Quelqu'un saurait-il comment enlever les craquements de vinyls avec
Audacity? Y'a rien à faire, j'y arrive pô :(
Sinon, y a t-il un soft gratuit qui permette de faire ce genre de manip
de façon plus ou moins automatique ?
Merci,
--
Amicalement,
Olivier.
###########
Site : http://perso.club-internet.fr/olaroche/
Je m'insurge contre cette idée de contact en direct : je ne suis sûrement pas le seul ici à lurker avec plaisir votre conversation pleine de conseils avisés ! Le principe des groupes et de limiter la *rétention* d'information, merci de penser aux autres !
Je comprends votre émoi, mais faire la part des choses est parfois difficile. Car ayant un peu dépassé le cadre de l’objet de mon message, j’aurais pu tout aussi bien me faire rembarrer ! Mais je suis ravi que mon sujet vous intéresse :p
Sinon je ne crois pas que le problème du *nettoyage* du vinyl avant repiquage ait été évoqué : quelle est la meilleure solution ?
Lu sur le forum : disque plongé dans de l’eau additionnée d’un peu de liquide vaisselle ou nettoyage avec de l’eau distillée. Mais avec quoi peut-on les essuyer ? Chiffon non pelucheux, je m’en doute ! Peut-on utiliser une peau de chamois ou un chiffon à lunettes, par exemple. J’ai fait le test avec une éponge et de l’eau (du robinet), et je dois dire que l’écoute est tout de suite beaucoup plus « propre » (sans rire !).
Autre question : jusqu'à quel point faut-il pousser le nettoyage numérique ? Dans mes tentatives précédentes en la matière, je me bornais à faire une sauvegarde sur CD en AIFF en laissant à "plus tard" le traitement. Éthiquement, ne vaut-il pas mieux faire un "master" le plus fidèle possible et incluant les craquements ?
Là, je pense que c’est très personnel. Si vous êtes nostalgique, gardez les craquements, et enregistrez tel quel. Si vous êtes maniaque, faites un nettoyage numérique. Perso, je suis un peu les deux :) Donc, pourquoi ne pas rester le plus près possible de l’enregistrement d’origine et ôter les craquements, par exemple. Pour le moment, je serais près à garder les bruits émis par le frottement du diamant sur le disque, mais les craquements, non !
A vot’ service, -- Amicalement, Olivier. ########### Site : http://perso.club-internet.fr/olaroche/
Bonjour,
Gerald a écrit:
Je m'insurge contre cette idée de contact en direct : je ne suis
sûrement pas le seul ici à lurker avec plaisir votre conversation pleine
de conseils avisés ! Le principe des groupes et de limiter la
*rétention* d'information, merci de penser aux autres !
Je comprends votre émoi, mais faire la part des choses est parfois
difficile. Car ayant un peu dépassé le cadre de l’objet de mon message,
j’aurais pu tout aussi bien me faire rembarrer !
Mais je suis ravi que mon sujet vous intéresse :p
Sinon je ne crois pas que le problème du *nettoyage* du vinyl avant
repiquage ait été évoqué : quelle est la meilleure solution ?
Lu sur le forum : disque plongé dans de l’eau additionnée d’un peu de
liquide vaisselle ou nettoyage avec de l’eau distillée.
Mais avec quoi peut-on les essuyer ? Chiffon non pelucheux, je m’en
doute ! Peut-on utiliser une peau de chamois ou un chiffon à lunettes,
par exemple.
J’ai fait le test avec une éponge et de l’eau (du robinet), et je dois
dire que l’écoute est tout de suite beaucoup plus « propre » (sans rire !).
Autre question : jusqu'à quel point faut-il pousser le nettoyage
numérique ? Dans mes tentatives précédentes en la matière, je me bornais
à faire une sauvegarde sur CD en AIFF en laissant à "plus tard" le
traitement. Éthiquement, ne vaut-il pas mieux faire un "master" le plus
fidèle possible et incluant les craquements ?
Là, je pense que c’est très personnel. Si vous êtes nostalgique, gardez
les craquements, et enregistrez tel quel. Si vous êtes maniaque, faites
un nettoyage numérique.
Perso, je suis un peu les deux :) Donc, pourquoi ne pas rester le plus
près possible de l’enregistrement d’origine et ôter les craquements, par
exemple. Pour le moment, je serais près à garder les bruits émis par le
frottement du diamant sur le disque, mais les craquements, non !
A vot’ service,
--
Amicalement,
Olivier.
