Le droit à l'image fera-t-il la peau à la photo?
Pour en parler, Jean-François LEROY (directeur de "Visa pour l'image")
et Bernard EDELMAN (professeur à scneces politqiues et avocat) seront en
studio.
lundi 10 juillet 2006 de 9h à 10h
http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/ete2006/tchatche/
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> a écrit dans le message de news: 44b1fd3e$0$30330$
Le droit à l'image fera-t-il la peau à la photo? Pour en parler, Jean-François LEROY (directeur de "Visa pour l'image") et Bernard EDELMAN (professeur à scneces politqiues et avocat) seront en studio. lundi 10 juillet 2006 de 9h à 10h http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/ete2006/tchatche/
-- Cordialement, Alf92 ======> http://petition.la-bas.org/ merci, Eric
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> a écrit dans le message de news:
44b1fd3e$0$30330$626a54ce@news.free.fr...
Le droit à l'image fera-t-il la peau à la photo?
Pour en parler, Jean-François LEROY (directeur de "Visa pour l'image") et
Bernard EDELMAN (professeur à scneces politqiues et avocat) seront en
studio.
lundi 10 juillet 2006 de 9h à 10h
http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/ete2006/tchatche/
--
Cordialement,
Alf92
======> http://petition.la-bas.org/ merci,
Eric
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> a écrit dans le message de news: 44b1fd3e$0$30330$
Le droit à l'image fera-t-il la peau à la photo? Pour en parler, Jean-François LEROY (directeur de "Visa pour l'image") et Bernard EDELMAN (professeur à scneces politqiues et avocat) seront en studio. lundi 10 juillet 2006 de 9h à 10h http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/ete2006/tchatche/
-- Cordialement, Alf92 ======> http://petition.la-bas.org/ merci, Eric
FiLH
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> writes:
Le droit à l'image fera-t-il la peau à la photo? Pour en parler, Jean-François LEROY (directeur de "Visa pour l'image") et Bernard EDELMAN (professeur à scneces politqiues et avocat) seront en studio. lundi 10 juillet 2006 de 9h à 10h http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/ete2006/tchatche/
Ouais ben pas grand chose.
Le philosophe/juriste a passé son temps à refuser de regarder une tendance pour s'échapper dans le cas particulier dès qu'une direction génante se montrait, et hélas le photographe qui n'arrivait pas à s'en dégager ni à formuler clairement son idée ( le coup des menotes était assez parlant : d'un côté on produit une image que de l'autre on interdit de montrer. Le photographe n'arrivait pas à montrer la position schizophrène de la justice, et le juriste sautait sans arrêt d'un côté de l'autre refusant d'admettre que la position est un tantinet faux cul).
FiLH
-- FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world. Web: http://www.filh.org e-mail FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/ Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> writes:
Le droit à l'image fera-t-il la peau à la photo?
Pour en parler, Jean-François LEROY (directeur de "Visa pour l'image")
et Bernard EDELMAN (professeur à scneces politqiues et avocat) seront en
studio.
lundi 10 juillet 2006 de 9h à 10h
http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/ete2006/tchatche/
Ouais ben pas grand chose.
Le philosophe/juriste a passé son temps à refuser de regarder une
tendance pour s'échapper dans le cas particulier dès qu'une direction
génante se montrait, et hélas le photographe qui n'arrivait pas à s'en
dégager ni à formuler clairement son idée ( le coup des menotes était
assez parlant : d'un côté on produit une image que de l'autre on
interdit de montrer. Le photographe n'arrivait pas à montrer la
position schizophrène de la justice, et le juriste sautait sans arrêt
d'un côté de l'autre refusant d'admettre que la position est un
tantinet faux cul).
FiLH
--
FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world.
