Vous oubliez le plus important : la commission européenne qui tire les
ficelles.
Le principal problème c'est que pour fonctionner correctement un
système democratique doit être près du peuple, de ses besoins et
intérêts.
Ce n'est pas le cas du système européen dans lequel les élus sont
noyés dans un système qui se débat dans les contradictions de ses
différents peuples.
Résultat : les peuples ne sont plus maîtres de leur destin, donc on ne
peut plus parler de démocratie.
On peut le constater fréquemment quand nos politiques nous font des
promesse (la TVA à 5% pour la restauration est un exemple très connu),
et viennent ensuite nous annoncer que les instances européennes ne
veulent pas, et que patati et patata, on ne pourra rien faire.
C'est ce qui a conduit tous les empires à l'échec : la volonté
d'indépendance des peuples. La seule façon pour de telles structures
gigantesques de se maintenir c'est la dictature.
La démocratie est impossible à conduire à cause du trop grand nombre
d'intérêts très différents.
C'est ainsi que l'ex URSS a explosé, que la Chine en fera autant dès
que la dictature faiblira, et que l'Europe fédérale ne fonctionnera
jamais.
Vous oubliez le plus important : la commission européenne qui tire les
ficelles.
Le principal problème c'est que pour fonctionner correctement un
système democratique doit être près du peuple, de ses besoins et
intérêts.
Ce n'est pas le cas du système européen dans lequel les élus sont
noyés dans un système qui se débat dans les contradictions de ses
différents peuples.
Résultat : les peuples ne sont plus maîtres de leur destin, donc on ne
peut plus parler de démocratie.
On peut le constater fréquemment quand nos politiques nous font des
promesse (la TVA à 5% pour la restauration est un exemple très connu),
et viennent ensuite nous annoncer que les instances européennes ne
veulent pas, et que patati et patata, on ne pourra rien faire.
C'est ce qui a conduit tous les empires à l'échec : la volonté
d'indépendance des peuples. La seule façon pour de telles structures
gigantesques de se maintenir c'est la dictature.
La démocratie est impossible à conduire à cause du trop grand nombre
d'intérêts très différents.
C'est ainsi que l'ex URSS a explosé, que la Chine en fera autant dès
que la dictature faiblira, et que l'Europe fédérale ne fonctionnera
jamais.
Vous oubliez le plus important : la commission européenne qui tire les
ficelles.
Le principal problème c'est que pour fonctionner correctement un
système democratique doit être près du peuple, de ses besoins et
intérêts.
Ce n'est pas le cas du système européen dans lequel les élus sont
noyés dans un système qui se débat dans les contradictions de ses
différents peuples.
Résultat : les peuples ne sont plus maîtres de leur destin, donc on ne
peut plus parler de démocratie.
On peut le constater fréquemment quand nos politiques nous font des
promesse (la TVA à 5% pour la restauration est un exemple très connu),
et viennent ensuite nous annoncer que les instances européennes ne
veulent pas, et que patati et patata, on ne pourra rien faire.
C'est ce qui a conduit tous les empires à l'échec : la volonté
d'indépendance des peuples. La seule façon pour de telles structures
gigantesques de se maintenir c'est la dictature.
La démocratie est impossible à conduire à cause du trop grand nombre
d'intérêts très différents.
C'est ainsi que l'ex URSS a explosé, que la Chine en fera autant dès
que la dictature faiblira, et que l'Europe fédérale ne fonctionnera
jamais.
>On peut le constater fréquemment quand nos politiques nous font des
promesse (la TVA à 5% pour la restauration est un exemple très connu),
et viennent ensuite nous annoncer que les instances européennes ne
veulent pas, et que patati et patata, on ne pourra rien faire.
Comme tu dis : *nos* dirigeants. Ça n'a rien à voir avec l'Europe, c'est
un problème français.
Les politiques français se glorifient des avancées qu'apporte l'Europe à
leur propre compte, et utilisent l'Europe comme bouc-émissaire.