###########
Site : http://perso.club-internet.fr/olaroche/
Je m'insurge contre cette idée de contact en direct : je ne suis sûrement pas le seul ici à lurker avec plaisir votre conversation pleine de conseils avisés ! Le principe des groupes et de limiter la *rétention* d'information, merci de penser aux autres !
Je comprends votre émoi, mais faire la part des choses est parfois difficile. Car ayant un peu dépassé le cadre de l’objet de mon message, j’aurais pu tout aussi bien me faire rembarrer ! Mais je suis ravi que mon sujet vous intéresse :p
Sinon je ne crois pas que le problème du *nettoyage* du vinyl avant repiquage ait été évoqué : quelle est la meilleure solution ?
Lu sur le forum : disque plongé dans de l’eau additionnée d’un peu de liquide vaisselle ou nettoyage avec de l’eau distillée. Mais avec quoi peut-on les essuyer ? Chiffon non pelucheux, je m’en doute ! Peut-on utiliser une peau de chamois ou un chiffon à lunettes, par exemple. J’ai fait le test avec une éponge et de l’eau (du robinet), et je dois dire que l’écoute est tout de suite beaucoup plus « propre » (sans rire !).
Autre question : jusqu'à quel point faut-il pousser le nettoyage numérique ? Dans mes tentatives précédentes en la matière, je me bornais à faire une sauvegarde sur CD en AIFF en laissant à "plus tard" le traitement. Éthiquement, ne vaut-il pas mieux faire un "master" le plus fidèle possible et incluant les craquements ?
Là, je pense que c’est très personnel. Si vous êtes nostalgique, gardez les craquements, et enregistrez tel quel. Si vous êtes maniaque, faites un nettoyage numérique. Perso, je suis un peu les deux :) Donc, pourquoi ne pas rester le plus près possible de l’enregistrement d’origine et ôter les craquements, par exemple. Pour le moment, je serais près à garder les bruits émis par le frottement du diamant sur le disque, mais les craquements, non !
A vot’ service, -- Amicalement, Olivier. ########### Site : http://perso.club-internet.fr/olaroche/
Jean-Pierre Roche
Olivier Laroche a écrit :
Lu sur le forum : disque plongé dans de l’eau additionnée d’un peu de liquide vaisselle ou nettoyage avec de l’eau distillée. Mais avec quoi peut-on les essuyer ? Chiffon non pelucheux, je m’en doute ! Peut-on utiliser une peau de chamois ou un chiffon à lunettes, par exemple.
Avec rien... On les mets sur la tranche dans un égouttoir à vaisselle et on attend (en évitant de faire de la friture à coté...).
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Olivier Laroche a écrit :
Lu sur le forum : disque plongé dans de l’eau additionnée d’un peu de
liquide vaisselle ou nettoyage avec de l’eau distillée.
Mais avec quoi peut-on les essuyer ? Chiffon non pelucheux, je m’en
doute ! Peut-on utiliser une peau de chamois ou un chiffon à lunettes,
par exemple.
Avec rien... On les mets sur la tranche dans un égouttoir à
vaisselle et on attend (en évitant de faire de la friture à
coté...).
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
Lu sur le forum : disque plongé dans de l’eau additionnée d’un peu de liquide vaisselle ou nettoyage avec de l’eau distillée. Mais avec quoi peut-on les essuyer ? Chiffon non pelucheux, je m’en doute ! Peut-on utiliser une peau de chamois ou un chiffon à lunettes, par exemple.
Avec rien... On les mets sur la tranche dans un égouttoir à vaisselle et on attend (en évitant de faire de la friture à coté...).
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
François Polloli
Le 25/11/04 4:52, dans 1gnrsa0.1k64z2q7yrokwN%, « Gerald » a écrit :
Sinon je ne crois pas que le problème du *nettoyage* du vinyl avant repiquage ait été évoqué : quelle est la meilleure solution ?
Voici une "recette" de potion qui m'a été communiquée par un maniaque du vinyle...
- un tiers d'alcool à 90° - deux tiers d'eau distillée (ou au moins déminéralisée) - 3 gouttes de mouillant par litre de solution.
L'idéal est d'utiliser du produit mouillant pour tirage photo papier, mais du liquide vaisselle peut aussi faire l'affaire.
...
Perso, je n'ai pas encore eu l'occasion de tester cette potion, mais elle me paraît bonne (en plus d'un coût de revient absolument imbatable !). J'ai constaté (à ma grande surprise !) que le mélange eau/alcool était exothermique quand j'ai préparé mon petit bidon... mes cours de chimie sont un peu lointains... et je certifie que j'étais à jeun...
