Je ne voulais pas dire que Debian n'est pas stable ou fiable, loin de là,
simplement je trouve que pour la release "stable" ont est en permanence
avec 3 metros de retard dans les versions des paquets, alors c'est sur il
suffit de passer en testing ou de compiler soi même ou d'utiliser les
backports, mais mon interrogation est surtout est ce vraiment la raison de
la fiabilité / stabilité de debian ? Personnellement j'en doute, une Slack
est bien plus up to date qu'une debian et aussi fiable.
Autant a une époque cela pouvait être valable, autant maintenant avoir
autant de retard peu poser des soucis. Notamment en ce qui concerne les
libs ce qui réduit le champ d'action lors des migrations applicative
client.
Je ne voulais pas dire que Debian n'est pas stable ou fiable, loin de là,
simplement je trouve que pour la release "stable" ont est en permanence
avec 3 metros de retard dans les versions des paquets, alors c'est sur il
suffit de passer en testing ou de compiler soi même ou d'utiliser les
backports, mais mon interrogation est surtout est ce vraiment la raison de
la fiabilité / stabilité de debian ? Personnellement j'en doute, une Slack
est bien plus up to date qu'une debian et aussi fiable.
Autant a une époque cela pouvait être valable, autant maintenant avoir
autant de retard peu poser des soucis. Notamment en ce qui concerne les
libs ce qui réduit le champ d'action lors des migrations applicative
client.
Je ne voulais pas dire que Debian n'est pas stable ou fiable, loin de là,
simplement je trouve que pour la release "stable" ont est en permanence
avec 3 metros de retard dans les versions des paquets, alors c'est sur il
suffit de passer en testing ou de compiler soi même ou d'utiliser les
backports, mais mon interrogation est surtout est ce vraiment la raison de
la fiabilité / stabilité de debian ? Personnellement j'en doute, une Slack
est bien plus up to date qu'une debian et aussi fiable.
Autant a une époque cela pouvait être valable, autant maintenant avoir
autant de retard peu poser des soucis. Notamment en ce qui concerne les
libs ce qui réduit le champ d'action lors des migrations applicative
client.
Thomas Harding a écrit :
> On 02/Feb - 21:57, Laurent Guignard wrote:
> non-free est une liberté supplémentaire donnée aux utili sateurs
> d'avoir ce qu'ils désirent sur leur système ;)
Thomas Harding a écrit :
> On 02/Feb - 21:57, Laurent Guignard wrote:
> non-free est une liberté supplémentaire donnée aux utili sateurs
> d'avoir ce qu'ils désirent sur leur système ;)
Thomas Harding a écrit :
> On 02/Feb - 21:57, Laurent Guignard wrote:
> non-free est une liberté supplémentaire donnée aux utili sateurs
> d'avoir ce qu'ils désirent sur leur système ;)
Le Tue, 3 Feb 2009 13:51:06 +0100 (CET)
"R Azed" a écrit:Je ne voulais pas dire que Debian n'est pas stable ou fiable, loin de
là,
simplement je trouve que pour la release "stable" ont est en permanence
avec 3 metros de retard dans les versions des paquets, alors c'est sur
il
suffit de passer en testing ou de compiler soi même ou d'utiliser les
backports, mais mon interrogation est surtout est ce vraiment la raison
de
la fiabilité / stabilité de debian ? Personnellement j'en doute, une
Slack
est bien plus up to date qu'une debian et aussi fiable.
Autant a une époque cela pouvait être valable, autant maintenant avoir
autant de retard peu poser des soucis. Notamment en ce qui concerne les
libs ce qui réduit le champ d'action lors des migrations applicative
client.
