Mais je suis peut-être un peu paranoïaque
Nous sommes arrivés à l'orée du temps du tout-sécuritaire et c'est
beaucoup plus grave.
Mais je suis peut-être un peu paranoïaque
Nous sommes arrivés à l'orée du temps du tout-sécuritaire et c'est
beaucoup plus grave.
Mais je suis peut-être un peu paranoïaque
Nous sommes arrivés à l'orée du temps du tout-sécuritaire et c'est
beaucoup plus grave.
Le 20/03/2015 23:15, michel legeria a écrit :
> Oui. Merci. Où sommes-nous arrivés ? Dans quelle société vivons -nous
> maintenant ? Ce procureur à tous les droits. Classer une affaire sans suite.
> Et puis, sans aucun nouvel élément la concernant, revenir sur sa d écision
> pour faire pression.
>
> Sommes-nous revenus au temps des seigneurs ?
Mais si , il y a un nouvel élément dans votre dossier de mis en cause :
vous seul (à cet instant) ne souhaitez pas qu'il persiste en un simple
RAL refermé.
Il ne s'agit pas de revenir sur une décision, un CSS est justement une
non décision !
Là il s'agit simplement de s'assurer que tous les éléments concour ants
à cette "non décision" soient bien réunis pour laisser mourir votre cas
par l'effet de la prescription.
manifestement , vous semblez vouloir en découdre sur de l'inopérant,
c'est votre choix , mais après c'est vous qui vous voyez !
Il ne faut pas venir vous plaindre ensuite d'être tombé de Charybde e n
Scylla
Le 20/03/2015 23:15, michel legeria a écrit :
> Oui. Merci. Où sommes-nous arrivés ? Dans quelle société vivons -nous
> maintenant ? Ce procureur à tous les droits. Classer une affaire sans suite.
> Et puis, sans aucun nouvel élément la concernant, revenir sur sa d écision
> pour faire pression.
>
> Sommes-nous revenus au temps des seigneurs ?
Mais si , il y a un nouvel élément dans votre dossier de mis en cause :
vous seul (à cet instant) ne souhaitez pas qu'il persiste en un simple
RAL refermé.
Il ne s'agit pas de revenir sur une décision, un CSS est justement une
non décision !
Là il s'agit simplement de s'assurer que tous les éléments concour ants
à cette "non décision" soient bien réunis pour laisser mourir votre cas
par l'effet de la prescription.
manifestement , vous semblez vouloir en découdre sur de l'inopérant,
c'est votre choix , mais après c'est vous qui vous voyez !
Il ne faut pas venir vous plaindre ensuite d'être tombé de Charybde e n
Scylla
Le 20/03/2015 23:15, michel legeria a écrit :
> Oui. Merci. Où sommes-nous arrivés ? Dans quelle société vivons -nous
> maintenant ? Ce procureur à tous les droits. Classer une affaire sans suite.
> Et puis, sans aucun nouvel élément la concernant, revenir sur sa d écision
> pour faire pression.
>
> Sommes-nous revenus au temps des seigneurs ?
Mais si , il y a un nouvel élément dans votre dossier de mis en cause :
vous seul (à cet instant) ne souhaitez pas qu'il persiste en un simple
RAL refermé.
Il ne s'agit pas de revenir sur une décision, un CSS est justement une
non décision !
Là il s'agit simplement de s'assurer que tous les éléments concour ants
à cette "non décision" soient bien réunis pour laisser mourir votre cas
par l'effet de la prescription.
manifestement , vous semblez vouloir en découdre sur de l'inopérant,
c'est votre choix , mais après c'est vous qui vous voyez !
Il ne faut pas venir vous plaindre ensuite d'être tombé de Charybde e n
Scylla
le RAL est une décision de procédure d'alternative aux poursuites.
Comment expliquer que l'on peut ressentir
comme une injustice profonde et très perturbante le fait
d'être traité comme un criminel ?
