Je suis très réservé sur l'hospitalisation à domicile depuis que mon
père l'a vécue en 2006 !
Je suis très réservé sur l'hospitalisation à domicile depuis que mon
père l'a vécue en 2006 !
Je suis très réservé sur l'hospitalisation à domicile depuis que mon
père l'a vécue en 2006 !
LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent parfois à
appliquer la loi.
LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent parfois à
appliquer la loi.
LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent parfois à
appliquer la loi.
Jean <contactCHEZmoi.org> wrote:LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent parfois à
appliquer la loi.
Jean <contactCHEZmoi.org> wrote:
LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent parfois à
appliquer la loi.
Jean <contactCHEZmoi.org> wrote:LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent parfois à
appliquer la loi.
Jean <contactCHEZmoi.org> wrote:
> LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent parfois
appliquer la loi.
Jean <contactCHEZmoi.org> wrote:
> LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent parfois
appliquer la loi.
Jean <contactCHEZmoi.org> wrote:
> LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent parfois
appliquer la loi.
Jacquouille14 a écrit :Ils n'ont administré aucun anti douleur
ni autre chose car cela aurait pu raccourcir le délai et c'est
interdit par les lois républicaines et chrétiennes.
J'imagine que tu as voulu écrire "les recommandations chrétiennes" car
il ne saurait être question de hisser des préférences religieuses au
même niveau que nos lois républicaines.
Aigle bavard
Jacquouille14 a écrit :
Ils n'ont administré aucun anti douleur
ni autre chose car cela aurait pu raccourcir le délai et c'est
interdit par les lois républicaines et chrétiennes.
J'imagine que tu as voulu écrire "les recommandations chrétiennes" car
il ne saurait être question de hisser des préférences religieuses au
même niveau que nos lois républicaines.
Aigle bavard
Jacquouille14 a écrit :Ils n'ont administré aucun anti douleur
ni autre chose car cela aurait pu raccourcir le délai et c'est
interdit par les lois républicaines et chrétiennes.
J'imagine que tu as voulu écrire "les recommandations chrétiennes" car
il ne saurait être question de hisser des préférences religieuses au
même niveau que nos lois républicaines.
Aigle bavard
"Tardigradus" a écrit dans le message
de news: 1idsewe.mkgmg71ifrc50N%Jean <contactCHEZmoi.org> wrote:LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent parfois
àappliquer la loi.
Si la loi autorise l'utilisation de drogues contre la douleur à des
doses pouvant entraîner la mort, ne pas les utiliser à ces doses n'est
pas une infraction à cette loi.
Je pense que le choix doit être celui du principal intéressé, le
patient, pas le choix d'un médecin ou d'héritiers, et que la loi doit
encadrer strictement les procédures à suivre.
Ceci dit, je comprends qu'un médecin se refuse à admnistrer lui-même une
dose létale d'une quelconque drogue, je me refuserais sans doute
d'ailleurs à le faire car c'est contraire à ma propre éthique mais je
pense que s'opposer à ce que ce soit fait est empiéter gravement sur le
droit des gens à disposer de leur vie (enfin de leur mort parce que la
naissance on ne choisit généralement pas).
Je pense aussi, mais peut-être n'est-ce pas un problème de droit, que
c'est la volonté de donner la mort qui importe le plus, pas
l'instrument, et on peut considérer que celui qui donne la mort n'est
que l'instrument, est-ce qu'on condamne les pistolets pour homicide ? Ce
que le droit devrait permettre d'assurer, c'est un protocole qui ne
ferait de l'exécutant qu'un instrument dans les mains de celui qui est
responsable de sa propre vie.
Bon, cela me répugnerait sans doute quand même de tuer quelqu'un, même
s'il me supplie de le faire, mais il n'y a pas besoin d'être toubib pour
régler une perfusion..
"Tardigradus" <patrick.1200RTcazaux@cadratin.fr> a écrit dans le message
de news: 1idsewe.mkgmg71ifrc50N%patrick.1200RTcazaux@cadratin.fr...
Jean <contactCHEZmoi.org> wrote:
LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent parfois
à
appliquer la loi.
Si la loi autorise l'utilisation de drogues contre la douleur à des
doses pouvant entraîner la mort, ne pas les utiliser à ces doses n'est
pas une infraction à cette loi.
Je pense que le choix doit être celui du principal intéressé, le
patient, pas le choix d'un médecin ou d'héritiers, et que la loi doit
encadrer strictement les procédures à suivre.
Ceci dit, je comprends qu'un médecin se refuse à admnistrer lui-même une
dose létale d'une quelconque drogue, je me refuserais sans doute
d'ailleurs à le faire car c'est contraire à ma propre éthique mais je
pense que s'opposer à ce que ce soit fait est empiéter gravement sur le
droit des gens à disposer de leur vie (enfin de leur mort parce que la
naissance on ne choisit généralement pas).
Je pense aussi, mais peut-être n'est-ce pas un problème de droit, que
c'est la volonté de donner la mort qui importe le plus, pas
l'instrument, et on peut considérer que celui qui donne la mort n'est
que l'instrument, est-ce qu'on condamne les pistolets pour homicide ? Ce
que le droit devrait permettre d'assurer, c'est un protocole qui ne
ferait de l'exécutant qu'un instrument dans les mains de celui qui est
responsable de sa propre vie.
