Nos "exigences" en matière de qualité sonore, ça n'est vraiment qu'un vieux vieux souvenir.
Pareil en qualité d'images. Même les journaux télévisés diffusent sans vergogne des reportages ultra-compressés, et ce ne sont pas des vidéos d'amateurs tournées avec des portables ! Quant à mes cleitns, ils m'avouent sans vergogne que si la photo est pass top, c'est pas grave, du moment qu'on peut l'envoyer par mail... -- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
Nos "exigences" en matière de
qualité sonore, ça n'est vraiment qu'un vieux vieux souvenir.
Pareil en qualité d'images. Même les journaux télévisés diffusent sans
vergogne des reportages ultra-compressés, et ce ne sont pas des vidéos
d'amateurs tournées avec des portables ! Quant à mes cleitns, ils
m'avouent sans vergogne que si la photo est pass top, c'est pas grave,
du moment qu'on peut l'envoyer par mail...
--
Tardigradus
e^iπ=-1 c'est magnifique
Nos "exigences" en matière de qualité sonore, ça n'est vraiment qu'un vieux vieux souvenir.
Pareil en qualité d'images. Même les journaux télévisés diffusent sans vergogne des reportages ultra-compressés, et ce ne sont pas des vidéos d'amateurs tournées avec des portables ! Quant à mes cleitns, ils m'avouent sans vergogne que si la photo est pass top, c'est pas grave, du moment qu'on peut l'envoyer par mail... -- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
Paul Gaborit
À (at) Tue, 20 Oct 2009 18:59:08 +0200, (Une Bévue) écrivait (wrote):
de toutes façonc, ça ne marche pas, j'ai la même erreur qu'avant...
Ah ? Bizarre. J'ai utilisé cette procédure de nombreuses fois sur iTunes tant sur Mac OS X que sur Windows et ça marche très bien.
je vais effacer ces m4a et mp3
réenregistrer les deux disques en mp3 graver le cd
supprimer les mp3 et les ré-enregistrer en aac...
Si vous avez du temps à perdre...
-- Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
À (at) Tue, 20 Oct 2009 18:59:08 +0200,
unbewusst.sein@google.com.invalid (Une Bévue) écrivait (wrote):
de toutes façonc, ça ne marche pas, j'ai la même erreur qu'avant...
Ah ? Bizarre. J'ai utilisé cette procédure de nombreuses fois sur
iTunes tant sur Mac OS X que sur Windows et ça marche très bien.
je vais effacer ces m4a et mp3
réenregistrer les deux disques en mp3
graver le cd
supprimer les mp3 et les ré-enregistrer en aac...
Si vous avez du temps à perdre...
--
Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
À (at) Tue, 20 Oct 2009 18:59:08 +0200, (Une Bévue) écrivait (wrote):
de toutes façonc, ça ne marche pas, j'ai la même erreur qu'avant...
Ah ? Bizarre. J'ai utilisé cette procédure de nombreuses fois sur iTunes tant sur Mac OS X que sur Windows et ça marche très bien.
je vais effacer ces m4a et mp3
réenregistrer les deux disques en mp3 graver le cd
supprimer les mp3 et les ré-enregistrer en aac...
Si vous avez du temps à perdre...
-- Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
Paul Gaborit
À (at) Tue, 20 Oct 2009 19:29:23 +0200, (Une Bévue) écrivait (wrote):
Une Bévue wrote:
réenregistrer les deux disques en mp3 graver le cd
c'est fait MAIS dans le désordre !!!
en fait j'ai gravé le contenu de deux disques d'Oscar Peterson Trio : Nigth Train et We Get Requests et iTunes m'a mélangé, partiellement, les deux disques dans le disque mp3 résultant...
C'est pas gagné...
-- Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
À (at) Tue, 20 Oct 2009 19:29:23 +0200,
unbewusst.sein@google.com.invalid (Une Bévue) écrivait (wrote):
Une Bévue <unbewusst.sein@google.com.invalid> wrote:
réenregistrer les deux disques en mp3
graver le cd
c'est fait MAIS dans le désordre !!!
en fait j'ai gravé le contenu de deux disques d'Oscar Peterson Trio :
Nigth Train et We Get Requests et iTunes m'a mélangé, partiellement, les
deux disques dans le disque mp3 résultant...