J'ai très explicitement signalé le fait que je
ne m'opposait à ce relevé. On ne m'a jamais,
d'ailleurs, demandé de m'y livrer mais de prendre
contact pour convenir d'un rendez-vous pour le faire.
Je n'ai donc jamais répondu "non" à une demande
directe, j'ai seulement indiqué que je réclamais,
pour cela (pour convenir d'un rdv à cette fin),
une convocation en bonne et due forme.
le RAL est une décision de procédure d'alternative aux poursuites.
Comment expliquer que l'on peut ressentir
comme une injustice profonde et très perturbante le fait
d'être traité comme un criminel ?
J'ai très explicitement signalé le fait que je
ne m'opposait à ce relevé. On ne m'a jamais,
d'ailleurs, demandé de m'y livrer mais de prendre
contact pour convenir d'un rendez-vous pour le faire.
Je n'ai donc jamais répondu "non" à une demande
directe, j'ai seulement indiqué que je réclamais,
pour cela (pour convenir d'un rdv à cette fin),
une convocation en bonne et due forme.
le RAL est une décision de procédure d'alternative aux poursuites.
Comment expliquer que l'on peut ressentir
comme une injustice profonde et très perturbante le fait
d'être traité comme un criminel ?
J'ai très explicitement signalé le fait que je
ne m'opposait à ce relevé. On ne m'a jamais,
d'ailleurs, demandé de m'y livrer mais de prendre
contact pour convenir d'un rendez-vous pour le faire.
Je n'ai donc jamais répondu "non" à une demande
directe, j'ai seulement indiqué que je réclamais,
pour cela (pour convenir d'un rdv à cette fin),
une convocation en bonne et due forme.
Que cherchiez vous ici comme réponse ?
une confortable pour vous, simplement pour vous rassurer ?
Que cherchiez vous ici comme réponse ?
une confortable pour vous, simplement pour vous rassurer ?
Que cherchiez vous ici comme réponse ?
une confortable pour vous, simplement pour vous rassurer ?
Le 21/03/2015 20:19, michel legeria a écrit :
> le RAL est une décision de procédure d'alternative aux poursuites.
une simple option n'emportant pas prescription
> Comment expliquer que l'on peut ressentir
> comme une injustice profonde et très perturbante le fait
> d'être traité comme un criminel ?
entre criminel et délinquant la loi différencie heureusement !
> J'ai très explicitement signalé le fait que je
> ne m'opposait à ce relevé. On ne m'a jamais,
> d'ailleurs, demandé de m'y livrer mais de prendre
> contact pour convenir d'un rendez-vous pour le faire.
> Je n'ai donc jamais répondu "non" à une demande
> directe, j'ai seulement indiqué que je réclamais,
> pour cela (pour convenir d'un rdv à cette fin),
> une convocation en bonne et due forme.
Bon, alors donc tout va bien :D , et puisque vous êtes persuadé(e) :D
de bien connaitre la procpen, que cherchiez vous ici comme réponse ?
une confortable pour vous, simplement pour vous rassurer ?
Le 21/03/2015 20:19, michel legeria a écrit :
> le RAL est une décision de procédure d'alternative aux poursuites.
une simple option n'emportant pas prescription
> Comment expliquer que l'on peut ressentir
> comme une injustice profonde et très perturbante le fait
> d'être traité comme un criminel ?
entre criminel et délinquant la loi différencie heureusement !
> J'ai très explicitement signalé le fait que je
> ne m'opposait à ce relevé. On ne m'a jamais,
> d'ailleurs, demandé de m'y livrer mais de prendre
> contact pour convenir d'un rendez-vous pour le faire.
> Je n'ai donc jamais répondu "non" à une demande
> directe, j'ai seulement indiqué que je réclamais,
> pour cela (pour convenir d'un rdv à cette fin),
> une convocation en bonne et due forme.
Bon, alors donc tout va bien :D , et puisque vous êtes persuadé(e) :D
de bien connaitre la procpen, que cherchiez vous ici comme réponse ?
une confortable pour vous, simplement pour vous rassurer ?
