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Ektar 100 en format 120

24 réponses
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Claudio Bonavolta
http://www.kodak.com/global/en/professional/products/films/ektar/ektarIndex.jhtml?pq-path=13328

ou en minilien:
http://minilien.com/?goHtNxG1rl

Claudio Bonavolta
http://www.bonavolta.ch

4 réponses

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WEILL
JCG a écrit :

Le problème du développement 120 en minilab est surtout dû au fait
qu'ils en développent peu. Sur une développeuse C41, c'est en grande
partie le passage des films qui maintient la propreté des rouleaux
d'entraînement. Comme c'est principalement du 135 qui passe, les
rouleaux sont propres sur cette largeur, lorsqu'on lance un 120, il
ressort propre au centre et crade sur les bords...



Moi je veux bien, mais le côté je nettoie les rouleaux avec le film du
précédent... ça sous-entend beaucoup de choses. De plus, ce que j'ai
constaté c'est le dépôt massif de poussière après le séchage
(probablement dû à l'électricité statique), pour le reste pas de marque
sur les bords chez mon petit photographe de quartier.

Pas spécialement, les minilabs utilisent généralement des
conditionnements pour fabriquer 10 litres.



Ben 10l de produit ça représente quand même un beau débit... Par rapport
à trois 120 par mois (en moyenne) :)

J'ai pratiqué et un ami pratique toujours, mais autant c'est stable sur
une machine pro de labo, autant ça a un côté aléatoire avec les machines
Jobo, c'est pas que cela ne fonctionne pas, mais on a régulièrement des
surprises.



Sans doute... Là dessus, aucune expérience directe, mais en connais-tu
les raisons ?

> Ma machine Jobo est toujours dans le grenier ;-))

Et autant qu'il me souvienne tu devais me dire combien tu en voulais
pour l'expédition plus un certains nombre de bières non ? :)

Si c'est du négatif couleur, no problemo, l'ICE règle parfaitement le
problème des poussières et même celui des griffes.



Sans doute sur un scan dédié film comme le gros Nikon, mais pas sur les
scan à plat comme mon Epson 4870 (c'est vrai qu'il commence à dater, le
bougre) pourtant pourvu du dit système dûment copyrighté et
"registeredtradmarqué".

Mébon, après tout le N&B en 120 sur un Rollei ça pète bien et j'ai
encore ce qu'il faut pour développer en monochrome (y compris l'armoire
séchante étanche à la poussière qui va bien)... Alors :)...

Vivement le D700 quand même :)

FPW
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JCG
"WEILL" a écrit :

Moi je veux bien, mais le côté je nettoie les rouleaux avec le film du
précédent... ça sous-entend beaucoup de choses.



Pas spécialement. On passe des "Cleaner" bande absorbante de nettoyage,
mais une machine n'est jamais aussi propre que quand elle travaille
beaucoup, plus il y a de films qui passent, plus elle est propre.

De plus, ce que j'ai constaté c'est le dépôt massif de poussière après
le séchage (probablement dû à l'électricité statique)



Pas plus en 120 qu'en 135 ou qu'en...

Ben 10l de produit ça représente quand même un beau débit... Par
rapport à trois 120 par mois (en moyenne) :)



Effectivement.

Sans doute... Là dessus, aucune expérience directe, mais en connais-tu
les raisons ?



Oui et non. Sur une machine de labo il y a beaucoup de chimie, c'est une
sorte de mammouth, c'est lourd avec beaucoup d'inertie, ça bouge, mais
lentement. Sur une machine Jobo, il y très peu de chimie, c'est comme un
pur-sang, performant et fragile à la fois, la moindre minuscule dérive
dans la préparation ou la manipulation et le développement est
différent.

Et autant qu'il me souvienne tu devais me dire combien tu en voulais
pour l'expédition plus un certains nombre de bières non ? :)



Je la donnerais volontiers, mais c'est grand et lourd.

Mébon, après tout le N&B en 120 sur un Rollei ça pète bien et j'ai
encore ce qu'il faut pour développer en monochrome (y compris
l'armoire séchante étanche à la poussière qui va bien)... Alors :)...



C'est sûr que ça fonctionne toujours parfaitement bien.

Vivement le D700 quand même :)



Ca aussi ça fonctionne bien...

--
JCG
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delestaque
WEILL wrote:
delestaque a écrit :

j'ai trouvé ton message assez peu agréable, je me demande pourquoi,
bon, tu n'es pas censé savoir que j'ai été dans le métier toute ma
vie, mais bon



Là tu m'en bouches un coin ! ... Jamais voulu être agressif vis à vis
de toi... Et je sais que ça a été ton métier, c'est aussi pour ça que
ton étonnement m'étonnais :).

bon, admettons que tu t'excuses....





je reste la dessus, la forme ecrite n'est pas toujours idéale, je le sais,
j'ai souvent été mal perçu


Dans mon petit bled, le Minilab du photographe local est régulièrement
pourvu en "régénérants" (j'admets que c'est loin d'être le cas
partout)...




