Albert ARIBAUD écrivait:
>Bonjour ,
>
>Le Sat, 11 Apr 2015 10:31:28 +0200, ""
>a écrit :
>
>> Albert ARIBAUD écrivait:
>>
>> >Bonjour ,
>> >
>> >Le Sat, 11 Apr 2015 09:43:36 +0200, ""
>> >a écrit :
>> >
>> >> Albert ARIBAUD écrivait:
>> >>
>> >> >Bonjour Olive,
>> >> >
>> >> >Le Sat, 11 Apr 2015 08:01:35 +0200, Olive a é crit :
>> >> >
>> >> >> L'article ci dessous me choque:
>> >> >> http://www.lemonde.fr/sante/article/2015/04/11/les-organes-pourr ont-etre-preleves-sans-l-avis-des-familles_4614134_1651302.html#xtor=RSS- 3208
>> >> >>
>> >> >> en se basant sur le principe de disposer de son corps, comment f aire
>> >> >> pour interdire à l'Etat de prélever des organes de mon corps une fois mort ?
>> >> >
>> >> >Euh... comment refuser le prélèvement, c'est précisément c e qui est
>> >> >expliqué dans l'article en question.
>> >> L'article précise que:
>> >> "Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé
>> >> et révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Eta t publié
>> >> d'ici le 1er janvier 2017."
>> >
>> >Comme ce qui *précède* cet extrait de l'article l'indique, ce pas sage
>> >concerne un moyen *nouveau* et *additionnel*. Mais -- et c'est fort
>> >dommage que tu aies oublié de le citer aussi -- il présente le mo yen
>> >*déjà* *existant* qui est le registre national de refus de prél èvement
>> >d'organe (lequel existe depuis 1998).
>>
>> Pour être précis, l'article dit:
>> "Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine v oté
>> par les députés, vendredi 10 avril, le registre national des r efus
>> serait le moyen « principal », et non plus exclusif, pour expr imer
>> son refus d'un prélèvement d'organe à son décès. Les mod alités par
>> lesquelles ce refus pourrait être exprimé et révoqué sont renvoyées
>> à un décret du Conseil d'Etat publié d'ici le 1er janvier 20 17."
>
>Tout à fait.
>
>> Donc, contrairement à ce que tu prétendais de manière un peu rap ide, il
>> faudra *attendre* la parution du *décret* cité pour le savoir *pr écisément* ...
>
>Il faudra attendre pour connaître les modalités du ou des *nouveaux*
>moyens de refus ; rien n'est changé ni ne changera pour le moyen
>*existant* qu'est le registre, dont l'application n'est affectée en
>rien par l'amendement.
*L'article de journal évoqué ne permet pas de tirer cette conclusion.*
Il s'agit d'une *extrapolation* de ta part.
L'avenir dira si elle est fondée ou non.
Et on en revient à l'extrait que je citais initialement:
"Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé
et révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Etat pub lié
d'ici le 1er janvier 2017."
[snip les provocs gamines]
>Amicalement,
Aussi.
Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> écrivait:
>Bonjour a@a.a,
>
>Le Sat, 11 Apr 2015 10:31:28 +0200, "a@a.a" <tmp12311@free.fr.invalid>
>a écrit :
>
>> Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> écrivait:
>>
>> >Bonjour a@a.a,
>> >
>> >Le Sat, 11 Apr 2015 09:43:36 +0200, "a@a.a" <tmp12311@free.fr.invalid>
>> >a écrit :
>> >
>> >> Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> écrivait:
>> >>
>> >> >Bonjour Olive,
>> >> >
>> >> >Le Sat, 11 Apr 2015 08:01:35 +0200, Olive <champ@olives.com> a é crit :
>> >> >
>> >> >> L'article ci dessous me choque:
>> >> >> http://www.lemonde.fr/sante/article/2015/04/11/les-organes-pourr ont-etre-preleves-sans-l-avis-des-familles_4614134_1651302.html#xtor=RSS- 3208
>> >> >>
>> >> >> en se basant sur le principe de disposer de son corps, comment f aire
>> >> >> pour interdire à l'Etat de prélever des organes de mon corps une fois mort ?
>> >> >
>> >> >Euh... comment refuser le prélèvement, c'est précisément c e qui est
>> >> >expliqué dans l'article en question.