Web: http://www.filh.org e-mail filh@filh.org
FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/
Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
Le droit à l'image fera-t-il la peau à la photo? Pour en parler, Jean-François LEROY (directeur de "Visa pour l'image") et Bernard EDELMAN (professeur à scneces politqiues et avocat) seront en studio. lundi 10 juillet 2006 de 9h à 10h http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/ete2006/tchatche/
Ouais ben pas grand chose.
Le philosophe/juriste a passé son temps à refuser de regarder une tendance pour s'échapper dans le cas particulier dès qu'une direction génante se montrait, et hélas le photographe qui n'arrivait pas à s'en dégager ni à formuler clairement son idée ( le coup des menotes était assez parlant : d'un côté on produit une image que de l'autre on interdit de montrer. Le photographe n'arrivait pas à montrer la position schizophrène de la justice, et le juriste sautait sans arrêt d'un côté de l'autre refusant d'admettre que la position est un tantinet faux cul).
FiLH
-- FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world. Web: http://www.filh.org e-mail FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/ Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
Alf92
"FiLH" a écrit dans le message de news:
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> writes:
Le droit à l'image fera-t-il la peau à la photo? Pour en parler, Jean-François LEROY (directeur de "Visa pour l'image") et Bernard EDELMAN (professeur à scneces politqiues et avocat) seront en studio. lundi 10 juillet 2006 de 9h à 10h http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/ete2006/tchatche/
Ouais ben pas grand chose.
Le philosophe/juriste a passé son temps à refuser de regarder une tendance pour s'échapper dans le cas particulier dès qu'une direction génante se montrait, et hélas le photographe qui n'arrivait pas à s'en dégager ni à formuler clairement son idée ( le coup des menotes était assez parlant : d'un côté on produit une image que de l'autre on interdit de montrer. Le photographe n'arrivait pas à montrer la position schizophrène de la justice, et le juriste sautait sans arrêt d'un côté de l'autre refusant d'admettre que la position est un tantinet faux cul).
oui., de toute manière ce genre de débat tourne toujours court...
cependant les deux intervenants présentaient des arguments valables. il y a au moins un point sur lequel ils semblent d'accord : c'est le pognon qui pervertit le système : quand la photo n'avait pas la valeur marchande qu'elle a aujourd'hui, le problème du droit à l'image ne se posait pas.
-- Alf92
"FiLH" <filh@filh.org> a écrit dans le message de news:
ux64i5wt77wer@noorg.org...
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> writes:
Le droit à l'image fera-t-il la peau à la photo?
Pour en parler, Jean-François LEROY (directeur de "Visa pour l'image")
et Bernard EDELMAN (professeur à scneces politqiues et avocat) seront en
studio.
lundi 10 juillet 2006 de 9h à 10h
http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/ete2006/tchatche/
Ouais ben pas grand chose.
Le philosophe/juriste a passé son temps à refuser de regarder une
tendance pour s'échapper dans le cas particulier dès qu'une direction
génante se montrait, et hélas le photographe qui n'arrivait pas à s'en
dégager ni à formuler clairement son idée ( le coup des menotes était
assez parlant : d'un côté on produit une image que de l'autre on
interdit de montrer. Le photographe n'arrivait pas à montrer la
position schizophrène de la justice, et le juriste sautait sans arrêt
d'un côté de l'autre refusant d'admettre que la position est un
tantinet faux cul).
oui., de toute manière ce genre de débat tourne toujours court...
cependant les deux intervenants présentaient des arguments valables.
il y a au moins un point sur lequel ils semblent d'accord : c'est le pognon
qui pervertit le système :
quand la photo n'avait pas la valeur marchande qu'elle a aujourd'hui, le
problème du droit à l'image ne se posait pas.
Le droit à l'image fera-t-il la peau à la photo? Pour en parler, Jean-François LEROY (directeur de "Visa pour l'image") et Bernard EDELMAN (professeur à scneces politqiues et avocat) seront en studio. lundi 10 juillet 2006 de 9h à 10h http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/ete2006/tchatche/
Ouais ben pas grand chose.