C'est pas gagné...
--
Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
À (at) Tue, 20 Oct 2009 19:29:23 +0200, (Une Bévue) écrivait (wrote):
Une Bévue wrote:
réenregistrer les deux disques en mp3 graver le cd
c'est fait MAIS dans le désordre !!!
en fait j'ai gravé le contenu de deux disques d'Oscar Peterson Trio : Nigth Train et We Get Requests et iTunes m'a mélangé, partiellement, les deux disques dans le disque mp3 résultant...
C'est pas gagné...
-- Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
Paul Gaborit
À (at) Tue, 20 Oct 2009 19:05:08 +0200, (jean-marc Mannucci) écrivait (wrote):
Paul Gaborit wrote:
Comment voudriez-vous faire autrement ?
dans Toast, pas de conversion prélable: on peut graver un disque mp3 en y déposant des m4a...
Et les mp3 qui sont gravés, d'où viennent-ils ? Apparaissent-ils comme par magie ?
La différence entre iTunes et Toast est qu'avec le premier il faut effectuer les conversions manuellement alors qu'avec le second c'est automatique mais il faut payer.
-- Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
À (at) Tue, 20 Oct 2009 19:05:08 +0200,
mannucci_spamkiller@wild-works.net (jean-marc Mannucci) écrivait (wrote):
Paul Gaborit <Paul.Gaborit@invalid.invalid> wrote:
Comment voudriez-vous faire autrement ?
dans Toast, pas de conversion prélable: on peut graver un disque mp3 en
y déposant des m4a...
Et les mp3 qui sont gravés, d'où viennent-ils ? Apparaissent-ils comme
par magie ?
La différence entre iTunes et Toast est qu'avec le premier il faut
effectuer les conversions manuellement alors qu'avec le second c'est
automatique mais il faut payer.
--
Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
À (at) Tue, 20 Oct 2009 19:05:08 +0200, (jean-marc Mannucci) écrivait (wrote):
Paul Gaborit wrote:
Comment voudriez-vous faire autrement ?
dans Toast, pas de conversion prélable: on peut graver un disque mp3 en y déposant des m4a...
Et les mp3 qui sont gravés, d'où viennent-ils ? Apparaissent-ils comme par magie ?
La différence entre iTunes et Toast est qu'avec le premier il faut effectuer les conversions manuellement alors qu'avec le second c'est automatique mais il faut payer.
-- Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
Paul Gaborit
À (at) Tue, 20 Oct 2009 19:02:19 +0200, (Une Bévue) écrivait (wrote):
Gerald wrote:
La "bonne" solution consiste à repartir du CD original et de refabriquer ces merdes de MP3. Mais la vraie bonne solution serait que ta copine change d'environnement et utilise des formats compressés de meilleure qualité : AAC ou Ogg Vorbis !
oui, merci, j'avais intuité ça aussi, mais bon, changer le matos de ma copine, c'est en cours, je vais lui acheter un ampli tuner WiFi...
Quitte à changer de format autant viser de la qualité : ALAC, FLAC... où le L signifie « Lossless », c'est-à-dire sans perte.
-- Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
À (at) Tue, 20 Oct 2009 19:02:19 +0200,
unbewusst.sein@google.com.invalid (Une Bévue) écrivait (wrote):
Gerald <Gerald@alussinan.org> wrote:
La "bonne" solution consiste à repartir du CD original et de refabriquer
ces merdes de MP3. Mais la vraie bonne solution serait que ta copine
change d'environnement et utilise des formats compressés de meilleure
qualité : AAC ou Ogg Vorbis !
oui, merci, j'avais intuité ça aussi, mais bon, changer le matos de ma
copine, c'est en cours, je vais lui acheter un ampli tuner WiFi...
