas ses produits. A présent, un labo valable offre les deux possibilités à leurs clients. Voici leur liste sur Liège (je pense qu'il y en a d'autres). Ils offrent le service "avec ou sans correction" via leur sous-traitant ELKA. Attention, certains ont un mini-lab sur lequel ce service n'est peut-être pas disponible. Bien demander que tes photos soient développées via le service ELKA (tu fais un test et tu décides après si tu fais les frais d'une sonde):
Optique Braive - Rue des Guillemins 15 - 4000 Liège Photo Galerie - Bd de Sauvenière 1 - 4000 Liège Photo Galerie Le Labo - Rue des Guillemins 38 - 4000 Liège Exacto Photo - Place Sainte-Véronique 12 - 4000 Liège Picto Photo - Rue Velbruck 6 - 4000 Liège Studio 3F - Rue des Wallons 41 - 4000 Liège Philippe Decerf - Rue St Gilles 465 - 4000 Liège Photo Hansquine - Rue Bidaut 66 - 4000 Liège SPRL Andri - Photo Chiroux - Rue du Mery 14 - 4000 Liège DPI - Rue Sainte Marie 20 - 4000 Liège Photo E Verdin - Rue de l' Université 21 - 4000 Liège Photo Copin - Rue St. Severin 47 - 4000 Liège Dataprint - Place Général Leman 5 - 4000 Liège Labo Optique de la Citadelle - Boulevard du 12ème de ligne 1 - 4000 Liège
Cordialement, Jean-Luc Ernst
"emef" a écrit dans le message de news: 1i1l2inoj3sbv$
...snip...
D'après le marchand, ils impriment "tel quel", sans rien modifier, les fichiers qu'ils reçoivent.
...snip...
Tu as l'air de sous-entendre qu'il n'y aurait pas moyen de faire de même sous Photoshop ? Mais, arrête moi si je me trompe, il me semble que si je me fabrique un espace de travail pour chaque profil dont je veux me servir (c'est à dire pour chaque "lieu" d'impression), il me suffit de changer à chaque fois, non ?
...snip...
Ben, pour moi, en cet instant, c'est "AdobeGamma" mais j'envisage l'achat d'une sonde, soit neuve soit d'occase (à propos, cela ne semble guère se louer dans ma région :( ).
La réponse de ton interlocuteur correspond à la demande de la majorité des utilisateurs.
C'est peut être ce qui me fait un peu peur ;)
De même et encore merci.
-- emef « La seule journée complètement perdue, est celle où l'on n'a pas ri » Chamfort
COPIE DE MON MAIL (qui n'est pas passé, effectivemeent):
--------------------------
Bonjour,
ce que je voulais dire par là c'est que le réglage que j'indique, au sein de
Paint Shop Pro, n'a de valeur qu'au sein de Paint Shop Pro. Si tu ouvres en
même temps une autre application, elle ne sera pas influencée par le réglage
fait dans Paint Shop Pro.
Pour autant que je sache, le réglage PhotoShop s'effectue en dehors de
PhotoShop (via Adobe Gamma) et influence l'affichage des autres applications
également. Me trompe-je ?
C'est une autre philosophie de travail.
Je ne vois pas pourquoi tu aurais peur de la réponse de ton vendeur. Il fait
honnêtement son boulot et toi tu en sais plus que lui car tes besoins sont
plus pointus. %:>)
C'est qui ton "grand magasin de photographie" à Liège: Evrard, La Fnac?
Pour ce qui est du choix de ton magasin, tu n'as pas fait le bon choix ou
bien le vendeur ne connaît pas ses produits. A présent, un labo valable
offre les deux possibilités à leurs clients. Voici leur liste sur Liège (je
pense qu'il y en a d'autres).