Le 21/03/2015 20:19, michel legeria a écrit :
> le RAL est une décision de procédure d'alternative aux poursuites.
une simple option n'emportant pas prescription
> Comment expliquer que l'on peut ressentir
> comme une injustice profonde et très perturbante le fait
> d'être traité comme un criminel ?
entre criminel et délinquant la loi différencie heureusement !
> J'ai très explicitement signalé le fait que je
> ne m'opposait à ce relevé. On ne m'a jamais,
> d'ailleurs, demandé de m'y livrer mais de prendre
> contact pour convenir d'un rendez-vous pour le faire.
> Je n'ai donc jamais répondu "non" à une demande
> directe, j'ai seulement indiqué que je réclamais,
> pour cela (pour convenir d'un rdv à cette fin),
> une convocation en bonne et due forme.
Bon, alors donc tout va bien :D , et puisque vous êtes persuadé(e) :D
de bien connaitre la procpen, que cherchiez vous ici comme réponse ?
une confortable pour vous, simplement pour vous rassurer ?
michel legeria wrote:
> Le vendredi 20 mars 2015 20:11:13 UTC+1, Dominique G. a écrit :
> > michel legeria wrote:
(coupe claire pour alléger la lecture)
> > Vous ne pouvez nier avoir été mis en cause dans une procédure p énale et
> > on a besoin d'une identification certaine.
>
>
> Oui. Cependant l'identification certaine à été conduite lors
> de ma déposition. Mon identité a été vérifiée, j'ai reconnu
> avoir été l'auteur des messages et cela a été consigné dans
> ma déposition. J'avais même, et spontanément, amené une
> copie de ces SMS, cette copie a été consignée dans ma dépositio n
> et puisque ces SMS avaient aussi été consignés par la partie
> plaignante il est possible de vérifier l'identité des deux
> listes. Chose qui a été faite par l'OPJ.
>
> L'identification des personnes impliquées, moi en l'occurence
> est donc certaine.
> > > Le procureur a requis un rappel à la loi et je l'ai signé. L'af faire n'en
> > > est donc plus à la phase d'enquête préliminaire, les informat ions fournies
> > > au procureur lui on suffit à prendre sa décision (1).
> >
> > Certes, mais la décision qui en découle n'est qu'un classement sa ns
> > suite et suspend seulement l'action publique à la condition que vou s ne
> > récidiviez pas.
>
> Tout à fait. Mais je n'ai pas récidivé depuis avoir signé
> ce rappel à la loi et aucune nouvelle enquête concernant
> cette affaire ne vient justifier le prélèvement demandé.
Donc c'est pour compléter une base de données.
Vous l'avez compris, j'espère?
> > Or, pour être sûr de vous identifier au cas où vous récidiver iez, il
> > faut vos empreintes, et l'OPJ - qui aurait dû y procéder dès vo tre
> > audition - doit donc les obtenir.
>
> L'affaire en question n'impliquait à aucun niveau des contacts
> physiques ou des rencontres. Seuls des SMS et des messages
> déposés sur le répondeur étaient en question. Aucune
> forme de mencace ou de violence dans leur contenu. Il n'y a donc
> à aucun niveau le besoin de requérir des empreintes. Sauf
> à suspecter des violences à venir par pures et non démontrables
> suspicions complètement disproportionnées avec l'affaire.
> > Il est fort possible, même, que ce soit le Procureur qui, voyant le PV
> > incomplet de l'OPJ, lui ait ordonné de procéder ainsi.
> > Vous opposer à cette prise d'empreintes risque de pousser le Procur eur a
> > revenir sur sa propre décision et à décider de ne pas classer l 'affaire.