Le philosophe/juriste a passé son temps à refuser de regarder une tendance pour s'échapper dans le cas particulier dès qu'une direction génante se montrait, et hélas le photographe qui n'arrivait pas à s'en dégager ni à formuler clairement son idée ( le coup des menotes était assez parlant : d'un côté on produit une image que de l'autre on interdit de montrer. Le photographe n'arrivait pas à montrer la position schizophrène de la justice, et le juriste sautait sans arrêt d'un côté de l'autre refusant d'admettre que la position est un tantinet faux cul).
oui., de toute manière ce genre de débat tourne toujours court...
cependant les deux intervenants présentaient des arguments valables. il y a au moins un point sur lequel ils semblent d'accord : c'est le pognon qui pervertit le système : quand la photo n'avait pas la valeur marchande qu'elle a aujourd'hui, le problème du droit à l'image ne se posait pas.
-- Alf92
DeepSpeeD
Alf92 a rédigé
"FiLH" a écrit dans le message de news:
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> writes:
Le droit à l'image fera-t-il la peau à la photo? Pour en parler, Jean-François LEROY (directeur de "Visa pour l'image") et Bernard EDELMAN (professeur à scneces politqiues et avocat) seront en studio. lundi 10 juillet 2006 de 9h à 10h http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/ete2006/tchatche/
Ouais ben pas grand chose.
Le philosophe/juriste a passé son temps à refuser de regarder une tendance pour s'échapper dans le cas particulier dès qu'une direction génante se montrait, et hélas le photographe qui n'arrivait pas à s'en dégager ni à formuler clairement son idée ( le coup des menotes était assez parlant : d'un côté on produit une image que de l'autre on interdit de montrer. Le photographe n'arrivait pas à montrer la position schizophrène de la justice, et le juriste sautait sans arrêt d'un côté de l'autre refusant d'admettre que la position est un tantinet faux cul).
oui., de toute manière ce genre de débat tourne toujours court...
D'ou le titre de l'emmission ......
cependant les deux intervenants présentaient des arguments valables. il y a au moins un point sur lequel ils semblent d'accord : c'est le pognon qui pervertit le système : quand la photo n'avait pas la valeur marchande qu'elle a aujourd'hui, le problème du droit à l'image ne se posait pas.
OK, pour les professionnels (qui doivent mesurer la portée des images qu'ils prennent et de l'utilisation qui en sont faites). Mais maintenant, le "simple quidam" qui prend une photo peut etre poursuivi en justice : droit de la personne, droit d'auteur sur les batiments et monuments...etc si sa photo est "rendue" publique : expo, publication web... C'est ça qui est assez deplorable pour le pays de la photo...
A+
-- J' peux vider mes poches sur la table, Ca fait longtemps qu'elles sont trouées, Baisser mon froc j'en suis capable, mais vous n'aurez pas, Ma liberté de penser.
"Ma liberté de penser : F. Pagny"
Alf92 a rédigé
"FiLH" <filh@filh.org> a écrit dans le message de news:
ux64i5wt77wer@noorg.org...
"Alf92" <alf92[NO-SPAM]@freesurf.fr> writes:
Le droit à l'image fera-t-il la peau à la photo?
Pour en parler, Jean-François LEROY (directeur de "Visa pour l'image")
et Bernard EDELMAN (professeur à scneces politqiues et avocat) seront en
studio.
lundi 10 juillet 2006 de 9h à 10h
http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/ete2006/tchatche/
Ouais ben pas grand chose.
Le philosophe/juriste a passé son temps à refuser de regarder une
tendance pour s'échapper dans le cas particulier dès qu'une direction
génante se montrait, et hélas le photographe qui n'arrivait pas à s'en
dégager ni à formuler clairement son idée ( le coup des menotes était
assez parlant : d'un côté on produit une image que de l'autre on
interdit de montrer. Le photographe n'arrivait pas à montrer la
position schizophrène de la justice, et le juriste sautait sans arrêt
d'un côté de l'autre refusant d'admettre que la position est un
tantinet faux cul).
oui., de toute manière ce genre de débat tourne toujours court...
