voila ma question :
l'EOS20D et 350D ont une fonction réduction de bruit en longue pose. Mon
ESO 300D ne l'a pas. Le principe de la réduction de bruit repose sur le
principe de la double pose: une première pose pour prendre la photo, une
seconde avec la même durée d'activation du capteur mais sans exposition
réelle pour mesurer le bruit.Ensuite le bruit est enlevé de la première
photos par simple soustraction de la seconde pose.
Mon idée est de faire la même chose sur mon PC avec TOSHOP OU GIMP;
alors, l'avez vous fait ?
En fait, dans la vie courante (y compris dans la vie courante de scientifiques au boulot :-)), on appelle "bruit" tout ce qui n'est pas du "signal utile" dans des données. Ca implique de définir au cas par cas, en fonction du domaine, du problème étudié, etc... ce que l'on considère comme étant du "signal utile", le reste étant du "bruit". Et ça peut beaucoup varier. Notamment, le "bruit" n'est pas forcément un phénomène aléatoire.
Sur ça on est d'accord ;-)
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
En fait, dans la vie courante (y compris dans la vie courante de
scientifiques au boulot :-)), on appelle "bruit" tout ce qui n'est pas
du "signal utile" dans des données. Ca implique de définir au cas par
cas, en fonction du domaine, du problème étudié, etc... ce que l'on
considère comme étant du "signal utile", le reste étant du "bruit".
Et ça peut beaucoup varier. Notamment, le "bruit" n'est pas forcément
un phénomène aléatoire.
Sur ça on est d'accord ;-)
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
En fait, dans la vie courante (y compris dans la vie courante de scientifiques au boulot :-)), on appelle "bruit" tout ce qui n'est pas du "signal utile" dans des données. Ca implique de définir au cas par cas, en fonction du domaine, du problème étudié, etc... ce que l'on considère comme étant du "signal utile", le reste étant du "bruit". Et ça peut beaucoup varier. Notamment, le "bruit" n'est pas forcément un phénomène aléatoire.
Sur ça on est d'accord ;-)
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
pehache
Noëlle Adam wrote:
Les pixels "chauds " ou morts ne sont pas du bruit mais des défauts physiques situés à des endroits précis.
qui se traduisent par du "bruit" sur ton image, par opposition au signal utile.
Par contre le bruit electronique, d'autant plus présent que le signal est fort amplifié, visible sous forme de points colorés un peu partout et d'autant plus nombreux que l'amplification est importante, est réparti de façon aléatoire dans l'image.
C'est une autre forme de bruit.
Si on parle de traitement du signal, il y a différentes sortes de bruits mais le sens est tout de même précis.
Je serais intéressé si tu pouvais me trouver une définition précise pour le bruit, même en traitement du signal. Il y a en fait une multitude de définitions précises, autant que de problèmes différents abordés.
-- pehache
Noëlle Adam wrote:
Les pixels "chauds " ou morts ne sont pas du bruit mais des défauts
physiques situés à des endroits précis.
qui se traduisent par du "bruit" sur ton image, par opposition au
signal utile.
Par contre le bruit electronique, d'autant plus présent que le signal
est fort amplifié, visible sous forme de points colorés un peu partout
et d'autant plus nombreux que l'amplification est importante, est
réparti de façon aléatoire dans l'image.
C'est une autre forme de bruit.
Si on parle de traitement du signal, il y a différentes sortes de bruits
mais le sens est tout de même précis.
Je serais intéressé si tu pouvais me trouver une définition précise
pour le bruit, même en traitement du signal. Il y a en fait une
multitude de définitions précises, autant que de problèmes
différents abordés.
Les pixels "chauds " ou morts ne sont pas du bruit mais des défauts physiques situés à des endroits précis.
qui se traduisent par du "bruit" sur ton image, par opposition au signal utile.
Par contre le bruit electronique, d'autant plus présent que le signal est fort amplifié, visible sous forme de points colorés un peu partout et d'autant plus nombreux que l'amplification est importante, est réparti de façon aléatoire dans l'image.
C'est une autre forme de bruit.
Si on parle de traitement du signal, il y a différentes sortes de bruits mais le sens est tout de même précis.
Je serais intéressé si tu pouvais me trouver une définition précise pour le bruit, même en traitement du signal. Il y a en fait une multitude de définitions précises, autant que de problèmes différents abordés.
-- pehache
Charles VASSALLO
pehache wrote:
En fait, dans la vie courante (y compris dans la vie courante de scientifiques au boulot :-)), on appelle "bruit" tout ce qui n'est pas du "signal utile" dans des données. Ca implique de définir au cas par cas, en fonction du domaine, du problème étudié, etc... ce que l'on considère comme étant du "signal utile", le reste étant du "bruit". Et ça peut beaucoup varier. Notamment, le "bruit" n'est pas forcément un phénomène aléatoire.