>
> >
> > > Je compte donc rappeler l'OPJ et lui dire ceci :
> > >
> > > Lui indiquer le point (1), lui dire que je ne m'oppose pas à ce r elevé
> > > d'empreintes mais que je voudrais que sa demande m'en soit notifi ée par
> > > écrit et que je me réserve le droit de procéder à un signal ement à l'IGGN
> > > pour (1) et aussi le fait que ce relevé aurait du être fait le jour de ma
> > > déposition.
> > >
> > > Qu'en pensez-vous ?
> >
> > Je pense que c'est une mauvaise idée :-)
> >
> > Mais vous êtes adulte et je ne suis pas avocate ...
> >
>
> Oui. Merci. Où sommes-nous arrivés ? Dans quelle société vivons -nous
> maintenant ? Ce procureur à tous les droits. Classer une affaire sans suite.
> Et puis, sans aucun nouvel élément la concernant, revenir sur sa d écision
> pour faire pression.
Ce n'est pas le Procureur qu'il faut accuser mais les parlementaires qui
ont voté la loi et le gouvernement qui les a fait voter dans un sens
sécuritaire.
Estimez vous heureux qu'on ne vous prenne pas (pas encore) votre ADN,
parce que ce qui concernait au début les auteurs de crimes les plus
graves est passé aux délits et bientôt, je pense, aux simples
contraventions et aux infractions "immatérielles" comme la vôtre, san s
contact physique.
Le but est d'avoir une base de données fichant l'ensemble de la
population, à mon avis.
Mais je suis peut-être un peu paranoïaque :-)
> Sommes-nous revenus au temps des seigneurs ?
Nous sommes arrivés à l'orée du temps du tout-sécuritaire et c'es t
beaucoup plus grave.
--
Blanc-seing
michel legeria <michel.legeria@gmail.com> wrote:
> Le vendredi 20 mars 2015 20:11:13 UTC+1, Dominique G. a écrit :
> > michel legeria <michel.legeria@gmail.com> wrote:
(coupe claire pour alléger la lecture)
> > Vous ne pouvez nier avoir été mis en cause dans une procédure p énale et
> > on a besoin d'une identification certaine.
>
>
> Oui. Cependant l'identification certaine à été conduite lors
> de ma déposition. Mon identité a été vérifiée, j'ai reconnu
> avoir été l'auteur des messages et cela a été consigné dans
> ma déposition. J'avais même, et spontanément, amené une
> copie de ces SMS, cette copie a été consignée dans ma dépositio n
> et puisque ces SMS avaient aussi été consignés par la partie
> plaignante il est possible de vérifier l'identité des deux
> listes. Chose qui a été faite par l'OPJ.
>
> L'identification des personnes impliquées, moi en l'occurence
> est donc certaine.
> > > Le procureur a requis un rappel à la loi et je l'ai signé. L'af faire n'en
> > > est donc plus à la phase d'enquête préliminaire, les informat ions fournies
> > > au procureur lui on suffit à prendre sa décision (1).
> >
> > Certes, mais la décision qui en découle n'est qu'un classement sa ns
> > suite et suspend seulement l'action publique à la condition que vou s ne
> > récidiviez pas.
>
> Tout à fait. Mais je n'ai pas récidivé depuis avoir signé
> ce rappel à la loi et aucune nouvelle enquête concernant
> cette affaire ne vient justifier le prélèvement demandé.
Donc c'est pour compléter une base de données.
Vous l'avez compris, j'espère?
> > Or, pour être sûr de vous identifier au cas où vous récidiver iez, il
> > faut vos empreintes, et l'OPJ - qui aurait dû y procéder dès vo tre
> > audition - doit donc les obtenir.
>
> L'affaire en question n'impliquait à aucun niveau des contacts
> physiques ou des rencontres. Seuls des SMS et des messages
> déposés sur le répondeur étaient en question. Aucune
> forme de mencace ou de violence dans leur contenu. Il n'y a donc
> à aucun niveau le besoin de requérir des empreintes. Sauf
> à suspecter des violences à venir par pures et non démontrables
> suspicions complètement disproportionnées avec l'affaire.