D'ou le titre de l'emmission ......
cependant les deux intervenants présentaient des arguments valables.
il y a au moins un point sur lequel ils semblent d'accord : c'est le pognon
qui pervertit le système :
quand la photo n'avait pas la valeur marchande qu'elle a aujourd'hui, le
problème du droit à l'image ne se posait pas.
OK, pour les professionnels (qui doivent mesurer la portée des images qu'ils prennent et
de l'utilisation qui en sont faites).
Mais maintenant, le "simple quidam" qui prend une photo peut etre poursuivi en justice :
droit de la personne, droit d'auteur sur les batiments et monuments...etc si sa photo est
"rendue" publique : expo, publication web... C'est ça qui est assez deplorable pour le
pays de la photo...
A+
--
J' peux vider mes poches sur la table,
Ca fait longtemps qu'elles sont trouées,
Baisser mon froc j'en suis capable, mais vous n'aurez pas,
Ma liberté de penser.
Le droit à l'image fera-t-il la peau à la photo? Pour en parler, Jean-François LEROY (directeur de "Visa pour l'image") et Bernard EDELMAN (professeur à scneces politqiues et avocat) seront en studio. lundi 10 juillet 2006 de 9h à 10h http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/ete2006/tchatche/
Ouais ben pas grand chose.
Le philosophe/juriste a passé son temps à refuser de regarder une tendance pour s'échapper dans le cas particulier dès qu'une direction génante se montrait, et hélas le photographe qui n'arrivait pas à s'en dégager ni à formuler clairement son idée ( le coup des menotes était assez parlant : d'un côté on produit une image que de l'autre on interdit de montrer. Le photographe n'arrivait pas à montrer la position schizophrène de la justice, et le juriste sautait sans arrêt d'un côté de l'autre refusant d'admettre que la position est un tantinet faux cul).
oui., de toute manière ce genre de débat tourne toujours court...
D'ou le titre de l'emmission ......
cependant les deux intervenants présentaient des arguments valables. il y a au moins un point sur lequel ils semblent d'accord : c'est le pognon qui pervertit le système : quand la photo n'avait pas la valeur marchande qu'elle a aujourd'hui, le problème du droit à l'image ne se posait pas.
OK, pour les professionnels (qui doivent mesurer la portée des images qu'ils prennent et de l'utilisation qui en sont faites). Mais maintenant, le "simple quidam" qui prend une photo peut etre poursuivi en justice : droit de la personne, droit d'auteur sur les batiments et monuments...etc si sa photo est "rendue" publique : expo, publication web... C'est ça qui est assez deplorable pour le pays de la photo...
A+
-- J' peux vider mes poches sur la table, Ca fait longtemps qu'elles sont trouées, Baisser mon froc j'en suis capable, mais vous n'aurez pas, Ma liberté de penser.
"Ma liberté de penser : F. Pagny"
Alf92
"DeepSpeeD" a écrit dans le message de news: 44b256c5$0$1032$
cependant les deux intervenants présentaient des arguments valables. il y a au moins un point sur lequel ils semblent d'accord : c'est le pognon qui pervertit le système : quand la photo n'avait pas la valeur marchande qu'elle a aujourd'hui, le problème du droit à l'image ne se posait pas.