ATTENTION à l'essuyage : il convient d'essuyer le disque dans le sens des sillons afin de ne pas ajouter de nouvelles rayures occasionnées par les poussières qui auraient été décollées par l'opération de lavage. Si le disque est très sale, on peut le laver deux fois. La solution d'un trempage évite les frottements sur la surface, mais nécessite une grande quantité de produit... bref, chacun se démerde !...
L'eau du robinet est à proscrire absolument car calcaire (surtout par chez toi).
@ +
--
François - pas d'eau dans le pinard, surtout s'il est jaune
Le 25/11/04 4:52, dans 1gnrsa0.1k64z2q7yrokwN%Gerald@alussinan.org,
« Gerald » <Gerald@alussinan.org> a écrit :
Sinon je ne crois pas que le problème du *nettoyage* du vinyl avant
repiquage ait été évoqué : quelle est la meilleure solution ?
Voici une "recette" de potion qui m'a été communiquée par un maniaque du
vinyle...
- un tiers d'alcool à 90°
- deux tiers d'eau distillée (ou au moins déminéralisée)
- 3 gouttes de mouillant par litre de solution.
L'idéal est d'utiliser du produit mouillant pour tirage photo papier, mais
du liquide vaisselle peut aussi faire l'affaire.
...
Perso, je n'ai pas encore eu l'occasion de tester cette potion, mais elle me
paraît bonne (en plus d'un coût de revient absolument imbatable !). J'ai
constaté (à ma grande surprise !) que le mélange eau/alcool était
exothermique quand j'ai préparé mon petit bidon... mes cours de chimie sont
un peu lointains... et je certifie que j'étais à jeun...
ATTENTION à l'essuyage : il convient d'essuyer le disque dans le sens des
sillons afin de ne pas ajouter de nouvelles rayures occasionnées par les
poussières qui auraient été décollées par l'opération de lavage. Si le
disque est très sale, on peut le laver deux fois. La solution d'un trempage
évite les frottements sur la surface, mais nécessite une grande quantité de
produit... bref, chacun se démerde !...
L'eau du robinet est à proscrire absolument car calcaire (surtout par chez
toi).
@ +
--
François - pas d'eau dans le pinard, surtout s'il est jaune
Le 25/11/04 4:52, dans 1gnrsa0.1k64z2q7yrokwN%, « Gerald » a écrit :
Sinon je ne crois pas que le problème du *nettoyage* du vinyl avant repiquage ait été évoqué : quelle est la meilleure solution ?
Voici une "recette" de potion qui m'a été communiquée par un maniaque du vinyle...
- un tiers d'alcool à 90° - deux tiers d'eau distillée (ou au moins déminéralisée) - 3 gouttes de mouillant par litre de solution.
L'idéal est d'utiliser du produit mouillant pour tirage photo papier, mais du liquide vaisselle peut aussi faire l'affaire.
...
Perso, je n'ai pas encore eu l'occasion de tester cette potion, mais elle me paraît bonne (en plus d'un coût de revient absolument imbatable !). J'ai constaté (à ma grande surprise !) que le mélange eau/alcool était exothermique quand j'ai préparé mon petit bidon... mes cours de chimie sont un peu lointains... et je certifie que j'étais à jeun...
ATTENTION à l'essuyage : il convient d'essuyer le disque dans le sens des sillons afin de ne pas ajouter de nouvelles rayures occasionnées par les poussières qui auraient été décollées par l'opération de lavage. Si le disque est très sale, on peut le laver deux fois. La solution d'un trempage évite les frottements sur la surface, mais nécessite une grande quantité de produit... bref, chacun se démerde !...
L'eau du robinet est à proscrire absolument car calcaire (surtout par chez toi).
@ +
--
François - pas d'eau dans le pinard, surtout s'il est jaune
Gerald
François Polloli wrote:
Voici une "recette" de potion qui m'a été communiquée par un maniaque du vinyle...
- un tiers d'alcool à 90° - deux tiers d'eau distillée (ou au moins déminéralisée) - 3 gouttes de mouillant par litre de solution.
C'est une solution qui me plait et que je tenterai peut-être... J'avais eu des déconvenues avec la solution "vaisselle" (à l'eau du robinet), qui laissait en fait des micro-gouttes dans les sillons et probablement ensuite du calcaire. Toujours est-il que ça grattait plutôt "plus" après qu'avant.