> > Il est fort possible, même, que ce soit le Procureur qui, voyant le PV
> > incomplet de l'OPJ, lui ait ordonné de procéder ainsi.
> > Vous opposer à cette prise d'empreintes risque de pousser le Procur eur a
> > revenir sur sa propre décision et à décider de ne pas classer l 'affaire.
>
> >
> > > Je compte donc rappeler l'OPJ et lui dire ceci :
> > >
> > > Lui indiquer le point (1), lui dire que je ne m'oppose pas à ce r elevé
> > > d'empreintes mais que je voudrais que sa demande m'en soit notifi ée par
> > > écrit et que je me réserve le droit de procéder à un signal ement à l'IGGN
> > > pour (1) et aussi le fait que ce relevé aurait du être fait le jour de ma
> > > déposition.
> > >
> > > Qu'en pensez-vous ?
> >
> > Je pense que c'est une mauvaise idée :-)
> >
> > Mais vous êtes adulte et je ne suis pas avocate ...
> >
>
> Oui. Merci. Où sommes-nous arrivés ? Dans quelle société vivons -nous
> maintenant ? Ce procureur à tous les droits. Classer une affaire sans suite.
> Et puis, sans aucun nouvel élément la concernant, revenir sur sa d écision
> pour faire pression.
Ce n'est pas le Procureur qu'il faut accuser mais les parlementaires qui
ont voté la loi et le gouvernement qui les a fait voter dans un sens
sécuritaire.
Estimez vous heureux qu'on ne vous prenne pas (pas encore) votre ADN,
parce que ce qui concernait au début les auteurs de crimes les plus
graves est passé aux délits et bientôt, je pense, aux simples
contraventions et aux infractions "immatérielles" comme la vôtre, san s
contact physique.
Le but est d'avoir une base de données fichant l'ensemble de la
population, à mon avis.
Mais je suis peut-être un peu paranoïaque :-)
> Sommes-nous revenus au temps des seigneurs ?
Nous sommes arrivés à l'orée du temps du tout-sécuritaire et c'es t
beaucoup plus grave.
--
Blanc-seing
michel legeria wrote:
> Le vendredi 20 mars 2015 20:11:13 UTC+1, Dominique G. a écrit :
> > michel legeria wrote:
(coupe claire pour alléger la lecture)
> > Vous ne pouvez nier avoir été mis en cause dans une procédure p énale et
> > on a besoin d'une identification certaine.
>
>
> Oui. Cependant l'identification certaine à été conduite lors
> de ma déposition. Mon identité a été vérifiée, j'ai reconnu
> avoir été l'auteur des messages et cela a été consigné dans
> ma déposition. J'avais même, et spontanément, amené une
> copie de ces SMS, cette copie a été consignée dans ma dépositio n
> et puisque ces SMS avaient aussi été consignés par la partie
> plaignante il est possible de vérifier l'identité des deux
> listes. Chose qui a été faite par l'OPJ.
>
> L'identification des personnes impliquées, moi en l'occurence
> est donc certaine.
> > > Le procureur a requis un rappel à la loi et je l'ai signé. L'af faire n'en
> > > est donc plus à la phase d'enquête préliminaire, les informat ions fournies
> > > au procureur lui on suffit à prendre sa décision (1).
> >
> > Certes, mais la décision qui en découle n'est qu'un classement sa ns
> > suite et suspend seulement l'action publique à la condition que vou s ne
> > récidiviez pas.
>
> Tout à fait. Mais je n'ai pas récidivé depuis avoir signé
> ce rappel à la loi et aucune nouvelle enquête concernant
> cette affaire ne vient justifier le prélèvement demandé.
Donc c'est pour compléter une base de données.
Vous l'avez compris, j'espère?
> > Or, pour être sûr de vous identifier au cas où vous récidiver iez, il
> > faut vos empreintes, et l'OPJ - qui aurait dû y procéder dès vo tre
> > audition - doit donc les obtenir.