Ce sont les politiques français qui ont voté "oui" pour accorder les taux
de TVA au niveau européen. Le vote se déroule à l'unanimité, donc s'ils
avaient voté non, ça ne serait pas passé.
En critiquant l'Europe qui leur empêche de descendre la TVA, ils
critiquent leurs propres décisions.
>
On peut le constater fréquemment quand nos politiques nous font des
promesse (la TVA à 5% pour la restauration est un exemple très connu),
et viennent ensuite nous annoncer que les instances européennes ne
veulent pas, et que patati et patata, on ne pourra rien faire.
Comme tu dis : *nos* dirigeants. Ça n'a rien à voir avec l'Europe, c'est
un problème français.
Les politiques français se glorifient des avancées qu'apporte l'Europe à
leur propre compte, et utilisent l'Europe comme bouc-émissaire.
Ce sont les politiques français qui ont voté "oui" pour accorder les taux
de TVA au niveau européen. Le vote se déroule à l'unanimité, donc s'ils
avaient voté non, ça ne serait pas passé.
En critiquant l'Europe qui leur empêche de descendre la TVA, ils
critiquent leurs propres décisions.
>On peut le constater fréquemment quand nos politiques nous font des
promesse (la TVA à 5% pour la restauration est un exemple très connu),
et viennent ensuite nous annoncer que les instances européennes ne
veulent pas, et que patati et patata, on ne pourra rien faire.
Comme tu dis : *nos* dirigeants. Ça n'a rien à voir avec l'Europe, c'est
un problème français.
Les politiques français se glorifient des avancées qu'apporte l'Europe à
leur propre compte, et utilisent l'Europe comme bouc-émissaire.
Ce sont les politiques français qui ont voté "oui" pour accorder les taux
de TVA au niveau européen. Le vote se déroule à l'unanimité, donc s'ils
avaient voté non, ça ne serait pas passé.
En critiquant l'Europe qui leur empêche de descendre la TVA, ils
critiquent leurs propres décisions.
Philippe RAI :
> Vous oubliez le plus important : la commission européenne qui tire les
> ficelles.
La commission européenne est l'équivalent du gouvernement au niveau
français.
Donc elle dirige oui, mais elle est soumise au contrôle du parlement, qui
peut même la faire démissionner.
> Le principal problème c'est que pour fonctionner correctement un
> système democratique doit être près du peuple, de ses besoins et
> intérêts.
Le premier but de l'Union Européenne était d'éviter une 3ème guerre entre
les français et les allemands.
En 1951, l'idée de Jean Monnet était de mettre en commun le charbon et
l'acier pour qu'on soit si dépendant de l'Allemagne qu'on ne puisse plus
lui faire la guerre.
Et bien sûr, le peuple français d'après-guerre était farouchement contre
et n'y voyait pas "ses besoins et intérêts". Force est de constater
pourtant 50 ans après, le but est atteint, dans l'intérêt du peuple.
> Ce n'est pas le cas du système européen dans lequel les élus sont
> noyés dans un système qui se débat dans les contradictions de ses
> différents peuples.
Quelles contradictions ?
En France, le PS est en contradiction avec l'UMP, et les parisiens en
contradiction avec les Corses. Ça n'empêche pas la France d'être une
démocratie et aux institutions de fonctionner.
C'est pareil avec l'Europe.
> Résultat : les peuples ne sont plus maîtres de leur destin, donc on ne
> peut plus parler de démocratie.
Ton raisonnement est un non-sens.
Pourquoi te soumets-tu aux lois françaises ? En t'y soumettant, tu n'es
plus maître de ton destin non plus. Tu prônes l'anarchie ?
L'Union Européenne a certaines compétences qui lui ont été attribuées par
les états qui en sont membres.
> On peut le constater fréquemment quand nos politiques nous font des
> promesse (la TVA à 5% pour la restauration est un exemple très connu),
> et viennent ensuite nous annoncer que les instances européennes ne
> veulent pas, et que patati et patata, on ne pourra rien faire.
