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Débat : ta fin de vie et ta mort

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foo
Bonsoir.
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas
la peine de me parler des autres, des grands-mères, des grands-pères,
des nourrissons, non, non, non : toi, juste toi, toi tout seul face à
toi-même.
Exprime-toi, parle de toi !

10 réponses

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.
Le 13/03/2015 08:47, a écrit :
On Thu, 12 Mar 2015 21:09:53 +0100, Cl.Massé
wrote in Message-ID: <5501f946$1$2996$ :
a écrit dans le message de groupe de discussion : mdsic5$43a$

Bonsoir.
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la
peine de me parler des autres, des grands-mères, des grands-pères, des
nourrissons, non, non, non : toi, juste toi, toi tout seul face à toi-même.
Exprime-toi, parle de toi !



Quelle est la question de droit?



C'est une question d'actualité, comme à l'assemblée,






qui te concerne
*personnellement* *pour une fois*





mal dit ...


V









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foo
On Fri, 13 Mar 2015 09:24:25 +0100, . <@+gmail.com> wrote in Message-ID:
<55029da3$0$3013$ :
L'usage de ce calibre en toute légalité suppose un environnement humain
donc rien " d'égoïste " et d'idiot





Devant témoins aussi, pourquoi n'y ai-je pas pensé ! Qui va mettre la
vidéo sur Youtube ?
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foo
On Fri, 13 Mar 2015 09:25:42 +0100, . <@+gmail.com> wrote in Message-ID:
<55029df0$0$3013$ :
Le 13/03/2015 08:47, a écrit :
On Thu, 12 Mar 2015 21:09:53 +0100, Cl.Massé
wrote in Message-ID: <5501f946$1$2996$ :
a écrit dans le message de groupe de discussion : mdsic5$43a$

Bonsoir.
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ? Et pas la
peine de me parler des autres, des grands-mères, des grands-pères, des
nourrissons, non, non, non : toi, juste toi, toi tout seul face à toi-même.
Exprime-toi, parle de toi !



Quelle est la question de droit?



C'est une question d'actualité, comme à l'assemblée,






qui te concerne
*personnellement* *pour une fois*





mal dit ...




Mal lu. Ce n'est pas la GPA et l'avortement qui ne concernent pas
l'utérus qu'il n'a pas.


V












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.
Le 13/03/2015 11:00, a écrit :


Bonsoir.
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ?










qui te concerne
*personnellement* *pour une fois*





mal dit ...




Mal lu. Ce n'est pas la GPA et l'avortement qui ne concernent pas
l'utérus qu'il n'a pas.





Vous m'avez mal compris .
Vous voulez lui faire la peau ? ...



V
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foo
On Fri, 13 Mar 2015 11:10:53 +0100, . <@+gmail.com> wrote in Message-ID:
<5502b698$0$3373$ :
Le 13/03/2015 11:00, a écrit :


Bonsoir.
Alors comment envisagez-vous *votre* fin de vie et votre mort ?










qui te concerne
*personnellement* *pour une fois*





mal dit ...




Mal lu. Ce n'est pas la GPA et l'avortement qui ne concernent pas
l'utérus qu'il n'a pas.





Vous m'avez mal compris .



Oui.

Vous voulez lui faire la peau ? ...



*NON* d'ailleurs à qui ?





V

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.
Le 12/03/2015 21:12, a écrit :
.../...
Avant même que ça ne commence, j'aimerais donc parler non pas de la mort
mais de ce qui la précède : L'AGONIE. Avant de s'autoriser à parler de
la mort, même de la sienne fantasmée (forcément ! ce qui démontre les
limites d'une telle question !), je pense qu'il faudrait avoir fait, une
fois au moins, l'expérience d'accompagner l'agonie, parfois longue, de
quelqu'un.



Justement, les agonies sont très différentes et les expériences qui s'y
rapportent multiples et bine différentes : voir agoniser quelqu'un dans
une maison de campagne ce n'est pas voir cette mourir cette personne à
l'hôpital ou à domicile en ville, avec ou sans traitement palliatif.




.../...

La fin de vie commence juste après la naissance
et l'identification à l'Etat-Civil
Elle n'est pas synonyme de déchéance sur un lit hospitalier.
Comme on ne connait pas l'heure de sa mort
le déroulement de la vie est une fin de vie permanente.

L'agonie étant l'état de vie qui précède immédiatement la mort
( d'après le Larousse ) elle ne peut en toute logique être définie
que si la mort est constatée
car l'agonie , qui est un combat au sens latin du terme ,
peut-être suivie d'un état de rétablissement dit " miraculeux".


V
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foo
On Fri, 13 Mar 2015 11:25:27 +0100, . <@+gmail.com> wrote in Message-ID:
<5502ba02$0$3331$ :
Le 12/03/2015 21:12, a écrit :
.../...
Avant même que ça ne commence, j'aimerais donc parler non pas de la mort
mais de ce qui la précède : L'AGONIE. Avant de s'autoriser à parler de
la mort, même de la sienne fantasmée (forcément ! ce qui démontre les
limites d'une telle question !), je pense qu'il faudrait avoir fait, une
fois au moins, l'expérience d'accompagner l'agonie, parfois longue, de
quelqu'un.



Justement, les agonies sont très différentes et les expériences qui s'y
rapportent multiples et bine différentes : voir agoniser quelqu'un dans
une maison de campagne ce n'est pas voir cette mourir cette personne à
l'hôpital ou à domicile en ville, avec ou sans traitement palliatif.