>
> L'affaire en question n'impliquait à aucun niveau des contacts
> physiques ou des rencontres. Seuls des SMS et des messages
> déposés sur le répondeur étaient en question. Aucune
> forme de mencace ou de violence dans leur contenu. Il n'y a donc
> à aucun niveau le besoin de requérir des empreintes. Sauf
> à suspecter des violences à venir par pures et non démontrables
> suspicions complètement disproportionnées avec l'affaire.
> > Il est fort possible, même, que ce soit le Procureur qui, voyant le PV
> > incomplet de l'OPJ, lui ait ordonné de procéder ainsi.
> > Vous opposer à cette prise d'empreintes risque de pousser le Procur eur a
> > revenir sur sa propre décision et à décider de ne pas classer l 'affaire.
>
> >
> > > Je compte donc rappeler l'OPJ et lui dire ceci :
> > >
> > > Lui indiquer le point (1), lui dire que je ne m'oppose pas à ce r elevé
> > > d'empreintes mais que je voudrais que sa demande m'en soit notifi ée par
> > > écrit et que je me réserve le droit de procéder à un signal ement à l'IGGN
> > > pour (1) et aussi le fait que ce relevé aurait du être fait le jour de ma
> > > déposition.
> > >
> > > Qu'en pensez-vous ?
> >
> > Je pense que c'est une mauvaise idée :-)
> >
> > Mais vous êtes adulte et je ne suis pas avocate ...
> >
>
> Oui. Merci. Où sommes-nous arrivés ? Dans quelle société vivons -nous
> maintenant ? Ce procureur à tous les droits. Classer une affaire sans suite.
> Et puis, sans aucun nouvel élément la concernant, revenir sur sa d écision
> pour faire pression.
Ce n'est pas le Procureur qu'il faut accuser mais les parlementaires qui
ont voté la loi et le gouvernement qui les a fait voter dans un sens
sécuritaire.
Estimez vous heureux qu'on ne vous prenne pas (pas encore) votre ADN,
parce que ce qui concernait au début les auteurs de crimes les plus
graves est passé aux délits et bientôt, je pense, aux simples
contraventions et aux infractions "immatérielles" comme la vôtre, san s
contact physique.
Le but est d'avoir une base de données fichant l'ensemble de la
population, à mon avis.
Mais je suis peut-être un peu paranoïaque :-)
> Sommes-nous revenus au temps des seigneurs ?
Nous sommes arrivés à l'orée du temps du tout-sécuritaire et c'es t
beaucoup plus grave.
--
Blanc-seing
Peut-être. Il est cependant irréfragable que pour choisir entre
les différentes options qu'il avait (Composition pénal,
Peut-être. Il est cependant irréfragable que pour choisir entre
les différentes options qu'il avait (Composition pénal,
Peut-être. Il est cependant irréfragable que pour choisir entre
les différentes options qu'il avait (Composition pénal,
Le 21/03/2015 22:43, michel legeria a écrit :
> Peut-être. Il est cependant irréfragable que pour choisir entre
> les différentes options qu'il avait (Composition pénal,
N'employez donc pas des mots qui semblent et de haut bien vous dépasser
en droit :D
-composition pénal(E)
- Vous me faite une démonstration là au pénal , d'un quelconque
caractère irréfragable ? :D
Le 21/03/2015 22:43, michel legeria a écrit :
> Peut-être. Il est cependant irréfragable que pour choisir entre
> les différentes options qu'il avait (Composition pénal,
N'employez donc pas des mots qui semblent et de haut bien vous dépasser
en droit :D
-composition pénal(E)
- Vous me faite une démonstration là au pénal , d'un quelconque
caractère irréfragable ? :D
Le 21/03/2015 22:43, michel legeria a écrit :
> Peut-être. Il est cependant irréfragable que pour choisir entre
> les différentes options qu'il avait (Composition pénal,
N'employez donc pas des mots qui semblent et de haut bien vous dépasser
en droit :D
-composition pénal(E)
- Vous me faite une démonstration là au pénal , d'un quelconque
caractère irréfragable ? :D
J'ai très explicitement signalé le fait que je
ne m'opposait à ce relevé. On ne m'a jamais,
d'ailleurs, demandé de m'y livrer mais de prendre
contact pour convenir d'un rendez-vous pour le faire.