Il faut savoir ce qu'on veut, il faut un ensemble cohérent (ce qui n'est
pas une collection de programmes individuellement stables) sur un serveur
et
celui n'a pas besoin d'être modifé tous les jours. Il y a encore des
serveurs
sarge qui sont actifs et remplissent parfaitement leur mission, Par
ailleurs,
après avoir bataillé ferme sur exim4, j'ai finalement recompilé exim3 pour
lenny parce qu'il fonctionne bien et que je sais faire des choses dessus
que je
n'arrive pas à faire sous exim4 (scan par clamav et spamassassin des mails
destinés à une liste précise de destinataires seulement). Pour les
applications clientes, les disques durs ayant une capacité démesurée,
faire un
chroot lenny voire sid dessus permet d'avoir le beurre (un serveur stable)
et
l'argent du beurre (une application tournant avec des applications
récentes).
À l'education nationale, j'ai plutôt le pbm inverse, des versions vieilles
de
programmes propriétaires qu'il faut faire tourner sur des Etch trop
modernes...
François Boisson
--
Lisez la FAQ de la liste avant de poser une question :
http://wiki.debian.org/DebFrFrenchLists
Vous pouvez aussi ajouter le mot ``spam'' dans vos champs "From" et
"Reply-To:"
To UNSUBSCRIBE, email to
with a subject of "unsubscribe". Trouble? Contact
Le Tue, 3 Feb 2009 13:51:06 +0100 (CET)
"R Azed" <r@azed.fr> a écrit:
Je ne voulais pas dire que Debian n'est pas stable ou fiable, loin de
là,
simplement je trouve que pour la release "stable" ont est en permanence
avec 3 metros de retard dans les versions des paquets, alors c'est sur
il
suffit de passer en testing ou de compiler soi même ou d'utiliser les
backports, mais mon interrogation est surtout est ce vraiment la raison
de
la fiabilité / stabilité de debian ? Personnellement j'en doute, une
Slack
est bien plus up to date qu'une debian et aussi fiable.
Autant a une époque cela pouvait être valable, autant maintenant avoir
autant de retard peu poser des soucis. Notamment en ce qui concerne les
libs ce qui réduit le champ d'action lors des migrations applicative
client.
Il faut savoir ce qu'on veut, il faut un ensemble cohérent (ce qui n'est
pas une collection de programmes individuellement stables) sur un serveur
et
celui n'a pas besoin d'être modifé tous les jours. Il y a encore des
serveurs
sarge qui sont actifs et remplissent parfaitement leur mission, Par
ailleurs,
après avoir bataillé ferme sur exim4, j'ai finalement recompilé exim3 pour
lenny parce qu'il fonctionne bien et que je sais faire des choses dessus
que je
n'arrive pas à faire sous exim4 (scan par clamav et spamassassin des mails
destinés à une liste précise de destinataires seulement). Pour les
applications clientes, les disques durs ayant une capacité démesurée,
faire un
chroot lenny voire sid dessus permet d'avoir le beurre (un serveur stable)
et
l'argent du beurre (une application tournant avec des applications
récentes).
À l'education nationale, j'ai plutôt le pbm inverse, des versions vieilles
de
programmes propriétaires qu'il faut faire tourner sur des Etch trop
modernes...
François Boisson
--
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listmaster@lists.debian.org
Le Tue, 3 Feb 2009 13:51:06 +0100 (CET)
"R Azed" a écrit:Je ne voulais pas dire que Debian n'est pas stable ou fiable, loin de
là,
simplement je trouve que pour la release "stable" ont est en permanence
avec 3 metros de retard dans les versions des paquets, alors c'est sur
il
suffit de passer en testing ou de compiler soi même ou d'utiliser les
backports, mais mon interrogation est surtout est ce vraiment la raison
de
la fiabilité / stabilité de debian ? Personnellement j'en doute, une
Slack
est bien plus up to date qu'une debian et aussi fiable.
Autant a une époque cela pouvait être valable, autant maintenant avoir
autant de retard peu poser des soucis. Notamment en ce qui concerne les
libs ce qui réduit le champ d'action lors des migrations applicative
client.