Ils offrent le service "avec ou sans correction" via leur sous-traitant
ELKA. Attention, certains ont un mini-lab sur lequel ce service n'est
peut-être pas disponible. Bien demander que tes photos soient développées
via le service ELKA (tu fais un test et tu décides après si tu fais les
frais d'une sonde):
Optique Braive - Rue des Guillemins 15 - 4000 Liège
Photo Galerie - Bd de Sauvenière 1 - 4000 Liège
Photo Galerie Le Labo - Rue des Guillemins 38 - 4000 Liège
Exacto Photo - Place Sainte-Véronique 12 - 4000 Liège
Picto Photo - Rue Velbruck 6 - 4000 Liège
Studio 3F - Rue des Wallons 41 - 4000 Liège
Philippe Decerf - Rue St Gilles 465 - 4000 Liège
Photo Hansquine - Rue Bidaut 66 - 4000 Liège
SPRL Andri - Photo Chiroux - Rue du Mery 14 - 4000 Liège
DPI - Rue Sainte Marie 20 - 4000 Liège
Photo E Verdin - Rue de l' Université 21 - 4000 Liège
Photo Copin - Rue St. Severin 47 - 4000 Liège
Dataprint - Place Général Leman 5 - 4000 Liège
Labo Optique de la Citadelle - Boulevard du 12ème de ligne 1 - 4000
Liège
Cordialement,
Jean-Luc Ernst
"emef" <bizemef@skinet.be> a écrit dans le message de news:
1i1l2inoj3sbv$.bwo88gz9oobp.dlg@40tude.net...
...snip...
D'après le marchand, ils impriment "tel quel", sans rien modifier, les
fichiers qu'ils reçoivent.
...snip...
Tu as l'air de sous-entendre qu'il n'y aurait pas moyen de faire de même
sous Photoshop ?
Mais, arrête moi si je me trompe, il me semble que si je me fabrique un
espace de travail pour chaque profil dont je veux me servir (c'est à dire
pour chaque "lieu" d'impression), il me suffit de changer à chaque fois,
non ?
...snip...
Ben, pour moi, en cet instant, c'est "AdobeGamma" mais j'envisage l'achat
d'une sonde, soit neuve soit d'occase (à propos, cela ne semble guère se
louer dans ma région :( ).
La réponse de ton interlocuteur correspond à la demande de la majorité
des
utilisateurs.
C'est peut être ce qui me fait un peu peur ;)
De même et encore merci.
--
emef
« La seule journée complètement perdue, est celle où l'on n'a pas ri »
Chamfort
COPIE DE MON MAIL (qui n'est pas passé, effectivemeent): --------------------------
Bonjour, ce que je voulais dire par là c'est que le réglage que j'indique, au sein de Paint Shop Pro, n'a de valeur qu'au sein de Paint Shop Pro. Si tu ouvres en même temps une autre application, elle ne sera pas influencée par le réglage fait dans Paint Shop Pro. Pour autant que je sache, le réglage PhotoShop s'effectue en dehors de PhotoShop (via Adobe Gamma) et influence l'affichage des autres applications également. Me trompe-je ? C'est une autre philosophie de travail.