Je n'ai donc jamais répondu "non" à une demande
directe, j'ai seulement indiqué que je réclamais,
pour cela (pour convenir d'un rdv à cette fin),
une convocation en bonne et due forme.
o_/ DEMAINE Benoît-Pierre (aka DoubleHP) http://benoit.demaine.info/
J'ai très explicitement signalé le fait que je
ne m'opposait à ce relevé. On ne m'a jamais,
d'ailleurs, demandé de m'y livrer mais de prendre
contact pour convenir d'un rendez-vous pour le faire.
Je n'ai donc jamais répondu "non" à une demande
directe, j'ai seulement indiqué que je réclamais,
pour cela (pour convenir d'un rdv à cette fin),
une convocation en bonne et due forme.
o_/ DEMAINE Benoît-Pierre (aka DoubleHP) http://benoit.demaine.info/
J'ai très explicitement signalé le fait que je
ne m'opposait à ce relevé. On ne m'a jamais,
d'ailleurs, demandé de m'y livrer mais de prendre
contact pour convenir d'un rendez-vous pour le faire.
Je n'ai donc jamais répondu "non" à une demande
directe, j'ai seulement indiqué que je réclamais,
pour cela (pour convenir d'un rdv à cette fin),
une convocation en bonne et due forme.
o_/ DEMAINE Benoît-Pierre (aka DoubleHP) http://benoit.demaine.info/
On 21/03/15 20:19, michel legeria wrote:J'ai très explicitement signalé le fait que je
ne m'opposait à ce relevé. On ne m'a jamais,
d'ailleurs, demandé de m'y livrer mais de prendre
contact pour convenir d'un rendez-vous pour le faire.
Je n'ai donc jamais répondu "non" à une demande
directe, j'ai seulement indiqué que je réclamais,
pour cela (pour convenir d'un rdv à cette fin),
une convocation en bonne et due forme.
Le simple fait de réclamer quoi que ce soit à la justice, ou à un gendarme
peut être perçu comme un refus d'obtempérer. Quand le gendarme vous a
demandé quelque chose, vous avez répondu, vous avez réclamé, vous n'avez
pas immédiatement acquiescé et ne vous êtes pas immédiatement conformé à
sa demande. Et ça, ils le perçoivent comme un refus d'obtempérer. Et le
refus d'obtempérer peut ensuite justifier tout ce qu'ils veulent.
Le cas extrême connu et célèbre, c'est l'affaire Leonarda. Le bus a été
immobilisé sur appel téléphonique. N'importe qui peut appeler n'importe
quel conducteur de véhicule, et demander l'immobilisation du véhicule ? Le
conducteur n'est pas censé décrocher le téléphone quand il conduit; les
passagers ne sont pas censés lui parler pendant qu'il roule. Et même
imaginons qu'ils le fassent, qu'est-ce qui garanti au conducteur
l'identité de la personne qui lui demande de cesser de rouler ? => de nos
jours, on fait tout et n'importe quoi, en vertu d'on ne sait pas quoi.
Comment un flic peut donner un ordre par téléphone ? Et pourtant, si vous
n'obéissez pas, vous risquez le refus d'obtempérer.
Après, il faut voir comment ils font les relevés ADN. C'est assez comique.
Ils commencent par enfiler des gants médicaux, puis ils manipulent un
stylo bille, et tapent sur le clavier d'un PC ... j'ai hésité entre mourir
de honte pour lui, ou mourir de rire.
On 21/03/15 20:19, michel legeria wrote:
J'ai très explicitement signalé le fait que je
ne m'opposait à ce relevé. On ne m'a jamais,
d'ailleurs, demandé de m'y livrer mais de prendre
contact pour convenir d'un rendez-vous pour le faire.
