Le problème du développement 120 en minilab est surtout dû au fait
qu'ils en développent peu. Sur une développeuse C41, c'est en grande
partie le passage des films qui maintient la propreté des rouleaux
d'entraînement. Comme c'est principalement du 135 qui passe, les
rouleaux sont propres sur cette largeur, lorsqu'on lance un 120, il
ressort propre au centre et crade sur les bords...
Pas spécialement, les minilabs utilisent généralement des
conditionnements pour fabriquer 10 litres.
J'ai pratiqué et un ami pratique toujours, mais autant c'est stable sur
une machine pro de labo, autant ça a un côté aléatoire avec les machines
Jobo, c'est pas que cela ne fonctionne pas, mais on a régulièrement des
surprises.
Si c'est du négatif couleur, no problemo, l'ICE règle parfaitement le
problème des poussières et même celui des griffes.
Le problème du développement 120 en minilab est surtout dû au fait
qu'ils en développent peu. Sur une développeuse C41, c'est en grande
partie le passage des films qui maintient la propreté des rouleaux
d'entraînement. Comme c'est principalement du 135 qui passe, les
rouleaux sont propres sur cette largeur, lorsqu'on lance un 120, il
ressort propre au centre et crade sur les bords...
Pas spécialement, les minilabs utilisent généralement des
conditionnements pour fabriquer 10 litres.
J'ai pratiqué et un ami pratique toujours, mais autant c'est stable sur
une machine pro de labo, autant ça a un côté aléatoire avec les machines
Jobo, c'est pas que cela ne fonctionne pas, mais on a régulièrement des
surprises.
Si c'est du négatif couleur, no problemo, l'ICE règle parfaitement le
problème des poussières et même celui des griffes.
Le problème du développement 120 en minilab est surtout dû au fait
qu'ils en développent peu. Sur une développeuse C41, c'est en grande
partie le passage des films qui maintient la propreté des rouleaux
d'entraînement. Comme c'est principalement du 135 qui passe, les
rouleaux sont propres sur cette largeur, lorsqu'on lance un 120, il
ressort propre au centre et crade sur les bords...
Pas spécialement, les minilabs utilisent généralement des
conditionnements pour fabriquer 10 litres.
J'ai pratiqué et un ami pratique toujours, mais autant c'est stable sur
une machine pro de labo, autant ça a un côté aléatoire avec les machines
Jobo, c'est pas que cela ne fonctionne pas, mais on a régulièrement des
surprises.
Si c'est du négatif couleur, no problemo, l'ICE règle parfaitement le
problème des poussières et même celui des griffes.
Moi je veux bien, mais le côté je nettoie les rouleaux avec le film du
précédent... ça sous-entend beaucoup de choses.
De plus, ce que j'ai constaté c'est le dépôt massif de poussière après
le séchage (probablement dû à l'électricité statique)
Ben 10l de produit ça représente quand même un beau débit... Par
rapport à trois 120 par mois (en moyenne) :)
Sans doute... Là dessus, aucune expérience directe, mais en connais-tu
les raisons ?
Et autant qu'il me souvienne tu devais me dire combien tu en voulais
pour l'expédition plus un certains nombre de bières non ? :)
Mébon, après tout le N&B en 120 sur un Rollei ça pète bien et j'ai
encore ce qu'il faut pour développer en monochrome (y compris
l'armoire séchante étanche à la poussière qui va bien)... Alors :)...
Vivement le D700 quand même :)
Moi je veux bien, mais le côté je nettoie les rouleaux avec le film du
précédent... ça sous-entend beaucoup de choses.
De plus, ce que j'ai constaté c'est le dépôt massif de poussière après
le séchage (probablement dû à l'électricité statique)
Ben 10l de produit ça représente quand même un beau débit... Par
rapport à trois 120 par mois (en moyenne) :)
Sans doute... Là dessus, aucune expérience directe, mais en connais-tu
les raisons ?