Je ne vois pas pourquoi tu aurais peur de la réponse de ton vendeur. Il fait honnêtement son boulot et toi tu en sais plus que lui car tes besoins sont plus pointus. %:>)
C'est qui ton "grand magasin de photographie" à Liège: Evrard, La Fnac? Pour ce qui est du choix de ton magasin, tu n'as pas fait le bon choix ou bien le vendeur ne connaît pas ses produits. A présent, un labo valable offre les deux possibilités à leurs clients. Voici leur liste sur Liège (je pense qu'il y en a d'autres). Ils offrent le service "avec ou sans correction" via leur sous-traitant ELKA. Attention, certains ont un mini-lab sur lequel ce service n'est peut-être pas disponible. Bien demander que tes photos soient développées via le service ELKA (tu fais un test et tu décides après si tu fais les frais d'une sonde):
Optique Braive - Rue des Guillemins 15 - 4000 Liège Photo Galerie - Bd de Sauvenière 1 - 4000 Liège Photo Galerie Le Labo - Rue des Guillemins 38 - 4000 Liège Exacto Photo - Place Sainte-Véronique 12 - 4000 Liège Picto Photo - Rue Velbruck 6 - 4000 Liège Studio 3F - Rue des Wallons 41 - 4000 Liège Philippe Decerf - Rue St Gilles 465 - 4000 Liège Photo Hansquine - Rue Bidaut 66 - 4000 Liège SPRL Andri - Photo Chiroux - Rue du Mery 14 - 4000 Liège DPI - Rue Sainte Marie 20 - 4000 Liège Photo E Verdin - Rue de l' Université 21 - 4000 Liège Photo Copin - Rue St. Severin 47 - 4000 Liège Dataprint - Place Général Leman 5 - 4000 Liège Labo Optique de la Citadelle - Boulevard du 12ème de ligne 1 - 4000 Liège
Cordialement, Jean-Luc Ernst
"emef" a écrit dans le message de news: 1i1l2inoj3sbv$
...snip...
D'après le marchand, ils impriment "tel quel", sans rien modifier, les fichiers qu'ils reçoivent.
...snip...
Tu as l'air de sous-entendre qu'il n'y aurait pas moyen de faire de même sous Photoshop ? Mais, arrête moi si je me trompe, il me semble que si je me fabrique un espace de travail pour chaque profil dont je veux me servir (c'est à dire pour chaque "lieu" d'impression), il me suffit de changer à chaque fois, non ?
...snip...
Ben, pour moi, en cet instant, c'est "AdobeGamma" mais j'envisage l'achat d'une sonde, soit neuve soit d'occase (à propos, cela ne semble guère se louer dans ma région :( ).
La réponse de ton interlocuteur correspond à la demande de la majorité des utilisateurs.
C'est peut être ce qui me fait un peu peur ;)
De même et encore merci.
-- emef « La seule journée complètement perdue, est celle où l'on n'a pas ri » Chamfort
Charles VASSALLO
Jean-Claude Ghislain wrote:
Reprenons...
Une imprimante jet d'encre possède le blanc du papier et un certain nombre d'encres, par exemple six. Nous avons donc sept teintes natives, toute autre couleur est produite par combinaison d'encres et utilisation de trames.
Une tireuse numérique, en natif, n'utilise aucune trame. Le procédé de mélange de faisceaux lumineux (comme la TV ou les moniteurs) permet de rendre plusieurs millions de nuances sans avoir recours au tramage, on appelle cela du ton continu.
Néanmoins, si ces nuances ne suffisent pas encore à rendre la totalité des teintes d'une image donnée, rien n'empêche d'utiliser les artifices des imprimantes jet d'encre et faire du dithering (trame) à partir des nuances de départ pour obtenir, comme sur une jet d'encre, une simulation des teintes manquantes parfaitement acceptable pour l'oeil.
Je crois qu'un malentendu plane sur la discussion. Certaines imprimantes du bureau fonctionnent également en «tons continus» et sans tramage. Le nom technique ne me revient pas, mais Kodak en proposait une, thermique, dans les années 95-98, qui imprimait en 3 (ou 4) passes le CMJ(N). Il n'empêche qu'on ne peut pas faire un magenta plus saturé que le magenta de base du système d'impression, idem pour les jaune et le cyan: toutes ces imprimantes ont un gamut fini et ne peuvent pas imprimer des couleurs en dehors de ce gamut, et il y a gros à parier que certaines des couleurs d'Adobe RGB-98, voire de sRGB, sont inaccessibles.
Quant aux tons «continus», en pratique, ils sont évidemment discrétisés sur 256 niveaux par primaire, d'où les 16 millions de couleurs, qui permettent d'atteindre (en pratique) n'importe quelle teinte à l'intérieur du gamut de l'imprimante. Inutile à mon avis d'ajouter du dithering, on ne sortira pas du gamut de base.