>> >> L'article précise que:
>> >> "Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé
>> >> et révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Eta t publié
>> >> d'ici le 1er janvier 2017."
>> >
>> >Comme ce qui *précède* cet extrait de l'article l'indique, ce pas sage
>> >concerne un moyen *nouveau* et *additionnel*. Mais -- et c'est fort
>> >dommage que tu aies oublié de le citer aussi -- il présente le mo yen
>> >*déjà* *existant* qui est le registre national de refus de prél èvement
>> >d'organe (lequel existe depuis 1998).
>>
>> Pour être précis, l'article dit:
>> "Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine v oté
>> par les députés, vendredi 10 avril, le registre national des r efus
>> serait le moyen « principal », et non plus exclusif, pour expr imer
>> son refus d'un prélèvement d'organe à son décès. Les mod alités par
>> lesquelles ce refus pourrait être exprimé et révoqué sont renvoyées
>> à un décret du Conseil d'Etat publié d'ici le 1er janvier 20 17."
>
>Tout à fait.
>
>> Donc, contrairement à ce que tu prétendais de manière un peu rap ide, il
>> faudra *attendre* la parution du *décret* cité pour le savoir *pr écisément* ...
>
>Il faudra attendre pour connaître les modalités du ou des *nouveaux*
>moyens de refus ; rien n'est changé ni ne changera pour le moyen
>*existant* qu'est le registre, dont l'application n'est affectée en
>rien par l'amendement.
*L'article de journal évoqué ne permet pas de tirer cette conclusion.*
Il s'agit d'une *extrapolation* de ta part.
L'avenir dira si elle est fondée ou non.
Et on en revient à l'extrait que je citais initialement:
"Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé
et révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Etat pub lié
d'ici le 1er janvier 2017."
[snip les provocs gamines]
>Amicalement,
Aussi.
Albert ARIBAUD écrivait:
>Bonjour ,
>
>Le Sat, 11 Apr 2015 10:31:28 +0200, ""
>a écrit :
>
>> Albert ARIBAUD écrivait:
>>
>> >Bonjour ,
>> >
>> >Le Sat, 11 Apr 2015 09:43:36 +0200, ""
>> >a écrit :
>> >
>> >> Albert ARIBAUD écrivait:
>> >>
>> >> >Bonjour Olive,
>> >> >
>> >> >Le Sat, 11 Apr 2015 08:01:35 +0200, Olive a é crit :
>> >> >
>> >> >> L'article ci dessous me choque:
>> >> >> http://www.lemonde.fr/sante/article/2015/04/11/les-organes-pourr ont-etre-preleves-sans-l-avis-des-familles_4614134_1651302.html#xtor=RSS- 3208
>> >> >>
>> >> >> en se basant sur le principe de disposer de son corps, comment f aire
>> >> >> pour interdire à l'Etat de prélever des organes de mon corps une fois mort ?
>> >> >
>> >> >Euh... comment refuser le prélèvement, c'est précisément c e qui est
>> >> >expliqué dans l'article en question.
>> >> L'article précise que:
>> >> "Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé
>> >> et révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Eta t publié
>> >> d'ici le 1er janvier 2017."
>> >
>> >Comme ce qui *précède* cet extrait de l'article l'indique, ce pas sage
>> >concerne un moyen *nouveau* et *additionnel*. Mais -- et c'est fort
>> >dommage que tu aies oublié de le citer aussi -- il présente le mo yen
>> >*déjà* *existant* qui est le registre national de refus de prél èvement
>> >d'organe (lequel existe depuis 1998).
>>
>> Pour être précis, l'article dit:
>> "Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine v oté
>> par les députés, vendredi 10 avril, le registre national des r efus
>> serait le moyen « principal », et non plus exclusif, pour expr imer
>> son refus d'un prélèvement d'organe à son décès. Les mod alités par
>> lesquelles ce refus pourrait être exprimé et révoqué sont renvoyées
>> à un décret du Conseil d'Etat publié d'ici le 1er janvier 20 17."
>
>Tout à fait.
>
>> Donc, contrairement à ce que tu prétendais de manière un peu rap ide, il
>> faudra *attendre* la parution du *décret* cité pour le savoir *pr écisément* ...
>
>Il faudra attendre pour connaître les modalités du ou des *nouveaux*
>moyens de refus ; rien n'est changé ni ne changera pour le moyen
>*existant* qu'est le registre, dont l'application n'est affectée en
>rien par l'amendement.