Pour ma part (mais personne n'est obligé de me suivre) j'appelle "bruit" tout ce qui dégrade le signal idéal que devrait enregistrer le capteur : bruit de détection (à ce propos, ce bruit-là vient-il du détecteur ou des photons eux-mêmes, ah ah), mais aussi moirages, artefacts JPEG... Et pixels chauds, tant qu'à faire.
Pour le bruit aléatoire, si on travaille sur une nature bien morte sur un pied bien costaud, le plus simple conceptuellement est de prendre plusieurs poses sucessives et de faire la moyenne des images. Bon, en pratique, Ninja ou NeatImage...
Charles
pehache wrote:
En fait, dans la vie courante (y compris dans la vie courante de
scientifiques au boulot :-)), on appelle "bruit" tout ce qui n'est pas
du "signal utile" dans des données. Ca implique de définir au cas par
cas, en fonction du domaine, du problème étudié, etc... ce que l'on
considère comme étant du "signal utile", le reste étant du "bruit".
Et ça peut beaucoup varier. Notamment, le "bruit" n'est pas forcément
un phénomène aléatoire.
Pour ma part (mais personne n'est obligé de me suivre) j'appelle "bruit"
tout ce qui dégrade le signal idéal que devrait enregistrer le capteur :
bruit de détection (à ce propos, ce bruit-là vient-il du détecteur ou
des photons eux-mêmes, ah ah), mais aussi moirages, artefacts JPEG... Et
pixels chauds, tant qu'à faire.
Pour le bruit aléatoire, si on travaille sur une nature bien morte sur
un pied bien costaud, le plus simple conceptuellement est de prendre
plusieurs poses sucessives et de faire la moyenne des images. Bon, en
pratique, Ninja ou NeatImage...
En fait, dans la vie courante (y compris dans la vie courante de scientifiques au boulot :-)), on appelle "bruit" tout ce qui n'est pas du "signal utile" dans des données. Ca implique de définir au cas par cas, en fonction du domaine, du problème étudié, etc... ce que l'on considère comme étant du "signal utile", le reste étant du "bruit". Et ça peut beaucoup varier. Notamment, le "bruit" n'est pas forcément un phénomène aléatoire.
Pour ma part (mais personne n'est obligé de me suivre) j'appelle "bruit" tout ce qui dégrade le signal idéal que devrait enregistrer le capteur : bruit de détection (à ce propos, ce bruit-là vient-il du détecteur ou des photons eux-mêmes, ah ah), mais aussi moirages, artefacts JPEG... Et pixels chauds, tant qu'à faire.
Pour le bruit aléatoire, si on travaille sur une nature bien morte sur un pied bien costaud, le plus simple conceptuellement est de prendre plusieurs poses sucessives et de faire la moyenne des images. Bon, en pratique, Ninja ou NeatImage...
Charles
Jacques DASSIÉ
pehache a pensé très fort :
Noëlle Adam wrote:
Les pixels "chauds " ou morts ne sont pas du bruit mais des défauts physiques situés à des endroits précis.
qui se traduisent par du "bruit" sur ton image, par opposition au signal utile.
D'accord avec Noelle : je considère personnellement les pixels défectueux comme des signaux parasite. Ils sont stables, permanents et n'ont rien d'un bruit. Signaux parasites sur ton image, par opposition au signal utile. :-Z Je range les moirages dans la catégorie des artefacts. Connaissant le défaut, l'opérateur peut prendre des précautions pour le réduite, voire l'anihiler, (prendre une photo un peu oblique et la redresser ensuite...), ou le rechercher pour des effets.
Par contre le bruit electronique, d'autant plus présent que le signal est fort amplifié, visible sous forme de points colorés un peu partout et d'autant plus nombreux que l'amplification est importante, est réparti de façon aléatoire dans l'image.
C'est une autre forme de bruit.
Electronique ou thermique, je ne sais pas trancher. Mais les astrophotographes refroidissent tous leurs capteurs... Ce n'est sûrement pas pour rien. Je m'intéresse bien plus au résultat sur mes images, et à ce stade, un bruit est un signal dont la caractéristique principale est d'être aléatoire, d'avoir une amplitude et un spectre de distribution en fréquence. Les constucteurs peuvent agir sur lui. Nous, nous nous contentons de subir, voire d'essayer de le camoufler par différents artifices logiciels.
C'est en tout cas un excellent sujet de discussion.