Et autant qu'il me souvienne tu devais me dire combien tu en voulais
pour l'expédition plus un certains nombre de bières non ? :)
Mébon, après tout le N&B en 120 sur un Rollei ça pète bien et j'ai
encore ce qu'il faut pour développer en monochrome (y compris
l'armoire séchante étanche à la poussière qui va bien)... Alors :)...
Vivement le D700 quand même :)
Moi je veux bien, mais le côté je nettoie les rouleaux avec le film du
précédent... ça sous-entend beaucoup de choses.
De plus, ce que j'ai constaté c'est le dépôt massif de poussière après
le séchage (probablement dû à l'électricité statique)
Ben 10l de produit ça représente quand même un beau débit... Par
rapport à trois 120 par mois (en moyenne) :)
Sans doute... Là dessus, aucune expérience directe, mais en connais-tu
les raisons ?
Et autant qu'il me souvienne tu devais me dire combien tu en voulais
pour l'expédition plus un certains nombre de bières non ? :)
Mébon, après tout le N&B en 120 sur un Rollei ça pète bien et j'ai
encore ce qu'il faut pour développer en monochrome (y compris
l'armoire séchante étanche à la poussière qui va bien)... Alors :)...
Vivement le D700 quand même :)
delestaque a écrit :j'ai trouvé ton message assez peu agréable, je me demande pourquoi,
bon, tu n'es pas censé savoir que j'ai été dans le métier toute ma
vie, mais bon
Là tu m'en bouches un coin ! ... Jamais voulu être agressif vis à vis
de toi... Et je sais que ça a été ton métier, c'est aussi pour ça que
ton étonnement m'étonnais :).bon, admettons que tu t'excuses....
Dans mon petit bled, le Minilab du photographe local est régulièrement
pourvu en "régénérants" (j'admets que c'est loin d'être le cas
partout)...
de protection en 120)...
une vraie plaie quand on scanne, bien plus que sous un agrandisseur
en fait.
Quant à développer soit même en C 41, je te faisais simplement
remarqué qu'entre une développeuse pro à grande capacité, utilisant
des chimies à régénérateur (vendue en général en doses importantes)
et le développement en cuves classiques (avec bain-marie au pif)
avait la solution Jobo :(thermostatée, bains perdus, vendus doses
raisonnables (donc pas le temps de se périmer en attente d'une
production massive qui en viendra jamais) et semi-automatique...
Solution que j'ai été à deux doigts d'adopter... Mais à laquelle j'ai
renoncé compte-tenu de l'inexistence d'une solution efficace et rapide
de dépoussiérage avant le scan (aux dernières nouvelles ça existe - ou
existait - mais à un tarif prohibitif).
Quant au rendu du néga lui-même, je t'avoue m'en préoccuper bien moins
qu'auparavant puisque tu peux une fois l'image numérisée la
"bricoler" à loisir sous 'Toshop ou "The Gimp" pour avoir le résultat
souhaité.
Le fond du problème c'est que nous atteignons maintenant un tel niveau
de qualité en numérique que préfèrerais ne plus voir sortir de
nouveauté film (mais que le films reste dispo pour ceux qui en ont
besoin) et voir les prix des dos moyen-format numérique se casser la
gueule... Parce que, qu'on le veuille ou non, il me semble que
techniquement parlant le film tel que toi et moi l'avons connu c'est
un peu comme le collodion humide face aux plaques sèches ou que les
plaques sèches face au film en rouleau...
delestaque a écrit :
j'ai trouvé ton message assez peu agréable, je me demande pourquoi,
bon, tu n'es pas censé savoir que j'ai été dans le métier toute ma
vie, mais bon
Là tu m'en bouches un coin ! ... Jamais voulu être agressif vis à vis
de toi... Et je sais que ça a été ton métier, c'est aussi pour ça que
ton étonnement m'étonnais :).
bon, admettons que tu t'excuses....
Dans mon petit bled, le Minilab du photographe local est régulièrement
pourvu en "régénérants" (j'admets que c'est loin d'être le cas
partout)...
de protection en 120)...
une vraie plaie quand on scanne, bien plus que sous un agrandisseur
en fait.