Quitte à changer de format autant viser de la qualité : ALAC,
FLAC... où le L signifie « Lossless », c'est-à-dire sans perte.
--
Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
À (at) Tue, 20 Oct 2009 19:02:19 +0200, (Une Bévue) écrivait (wrote):
Gerald wrote:
La "bonne" solution consiste à repartir du CD original et de refabriquer ces merdes de MP3. Mais la vraie bonne solution serait que ta copine change d'environnement et utilise des formats compressés de meilleure qualité : AAC ou Ogg Vorbis !
oui, merci, j'avais intuité ça aussi, mais bon, changer le matos de ma copine, c'est en cours, je vais lui acheter un ampli tuner WiFi...
Quitte à changer de format autant viser de la qualité : ALAC, FLAC... où le L signifie « Lossless », c'est-à-dire sans perte.
-- Paul Gaborit - <http://perso.mines-albi.fr/~gaborit/>
blanc
Tardigradus wrote:
Quant à mes cleitns, ils m'avouent sans vergogne que si la photo est pass top, c'est pas grave, du moment qu'on peut l'envoyer par mail...
J'espère que tu leur dis qu'on peut aussi envoyer par mail des photos de qualité honorable. :-)
-- JiPaul. / /--/--// Jean-Paul Blanc |/| L | quelquepart en (somewhere in) /|| = ||| FRANCE
Quant à mes cleitns, ils m'avouent sans vergogne que si la photo est pass top, c'est pas grave, du moment qu'on peut l'envoyer par mail...
J'espère que tu leur dis qu'on peut aussi envoyer par mail des photos de qualité honorable. :-)
-- JiPaul. / /--/--// Jean-Paul Blanc |/| L | quelquepart en (somewhere in) /|| = ||| FRANCE
Gerald
jean-marc Mannucci wrote:
Dans les meilleurs des cas, on a au moins une bonne moitié de notre base qui est encodée en 128 kbps, et, ô comble, on écoute les dites-oeuvres avec des iPods ou des enceintes en plastaga reliées à l'ordi. Donc, finalement, l'histoire de choisir le format-machin plutôt que le format-truc, c'est de la merde en barre, pardonne-moi... Pour moi, la difference de qualité entre le mp3 et le m4a, fût-elle importante, ça ne vaut que peanuts à coté ce constat sur les comportements.
J'ai un avis différent : cette attitude est, à tout prendre, moins pire que celle des audiophiles qui confondent le contenu et le flacon (ou privilégient le flacon au détriment du contenu).
La différence de qualité entre MP3 et AAC (256, qui est la norme sur l'AS) n'est pas anecdotique : dans la grande majorité des cas la limite *humaine* de discrimination passe entre les deux, tous systèmes de diffusion confondus. Je suis un peu seul dans le milieu de l'audio-pro (qui a d'autres raisons, valables) à défendre que si humainement, en double-aveugle, on ne peut pas faire la différence, entre une compression et un non-compressé, on est dans le bon. Ce n'est pas le cas avec le MP3, loin s'en faut. C'est le cas assez largement avec l'AAC 256.
J'ai un peu mon "disque test" pour le vérifier. Il faut prendre une oeuvre à grande amplitude dynamique comme le beau blaireau de Draveil... oups ! Le boléro de Ravel voulais-je dire. Une compression MP3 standard en rend le début en général totalement inaudible, le signal devenant inférieur au bruit de fond.
Mais se pose alors le problème de la compression audio à l'enregistrement : même pour des oeuvres classiques et pour des éditeurs prestigieux elle est toujours présente, et bien que les deux types de compression n'aient, en soi, rien à voir, dans le monde réel, le problème de la limite entre audible non-audible est bien là, dans un cas comme dans l'autre.
In fine, cette histoire nous rappelle les limites de la numérisation et l'importance des sources (*). Jusqu'à un point précis toutefois, dont je ne sais pas bien anticiper la nature : celui où la finesse d'échantillonnage dépasse de loin les capacités de perception humaine d'une part, et où le temps et son oeuvre destructrice rend la numérosation seule dépositaire de la mémoire inaltérée d'autre part.