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
pehache a pensé très fort :
Noëlle Adam wrote:
Les pixels "chauds " ou morts ne sont pas du bruit mais des défauts
physiques situés à des endroits précis.
qui se traduisent par du "bruit" sur ton image, par opposition au
signal utile.
D'accord avec Noelle : je considère personnellement les pixels
défectueux comme des signaux parasite.
Ils sont stables, permanents et n'ont rien d'un bruit.
Signaux parasites sur ton image, par opposition au signal utile. :-Z
Je range les moirages dans la catégorie des artefacts. Connaissant le
défaut, l'opérateur peut prendre des précautions pour le réduite, voire
l'anihiler,
(prendre une photo un peu oblique et la redresser ensuite...), ou le
rechercher pour des effets.
Par contre le bruit electronique, d'autant plus présent que le signal
est fort amplifié, visible sous forme de points colorés un peu partout
et d'autant plus nombreux que l'amplification est importante, est
réparti de façon aléatoire dans l'image.
C'est une autre forme de bruit.
Electronique ou thermique, je ne sais pas trancher. Mais les
astrophotographes refroidissent tous leurs capteurs...
Ce n'est sûrement pas pour rien.
Je m'intéresse bien plus au résultat sur mes images, et à ce stade, un
bruit est un signal dont la caractéristique principale est d'être
aléatoire, d'avoir une amplitude et un spectre de distribution en
fréquence.
Les constucteurs peuvent agir sur lui. Nous, nous nous contentons de
subir, voire d'essayer de le camoufler par différents artifices
logiciels.
C'est en tout cas un excellent sujet de discussion.
Les pixels "chauds " ou morts ne sont pas du bruit mais des défauts physiques situés à des endroits précis.
qui se traduisent par du "bruit" sur ton image, par opposition au signal utile.
D'accord avec Noelle : je considère personnellement les pixels défectueux comme des signaux parasite. Ils sont stables, permanents et n'ont rien d'un bruit. Signaux parasites sur ton image, par opposition au signal utile. :-Z Je range les moirages dans la catégorie des artefacts. Connaissant le défaut, l'opérateur peut prendre des précautions pour le réduite, voire l'anihiler, (prendre une photo un peu oblique et la redresser ensuite...), ou le rechercher pour des effets.
Par contre le bruit electronique, d'autant plus présent que le signal est fort amplifié, visible sous forme de points colorés un peu partout et d'autant plus nombreux que l'amplification est importante, est réparti de façon aléatoire dans l'image.
C'est une autre forme de bruit.
Electronique ou thermique, je ne sais pas trancher. Mais les astrophotographes refroidissent tous leurs capteurs... Ce n'est sûrement pas pour rien. Je m'intéresse bien plus au résultat sur mes images, et à ce stade, un bruit est un signal dont la caractéristique principale est d'être aléatoire, d'avoir une amplitude et un spectre de distribution en fréquence. Les constucteurs peuvent agir sur lui. Nous, nous nous contentons de subir, voire d'essayer de le camoufler par différents artifices logiciels.
C'est en tout cas un excellent sujet de discussion.
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Pehache XVII
Jacques DASSIÉ wrote:
D'accord avec Noelle : je considère personnellement les pixels défectueux comme des signaux parasite. Ils sont stables, permanents et n'ont rien d'un bruit. Signaux parasites sur ton image, par opposition au signal utile. :-Z
Je range les moirages dans la catégorie des artefacts.
Tout ce qui n'est pas signal utile *EST* du bruit. Je ne vois pas l'intérêt de multiplier les mots (artefact, parasite,...) pour désigner une seule et même chose.
Je m'intéresse bien plus au résultat sur mes images, et à ce stade, un bruit est un signal dont la caractéristique principale est d'être aléatoire, d'avoir une amplitude et un spectre de distribution en fréquence.
C'est une description très restrictive du bruit. Tu fais l'erreur classique qui consiste à assimiler "bruit" et phénomène aléatoire.
En photo, les artefacts JPG, les pixels chaud, le moutonnement dû à l'agitation thermique du capteur, sont tous considérés comme des bruits.
Pour un scientifique qui veut étudier l'agitation thermique, le moutonnement résultant n'est pas un bruit, mais du signal utile.
Tout est question de point de vue.
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
Jacques DASSIÉ wrote:
D'accord avec Noelle : je considère personnellement les pixels
défectueux comme des signaux parasite.
Ils sont stables, permanents et n'ont rien d'un bruit.
Signaux parasites sur ton image, par opposition au signal utile. :-Z
Je range les moirages dans la catégorie des artefacts.
Tout ce qui n'est pas signal utile *EST* du bruit. Je ne vois pas l'intérêt
de multiplier les mots (artefact, parasite,...) pour désigner une seule et
même chose.