OK, pour les professionnels (qui doivent mesurer la portée des images qu'ils prennent et de l'utilisation qui en sont faites). Mais maintenant, le "simple quidam" qui prend une photo peut etre poursuivi en justice : droit de la personne, droit d'auteur sur les batiments et monuments...etc si sa photo est "rendue" publique : expo, publication web... C'est ça qui est assez deplorable pour le pays de la photo...
un "simple quidam" (comme tu le décris) n'a pas pour vocation de vendre ses photos. et dans les faits, on n'a jamais vu un particulier photographe amateur attaqué pour non respect du droit à l'image.
si je photographie la maison de mon voisin ou des gens dans une manif, et que je publie le résultat sur un site non commercial et de fréquentation modérée, il n'y a en pratique *aucune* chance pour que cela pose un problème. il ne faut donc pas tomber dans la paranoïa.
maintenant, que le photographe qui tire un bénéfice de son travail soit obligé de se soumettre à des règles, je ne vois rien de choquant la dedans.
-- Alf92
"DeepSpeeD" <deepspeed@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
44b256c5$0$1032$ba4acef3@news.orange.fr...
cependant les deux intervenants présentaient des arguments valables.
il y a au moins un point sur lequel ils semblent d'accord : c'est le
pognon
qui pervertit le système :
quand la photo n'avait pas la valeur marchande qu'elle a aujourd'hui, le
problème du droit à l'image ne se posait pas.
OK, pour les professionnels (qui doivent mesurer la portée des images
qu'ils prennent et de l'utilisation qui en sont faites).
Mais maintenant, le "simple quidam" qui prend une photo peut etre
poursuivi en justice : droit de la personne, droit d'auteur sur les
batiments et monuments...etc si sa photo est "rendue" publique : expo,
publication web... C'est ça qui est assez deplorable pour le pays de la
photo...
un "simple quidam" (comme tu le décris) n'a pas pour vocation de vendre ses
photos.
et dans les faits, on n'a jamais vu un particulier photographe amateur
attaqué pour non respect du droit à l'image.
si je photographie la maison de mon voisin ou des gens dans une manif, et
que je publie le résultat sur un site non commercial et de fréquentation
modérée, il n'y a en pratique *aucune* chance pour que cela pose un
problème.
il ne faut donc pas tomber dans la paranoïa.
maintenant, que le photographe qui tire un bénéfice de son travail soit
obligé de se soumettre à des règles, je ne vois rien de choquant la dedans.
"DeepSpeeD" a écrit dans le message de news: 44b256c5$0$1032$
cependant les deux intervenants présentaient des arguments valables. il y a au moins un point sur lequel ils semblent d'accord : c'est le pognon qui pervertit le système : quand la photo n'avait pas la valeur marchande qu'elle a aujourd'hui, le problème du droit à l'image ne se posait pas.
OK, pour les professionnels (qui doivent mesurer la portée des images qu'ils prennent et de l'utilisation qui en sont faites). Mais maintenant, le "simple quidam" qui prend une photo peut etre poursuivi en justice : droit de la personne, droit d'auteur sur les batiments et monuments...etc si sa photo est "rendue" publique : expo, publication web... C'est ça qui est assez deplorable pour le pays de la photo...
un "simple quidam" (comme tu le décris) n'a pas pour vocation de vendre ses photos. et dans les faits, on n'a jamais vu un particulier photographe amateur attaqué pour non respect du droit à l'image.
si je photographie la maison de mon voisin ou des gens dans une manif, et que je publie le résultat sur un site non commercial et de fréquentation modérée, il n'y a en pratique *aucune* chance pour que cela pose un problème. il ne faut donc pas tomber dans la paranoïa.
maintenant, que le photographe qui tire un bénéfice de son travail soit obligé de se soumettre à des règles, je ne vois rien de choquant la dedans.
-- Alf92
Florent
Alf92 a exposé le 10/07/2006 :
"DeepSpeeD" a écrit dans le message de news: 44b256c5$0$1032$
cependant les deux intervenants présentaient des arguments valables. il y a au moins un point sur lequel ils semblent d'accord : c'est le pognon qui pervertit le système : quand la photo n'avait pas la valeur marchande qu'elle a aujourd'hui, le problème du droit à l'image ne se posait pas.