Il faut savoir ce qu'on veut, il faut un ensemble cohérent (ce qui n'est
pas une collection de programmes individuellement stables) sur un serveur
et
celui n'a pas besoin d'être modifé tous les jours. Il y a encore des
serveurs
sarge qui sont actifs et remplissent parfaitement leur mission, Par
ailleurs,
après avoir bataillé ferme sur exim4, j'ai finalement recompilé exim3 pour
lenny parce qu'il fonctionne bien et que je sais faire des choses dessus
que je
n'arrive pas à faire sous exim4 (scan par clamav et spamassassin des mails
destinés à une liste précise de destinataires seulement). Pour les
applications clientes, les disques durs ayant une capacité démesurée,
faire un
chroot lenny voire sid dessus permet d'avoir le beurre (un serveur stable)
et
l'argent du beurre (une application tournant avec des applications
récentes).
À l'education nationale, j'ai plutôt le pbm inverse, des versions vieilles
de
programmes propriétaires qu'il faut faire tourner sur des Etch trop
modernes...
François Boisson
--
Lisez la FAQ de la liste avant de poser une question :
http://wiki.debian.org/DebFrFrenchLists
Vous pouvez aussi ajouter le mot ``spam'' dans vos champs "From" et
"Reply-To:"
To UNSUBSCRIBE, email to
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Le Tue, 03 Feb 2009 20:58:41 +0100,
Laurent Guignard a écrit :Thomas Harding a écrit :On 02/Feb - 21:57, Laurent Guignard wrote:non-free est une liberté supplémentaire donnée aux utilisateurs
d'avoir ce qu'ils désirent sur leur système ;)
Ouais, et si on retournait le problème, plutôt. Puisque le plus de la course en avant qui oblige à recourir au non-free vient des firmware proprios, pourquoi ne pas lancer un label genre
free hardware -- matériel libre
qui signifie que le source des drivers est publié? Comme ça les gens seront incités à s'équiper "free software compatible" à la racine du problème.
(même s'il existe des listes sur le net, au niveau public, ça a pas le même impact)
Denis
------
la vida e estranya
Le Tue, 03 Feb 2009 20:58:41 +0100,
Laurent Guignard <lguignard.debian@gmail.com> a écrit :
Thomas Harding a écrit :
On 02/Feb - 21:57, Laurent Guignard wrote:
non-free est une liberté supplémentaire donnée aux utilisateurs
d'avoir ce qu'ils désirent sur leur système ;)
Ouais, et si on retournait le problème, plutôt. Puisque le plus de la course en avant qui oblige à recourir au non-free vient des firmware proprios, pourquoi ne pas lancer un label genre
free hardware -- matériel libre
qui signifie que le source des drivers est publié? Comme ça les gens seront incités à s'équiper "free software compatible" à la racine du problème.
(même s'il existe des listes sur le net, au niveau public, ça a pas le même impact)
Denis
------
la vida e estranya
Le Tue, 03 Feb 2009 20:58:41 +0100,
Laurent Guignard a écrit :Thomas Harding a écrit :On 02/Feb - 21:57, Laurent Guignard wrote:non-free est une liberté supplémentaire donnée aux utilisateurs
d'avoir ce qu'ils désirent sur leur système ;)
Ouais, et si on retournait le problème, plutôt. Puisque le plus de la course en avant qui oblige à recourir au non-free vient des firmware proprios, pourquoi ne pas lancer un label genre
free hardware -- matériel libre
qui signifie que le source des drivers est publié? Comme ça les gens seront incités à s'équiper "free software compatible" à la racine du problème.
(même s'il existe des listes sur le net, au niveau public, ça a pas le même impact)
Denis
------
la vida e estranya
> Il faut malheureusement reconnaitre qu'une partie du succes de RH est du à
Linux mais c'est une partie seulement. Le reste c'est le système de
license qui rassure les décideurs et les applis qui sont certifiées RH.
> Il faut malheureusement reconnaitre qu'une partie du succes de RH est du à
Linux mais c'est une partie seulement. Le reste c'est le système de
license qui rassure les décideurs et les applis qui sont certifiées RH.
> Il faut malheureusement reconnaitre qu'une partie du succes de RH est du à
Linux mais c'est une partie seulement. Le reste c'est le système de
license qui rassure les décideurs et les applis qui sont certifiées RH.