C'était notre quart d'heure philosophique... :-)
(*) se souvenir que les sources peuvent conserver des traces qui ne sont mises en évidence _que_ par les techniques modernes numériques. Je pense naturellement à la recréation d'ambiance sonore des premiers enregistrements stéréo "live", mais aussi, plus anecdotiquement et avec un peu d'amusement, à ceux qui espèrent retrouver des traces audio dans les poteries anciennes utilisées, à leur corps défendant, comme premier "macrosillons" lors de leur tournage :-)
Dans les meilleurs des cas, on a au moins une bonne moitié de notre base
qui est encodée en 128 kbps, et, ô comble, on écoute les dites-oeuvres
avec des iPods ou des enceintes en plastaga reliées à l'ordi.
Donc, finalement, l'histoire de choisir le format-machin plutôt que le
format-truc, c'est de la merde en barre, pardonne-moi...
Pour moi, la difference de qualité entre le mp3 et le m4a, fût-elle
importante, ça ne vaut que peanuts à coté ce constat sur les
comportements.
J'ai un avis différent : cette attitude est, à tout prendre, moins pire
que celle des audiophiles qui confondent le contenu et le flacon (ou
privilégient le flacon au détriment du contenu).
La différence de qualité entre MP3 et AAC (256, qui est la norme sur
l'AS) n'est pas anecdotique : dans la grande majorité des cas la limite
*humaine* de discrimination passe entre les deux, tous systèmes de
diffusion confondus. Je suis un peu seul dans le milieu de l'audio-pro
(qui a d'autres raisons, valables) à défendre que si humainement, en
double-aveugle, on ne peut pas faire la différence, entre une
compression et un non-compressé, on est dans le bon. Ce n'est pas le cas
avec le MP3, loin s'en faut. C'est le cas assez largement avec l'AAC
256.
J'ai un peu mon "disque test" pour le vérifier. Il faut prendre une
oeuvre à grande amplitude dynamique comme le beau blaireau de Draveil...
oups ! Le boléro de Ravel voulais-je dire. Une compression MP3 standard
en rend le début en général totalement inaudible, le signal devenant
inférieur au bruit de fond.
Mais se pose alors le problème de la compression audio à
l'enregistrement : même pour des oeuvres classiques et pour des éditeurs
prestigieux elle est toujours présente, et bien que les deux types de
compression n'aient, en soi, rien à voir, dans le monde réel, le
problème de la limite entre audible non-audible est bien là, dans un cas
comme dans l'autre.
In fine, cette histoire nous rappelle les limites de la numérisation et
l'importance des sources (*). Jusqu'à un point précis toutefois, dont je
ne sais pas bien anticiper la nature : celui où la finesse
d'échantillonnage dépasse de loin les capacités de perception humaine
d'une part, et où le temps et son oeuvre destructrice rend la
numérosation seule dépositaire de la mémoire inaltérée d'autre part.
C'était notre quart d'heure philosophique... :-)
(*) se souvenir que les sources peuvent conserver des traces qui ne sont
mises en évidence _que_ par les techniques modernes numériques. Je pense
naturellement à la recréation d'ambiance sonore des premiers
enregistrements stéréo "live", mais aussi, plus anecdotiquement et avec
un peu d'amusement, à ceux qui espèrent retrouver des traces audio dans
les poteries anciennes utilisées, à leur corps défendant, comme premier
"macrosillons" lors de leur tournage :-)
Dans les meilleurs des cas, on a au moins une bonne moitié de notre base qui est encodée en 128 kbps, et, ô comble, on écoute les dites-oeuvres avec des iPods ou des enceintes en plastaga reliées à l'ordi. Donc, finalement, l'histoire de choisir le format-machin plutôt que le format-truc, c'est de la merde en barre, pardonne-moi... Pour moi, la difference de qualité entre le mp3 et le m4a, fût-elle importante, ça ne vaut que peanuts à coté ce constat sur les comportements.