OK, pour les professionnels (qui doivent mesurer la portée des images qu'ils prennent et de l'utilisation qui en sont faites). Mais maintenant, le "simple quidam" qui prend une photo peut etre poursuivi en justice : droit de la personne, droit d'auteur sur les batiments et monuments...etc si sa photo est "rendue" publique : expo, publication web... C'est ça qui est assez deplorable pour le pays de la photo...
un "simple quidam" (comme tu le décris) n'a pas pour vocation de vendre ses photos. et dans les faits, on n'a jamais vu un particulier photographe amateur attaqué pour non respect du droit à l'image.
si je photographie la maison de mon voisin ou des gens dans une manif, et que je publie le résultat sur un site non commercial et de fréquentation modérée, il n'y a en pratique *aucune* chance pour que cela pose un problème. il ne faut donc pas tomber dans la paranoïa.
maintenant, que le photographe qui tire un bénéfice de son travail soit obligé de se soumettre à des règles, je ne vois rien de choquant la dedans.
d'ailleurs.... comment sa se pratique pour un photogrpahe qui fait une série de portrait (dans une usine, un lieu, un truc, un machin) et qui expose, fait un livre, etc ? il se tape des autorisations pour tout le monde ? bonjour l'ambiance... surtout si le lieu, le sujet fait que les gen sont rencontrés 1h ou 2...
Alf92 a exposé le 10/07/2006 :
"DeepSpeeD" <deepspeed@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
44b256c5$0$1032$ba4acef3@news.orange.fr...
cependant les deux intervenants présentaient des arguments valables.
il y a au moins un point sur lequel ils semblent d'accord : c'est le
pognon
qui pervertit le système :
quand la photo n'avait pas la valeur marchande qu'elle a aujourd'hui, le
problème du droit à l'image ne se posait pas.
OK, pour les professionnels (qui doivent mesurer la portée des images
qu'ils prennent et de l'utilisation qui en sont faites).
Mais maintenant, le "simple quidam" qui prend une photo peut etre poursuivi
en justice : droit de la personne, droit d'auteur sur les batiments et
monuments...etc si sa photo est "rendue" publique : expo, publication
web... C'est ça qui est assez deplorable pour le pays de la photo...
un "simple quidam" (comme tu le décris) n'a pas pour vocation de vendre ses
photos.
et dans les faits, on n'a jamais vu un particulier photographe amateur
attaqué pour non respect du droit à l'image.
si je photographie la maison de mon voisin ou des gens dans une manif, et que
je publie le résultat sur un site non commercial et de fréquentation modérée,
il n'y a en pratique *aucune* chance pour que cela pose un problème.
il ne faut donc pas tomber dans la paranoïa.
maintenant, que le photographe qui tire un bénéfice de son travail soit
obligé de se soumettre à des règles, je ne vois rien de choquant la dedans.
d'ailleurs.... comment sa se pratique pour un photogrpahe qui fait une
série de portrait (dans une usine, un lieu, un truc, un machin) et qui
expose, fait un livre, etc ? il se tape des autorisations pour tout le
monde ? bonjour l'ambiance... surtout si le lieu, le sujet fait que les
gen sont rencontrés 1h ou 2...
"DeepSpeeD" a écrit dans le message de news: 44b256c5$0$1032$
cependant les deux intervenants présentaient des arguments valables. il y a au moins un point sur lequel ils semblent d'accord : c'est le pognon qui pervertit le système : quand la photo n'avait pas la valeur marchande qu'elle a aujourd'hui, le problème du droit à l'image ne se posait pas.