*L'article de journal évoqué ne permet pas de tirer cette conclusion.*
Il s'agit d'une *extrapolation* de ta part.
L'avenir dira si elle est fondée ou non.
Et on en revient à l'extrait que je citais initialement:
"Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé
et révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Etat pub lié
d'ici le 1er janvier 2017."
[snip les provocs gamines]
>Amicalement,
Aussi.
Bonjour ,
Le Sat, 11 Apr 2015 11:01:28 +0200, ""
a écrit :Albert ARIBAUD écrivait:
>Bonjour ,
>
>Le Sat, 11 Apr 2015 10:31:28 +0200, ""
>a écrit :
>
>> Albert ARIBAUD écrivait:
>>
>> >Bonjour ,
>> >
>> >Le Sat, 11 Apr 2015 09:43:36 +0200, ""
>> >a écrit :
>> >
>> >> Albert ARIBAUD écrivait:
>> >>
>> >> >Bonjour Olive,
>> >> >
>> >> >Le Sat, 11 Apr 2015 08:01:35 +0200, Olive a écrit :
>> >> >
>> >> >> L'article ci dessous me choque:
>> >> >> http://www.lemonde.fr/sante/article/2015/04/11/les-organes-pourront-etre-preleves-sans-l-avis-des-familles_4614134_1651302.html#xtor=RSS-3208
>> >> >>
>> >> >> en se basant sur le principe de disposer de son corps, comment faire
>> >> >> pour interdire à l'Etat de prélever des organes de mon corps une fois mort ?
>> >> >
>> >> >Euh... comment refuser le prélèvement, c'est précisément ce qui est
>> >> >expliqué dans l'article en question.
>> >> L'article précise que:
>> >> "Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé
>> >> et révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Etat publié
>> >> d'ici le 1er janvier 2017."
>> >
>> >Comme ce qui *précède* cet extrait de l'article l'indique, ce passage
>> >concerne un moyen *nouveau* et *additionnel*. Mais -- et c'est fort
>> >dommage que tu aies oublié de le citer aussi -- il présente le moyen
>> >*déjà* *existant* qui est le registre national de refus de prélèvement
>> >d'organe (lequel existe depuis 1998).
>>
>> Pour être précis, l'article dit:
>> "Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine voté
>> par les députés, vendredi 10 avril, le registre national des refus
>> serait le moyen « principal », et non plus exclusif, pour exprimer
>> son refus d'un prélèvement d'organe à son décès. Les modalités par
>> lesquelles ce refus pourrait être exprimé et révoqué sont renvoyées
>> à un décret du Conseil d'Etat publié d'ici le 1er janvier 2017."
>
>Tout à fait.
>
>> Donc, contrairement à ce que tu prétendais de manière un peu rapide, il
>> faudra *attendre* la parution du *décret* cité pour le savoir *précisément* ...
>
>Il faudra attendre pour connaître les modalités du ou des *nouveaux*
>moyens de refus ; rien n'est changé ni ne changera pour le moyen
>*existant* qu'est le registre, dont l'application n'est affectée en
>rien par l'amendement.
*L'article de journal évoqué ne permet pas de tirer cette conclusion.*
Bah si, justement, il le permet, en indiquant explicitement que, je
cite, "le registre national des refus serait le moyen « principal », et
non plus exclusif, pour exprimer son refus d'un prélèvement d'organe à
son décès", montrant ainsi que le registre *est* et *restera* un moyen
suffisant pour permettre au posteur de, je cite, "interdire à l'Etat de
prélever des organes de mon corps une fois mort", fin de citation.Il s'agit d'une *extrapolation* de ta part.
Non.
L'avenir dira si elle est fondée ou non.
Le présent nous dit déjà que ce que j'ai écrit est et restera fondé.
Et on en revient à l'extrait que je citais initialement:
"Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé
et révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Etat publié
d'ici le 1er janvier 2017."
Et on en revient alors au fait que ce que tu cites concerne les moyens
*additionnels* créés par l'amendement, ce qui se voit dès qu'on cite
*aussi* ce qui précède (et qui du reste faisait partie du même
paragraphe) :
Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine
voté par les députés, vendredi 10 avril, le registre national
des refus serait le moyen « principal », et non plus exclusif,
pour exprimer son refus d'un prélèvement d'organe à son décès.
Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé et
révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Etat publié
d'ici le 1er janvier 2017.
Bref, strictement aucun changement dans la loi quant au registre ; ce
qui change ne touche que les *autres* moyens de refus.
Amicalement,
Bonjour a@a.a,
Le Sat, 11 Apr 2015 11:01:28 +0200, "a@a.a" <tmp12311@free.fr.invalid>
a écrit :
Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> écrivait:
>Bonjour a@a.a,
>
>Le Sat, 11 Apr 2015 10:31:28 +0200, "a@a.a" <tmp12311@free.fr.invalid>
>a écrit :
>
>> Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> écrivait:
>>
>> >Bonjour a@a.a,
>> >
>> >Le Sat, 11 Apr 2015 09:43:36 +0200, "a@a.a" <tmp12311@free.fr.invalid>
>> >a écrit :
>> >
>> >> Albert ARIBAUD <albert.aribaud@free.fr> écrivait:
>> >>
>> >> >Bonjour Olive,
>> >> >
>> >> >Le Sat, 11 Apr 2015 08:01:35 +0200, Olive <champ@olives.com> a écrit :
>> >> >
>> >> >> L'article ci dessous me choque:
>> >> >> http://www.lemonde.fr/sante/article/2015/04/11/les-organes-pourront-etre-preleves-sans-l-avis-des-familles_4614134_1651302.html#xtor=RSS-3208
>> >> >>
>> >> >> en se basant sur le principe de disposer de son corps, comment faire
>> >> >> pour interdire à l'Etat de prélever des organes de mon corps une fois mort ?
>> >> >
>> >> >Euh... comment refuser le prélèvement, c'est précisément ce qui est
>> >> >expliqué dans l'article en question.
>> >> L'article précise que:
>> >> "Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé
>> >> et révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Etat publié
>> >> d'ici le 1er janvier 2017."
>> >
>> >Comme ce qui *précède* cet extrait de l'article l'indique, ce passage
>> >concerne un moyen *nouveau* et *additionnel*. Mais -- et c'est fort
>> >dommage que tu aies oublié de le citer aussi -- il présente le moyen
>> >*déjà* *existant* qui est le registre national de refus de prélèvement
>> >d'organe (lequel existe depuis 1998).
>>
>> Pour être précis, l'article dit:
>> "Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine voté
>> par les députés, vendredi 10 avril, le registre national des refus
>> serait le moyen « principal », et non plus exclusif, pour exprimer
>> son refus d'un prélèvement d'organe à son décès. Les modalités par
>> lesquelles ce refus pourrait être exprimé et révoqué sont renvoyées
>> à un décret du Conseil d'Etat publié d'ici le 1er janvier 2017."
>
>Tout à fait.
>
>> Donc, contrairement à ce que tu prétendais de manière un peu rapide, il
>> faudra *attendre* la parution du *décret* cité pour le savoir *précisément* ...
>
>Il faudra attendre pour connaître les modalités du ou des *nouveaux*
>moyens de refus ; rien n'est changé ni ne changera pour le moyen
>*existant* qu'est le registre, dont l'application n'est affectée en
>rien par l'amendement.
*L'article de journal évoqué ne permet pas de tirer cette conclusion.*
Bah si, justement, il le permet, en indiquant explicitement que, je
cite, "le registre national des refus serait le moyen « principal », et
non plus exclusif, pour exprimer son refus d'un prélèvement d'organe à
son décès", montrant ainsi que le registre *est* et *restera* un moyen
suffisant pour permettre au posteur de, je cite, "interdire à l'Etat de
prélever des organes de mon corps une fois mort", fin de citation.
Il s'agit d'une *extrapolation* de ta part.
Non.
L'avenir dira si elle est fondée ou non.
Le présent nous dit déjà que ce que j'ai écrit est et restera fondé.
Et on en revient à l'extrait que je citais initialement:
"Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé
et révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Etat publié
d'ici le 1er janvier 2017."
Et on en revient alors au fait que ce que tu cites concerne les moyens
*additionnels* créés par l'amendement, ce qui se voit dès qu'on cite
*aussi* ce qui précède (et qui du reste faisait partie du même
paragraphe) :
Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine
voté par les députés, vendredi 10 avril, le registre national
des refus serait le moyen « principal », et non plus exclusif,
pour exprimer son refus d'un prélèvement d'organe à son décès.
Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé et
révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Etat publié
d'ici le 1er janvier 2017.
Bref, strictement aucun changement dans la loi quant au registre ; ce
qui change ne touche que les *autres* moyens de refus.
Amicalement,
Bonjour ,
Le Sat, 11 Apr 2015 11:01:28 +0200, ""
a écrit :Albert ARIBAUD écrivait:
>Bonjour ,
>
>Le Sat, 11 Apr 2015 10:31:28 +0200, ""
>a écrit :
>
>> Albert ARIBAUD écrivait:
>>
>> >Bonjour ,
>> >
>> >Le Sat, 11 Apr 2015 09:43:36 +0200, ""
>> >a écrit :
>> >
>> >> Albert ARIBAUD écrivait:
>> >>
>> >> >Bonjour Olive,
>> >> >
>> >> >Le Sat, 11 Apr 2015 08:01:35 +0200, Olive a écrit :
>> >> >
>> >> >> L'article ci dessous me choque:
>> >> >> http://www.lemonde.fr/sante/article/2015/04/11/les-organes-pourront-etre-preleves-sans-l-avis-des-familles_4614134_1651302.html#xtor=RSS-3208
>> >> >>
>> >> >> en se basant sur le principe de disposer de son corps, comment faire
>> >> >> pour interdire à l'Etat de prélever des organes de mon corps une fois mort ?
>> >> >
>> >> >Euh... comment refuser le prélèvement, c'est précisément ce qui est
>> >> >expliqué dans l'article en question.
>> >> L'article précise que:
>> >> "Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé
>> >> et révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Etat publié
>> >> d'ici le 1er janvier 2017."
>> >
>> >Comme ce qui *précède* cet extrait de l'article l'indique, ce passage
>> >concerne un moyen *nouveau* et *additionnel*. Mais -- et c'est fort
>> >dommage que tu aies oublié de le citer aussi -- il présente le moyen
>> >*déjà* *existant* qui est le registre national de refus de prélèvement
>> >d'organe (lequel existe depuis 1998).
>>
>> Pour être précis, l'article dit:
>> "Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine voté
>> par les députés, vendredi 10 avril, le registre national des refus
>> serait le moyen « principal », et non plus exclusif, pour exprimer
>> son refus d'un prélèvement d'organe à son décès. Les modalités par
>> lesquelles ce refus pourrait être exprimé et révoqué sont renvoyées
>> à un décret du Conseil d'Etat publié d'ici le 1er janvier 2017."
>
>Tout à fait.
>
>> Donc, contrairement à ce que tu prétendais de manière un peu rapide, il
>> faudra *attendre* la parution du *décret* cité pour le savoir *précisément* ...
>
>Il faudra attendre pour connaître les modalités du ou des *nouveaux*
>moyens de refus ; rien n'est changé ni ne changera pour le moyen
>*existant* qu'est le registre, dont l'application n'est affectée en
>rien par l'amendement.
*L'article de journal évoqué ne permet pas de tirer cette conclusion.*
Bah si, justement, il le permet, en indiquant explicitement que, je
cite, "le registre national des refus serait le moyen « principal », et
non plus exclusif, pour exprimer son refus d'un prélèvement d'organe à
son décès", montrant ainsi que le registre *est* et *restera* un moyen
suffisant pour permettre au posteur de, je cite, "interdire à l'Etat de
prélever des organes de mon corps une fois mort", fin de citation.Il s'agit d'une *extrapolation* de ta part.
Non.
L'avenir dira si elle est fondée ou non.
Le présent nous dit déjà que ce que j'ai écrit est et restera fondé.
Et on en revient à l'extrait que je citais initialement:
"Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé
et révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Etat publié
d'ici le 1er janvier 2017."
Et on en revient alors au fait que ce que tu cites concerne les moyens
*additionnels* créés par l'amendement, ce qui se voit dès qu'on cite
*aussi* ce qui précède (et qui du reste faisait partie du même
paragraphe) :
Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine
voté par les députés, vendredi 10 avril, le registre national
des refus serait le moyen « principal », et non plus exclusif,
pour exprimer son refus d'un prélèvement d'organe à son décès.
Les modalités par lesquelles ce refus pourrait être exprimé et
révoqué sont renvoyées à un décret du Conseil d'Etat publié
d'ici le 1er janvier 2017.
Bref, strictement aucun changement dans la loi quant au registre ; ce
qui change ne touche que les *autres* moyens de refus.