Quant à développer soit même en C 41, je te faisais simplement
remarqué qu'entre une développeuse pro à grande capacité, utilisant
des chimies à régénérateur (vendue en général en doses importantes)
et le développement en cuves classiques (avec bain-marie au pif)
avait la solution Jobo :(thermostatée, bains perdus, vendus doses
raisonnables (donc pas le temps de se périmer en attente d'une
production massive qui en viendra jamais) et semi-automatique...
Solution que j'ai été à deux doigts d'adopter... Mais à laquelle j'ai
renoncé compte-tenu de l'inexistence d'une solution efficace et rapide
de dépoussiérage avant le scan (aux dernières nouvelles ça existe - ou
existait - mais à un tarif prohibitif).
Quant au rendu du néga lui-même, je t'avoue m'en préoccuper bien moins
qu'auparavant puisque tu peux une fois l'image numérisée la
"bricoler" à loisir sous 'Toshop ou "The Gimp" pour avoir le résultat
souhaité.
Le fond du problème c'est que nous atteignons maintenant un tel niveau
de qualité en numérique que préfèrerais ne plus voir sortir de
nouveauté film (mais que le films reste dispo pour ceux qui en ont
besoin) et voir les prix des dos moyen-format numérique se casser la
gueule... Parce que, qu'on le veuille ou non, il me semble que
techniquement parlant le film tel que toi et moi l'avons connu c'est
un peu comme le collodion humide face aux plaques sèches ou que les
plaques sèches face au film en rouleau...
delestaque a écrit :j'ai trouvé ton message assez peu agréable, je me demande pourquoi,
bon, tu n'es pas censé savoir que j'ai été dans le métier toute ma
vie, mais bon
Là tu m'en bouches un coin ! ... Jamais voulu être agressif vis à vis
de toi... Et je sais que ça a été ton métier, c'est aussi pour ça que
ton étonnement m'étonnais :).bon, admettons que tu t'excuses....
Dans mon petit bled, le Minilab du photographe local est régulièrement
pourvu en "régénérants" (j'admets que c'est loin d'être le cas
partout)...
de protection en 120)...
une vraie plaie quand on scanne, bien plus que sous un agrandisseur
en fait.
Quant à développer soit même en C 41, je te faisais simplement
remarqué qu'entre une développeuse pro à grande capacité, utilisant
des chimies à régénérateur (vendue en général en doses importantes)
et le développement en cuves classiques (avec bain-marie au pif)
avait la solution Jobo :(thermostatée, bains perdus, vendus doses
raisonnables (donc pas le temps de se périmer en attente d'une
production massive qui en viendra jamais) et semi-automatique...
Solution que j'ai été à deux doigts d'adopter... Mais à laquelle j'ai
renoncé compte-tenu de l'inexistence d'une solution efficace et rapide
de dépoussiérage avant le scan (aux dernières nouvelles ça existe - ou
existait - mais à un tarif prohibitif).
Quant au rendu du néga lui-même, je t'avoue m'en préoccuper bien moins
qu'auparavant puisque tu peux une fois l'image numérisée la
"bricoler" à loisir sous 'Toshop ou "The Gimp" pour avoir le résultat
souhaité.
Le fond du problème c'est que nous atteignons maintenant un tel niveau
de qualité en numérique que préfèrerais ne plus voir sortir de
nouveauté film (mais que le films reste dispo pour ceux qui en ont
besoin) et voir les prix des dos moyen-format numérique se casser la
gueule... Parce que, qu'on le veuille ou non, il me semble que
techniquement parlant le film tel que toi et moi l'avons connu c'est
un peu comme le collodion humide face aux plaques sèches ou que les
plaques sèches face au film en rouleau...
c'est comme un
pur-sang, performant et fragile à la fois,
c'est comme un
pur-sang, performant et fragile à la fois,
c'est comme un
pur-sang, performant et fragile à la fois,