OK, pour les professionnels (qui doivent mesurer la portée des images qu'ils prennent et de l'utilisation qui en sont faites). Mais maintenant, le "simple quidam" qui prend une photo peut etre poursuivi en justice : droit de la personne, droit d'auteur sur les batiments et monuments...etc si sa photo est "rendue" publique : expo, publication web... C'est ça qui est assez deplorable pour le pays de la photo...
un "simple quidam" (comme tu le décris) n'a pas pour vocation de vendre ses photos. et dans les faits, on n'a jamais vu un particulier photographe amateur attaqué pour non respect du droit à l'image.
si je photographie la maison de mon voisin ou des gens dans une manif, et que je publie le résultat sur un site non commercial et de fréquentation modérée, il n'y a en pratique *aucune* chance pour que cela pose un problème. il ne faut donc pas tomber dans la paranoïa.
maintenant, que le photographe qui tire un bénéfice de son travail soit obligé de se soumettre à des règles, je ne vois rien de choquant la dedans.
d'ailleurs.... comment sa se pratique pour un photogrpahe qui fait une série de portrait (dans une usine, un lieu, un truc, un machin) et qui expose, fait un livre, etc ? il se tape des autorisations pour tout le monde ? bonjour l'ambiance... surtout si le lieu, le sujet fait que les gen sont rencontrés 1h ou 2...
Alf92
"Florent" a écrit dans le message de news:
un "simple quidam" (comme tu le décris) n'a pas pour vocation de vendre ses photos. et dans les faits, on n'a jamais vu un particulier photographe amateur attaqué pour non respect du droit à l'image.
si je photographie la maison de mon voisin ou des gens dans une manif, et que je publie le résultat sur un site non commercial et de fréquentation modérée, il n'y a en pratique *aucune* chance pour que cela pose un problème. il ne faut donc pas tomber dans la paranoïa.
maintenant, que le photographe qui tire un bénéfice de son travail soit obligé de se soumettre à des règles, je ne vois rien de choquant la dedans.
d'ailleurs.... comment sa se pratique pour un photogrpahe qui fait une série de portrait (dans une usine, un lieu, un truc, un machin) et qui expose, fait un livre, etc ? il se tape des autorisations pour tout le monde ? bonjour l'ambiance... surtout si le lieu, le sujet fait que les gen sont rencontrés 1h ou 2...
comme il était dit ce matin dans l'émission, ce ne sont pas les sans-papier de Belleville ou les lépreux de Calcutta qui vont venir casser les couilles du photographe pour droit à l'image.
de même une jeune femme inconnue photographiée en 98 (pour la finale gagnée...) s'est rettrouvé en couv de Paris Match. elle a perdu son procès.
donc pour des ouvriers dans une usine, tu penses...
Il faut s'appeler Johnny ou Stéphanie de Monaco pour gagner ce genre de procès.
-- Alf92
"Florent" <florent@zoo-logique.org> a écrit dans le message de news:
mn.53c07d67064f7270.55141@zoo-logique.org...
un "simple quidam" (comme tu le décris) n'a pas pour vocation de vendre
ses photos.
et dans les faits, on n'a jamais vu un particulier photographe amateur
attaqué pour non respect du droit à l'image.
si je photographie la maison de mon voisin ou des gens dans une manif, et
que je publie le résultat sur un site non commercial et de fréquentation
modérée, il n'y a en pratique *aucune* chance pour que cela pose un
problème.
il ne faut donc pas tomber dans la paranoïa.
maintenant, que le photographe qui tire un bénéfice de son travail soit
obligé de se soumettre à des règles, je ne vois rien de choquant la
dedans.
d'ailleurs.... comment sa se pratique pour un photogrpahe qui fait une
série de portrait (dans une usine, un lieu, un truc, un machin) et qui
expose, fait un livre, etc ? il se tape des autorisations pour tout le
monde ? bonjour l'ambiance... surtout si le lieu, le sujet fait que les
gen sont rencontrés 1h ou 2...
comme il était dit ce matin dans l'émission, ce ne sont pas les sans-papier
de Belleville ou les lépreux de Calcutta qui vont venir casser les couilles
du photographe pour droit à l'image.
de même une jeune femme inconnue photographiée en 98 (pour la finale
gagnée...) s'est rettrouvé en couv de Paris Match.
elle a perdu son procès.
donc pour des ouvriers dans une usine, tu penses...