Mais toujours dans ma démarche "éthique" (qui n'oblige absolument personne d'autre que moi !), j'en suis plutôt à utiliser une vieille brosse "carbone" électrostatique et à laisser au maximum le vinyl "en l'état", partant de l'idée que cet état fait partie intégrante de l'histoire de la musique qu'il comporte... Un peu comme les chasseurs de sons qui banissent au maximum tout traitement audionumérique du son... et recherchent des micros en paire couplée dont les membranes et la mécanique ont toujours été soumises rigoureusement aux mêmes contraintes au cours de leur vie... J'en suis même à me demander s'il ne faudrait pas faire que deux plages en laissant à des versions ultérieures le soin de savoir s'il faut modifier les pauses entre morceaux et remplacer le bruit de fond par un silence équivalent ou moindre...
Il existe une série de disques de Parker chez Savoy où ils ont gravé toutes les prises, même incomplètes ou ratées, et c'est dans ces quelques secondes de rigolade entre Miles Davis et le Bird suite à un pain ou à une reprise manquée que vient se nicher toute l'atmosphère et l'ambiance de ce studio un certain jour de juillet 1947... Je trouve ça très émouvant...
-- Gérald
François Polloli <f_polloli@hotmail.com> wrote:
Voici une "recette" de potion qui m'a été communiquée par un maniaque du
vinyle...
- un tiers d'alcool à 90°
- deux tiers d'eau distillée (ou au moins déminéralisée)
- 3 gouttes de mouillant par litre de solution.
C'est une solution qui me plait et que je tenterai peut-être... J'avais
eu des déconvenues avec la solution "vaisselle" (à l'eau du robinet),
qui laissait en fait des micro-gouttes dans les sillons et probablement
ensuite du calcaire. Toujours est-il que ça grattait plutôt "plus" après
qu'avant.
Mais toujours dans ma démarche "éthique" (qui n'oblige absolument
personne d'autre que moi !), j'en suis plutôt à utiliser une vieille
brosse "carbone" électrostatique et à laisser au maximum le vinyl "en
l'état", partant de l'idée que cet état fait partie intégrante de
l'histoire de la musique qu'il comporte... Un peu comme les chasseurs de
sons qui banissent au maximum tout traitement audionumérique du son...
et recherchent des micros en paire couplée dont les membranes et la
mécanique ont toujours été soumises rigoureusement aux mêmes contraintes
au cours de leur vie... J'en suis même à me demander s'il ne faudrait
pas faire que deux plages en laissant à des versions ultérieures le soin
de savoir s'il faut modifier les pauses entre morceaux et remplacer le
bruit de fond par un silence équivalent ou moindre...
Il existe une série de disques de Parker chez Savoy où ils ont gravé
toutes les prises, même incomplètes ou ratées, et c'est dans ces
quelques secondes de rigolade entre Miles Davis et le Bird suite à un
pain ou à une reprise manquée que vient se nicher toute l'atmosphère et
l'ambiance de ce studio un certain jour de juillet 1947... Je trouve ça
très émouvant...
Voici une "recette" de potion qui m'a été communiquée par un maniaque du vinyle...
- un tiers d'alcool à 90° - deux tiers d'eau distillée (ou au moins déminéralisée) - 3 gouttes de mouillant par litre de solution.
C'est une solution qui me plait et que je tenterai peut-être... J'avais eu des déconvenues avec la solution "vaisselle" (à l'eau du robinet), qui laissait en fait des micro-gouttes dans les sillons et probablement ensuite du calcaire. Toujours est-il que ça grattait plutôt "plus" après qu'avant.
Mais toujours dans ma démarche "éthique" (qui n'oblige absolument personne d'autre que moi !), j'en suis plutôt à utiliser une vieille brosse "carbone" électrostatique et à laisser au maximum le vinyl "en l'état", partant de l'idée que cet état fait partie intégrante de l'histoire de la musique qu'il comporte... Un peu comme les chasseurs de sons qui banissent au maximum tout traitement audionumérique du son... et recherchent des micros en paire couplée dont les membranes et la mécanique ont toujours été soumises rigoureusement aux mêmes contraintes au cours de leur vie... J'en suis même à me demander s'il ne faudrait pas faire que deux plages en laissant à des versions ultérieures le soin de savoir s'il faut modifier les pauses entre morceaux et remplacer le bruit de fond par un silence équivalent ou moindre...
Il existe une série de disques de Parker chez Savoy où ils ont gravé toutes les prises, même incomplètes ou ratées, et c'est dans ces quelques secondes de rigolade entre Miles Davis et le Bird suite à un pain ou à une reprise manquée que vient se nicher toute l'atmosphère et l'ambiance de ce studio un certain jour de juillet 1947... Je trouve ça très émouvant...