J'ai un avis différent : cette attitude est, à tout prendre, moins pire que celle des audiophiles qui confondent le contenu et le flacon (ou privilégient le flacon au détriment du contenu).
La différence de qualité entre MP3 et AAC (256, qui est la norme sur l'AS) n'est pas anecdotique : dans la grande majorité des cas la limite *humaine* de discrimination passe entre les deux, tous systèmes de diffusion confondus. Je suis un peu seul dans le milieu de l'audio-pro (qui a d'autres raisons, valables) à défendre que si humainement, en double-aveugle, on ne peut pas faire la différence, entre une compression et un non-compressé, on est dans le bon. Ce n'est pas le cas avec le MP3, loin s'en faut. C'est le cas assez largement avec l'AAC 256.
J'ai un peu mon "disque test" pour le vérifier. Il faut prendre une oeuvre à grande amplitude dynamique comme le beau blaireau de Draveil... oups ! Le boléro de Ravel voulais-je dire. Une compression MP3 standard en rend le début en général totalement inaudible, le signal devenant inférieur au bruit de fond.
Mais se pose alors le problème de la compression audio à l'enregistrement : même pour des oeuvres classiques et pour des éditeurs prestigieux elle est toujours présente, et bien que les deux types de compression n'aient, en soi, rien à voir, dans le monde réel, le problème de la limite entre audible non-audible est bien là, dans un cas comme dans l'autre.
In fine, cette histoire nous rappelle les limites de la numérisation et l'importance des sources (*). Jusqu'à un point précis toutefois, dont je ne sais pas bien anticiper la nature : celui où la finesse d'échantillonnage dépasse de loin les capacités de perception humaine d'une part, et où le temps et son oeuvre destructrice rend la numérosation seule dépositaire de la mémoire inaltérée d'autre part.
C'était notre quart d'heure philosophique... :-)
(*) se souvenir que les sources peuvent conserver des traces qui ne sont mises en évidence _que_ par les techniques modernes numériques. Je pense naturellement à la recréation d'ambiance sonore des premiers enregistrements stéréo "live", mais aussi, plus anecdotiquement et avec un peu d'amusement, à ceux qui espèrent retrouver des traces audio dans les poteries anciennes utilisées, à leur corps défendant, comme premier "macrosillons" lors de leur tournage :-)
-- Gérald
unbewusst.sein
Paul Gaborit wrote:
La différence entre iTunes et Toast est qu'avec le premier il faut effectuer les conversions manuellement alors qu'avec le second c'est automatique mais il faut payer.
oui, c'est exactement ça mais bon, compte tenu de la nature du signal, il vaut mieux finalement, repasser par l'aif plutôt que convertir l'aac en mp3. -- La politique est l'art d'empécher les gens de se méler de ce qui les regarde. Paul Valéry
Paul Gaborit <Paul.Gaborit@invalid.invalid> wrote:
La différence entre iTunes et Toast est qu'avec le premier il faut
effectuer les conversions manuellement alors qu'avec le second c'est
automatique mais il faut payer.
oui, c'est exactement ça mais bon, compte tenu de la nature du signal,
il vaut mieux finalement, repasser par l'aif plutôt que convertir l'aac
en mp3.
--
La politique est l'art d'empécher les gens
de se méler de ce qui les regarde.
Paul Valéry
La différence entre iTunes et Toast est qu'avec le premier il faut effectuer les conversions manuellement alors qu'avec le second c'est automatique mais il faut payer.