Comme tu dis : *nos* dirigeants. Ça n'a rien à voir avec l'Europe, c'est
un problème français.
Les politiques français se glorifient des avancées qu'apporte l'Europe à
leur propre compte, et utilisent l'Europe comme bouc-émissaire.
Ce sont les politiques français qui ont voté "oui" pour accorder les taux
de TVA au niveau européen. Le vote se déroule à l'unanimité, donc s'ils
avaient voté non, ça ne serait pas passé.
En critiquant l'Europe qui leur empêche de descendre la TVA, ils
critiquent leurs propres décisions.
> C'est ce qui a conduit tous les empires à l'échec : la volonté
> d'indépendance des peuples. La seule façon pour de telles structures
> gigantesques de se maintenir c'est la dictature.
> La démocratie est impossible à conduire à cause du trop grand nombre
> d'intérêts très différents.
> C'est ainsi que l'ex URSS a explosé, que la Chine en fera autant dès
> que la dictature faiblira, et que l'Europe fédérale ne fonctionnera
> jamais.
Comme tu dis, les dictatures, ça n'a jamais fonctionné : l'URSS, l'empire
romain, etc.
Par contre, un système fédéral n'impose rien et permet à chaque état de
s'exprimer. Ça donne les États-Unis, première puissance mondiale.
Philippe RAI :
> Vous oubliez le plus important : la commission européenne qui tire les
> ficelles.
La commission européenne est l'équivalent du gouvernement au niveau
français.
Donc elle dirige oui, mais elle est soumise au contrôle du parlement, qui
peut même la faire démissionner.
> Le principal problème c'est que pour fonctionner correctement un
> système democratique doit être près du peuple, de ses besoins et
> intérêts.
Le premier but de l'Union Européenne était d'éviter une 3ème guerre entre
les français et les allemands.
En 1951, l'idée de Jean Monnet était de mettre en commun le charbon et
l'acier pour qu'on soit si dépendant de l'Allemagne qu'on ne puisse plus
lui faire la guerre.
Et bien sûr, le peuple français d'après-guerre était farouchement contre
et n'y voyait pas "ses besoins et intérêts". Force est de constater
pourtant 50 ans après, le but est atteint, dans l'intérêt du peuple.
> Ce n'est pas le cas du système européen dans lequel les élus sont
> noyés dans un système qui se débat dans les contradictions de ses
> différents peuples.
Quelles contradictions ?
En France, le PS est en contradiction avec l'UMP, et les parisiens en
contradiction avec les Corses. Ça n'empêche pas la France d'être une
démocratie et aux institutions de fonctionner.
C'est pareil avec l'Europe.
> Résultat : les peuples ne sont plus maîtres de leur destin, donc on ne
> peut plus parler de démocratie.
Ton raisonnement est un non-sens.
Pourquoi te soumets-tu aux lois françaises ? En t'y soumettant, tu n'es
plus maître de ton destin non plus. Tu prônes l'anarchie ?
L'Union Européenne a certaines compétences qui lui ont été attribuées par
les états qui en sont membres.
> On peut le constater fréquemment quand nos politiques nous font des
> promesse (la TVA à 5% pour la restauration est un exemple très connu),
> et viennent ensuite nous annoncer que les instances européennes ne
> veulent pas, et que patati et patata, on ne pourra rien faire.
Comme tu dis : *nos* dirigeants. Ça n'a rien à voir avec l'Europe, c'est
un problème français.
Les politiques français se glorifient des avancées qu'apporte l'Europe à
leur propre compte, et utilisent l'Europe comme bouc-émissaire.
Ce sont les politiques français qui ont voté "oui" pour accorder les taux
de TVA au niveau européen. Le vote se déroule à l'unanimité, donc s'ils
avaient voté non, ça ne serait pas passé.
En critiquant l'Europe qui leur empêche de descendre la TVA, ils
critiquent leurs propres décisions.