Entendons nous sur " régénérant " en fait c'est ce qu'on appele un système
entretenu, il n'a pas de " régénerant " mais de l'entretien, c'est
automatique sur les machines, sauf les vieilles Kiss qui travaillaient
jusqu' a épuisement chimique.
L'entretien est là pour maintenir les solutions chimiques a niveau
d'activité stable, le régénérant après desargentation des solutions de
fixage ou blanchiment fixage ramène la chimie a niveau " neuf " si on
veut.Ce n'est pas du tout le même cas de figure.
Les mini labs sont équipés de sysrtème d'entretien automatique, les
suolutions d'entretien sont pompées réf gulièrement pour compenser les
pertes d'activité des solutions, retablissant un potentiel d'activité
constant ( sous reserve de contrôles sensitométriques ) chauque film sera
donc traité dans les mêmes conditions, dès qu'il n'y a plus d'entreteien
dans les cuves de reserve, la machine le signale, si on n'intervient pas,
les niveaux de chimie baissent et l'activité décroit au détriment des films.


Le problème c'est la poussière (et l'absence de manchons
de protection en 120)...



quels manchons ?

Et comme je te le disais, la poussière est
une vraie plaie quand on scanne, bien plus que sous un agrandisseur
en fait.



la poussière n'est pas du au developpement, s'il y a de la poussière dans
les chimies qui sont chauffées et recyclées , filtrées en permanence, ca ne
s'est jamais collé sur les films, c'est au séchage que ça peut se produire,
le film tèrs chaud etant tres statique, il peut y avoir des poussières, mais
normalement, elles ne sont pas collées.

Quant à développer soit même en C 41, je te faisais simplement
remarqué qu'entre une développeuse pro à grande capacité, utilisant
des chimies à régénérateur (vendue en général en doses importantes)



pas forcément il ya des developpeuse filsm qui traitent deux films par
tringle et ne contiennet pas plus que trente litres de révélateur, c'est
peu.
je rectifie, des chimies entretenues, on dit aussi " saisonnées "

et le développement en cuves classiques (avec bain-marie au pif)



S'il y a un bain marie et que c'est au pif autant s'en passer ?
j'ai longtemps traité en cuves basses, type 12 L Kodak amaintenaues a
température pas un bain marie thermostaté avec précision, comme des milliers
de caines de traitement dans le monde, dans tous les procédés.

il y
avait la solution Jobo :(thermostatée, bains perdus, vendus doses
raisonnables (donc pas le temps de se périmer en attente d'une
production massive qui en viendra jamais) et semi-automatique...



J'ai eu un ATL 3 , excellente machine, avec quelques astuces on arrivait a
obtenir un taitement absolument rigoureux, mais j'ai dû mettre ça au point
au fur et a mesure, je faisais de l'E 6 avec et parfois je patais avec une
quinzaine de films, cuves rallonges etx, on évite de se rater
J'ai aussi fait avec un n&b s extraordianaire, mais ça , ça n'a rien à voir
avec les cuves , les machines etc, j'ai developpé de l'Ekta en a frique
dans des conditions folklo strictement dans les normes sensito.
je developpe de l'ekata dans un seau dans les normes et à la perfection.


Solution que j'ai été à deux doigts d'adopter... Mais à laquelle j'ai
renoncé compte-tenu de l'inexistence d'une solution efficace et rapide
de dépoussiérage avant le scan (aux dernières nouvelles ça existe - ou
existait - mais à un tarif prohibitif).



rien a voir avec le traitement, rien du tout.

Quant au rendu du néga lui-même, je t'avoue m'en préoccuper bien moins
qu'auparavant puisque tu peux une fois l'image numérisée la
"bricoler" à loisir sous 'Toshop ou "The Gimp" pour avoir le résultat
souhaité.
Le fond du problème c'est que nous atteignons maintenant un tel niveau
de qualité en numérique que préfèrerais ne plus voir sortir de
nouveauté film (mais que le films reste dispo pour ceux qui en ont
besoin) et voir les prix des dos moyen-format numérique se casser la
gueule... Parce que, qu'on le veuille ou non, il me semble que
techniquement parlant le film tel que toi et moi l'avons connu c'est
un peu comme le collodion humide face aux plaques sèches ou que les
plaques sèches face au film en rouleau...



je n'irais pas jusqu'à dire ça, je n'ai pas été un pionner de la photo, ceci
dit, j'ai beaucoup de sympathie pour eux, c'était difficile ,délicat, on ne
savait pas grand chose des règles physiqco chimique, on tatonnait, on
essayait, au début on ne savait pas fixer les filsm, mais c'ets dans tous
les domaines pareils, regardes l'aviation, parfois ca volait des fois non,
on n'avait pas mis en évidence le profil fondamental de l'aile.
on atteint effectivement un niveau interessant et des méthodes de tirage
excellentes, je ne sais vraiment pas si le moyen format numérique est si
necessaire en fait ?
Désolé d'avoir été un peu docte, mais bon, ça n'interessera que deux ou
trois parmi nous :=)

ricco
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Ghost-Rider
JCG a écrit :

c'est comme un
pur-sang, performant et fragile à la fois,



Quelle métaphore puissante, et au combien justifiée !

--
Ghost Rider

"Aimez-vous les uns les autres".
Jésus-Christ
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