Je n'ai donc jamais répondu "non" à une demande
directe, j'ai seulement indiqué que je réclamais,
pour cela (pour convenir d'un rdv à cette fin),
une convocation en bonne et due forme.
Le simple fait de réclamer quoi que ce soit à la justice, ou à un gendarme
peut être perçu comme un refus d'obtempérer. Quand le gendarme vous a
demandé quelque chose, vous avez répondu, vous avez réclamé, vous n'avez
pas immédiatement acquiescé et ne vous êtes pas immédiatement conformé à
sa demande. Et ça, ils le perçoivent comme un refus d'obtempérer. Et le
refus d'obtempérer peut ensuite justifier tout ce qu'ils veulent.
Le cas extrême connu et célèbre, c'est l'affaire Leonarda. Le bus a été
immobilisé sur appel téléphonique. N'importe qui peut appeler n'importe
quel conducteur de véhicule, et demander l'immobilisation du véhicule ? Le
conducteur n'est pas censé décrocher le téléphone quand il conduit; les
passagers ne sont pas censés lui parler pendant qu'il roule. Et même
imaginons qu'ils le fassent, qu'est-ce qui garanti au conducteur
l'identité de la personne qui lui demande de cesser de rouler ? => de nos
jours, on fait tout et n'importe quoi, en vertu d'on ne sait pas quoi.
Comment un flic peut donner un ordre par téléphone ? Et pourtant, si vous
n'obéissez pas, vous risquez le refus d'obtempérer.
Après, il faut voir comment ils font les relevés ADN. C'est assez comique.
Ils commencent par enfiler des gants médicaux, puis ils manipulent un
stylo bille, et tapent sur le clavier d'un PC ... j'ai hésité entre mourir
de honte pour lui, ou mourir de rire.
On 21/03/15 20:19, michel legeria wrote:J'ai très explicitement signalé le fait que je
ne m'opposait à ce relevé. On ne m'a jamais,
d'ailleurs, demandé de m'y livrer mais de prendre
contact pour convenir d'un rendez-vous pour le faire.
Je n'ai donc jamais répondu "non" à une demande
directe, j'ai seulement indiqué que je réclamais,
pour cela (pour convenir d'un rdv à cette fin),
une convocation en bonne et due forme.
Le simple fait de réclamer quoi que ce soit à la justice, ou à un gendarme
peut être perçu comme un refus d'obtempérer. Quand le gendarme vous a
demandé quelque chose, vous avez répondu, vous avez réclamé, vous n'avez
pas immédiatement acquiescé et ne vous êtes pas immédiatement conformé à
sa demande. Et ça, ils le perçoivent comme un refus d'obtempérer. Et le
refus d'obtempérer peut ensuite justifier tout ce qu'ils veulent.
Le cas extrême connu et célèbre, c'est l'affaire Leonarda. Le bus a été
immobilisé sur appel téléphonique. N'importe qui peut appeler n'importe
quel conducteur de véhicule, et demander l'immobilisation du véhicule ? Le
conducteur n'est pas censé décrocher le téléphone quand il conduit; les
passagers ne sont pas censés lui parler pendant qu'il roule. Et même
imaginons qu'ils le fassent, qu'est-ce qui garanti au conducteur
l'identité de la personne qui lui demande de cesser de rouler ? => de nos
jours, on fait tout et n'importe quoi, en vertu d'on ne sait pas quoi.
Comment un flic peut donner un ordre par téléphone ? Et pourtant, si vous
n'obéissez pas, vous risquez le refus d'obtempérer.
Après, il faut voir comment ils font les relevés ADN. C'est assez comique.
Ils commencent par enfiler des gants médicaux, puis ils manipulent un
stylo bille, et tapent sur le clavier d'un PC ... j'ai hésité entre mourir
de honte pour lui, ou mourir de rire.