oui, c'est exactement ça mais bon, compte tenu de la nature du signal, il vaut mieux finalement, repasser par l'aif plutôt que convertir l'aac en mp3. -- La politique est l'art d'empécher les gens de se méler de ce qui les regarde. Paul Valéry
patrick.1200RTcazaux
JiPaul wrote:
J'espère que tu leur dis qu'on peut aussi envoyer par mail des photos de qualité honorable. :-)
Oui, bien sûr ! Mais le débat tourne autour du format JPEG, dont ils ignorent le fonctionnement et qu'ils ont tendance à utiliser n'importe comment, pourvu que ça fasse un document léger, et finalement peu importe le résultat, du moment qu'on reconnaît le contenu de la photo. Les artefacts, la perte de détails, l'impossibilité de retravailler correcctement, bof... -- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
JiPaul <blanc@empty.org> wrote:
J'espère que tu leur dis qu'on peut aussi envoyer par mail des photos de
qualité honorable. :-)
Oui, bien sûr ! Mais le débat tourne autour du format JPEG, dont ils
ignorent le fonctionnement et qu'ils ont tendance à utiliser n'importe
comment, pourvu que ça fasse un document léger, et finalement peu
importe le résultat, du moment qu'on reconnaît le contenu de la photo.
Les artefacts, la perte de détails, l'impossibilité de retravailler
correcctement, bof...
--
Tardigradus
e^iπ=-1 c'est magnifique
J'espère que tu leur dis qu'on peut aussi envoyer par mail des photos de qualité honorable. :-)
Oui, bien sûr ! Mais le débat tourne autour du format JPEG, dont ils ignorent le fonctionnement et qu'ils ont tendance à utiliser n'importe comment, pourvu que ça fasse un document léger, et finalement peu importe le résultat, du moment qu'on reconnaît le contenu de la photo. Les artefacts, la perte de détails, l'impossibilité de retravailler correcctement, bof... -- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
Gerald
Une Bévue wrote:
oui, c'est exactement ça mais bon, compte tenu de la nature du signal, il vaut mieux finalement, repasser par l'aif plutôt que convertir l'aac en mp3.
Comme déjà dit (sous réserves que le test réel montre le contraire) en principe il ne devrait y avoir aucune différence. Ce qui a été détruit pour comprimer en AAC restera détruit dans la reconversion en AIFF qui ne pourra pas avoir une qualité ou un spectre différent de l'original. Du coup la superposition d'une nouvelle compression destructrice risque (si l'algorithme de compression est différent) de placer de *nouvelles* destructions à des endroits différents des précédents.
AFAIK, c'est un gros problème qu'on rencontré historiquement les radios qui utilisent des protocoles de compression spécifiques dans leurs transmissions. Je ne sais pas si c'est actuellement réglé ni comment.
-- Gérald
Une Bévue <unbewusst.sein@google.com.invalid> wrote:
oui, c'est exactement ça mais bon, compte tenu de la nature du signal,
il vaut mieux finalement, repasser par l'aif plutôt que convertir l'aac
en mp3.
Comme déjà dit (sous réserves que le test réel montre le contraire) en
principe il ne devrait y avoir aucune différence. Ce qui a été détruit
pour comprimer en AAC restera détruit dans la reconversion en AIFF qui
ne pourra pas avoir une qualité ou un spectre différent de l'original.
Du coup la superposition d'une nouvelle compression destructrice risque
(si l'algorithme de compression est différent) de placer de *nouvelles*
destructions à des endroits différents des précédents.
AFAIK, c'est un gros problème qu'on rencontré historiquement les radios
qui utilisent des protocoles de compression spécifiques dans leurs
transmissions. Je ne sais pas si c'est actuellement réglé ni comment.
oui, c'est exactement ça mais bon, compte tenu de la nature du signal, il vaut mieux finalement, repasser par l'aif plutôt que convertir l'aac en mp3.
Comme déjà dit (sous réserves que le test réel montre le contraire) en principe il ne devrait y avoir aucune différence. Ce qui a été détruit pour comprimer en AAC restera détruit dans la reconversion en AIFF qui ne pourra pas avoir une qualité ou un spectre différent de l'original. Du coup la superposition d'une nouvelle compression destructrice risque (si l'algorithme de compression est différent) de placer de *nouvelles* destructions à des endroits différents des précédents.
AFAIK, c'est un gros problème qu'on rencontré historiquement les radios qui utilisent des protocoles de compression spécifiques dans leurs transmissions. Je ne sais pas si c'est actuellement réglé ni comment.