> C'est ce qui a conduit tous les empires à l'échec : la volonté
> d'indépendance des peuples. La seule façon pour de telles structures
> gigantesques de se maintenir c'est la dictature.
> La démocratie est impossible à conduire à cause du trop grand nombre
> d'intérêts très différents.
> C'est ainsi que l'ex URSS a explosé, que la Chine en fera autant dès
> que la dictature faiblira, et que l'Europe fédérale ne fonctionnera
> jamais.
Comme tu dis, les dictatures, ça n'a jamais fonctionné : l'URSS, l'empire
romain, etc.
Par contre, un système fédéral n'impose rien et permet à chaque état de
s'exprimer. Ça donne les États-Unis, première puissance mondiale.
Philippe RAI :
> Vous oubliez le plus important : la commission européenne qui tire les
> ficelles.
La commission européenne est l'équivalent du gouvernement au niveau
français.
Donc elle dirige oui, mais elle est soumise au contrôle du parlement, qui
peut même la faire démissionner.
> Le principal problème c'est que pour fonctionner correctement un
> système democratique doit être près du peuple, de ses besoins et
> intérêts.
Le premier but de l'Union Européenne était d'éviter une 3ème guerre entre
les français et les allemands.
En 1951, l'idée de Jean Monnet était de mettre en commun le charbon et
l'acier pour qu'on soit si dépendant de l'Allemagne qu'on ne puisse plus
lui faire la guerre.
Et bien sûr, le peuple français d'après-guerre était farouchement contre
et n'y voyait pas "ses besoins et intérêts". Force est de constater
pourtant 50 ans après, le but est atteint, dans l'intérêt du peuple.
> Ce n'est pas le cas du système européen dans lequel les élus sont
> noyés dans un système qui se débat dans les contradictions de ses
> différents peuples.
Quelles contradictions ?
En France, le PS est en contradiction avec l'UMP, et les parisiens en
contradiction avec les Corses. Ça n'empêche pas la France d'être une
démocratie et aux institutions de fonctionner.
C'est pareil avec l'Europe.
> Résultat : les peuples ne sont plus maîtres de leur destin, donc on ne
> peut plus parler de démocratie.
Ton raisonnement est un non-sens.
Pourquoi te soumets-tu aux lois françaises ? En t'y soumettant, tu n'es
plus maître de ton destin non plus. Tu prônes l'anarchie ?
L'Union Européenne a certaines compétences qui lui ont été attribuées par
les états qui en sont membres.
> On peut le constater fréquemment quand nos politiques nous font des
> promesse (la TVA à 5% pour la restauration est un exemple très connu),
> et viennent ensuite nous annoncer que les instances européennes ne
> veulent pas, et que patati et patata, on ne pourra rien faire.
Comme tu dis : *nos* dirigeants. Ça n'a rien à voir avec l'Europe, c'est
un problème français.
Les politiques français se glorifient des avancées qu'apporte l'Europe à
leur propre compte, et utilisent l'Europe comme bouc-émissaire.
Ce sont les politiques français qui ont voté "oui" pour accorder les taux
de TVA au niveau européen. Le vote se déroule à l'unanimité, donc s'ils
avaient voté non, ça ne serait pas passé.
En critiquant l'Europe qui leur empêche de descendre la TVA, ils
critiquent leurs propres décisions.
> C'est ce qui a conduit tous les empires à l'échec : la volonté
> d'indépendance des peuples. La seule façon pour de telles structures
> gigantesques de se maintenir c'est la dictature.
> La démocratie est impossible à conduire à cause du trop grand nombre
> d'intérêts très différents.
> C'est ainsi que l'ex URSS a explosé, que la Chine en fera autant dès
> que la dictature faiblira, et que l'Europe fédérale ne fonctionnera
> jamais.
Comme tu dis, les dictatures, ça n'a jamais fonctionné : l'URSS, l'empire
romain, etc.
Par contre, un système fédéral n'impose rien et permet à chaque état de
s'exprimer. Ça donne les États-Unis, première puissance mondiale.