Y'a des endroits dangereux. Quand c'est pas des totem ...
Que représente cette horreur ? Qu'est-ce ? Un haricot géant ?
https://s15.postimg.cc/x90b6v42j/P1120797.v01.jpg
Et des excroissances comme des coussins (marie poppins), sur le flanc
d'un arbre à 2 mètres du sol, quel totem ça représente ? Quels insectes
font ça ?
Une autre ? https://postimg.cc/image/g9rcrnil3/ Ah, enfin normale ...
Sans appareil, ce serait beaucoup mieux. Essaye l'aquarelle.
Euh... c'est à moi ou à lui que tu dis ça ? Parce que si' j'attaque les pinceaux...
A lui.
Quel que soit le matériel c'est toujours une photo sur 1 000 000. Sauf peut-être au 19e siècle. C'est juste que si tu veux sortir du million, t'as intérêt à en faire des photos, des millions.
Je voulais dire que faire une photo superbe avec un appareil jetable en carton, c'est 1 sur 1 000 000.
Pas pour un pro qui saura transformer les défauts en qualités.
Il faut le dire vite.
Façon de parler tu me répètes ci-dessous.
J'ai un livre de Sophie Zénon "Mongolie, l'esprit du vent", entièrement réalisé avec un appareil en plastique sans aucun réglage. Aucune définition, un grain énorme, tous les défauts d'un appareil à objectif ménisque.
Pas les défauts : les particularités. Comme si tu compares une guitare sèche ou électrique.
Il faut donc se persuader que c'est mieux qu'avec un appareil digne de ce nom.
Jamais !
Mais si on imagine ces photographies sans leurs défauts techniques, qui deviennent des qualités artistiques, que reste-t-il ?
Des gens qui croient que c'est uniquement la qualité du matériel qui permet de créer de belles choses. Comme Albert Wolff et Louis Leroy. Si tu utilises des gros pinceaux tu ne peux réussir un tableau. Pas net = mauvais.
Un jetable, ou un téléphone de base, va te permettre d'apprendre le cadrage, de comprendre la lumière, la retouche... Dés lors que tu te rends compte que tu fais beaucoup trop de retouches pour compenser les limites de l'appareil : tu achètes un truc plus costaud.xq
La retouche ? Qui s'amuse à retoucher les négatifs d'un appareil jetable ou les fichiers d'un téléphone ?
Avec les pellicules tu pouvais déjà choisir la dureté du papier, déboucher certaines zones avec une tige et un disque au bout... Pour le téléphone aujourd'hui c'est un peu comme les impressionistes ;-) -- Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites. Benoit chez lui à leraillez.com
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
Le 10/07/2018 à 23:26, Benoit a écrit :
> GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
>
>> Le 10/07/2018 à 22:54, Benoit a écrit :
>>> GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
>>>
>>>> Sans appareil, ce serait beaucoup mieux. Essaye l'aquarelle.
>>>
>>> Euh... c'est à moi ou à lui que tu dis ça ? Parce que si' j'attaque les
>>> pinceaux...
>>
>> A lui.
>>
>>> Quel que soit le matériel c'est toujours une photo sur 1 000 000. Sauf
>>> peut-être au 19e siècle. C'est juste que si tu veux sortir du million,
>>> t'as intérêt à en faire des photos, des millions.
>>
>> Je voulais dire que faire une photo superbe avec un appareil jetable en
>> carton,
>> c'est 1 sur 1 000 000.
>
> Pas pour un pro qui saura transformer les défauts en qualités.
Il faut le dire vite.
Façon de parler tu me répètes ci-dessous.
J'ai un livre de Sophie Zénon "Mongolie, l'esprit du vent", entièrement
réalisé avec un appareil en plastique sans aucun réglage.
Aucune définition, un grain énorme, tous les défauts d'un appareil à
objectif ménisque.
Pas les défauts : les particularités. Comme si tu compares une guitare
sèche ou électrique.
Il faut donc se persuader que c'est mieux qu'avec un appareil digne de
ce nom.
Jamais !
Mais si on imagine ces photographies sans leurs défauts techniques, qui
deviennent des qualités artistiques, que reste-t-il ?
Des gens qui croient que c'est uniquement la qualité du matériel qui
permet de créer de belles choses. Comme Albert Wolff et Louis Leroy. Si
tu utilises des gros pinceaux tu ne peux réussir un tableau. Pas
net = mauvais.