Par contre, je ne suis pas certain que toutes les imprimantes à jet d'encre en ont toujours fait autant, et je soupçonne fort que les premières du genre (la première Stylus Photo par exemple) faisaient à peine 60000 couleurs dans leur propre gamut -- elles devaient ramener la discrétisation des primaires à 30-40 niveaux au lieu de 255. Il était alors extrêmement difficile d'imprimer des dégradés très doux sans effet de bande (c'est pour pallier cette difficulté que l'option "simuler" s'est imposée dans les dégradés de Photoshop). Autrement dit, il manquait des teintes à l'intérieur même du gamut. Mais les imprimantes récentes sont sorties de cette époque héroïque.
Charles
Jean-Claude Ghislain wrote:
Reprenons...
Une imprimante jet d'encre possède le blanc du papier et un certain
nombre d'encres, par exemple six. Nous avons donc sept teintes natives,
toute autre couleur est produite par combinaison d'encres et utilisation
de trames.
Une tireuse numérique, en natif, n'utilise aucune trame. Le procédé de
mélange de faisceaux lumineux (comme la TV ou les moniteurs) permet de
rendre plusieurs millions de nuances sans avoir recours au tramage, on
appelle cela du ton continu.
Néanmoins, si ces nuances ne suffisent pas encore à rendre la totalité
des teintes d'une image donnée, rien n'empêche d'utiliser les artifices
des imprimantes jet d'encre et faire du dithering (trame) à partir des
nuances de départ pour obtenir, comme sur une jet d'encre, une
simulation des teintes manquantes parfaitement acceptable pour l'oeil.
Je crois qu'un malentendu plane sur la discussion. Certaines imprimantes
du bureau fonctionnent également en «tons continus» et sans tramage. Le
nom technique ne me revient pas, mais Kodak en proposait une, thermique,
dans les années 95-98, qui imprimait en 3 (ou 4) passes le CMJ(N). Il
n'empêche qu'on ne peut pas faire un magenta plus saturé que le magenta
de base du système d'impression, idem pour les jaune et le cyan: toutes
ces imprimantes ont un gamut fini et ne peuvent pas imprimer des
couleurs en dehors de ce gamut, et il y a gros à parier que certaines
des couleurs d'Adobe RGB-98, voire de sRGB, sont inaccessibles.
Quant aux tons «continus», en pratique, ils sont évidemment discrétisés
sur 256 niveaux par primaire, d'où les 16 millions de couleurs, qui
permettent d'atteindre (en pratique) n'importe quelle teinte à
l'intérieur du gamut de l'imprimante. Inutile à mon avis d'ajouter du
dithering, on ne sortira pas du gamut de base.
Par contre, je ne suis pas certain que toutes les imprimantes à jet
d'encre en ont toujours fait autant, et je soupçonne fort que les
premières du genre (la première Stylus Photo par exemple) faisaient à
peine 60000 couleurs dans leur propre gamut -- elles devaient ramener la
discrétisation des primaires à 30-40 niveaux au lieu de 255. Il était
alors extrêmement difficile d'imprimer des dégradés très doux sans effet
de bande (c'est pour pallier cette difficulté que l'option "simuler"
s'est imposée dans les dégradés de Photoshop). Autrement dit, il
manquait des teintes à l'intérieur même du gamut. Mais les imprimantes
récentes sont sorties de cette époque héroïque.
Une imprimante jet d'encre possède le blanc du papier et un certain nombre d'encres, par exemple six. Nous avons donc sept teintes natives, toute autre couleur est produite par combinaison d'encres et utilisation de trames.
Une tireuse numérique, en natif, n'utilise aucune trame. Le procédé de mélange de faisceaux lumineux (comme la TV ou les moniteurs) permet de rendre plusieurs millions de nuances sans avoir recours au tramage, on appelle cela du ton continu.