Il faut s'appeler Johnny ou Stéphanie de Monaco pour gagner ce genre de
procès.
un "simple quidam" (comme tu le décris) n'a pas pour vocation de vendre ses photos. et dans les faits, on n'a jamais vu un particulier photographe amateur attaqué pour non respect du droit à l'image.
si je photographie la maison de mon voisin ou des gens dans une manif, et que je publie le résultat sur un site non commercial et de fréquentation modérée, il n'y a en pratique *aucune* chance pour que cela pose un problème. il ne faut donc pas tomber dans la paranoïa.
maintenant, que le photographe qui tire un bénéfice de son travail soit obligé de se soumettre à des règles, je ne vois rien de choquant la dedans.
d'ailleurs.... comment sa se pratique pour un photogrpahe qui fait une série de portrait (dans une usine, un lieu, un truc, un machin) et qui expose, fait un livre, etc ? il se tape des autorisations pour tout le monde ? bonjour l'ambiance... surtout si le lieu, le sujet fait que les gen sont rencontrés 1h ou 2...
comme il était dit ce matin dans l'émission, ce ne sont pas les sans-papier de Belleville ou les lépreux de Calcutta qui vont venir casser les couilles du photographe pour droit à l'image.
de même une jeune femme inconnue photographiée en 98 (pour la finale gagnée...) s'est rettrouvé en couv de Paris Match. elle a perdu son procès.
donc pour des ouvriers dans une usine, tu penses...
Il faut s'appeler Johnny ou Stéphanie de Monaco pour gagner ce genre de procès.
-- Alf92
franeric
on en arrivera au stade ou il n'y aura plus de gens photographiés par la presse, on aura un carré blanc censuré, on ne pourra plus que se raconter les photos faut dire que des Jojo ou des Stéph de Monac ils sont tellement inportants, ils savent tellement combien leur petite gueule rapporte et ils sont tellement avides d'argent qu ils ne vont pas se priver un personnage m'a étonné ces derniers temps a propos je crois de procès gagnés en contrefacon, c'est Karl Lagerfeld qui disait qu il donnait les ganis des procès gagnés a des oeuvres caritatives que lui n'avait pas besoin de ca eric
on en arrivera au stade ou il n'y aura plus de gens photographiés par la
presse, on aura un carré blanc censuré, on ne pourra plus que se raconter
les photos
faut dire que des Jojo ou des Stéph de Monac ils sont tellement inportants,
ils savent tellement combien leur petite gueule rapporte et ils sont
tellement avides d'argent qu ils ne vont pas se priver
un personnage m'a étonné ces derniers temps a propos je crois de procès
gagnés en contrefacon, c'est Karl Lagerfeld qui disait qu il donnait les
ganis des procès gagnés a des oeuvres caritatives que lui n'avait pas besoin
de ca
eric
on en arrivera au stade ou il n'y aura plus de gens photographiés par la presse, on aura un carré blanc censuré, on ne pourra plus que se raconter les photos faut dire que des Jojo ou des Stéph de Monac ils sont tellement inportants, ils savent tellement combien leur petite gueule rapporte et ils sont tellement avides d'argent qu ils ne vont pas se priver un personnage m'a étonné ces derniers temps a propos je crois de procès gagnés en contrefacon, c'est Karl Lagerfeld qui disait qu il donnait les ganis des procès gagnés a des oeuvres caritatives que lui n'avait pas besoin de ca eric
Fred
Alf92 wrote:
Il faut s'appeler Johnny ou Stéphanie de Monaco pour gagner ce genre de procès.
Ou la tour Eiffel, de nuit...
Alf92 wrote:
Il faut s'appeler Johnny ou Stéphanie de Monaco pour gagner ce genre de
procès.