Amicalement,
Quel est ce principe ?
Si tu es mort, alors par définition même, tu ne peux plus « disposer »
de ton corps.
Et avec le temps, ce corps sera de moins en moins un « corps » tel qu'on
le conçoit.
D'un autre côté, il est tout à fait compréhensible que tu puisses être
moralement choqué par cette mainmise imposée sur ce qui t'appartient.
Quel est ce principe ?
Si tu es mort, alors par définition même, tu ne peux plus « disposer »
de ton corps.
Et avec le temps, ce corps sera de moins en moins un « corps » tel qu'on
le conçoit.
D'un autre côté, il est tout à fait compréhensible que tu puisses être
moralement choqué par cette mainmise imposée sur ce qui t'appartient.
Quel est ce principe ?
Si tu es mort, alors par définition même, tu ne peux plus « disposer »
de ton corps.
Et avec le temps, ce corps sera de moins en moins un « corps » tel qu'on
le conçoit.
D'un autre côté, il est tout à fait compréhensible que tu puisses être
moralement choqué par cette mainmise imposée sur ce qui t'appartient.
Jean-Christophe :
(1) Quel est ce principe ?
Si tu es mort, alors par définition même, tu ne peux plus « disposer » de
ton corps.
Et avec le temps, ce corps sera de moins en moins un « corps » tel qu'on
le conçoit.
"Olive"
Si on se base sur ce principe
et si le corps n'appartient à personne,
on devrait donc autoriser la profanation des défunts.
Or les morts ont des droits. Et je peux en tant que vivant interdire que
mon corps soit exploité après ma mort... car le corps m'appartient
pendant ma vie et y compris après ma mort.
D'un autre côté, il est tout à fait compréhensible que tu puisses être
moralement choqué par cette mainmise imposée sur ce qui t'appartient.
Jean-Christophe :
(1) Quel est ce principe ?
Si tu es mort, alors par définition même, tu ne peux plus « disposer » de
ton corps.
Et avec le temps, ce corps sera de moins en moins un « corps » tel qu'on
le conçoit.
"Olive"
Si on se base sur ce principe
et si le corps n'appartient à personne,
on devrait donc autoriser la profanation des défunts.
Or les morts ont des droits. Et je peux en tant que vivant interdire que
mon corps soit exploité après ma mort... car le corps m'appartient
pendant ma vie et y compris après ma mort.
D'un autre côté, il est tout à fait compréhensible que tu puisses être
moralement choqué par cette mainmise imposée sur ce qui t'appartient.
Jean-Christophe :
(1) Quel est ce principe ?
Si tu es mort, alors par définition même, tu ne peux plus « disposer » de
ton corps.
Et avec le temps, ce corps sera de moins en moins un « corps » tel qu'on
le conçoit.
"Olive"
Si on se base sur ce principe
et si le corps n'appartient à personne,
on devrait donc autoriser la profanation des défunts.
Or les morts ont des droits. Et je peux en tant que vivant interdire que
mon corps soit exploité après ma mort... car le corps m'appartient
pendant ma vie et y compris après ma mort.
D'un autre côté, il est tout à fait compréhensible que tu puisses être
moralement choqué par cette mainmise imposée sur ce qui t'appartient.
Si on se base sur ce principe, et si le corps n'appartient à personne, on
devrait donc autoriser la profanation des défunts.
Or les morts ont des droits. Et je peux en tant que vivant interdire que
mon corps soit exploité après ma mort... car le corps m'appartient pendant
ma vie et y compris après ma mort.
Si on se base sur ce principe, et si le corps n'appartient à personne, on
devrait donc autoriser la profanation des défunts.
Or les morts ont des droits. Et je peux en tant que vivant interdire que
mon corps soit exploité après ma mort... car le corps m'appartient pendant
ma vie et y compris après ma mort.
Si on se base sur ce principe, et si le corps n'appartient à personne, on
devrait donc autoriser la profanation des défunts.
Or les morts ont des droits. Et je peux en tant que vivant interdire que
mon corps soit exploité après ma mort... car le corps m'appartient pendant
ma vie et y compris après ma mort.