Néanmoins, si ces nuances ne suffisent pas encore à rendre la totalité des teintes d'une image donnée, rien n'empêche d'utiliser les artifices des imprimantes jet d'encre et faire du dithering (trame) à partir des nuances de départ pour obtenir, comme sur une jet d'encre, une simulation des teintes manquantes parfaitement acceptable pour l'oeil.
Je crois qu'un malentendu plane sur la discussion. Certaines imprimantes du bureau fonctionnent également en «tons continus» et sans tramage. Le nom technique ne me revient pas, mais Kodak en proposait une, thermique, dans les années 95-98, qui imprimait en 3 (ou 4) passes le CMJ(N). Il n'empêche qu'on ne peut pas faire un magenta plus saturé que le magenta de base du système d'impression, idem pour les jaune et le cyan: toutes ces imprimantes ont un gamut fini et ne peuvent pas imprimer des couleurs en dehors de ce gamut, et il y a gros à parier que certaines des couleurs d'Adobe RGB-98, voire de sRGB, sont inaccessibles.
Quant aux tons «continus», en pratique, ils sont évidemment discrétisés sur 256 niveaux par primaire, d'où les 16 millions de couleurs, qui permettent d'atteindre (en pratique) n'importe quelle teinte à l'intérieur du gamut de l'imprimante. Inutile à mon avis d'ajouter du dithering, on ne sortira pas du gamut de base.
Par contre, je ne suis pas certain que toutes les imprimantes à jet d'encre en ont toujours fait autant, et je soupçonne fort que les premières du genre (la première Stylus Photo par exemple) faisaient à peine 60000 couleurs dans leur propre gamut -- elles devaient ramener la discrétisation des primaires à 30-40 niveaux au lieu de 255. Il était alors extrêmement difficile d'imprimer des dégradés très doux sans effet de bande (c'est pour pallier cette difficulté que l'option "simuler" s'est imposée dans les dégradés de Photoshop). Autrement dit, il manquait des teintes à l'intérieur même du gamut. Mais les imprimantes récentes sont sorties de cette époque héroïque.
Charles
fred.bleu11
toutes
ces imprimantes ont un gamut fini et ne peuvent pas imprimer des couleurs en dehors de ce gamut, et il y a gros à parier que certaines des couleurs d'Adobe RGB-98, voire de sRGB, sont inaccessibles.
les "huits couleurs ont, d'après les mesures que j'ai effectué grace au profil ICC maison, un gamut dont la surface est superieur au srgb, notament dans le rouge/jaune/vert. l'arrivée d'une 9 couleurs, avec du bleu (la nouvelle hp), offrira peut être un gamut dépassant le bleu/violet du srgb a voir dans quelques temps
toutes
ces imprimantes ont un gamut fini et ne peuvent pas imprimer des
couleurs en dehors de ce gamut, et il y a gros à parier que certaines
des couleurs d'Adobe RGB-98, voire de sRGB, sont inaccessibles.
les "huits couleurs ont, d'après les mesures que j'ai effectué grace au
profil ICC maison, un gamut dont la surface est superieur au srgb,
notament dans le rouge/jaune/vert.
l'arrivée d'une 9 couleurs, avec du bleu (la nouvelle hp), offrira peut
être un gamut dépassant le bleu/violet du srgb
a voir dans quelques temps
ces imprimantes ont un gamut fini et ne peuvent pas imprimer des couleurs en dehors de ce gamut, et il y a gros à parier que certaines des couleurs d'Adobe RGB-98, voire de sRGB, sont inaccessibles.
les "huits couleurs ont, d'après les mesures que j'ai effectué grace au profil ICC maison, un gamut dont la surface est superieur au srgb, notament dans le rouge/jaune/vert. l'arrivée d'une 9 couleurs, avec du bleu (la nouvelle hp), offrira peut être un gamut dépassant le bleu/violet du srgb a voir dans quelques temps
Jean-Claude Ghislain
Je crois qu'un malentendu plane sur la discussion. Certaines imprimantes du bureau fonctionnent également en «tons continus» et sans tramage. Le nom technique ne me revient pas, mais Kodak en proposait une, thermique, dans les années 95-98, qui imprimait en 3 (ou 4) passes le CMJ(N).