.../...

La fin de vie commence juste après la naissance
et l'identification à l'Etat-Civil
Elle n'est pas synonyme de déchéance sur un lit hospitalier.
Comme on ne connait pas l'heure de sa mort
le déroulement de la vie est une fin de vie permanente.

L'agonie étant l'état de vie qui précède immédiatement la mort
( d'après le Larousse ) elle ne peut en toute logique être définie
que si la mort est constatée
car l'agonie , qui est un combat au sens latin du terme ,
peut-être suivie d'un état de rétablissement dit " miraculeux".


V









D'accord avec cet aspect formaliste.
Le débat en cours chez les députés français - et ici - concerne par
exemple les personnes victimes d'une maladie devenue incurable et qui
vont se terminer en Suisse parce qu'elle ne peuvent pas se terminer en
France sans porter préjudice aux personnes qu'elles aiment si elles sont
présentes à leur fin de vie : mourir en décidant quand entouré des siens
sans se pulvériser la boite crannienne. C'est plus clair ?
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.
Le 13/03/2015 11:53, a écrit :
On Fri, 13 Mar 2015 11:25:27 +0100, . <@+gmail.com> wrote in Message-ID:
<5502ba02$0$3331$ :
Le 12/03/2015 21:12, a écrit :
.../...
Avant même que ça ne commence, j'aimerais donc parler non pas de la mort
mais de ce qui la précède : L'AGONIE. Avant de s'autoriser à parler de
la mort, même de la sienne fantasmée (forcément ! ce qui démontre les
limites d'une telle question !), je pense qu'il faudrait avoir fait, une
fois au moins, l'expérience d'accompagner l'agonie, parfois longue, de
quelqu'un.



Justement, les agonies sont très différentes et les expériences qui s'y
rapportent multiples et bine différentes : voir agoniser quelqu'un dans
une maison de campagne ce n'est pas voir cette mourir cette personne à
l'hôpital ou à domicile en ville, avec ou sans traitement palliatif.




.../...

La fin de vie commence juste après la naissance
et l'identification à l'Etat-Civil
Elle n'est pas synonyme de déchéance sur un lit hospitalier.
Comme on ne connait pas l'heure de sa mort
le déroulement de la vie est une fin de vie permanente.

L'agonie étant l'état de vie qui précède immédiatement la mort
( d'après le Larousse ) elle ne peut en toute logique être définie
que si la mort est constatée
car l'agonie , qui est un combat au sens latin du terme ,
peut-être suivie d'un état de rétablissement dit " miraculeux".


V









D'accord avec cet aspect formaliste.
Le débat en cours chez les députés français - et ici - concerne par
exemple les personnes victimes d'une maladie devenue incurable et qui
vont se terminer en Suisse parce qu'elle ne peuvent pas se terminer en
France sans porter préjudice aux personnes qu'elles aiment si elles sont
présentes à leur fin de vie :



mourir en décidant quand entouré des siens
sans se pulvériser la boite cranienne. C'est plus clair ?



.../...

J'avais bien compris mais c'est un débat ouvert
Le droit ne se construit-il pas sur des définitions ?



Sans pétard à disposition vous adoptez après l'absorption massive
de votre stock perso de sédatifs détournés de la consommation quotidienne


" le jeu du foulard " avec votre tête et celle du lit hospitalier
Ca devrait suffire et c'est propre

- la noyade à genou devant la cuvette des WC remplie ras bord
et obturée par une serviette éponge ..
ca peut aussi le faire

- la sieste finale dans le conteneur destiné à l'incinération



V

-

-

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foo
On Fri, 13 Mar 2015 18:24:37 +0100, . <@+gmail.com> wrote in Message-ID:
<55031c40$0$3318$ :
J'avais bien compris mais c'est un débat ouvert



Oui.

Le droit ne se construit-il pas sur des définitions ?



Je n'écris pas le droit, je le discute :-)




Sans pétard à disposition vous adoptez après l'absorption massive
de votre stock perso de sédatifs détournés de la consommation quotidienne



Et se tordre dans d'horribles convulsions en vomissant le dernier maigre
repas, du sang et les boyaux parce que le dosage est trop-pas assez fort ?



" le jeu du foulard " avec votre tête et celle du lit hospitalier
Ca devrait suffire et c'est propre



Comme le vieux couple dans un grand hôtel de luxe. On reste tout violet !



- la noyade à genou devant la cuvette des WC remplie ras bord
et obturée par une serviette éponge ..
ca peut aussi le faire

- la sieste finale dans le conteneur destiné à l'incinération



On ne s'est pas compris : tu refais suicide mode d'emploi et ce n'est
pas le débat. Je pense que les gens qui vont se suicider en Suisse le
font aussi parce qu'ils ne veulent pas recourir à des méthodes quand
même violentes et parce qu'ils ont les moyens : environ 10 000 euros
pour un suicide "assisté" en Suisse.
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dmkgbt
wrote:

On Thu, 12 Mar 2015 19:53:20 +0100, Dominique G.
wrote in Message-ID: <1m16s76.13w85hn4ta4zjN% :
> Moi j'espère avoir le courage de partir avec une curiosité intacte :-)



Bernanos.



Ha?
J'ignorais ou il s'agit d'une réminiscence d'une ancienne lecture,
peut-être :-)
--
Blanc-seing
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