> Un jetable, ou un téléphone de base, va te permettre d'apprendre le
> cadrage, de comprendre la lumière, la retouche... Dés lors que tu te
> rends compte que tu fais beaucoup trop de retouches pour compenser les
> limites de l'appareil : tu achètes un truc plus costaud.xq
La retouche ?
Qui s'amuse à retoucher les négatifs d'un appareil jetable ou les
fichiers d'un téléphone ?
Avec les pellicules tu pouvais déjà choisir la dureté du papier,
déboucher certaines zones avec une tige et un disque au bout...
Pour le téléphone aujourd'hui c'est un peu comme les impressionistes ;-)
--
Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites.
Benoit chez lui à leraillez.com
Sans appareil, ce serait beaucoup mieux. Essaye l'aquarelle.
Euh... c'est à moi ou à lui que tu dis ça ? Parce que si' j'attaque les pinceaux...
A lui.
Quel que soit le matériel c'est toujours une photo sur 1 000 000. Sauf peut-être au 19e siècle. C'est juste que si tu veux sortir du million, t'as intérêt à en faire des photos, des millions.
Je voulais dire que faire une photo superbe avec un appareil jetable en carton, c'est 1 sur 1 000 000.
Pas pour un pro qui saura transformer les défauts en qualités.
Il faut le dire vite.
Façon de parler tu me répètes ci-dessous.
J'ai un livre de Sophie Zénon "Mongolie, l'esprit du vent", entièrement réalisé avec un appareil en plastique sans aucun réglage. Aucune définition, un grain énorme, tous les défauts d'un appareil à objectif ménisque.
Pas les défauts : les particularités. Comme si tu compares une guitare sèche ou électrique.
Il faut donc se persuader que c'est mieux qu'avec un appareil digne de ce nom.
Jamais !
Mais si on imagine ces photographies sans leurs défauts techniques, qui deviennent des qualités artistiques, que reste-t-il ?
Des gens qui croient que c'est uniquement la qualité du matériel qui permet de créer de belles choses. Comme Albert Wolff et Louis Leroy. Si tu utilises des gros pinceaux tu ne peux réussir un tableau. Pas net = mauvais.
Un jetable, ou un téléphone de base, va te permettre d'apprendre le cadrage, de comprendre la lumière, la retouche... Dés lors que tu te rends compte que tu fais beaucoup trop de retouches pour compenser les limites de l'appareil : tu achètes un truc plus costaud.xq
La retouche ? Qui s'amuse à retoucher les négatifs d'un appareil jetable ou les fichiers d'un téléphone ?
Avec les pellicules tu pouvais déjà choisir la dureté du papier, déboucher certaines zones avec une tige et un disque au bout... Pour le téléphone aujourd'hui c'est un peu comme les impressionistes ;-) -- Pense à l'étiquette qu'une fois les vendanges faites. Benoit chez lui à leraillez.com
Ta liberte tu la mendies, pauvre acteur.
Le 11/07/18 à 12:04, Benoit a écrit :
Des gens qui croient que c'est uniquement la qualité du matériel qui permet de créer de belles choses. Comme Albert Wolff et Louis Leroy. Si tu utilises des gros pinceaux tu ne peux réussir un tableau. Pas net = mauvais.
c'est exactement mon avis sur mes clichés, vous reniez mais je les trouve bien, et peu importe le materiel, j'aime bien le resultat de mon appareil même si c'est de la m*. --
Le 11/07/18 à 12:04, Benoit a écrit :
Des gens qui croient que c'est uniquement la qualité du matériel qui
permet de créer de belles choses. Comme Albert Wolff et Louis Leroy. Si
tu utilises des gros pinceaux tu ne peux réussir un tableau. Pas
net = mauvais.
c'est exactement mon avis sur mes clichés, vous reniez mais je les
trouve bien, et peu importe le materiel, j'aime bien le resultat de mon
appareil même si c'est de la m*.
Des gens qui croient que c'est uniquement la qualité du matériel qui permet de créer de belles choses. Comme Albert Wolff et Louis Leroy. Si tu utilises des gros pinceaux tu ne peux réussir un tableau. Pas net = mauvais.
c'est exactement mon avis sur mes clichés, vous reniez mais je les trouve bien, et peu importe le materiel, j'aime bien le resultat de mon appareil même si c'est de la m*. --