Les Kodak DPS. On en a eu une vingtaine, aujourd'hui presque toutes à la casse car dépassées par le matériel récent. La sublimation thermique est effectivement de l'impression en ton continu.
Il n'empêche qu'on ne peut pas faire un magenta plus saturé que le magenta de base du système d'impression, idem pour les jaune et le cyan: toutes ces imprimantes ont un gamut fini et ne peuvent pas imprimer des couleurs en dehors de ce gamut, et il y a gros à parier que certaines des couleurs d'Adobe RGB-98, voire de sRGB, sont inaccessibles.
Exact.
Quant aux tons «continus», en pratique, ils sont évidemment discrétisés sur 256 niveaux par primaire, d'où les 16 millions de couleurs, qui permettent d'atteindre (en pratique) n'importe quelle teinte à l'intérieur du gamut de l'imprimante. Inutile à mon avis d'ajouter du dithering, on ne sortira pas du gamut de base.
C'est vrai dans 99.99 % des cas.
Par contre, je ne suis pas certain que toutes les imprimantes à jet d'encre en ont toujours fait autant, et je soupçonne fort que les premières du genre (la première Stylus Photo par exemple) faisaient à peine 60000 couleurs dans leur propre gamut -- elles devaient ramener la discrétisation des primaires à 30-40 niveaux au lieu de 255. Il était alors extrêmement difficile d'imprimer des dégradés très doux sans effet de bande (c'est pour pallier cette difficulté que l'option "simuler" s'est imposée dans les dégradés de Photoshop). Autrement dit, il manquait des teintes à l'intérieur même du gamut. Mais les imprimantes récentes sont sorties de cette époque héroïque.
Elles ont effectivement fait d'énôôrmes progrès !
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Je crois qu'un malentendu plane sur la discussion. Certaines
imprimantes du bureau fonctionnent également en «tons continus» et
sans tramage. Le nom technique ne me revient pas, mais Kodak en
proposait une, thermique, dans les années 95-98, qui imprimait en 3
(ou 4) passes le CMJ(N).
Les Kodak DPS. On en a eu une vingtaine, aujourd'hui presque toutes à la
casse car dépassées par le matériel récent. La sublimation thermique est
effectivement de l'impression en ton continu.
Il n'empêche qu'on ne peut pas faire un magenta plus saturé que le
magenta de base du système d'impression, idem pour les jaune et le
cyan: toutes ces imprimantes ont un gamut fini et ne peuvent pas
imprimer des couleurs en dehors de ce gamut, et il y a gros à parier
que certaines des couleurs d'Adobe RGB-98, voire de sRGB, sont
inaccessibles.
Exact.
Quant aux tons «continus», en pratique, ils sont évidemment
discrétisés sur 256 niveaux par primaire, d'où les 16 millions de
couleurs, qui permettent d'atteindre (en pratique) n'importe quelle
teinte à l'intérieur du gamut de l'imprimante. Inutile à mon avis
d'ajouter du dithering, on ne sortira pas du gamut de base.
C'est vrai dans 99.99 % des cas.
Par contre, je ne suis pas certain que toutes les imprimantes à jet
d'encre en ont toujours fait autant, et je soupçonne fort que les
premières du genre (la première Stylus Photo par exemple) faisaient à
peine 60000 couleurs dans leur propre gamut -- elles devaient ramener
la discrétisation des primaires à 30-40 niveaux au lieu de 255. Il
était alors extrêmement difficile d'imprimer des dégradés très doux
sans effet de bande (c'est pour pallier cette difficulté que l'option
"simuler" s'est imposée dans les dégradés de Photoshop). Autrement
dit, il manquait des teintes à l'intérieur même du gamut. Mais les
imprimantes récentes sont sorties de cette époque héroïque.