Pour être précis, l'article dit:
"Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine voté
par les députés, vendredi 10 avril, le registre national des refus
serait le moyen « principal », et non plus exclusif, pour exprimer
son refus d'un prélèvement d'organe à son décès. Les modalités par
lesquelles ce refus pourrait être exprimé et révoqué sont renvoyées
à un décret du Conseil d'Etat publié d'ici le 1er janvier 2017."
Tout à fait.
Pour être précis, l'article dit:
"Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine voté
par les députés, vendredi 10 avril, le registre national des refus
serait le moyen « principal », et non plus exclusif, pour exprimer
son refus d'un prélèvement d'organe à son décès. Les modalités par
lesquelles ce refus pourrait être exprimé et révoqué sont renvoyées
à un décret du Conseil d'Etat publié d'ici le 1er janvier 2017."
Tout à fait.
Pour être précis, l'article dit:
"Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine voté
par les députés, vendredi 10 avril, le registre national des refus
serait le moyen « principal », et non plus exclusif, pour exprimer
son refus d'un prélèvement d'organe à son décès. Les modalités par
lesquelles ce refus pourrait être exprimé et révoqué sont renvoyées
à un décret du Conseil d'Etat publié d'ici le 1er janvier 2017."
Tout à fait.
Albert ARIBAUD avait écrit le 11/04/2015 :
>> Pour être précis, l'article dit:
>> "Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine v oté
>> par les députés, vendredi 10 avril, le registre national des r efus
>> serait le moyen « principal », et non plus exclusif, pour expr imer
>> son refus d'un prélèvement d'organe à son décès. Les mod alités par
>> lesquelles ce refus pourrait être exprimé et révoqué sont renvoyées
>> à un décret du Conseil d'Etat publié d'ici le 1er janvier 20 17."
>
> Tout à fait.
>
Selon ce lien
http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F183.xhtml
ce n'était pas le moyen exclusif de refus.
Albert ARIBAUD avait écrit le 11/04/2015 :
>> Pour être précis, l'article dit:
>> "Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine v oté
>> par les députés, vendredi 10 avril, le registre national des r efus
>> serait le moyen « principal », et non plus exclusif, pour expr imer
>> son refus d'un prélèvement d'organe à son décès. Les mod alités par
>> lesquelles ce refus pourrait être exprimé et révoqué sont renvoyées
>> à un décret du Conseil d'Etat publié d'ici le 1er janvier 20 17."
>
> Tout à fait.
>
Selon ce lien
http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F183.xhtml
ce n'était pas le moyen exclusif de refus.
Albert ARIBAUD avait écrit le 11/04/2015 :
>> Pour être précis, l'article dit:
>> "Selon l'amendement de la ministre de la santé Marisol Touraine v oté
>> par les députés, vendredi 10 avril, le registre national des r efus
>> serait le moyen « principal », et non plus exclusif, pour expr imer
>> son refus d'un prélèvement d'organe à son décès. Les mod alités par
>> lesquelles ce refus pourrait être exprimé et révoqué sont renvoyées
>> à un décret du Conseil d'Etat publié d'ici le 1er janvier 20 17."
>
> Tout à fait.
>
Selon ce lien
http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F183.xhtml
ce n'était pas le moyen exclusif de refus.
Depuis 2004 en France, la loi (code de santé publique article L 1211.2)
considère que tout le monde est donneur d'organes par défaut : ne pas
s'inscrire au registre national des refus, c'est accepter de donner ses
organes.
Mais dans la pratique les proches étaient toujours questionnés, et
donnaient très rarement leur accord.
Depuis 2004 en France, la loi (code de santé publique article L 1211.2)
considère que tout le monde est donneur d'organes par défaut : ne pas
s'inscrire au registre national des refus, c'est accepter de donner ses
organes.
Mais dans la pratique les proches étaient toujours questionnés, et
donnaient très rarement leur accord.
Depuis 2004 en France, la loi (code de santé publique article L 1211.2)
considère que tout le monde est donneur d'organes par défaut : ne pas
s'inscrire au registre national des refus, c'est accepter de donner ses
organes.
Mais dans la pratique les proches étaient toujours questionnés, et
donnaient très rarement leur accord.
a profanation des défunts.
a profanation des défunts.
a profanation des défunts.
Olive wrote:Merci
De rien.
C'est quoi un "donc" d'organe?
Olive <champ@olives.com> wrote:
Merci
De rien.
C'est quoi un "donc" d'organe?
Olive wrote:Merci
De rien.
C'est quoi un "donc" d'organe?