Bon, cela me répugnerait sans doute quand même de tuer quelqu'un, même
s'il me supplie de le faire, mais il n'y a pas besoin d'être toubib pour
régler une perfusion..
"Tardigradus" a écrit dans le message
de news: 1idsewe.mkgmg71ifrc50N%Jean <contactCHEZmoi.org> wrote:LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent parfois
àappliquer la loi.
Si la loi autorise l'utilisation de drogues contre la douleur à des
doses pouvant entraîner la mort, ne pas les utiliser à ces doses n'est
pas une infraction à cette loi.
Je pense que le choix doit être celui du principal intéressé, le
patient, pas le choix d'un médecin ou d'héritiers, et que la loi doit
encadrer strictement les procédures à suivre.
Ceci dit, je comprends qu'un médecin se refuse à admnistrer lui-même une
dose létale d'une quelconque drogue, je me refuserais sans doute
d'ailleurs à le faire car c'est contraire à ma propre éthique mais je
pense que s'opposer à ce que ce soit fait est empiéter gravement sur le
droit des gens à disposer de leur vie (enfin de leur mort parce que la
naissance on ne choisit généralement pas).
Je pense aussi, mais peut-être n'est-ce pas un problème de droit, que
c'est la volonté de donner la mort qui importe le plus, pas
l'instrument, et on peut considérer que celui qui donne la mort n'est
que l'instrument, est-ce qu'on condamne les pistolets pour homicide ? Ce
que le droit devrait permettre d'assurer, c'est un protocole qui ne
ferait de l'exécutant qu'un instrument dans les mains de celui qui est
responsable de sa propre vie.
Bon, cela me répugnerait sans doute quand même de tuer quelqu'un, même
s'il me supplie de le faire, mais il n'y a pas besoin d'être toubib pour
régler une perfusion..
Bonjour,
je ne comprend absolument rien au débat sur l'euthanasie. Qu'est ce qui
empêcherait une personne de se suicider par elle même ? Pourquoi est ce
que la personne qui a un cancer au visage demande à ce qu'elle soit
euthanasiée ?
Elle peut très bien rassembler ses proches autour d'elle et avaler une
boite de somnifères. Non ? Cela ne coûterait rien à la sécu...
Légalement, les personnes seraient étaient à côté du suicidé ne peuvent
pas être poursuivies, puisqu'il s'agit d'un suicide. A moins qu'il
existe un loi qui punit les personnes qui ne tentent pas de sauver un
suicidé (non assistance à personne en danger par ex), je ne vois pas où
est le soucis du point de vue légal.
Je comprend bien que certains malades à un stade terminal, ou à un âge
très avancé, ne peuvent même pas bouger le doigt pour se suicider. Dans
ces cas, un suicide "assisté" est requis, mais interdit par la loi. Par
contre, si une personne a encore toutes ses forces pour appuyer sur une
gâchette, y a pas à demander l'autorisation. Et surtout, qu'on ne pollue
pas l'espace public avec de faux débats.
Bonjour,
je ne comprend absolument rien au débat sur l'euthanasie. Qu'est ce qui
empêcherait une personne de se suicider par elle même ? Pourquoi est ce
que la personne qui a un cancer au visage demande à ce qu'elle soit
euthanasiée ?
Elle peut très bien rassembler ses proches autour d'elle et avaler une
boite de somnifères. Non ? Cela ne coûterait rien à la sécu...
Légalement, les personnes seraient étaient à côté du suicidé ne peuvent
pas être poursuivies, puisqu'il s'agit d'un suicide. A moins qu'il
existe un loi qui punit les personnes qui ne tentent pas de sauver un
suicidé (non assistance à personne en danger par ex), je ne vois pas où
est le soucis du point de vue légal.
Je comprend bien que certains malades à un stade terminal, ou à un âge
très avancé, ne peuvent même pas bouger le doigt pour se suicider. Dans
ces cas, un suicide "assisté" est requis, mais interdit par la loi. Par
contre, si une personne a encore toutes ses forces pour appuyer sur une
gâchette, y a pas à demander l'autorisation. Et surtout, qu'on ne pollue
pas l'espace public avec de faux débats.
Bonjour,
je ne comprend absolument rien au débat sur l'euthanasie. Qu'est ce qui
empêcherait une personne de se suicider par elle même ? Pourquoi est ce
que la personne qui a un cancer au visage demande à ce qu'elle soit
euthanasiée ?
Elle peut très bien rassembler ses proches autour d'elle et avaler une
boite de somnifères. Non ? Cela ne coûterait rien à la sécu...
Légalement, les personnes seraient étaient à côté du suicidé ne peuvent
pas être poursuivies, puisqu'il s'agit d'un suicide. A moins qu'il
existe un loi qui punit les personnes qui ne tentent pas de sauver un
suicidé (non assistance à personne en danger par ex), je ne vois pas où
est le soucis du point de vue légal.
Je comprend bien que certains malades à un stade terminal, ou à un âge
très avancé, ne peuvent même pas bouger le doigt pour se suicider. Dans
ces cas, un suicide "assisté" est requis, mais interdit par la loi. Par
contre, si une personne a encore toutes ses forces pour appuyer sur une
gâchette, y a pas à demander l'autorisation. Et surtout, qu'on ne pollue
pas l'espace public avec de faux débats.