Je crois qu'un malentendu plane sur la discussion. Certaines imprimantes du bureau fonctionnent également en «tons continus» et sans tramage. Le nom technique ne me revient pas, mais Kodak en proposait une, thermique, dans les années 95-98, qui imprimait en 3 (ou 4) passes le CMJ(N).
Les Kodak DPS. On en a eu une vingtaine, aujourd'hui presque toutes à la casse car dépassées par le matériel récent. La sublimation thermique est effectivement de l'impression en ton continu.
Il n'empêche qu'on ne peut pas faire un magenta plus saturé que le magenta de base du système d'impression, idem pour les jaune et le cyan: toutes ces imprimantes ont un gamut fini et ne peuvent pas imprimer des couleurs en dehors de ce gamut, et il y a gros à parier que certaines des couleurs d'Adobe RGB-98, voire de sRGB, sont inaccessibles.
Exact.
Quant aux tons «continus», en pratique, ils sont évidemment discrétisés sur 256 niveaux par primaire, d'où les 16 millions de couleurs, qui permettent d'atteindre (en pratique) n'importe quelle teinte à l'intérieur du gamut de l'imprimante. Inutile à mon avis d'ajouter du dithering, on ne sortira pas du gamut de base.
C'est vrai dans 99.99 % des cas.
Par contre, je ne suis pas certain que toutes les imprimantes à jet d'encre en ont toujours fait autant, et je soupçonne fort que les premières du genre (la première Stylus Photo par exemple) faisaient à peine 60000 couleurs dans leur propre gamut -- elles devaient ramener la discrétisation des primaires à 30-40 niveaux au lieu de 255. Il était alors extrêmement difficile d'imprimer des dégradés très doux sans effet de bande (c'est pour pallier cette difficulté que l'option "simuler" s'est imposée dans les dégradés de Photoshop). Autrement dit, il manquait des teintes à l'intérieur même du gamut. Mais les imprimantes récentes sont sorties de cette époque héroïque.
Elles ont effectivement fait d'énôôrmes progrès !
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Jean-Claude Ghislain
par "tireuses thermiques", tu entends le même procédé que le papier Fuji (PrintPix) qui se développe à la chaleur ou d'un autre système ?
En disant "Tireuses numériques" je pensais aux tireuses de minilab de type Fuji Frontier, Agfa D-LAB, Noritsu QSS... C'est à dire du papier argentique qui se développe dans de la chimie qui pue et une insolation par faisceau laser ou fibre optique ou diodes.
Il existe bien sûr d'autres types de tireuses et d'autres procédés, le Fuji Thermo Autochrome, la sublimation thermique, le jet d'encre et d'autres plus rare.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
par "tireuses thermiques", tu entends le même procédé que le papier
Fuji (PrintPix) qui se développe à la chaleur ou d'un autre système ?
En disant "Tireuses numériques" je pensais aux tireuses de minilab de
type Fuji Frontier, Agfa D-LAB, Noritsu QSS... C'est à dire du papier
argentique qui se développe dans de la chimie qui pue et une insolation
par faisceau laser ou fibre optique ou diodes.
Il existe bien sûr d'autres types de tireuses et d'autres procédés, le
Fuji Thermo Autochrome, la sublimation thermique, le jet d'encre et
d'autres plus rare.
par "tireuses thermiques", tu entends le même procédé que le papier Fuji (PrintPix) qui se développe à la chaleur ou d'un autre système ?
En disant "Tireuses numériques" je pensais aux tireuses de minilab de type Fuji Frontier, Agfa D-LAB, Noritsu QSS... C'est à dire du papier argentique qui se développe dans de la chimie qui pue et une insolation par faisceau laser ou fibre optique ou diodes.
Il existe bien sûr d'autres types de tireuses et d'autres procédés, le Fuji Thermo Autochrome, la sublimation thermique, le jet d'encre et d'autres plus rare.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Jean-Luc ERNST
Mmmmm.... Jean-Claude, tu as écrit "les tireuses THERMIQUES arrivent en masse". C'est à leur sujet que je te posais ma question...
Cordialement, Jean-Luc Ernst
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de news:
par "tireuses thermiques", tu entends le même procédé que le papier Fuji (PrintPix) qui se développe à la chaleur ou d'un autre système ?
En disant "Tireuses numériques" je pensais aux tireuses de minilab de type Fuji Frontier, Agfa D-LAB, Noritsu QSS... C'est à dire du papier argentique qui se développe dans de la chimie qui pue et une insolation par faisceau laser ou fibre optique ou diodes.
Il existe bien sûr d'autres types de tireuses et d'autres procédés, le Fuji Thermo Autochrome, la sublimation thermique, le jet d'encre et d'autres plus rare.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Mmmmm.... Jean-Claude,
tu as écrit "les tireuses THERMIQUES arrivent en masse".
C'est à leur sujet que je te posais ma question...
Cordialement,
Jean-Luc Ernst
"Jean-Claude Ghislain" <jcg@grimart.com> a écrit dans le message de news:
3a8jhjF68lnruU2@individual.net...
par "tireuses thermiques", tu entends le même procédé que le papier
Fuji (PrintPix) qui se développe à la chaleur ou d'un autre système ?
En disant "Tireuses numériques" je pensais aux tireuses de minilab de type
Fuji Frontier, Agfa D-LAB, Noritsu QSS... C'est à dire du papier
argentique qui se développe dans de la chimie qui pue et une insolation
par faisceau laser ou fibre optique ou diodes.
Il existe bien sûr d'autres types de tireuses et d'autres procédés, le
Fuji Thermo Autochrome, la sublimation thermique, le jet d'encre et
d'autres plus rare.
Mmmmm.... Jean-Claude, tu as écrit "les tireuses THERMIQUES arrivent en masse". C'est à leur sujet que je te posais ma question...
Cordialement, Jean-Luc Ernst
"Jean-Claude Ghislain" a écrit dans le message de news:
par "tireuses thermiques", tu entends le même procédé que le papier Fuji (PrintPix) qui se développe à la chaleur ou d'un autre système ?
En disant "Tireuses numériques" je pensais aux tireuses de minilab de type Fuji Frontier, Agfa D-LAB, Noritsu QSS... C'est à dire du papier argentique qui se développe dans de la chimie qui pue et une insolation par faisceau laser ou fibre optique ou diodes.
Il existe bien sûr d'autres types de tireuses et d'autres procédés, le Fuji Thermo Autochrome, la sublimation thermique, le jet d'encre et d'autres plus rare.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Jean-Claude Ghislain
tu as écrit "les tireuses THERMIQUES arrivent en masse". C'est à leur sujet que je te posais ma question...
Ah d'accord. C'est de la sublimation thermique. Colorimétriquement c'est très bon, c'est bon côté netteté et ça a l'aspect typique de la sublimation thermique, on aime ou on aime pas...
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
tu as écrit "les tireuses THERMIQUES arrivent en masse".
C'est à leur sujet que je te posais ma question...
Ah d'accord. C'est de la sublimation thermique. Colorimétriquement c'est
très bon, c'est bon côté netteté et ça a l'aspect typique de la
sublimation thermique, on aime ou on aime pas...
tu as écrit "les tireuses THERMIQUES arrivent en masse". C'est à leur sujet que je te posais ma question...
Ah d'accord. C'est de la sublimation thermique. Colorimétriquement c'est très bon, c'est bon côté netteté et ça a l'aspect typique de la sublimation thermique, on aime ou on aime pas...