Je m'intéresse bien plus au résultat sur mes images, et à ce stade, un
bruit est un signal dont la caractéristique principale est d'être
aléatoire, d'avoir une amplitude et un spectre de distribution en
fréquence.
C'est une description très restrictive du bruit. Tu fais l'erreur classique
qui consiste à assimiler "bruit" et phénomène aléatoire.
En photo, les artefacts JPG, les pixels chaud, le moutonnement dû à
l'agitation thermique du capteur, sont tous considérés comme des bruits.
Pour un scientifique qui veut étudier l'agitation thermique, le moutonnement
résultant n'est pas un bruit, mais du signal utile.
Tout est question de point de vue.
--
pehache
enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply
http://pehache.free.fr/public.html
D'accord avec Noelle : je considère personnellement les pixels défectueux comme des signaux parasite. Ils sont stables, permanents et n'ont rien d'un bruit. Signaux parasites sur ton image, par opposition au signal utile. :-Z
Je range les moirages dans la catégorie des artefacts.
Tout ce qui n'est pas signal utile *EST* du bruit. Je ne vois pas l'intérêt de multiplier les mots (artefact, parasite,...) pour désigner une seule et même chose.
Je m'intéresse bien plus au résultat sur mes images, et à ce stade, un bruit est un signal dont la caractéristique principale est d'être aléatoire, d'avoir une amplitude et un spectre de distribution en fréquence.
C'est une description très restrictive du bruit. Tu fais l'erreur classique qui consiste à assimiler "bruit" et phénomène aléatoire.
En photo, les artefacts JPG, les pixels chaud, le moutonnement dû à l'agitation thermique du capteur, sont tous considérés comme des bruits.
Pour un scientifique qui veut étudier l'agitation thermique, le moutonnement résultant n'est pas un bruit, mais du signal utile.
Tout est question de point de vue.
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
Jacques DASSIÉ
Tout ce qui n'est pas signal utile *EST* du bruit.
C'est la position de Vassalo, un peu plus haut, mais c'est une définition qui se veut généraliste
Je ne vois pas l'intérêt de multiplier les mots (artefact, parasite,...) pour désigner une seule et même chose.
Mais la précision de la langue qui permet d'appeler avec leurs noms spécifiques des phénomènes bien différents.
C'est une description très restrictive du bruit. Tu fais l'erreur classique qui consiste à assimiler "bruit" et phénomène aléatoire.
Dans le cas qui m'intéresse, la granulation artificielle et involontaire sur une image digitale, je persiste formellement.
En photo, les artefacts JPG, les pixels chaud, le moutonnement dû à l'agitation thermique du capteur, sont tous considérés comme des bruits.
Je ne suis pas photographe, donc libre de considérer le "moutonnement" comme un bruit aléatoire, analogue à la granulation argentique ou au souffle d'un ampli en hi-fi. Les autres phénomènes, sont parfaitement définis et répétitifs. Même l'artefact jpg ! Une même image de départ, soumise au même taux de compression, avec le même programme, sera toujours affectée des mêmes artefacts (qui obéissent aux lois de compression du programme), sans le moindre caractère aléatoire.
Tout est question de point de vue.
Bien entendu ! Tu vois que l'on peut tomber d'accord...
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
Tout ce qui n'est pas signal utile *EST* du bruit.
C'est la position de Vassalo, un peu plus haut, mais c'est une
définition qui se veut généraliste
Je ne vois pas l'intérêt
de multiplier les mots (artefact, parasite,...) pour désigner une seule et
même chose.
Mais la précision de la langue qui permet d'appeler avec leurs noms
spécifiques des phénomènes bien différents.
C'est une description très restrictive du bruit. Tu fais l'erreur classique
qui consiste à assimiler "bruit" et phénomène aléatoire.
Dans le cas qui m'intéresse, la granulation artificielle et
involontaire sur une image digitale, je persiste formellement.
En photo, les artefacts JPG, les pixels chaud, le moutonnement dû à
l'agitation thermique du capteur, sont tous considérés comme des bruits.
Je ne suis pas photographe, donc libre de considérer le "moutonnement"
comme un bruit aléatoire, analogue à la granulation argentique ou au
souffle d'un ampli en hi-fi. Les autres phénomènes, sont parfaitement
définis et répétitifs. Même l'artefact jpg ! Une même image de départ,
soumise au même taux de compression, avec le même programme, sera
toujours affectée des mêmes artefacts (qui obéissent aux lois de
compression du programme), sans le moindre caractère aléatoire.
Tout est question de point de vue.
Bien entendu ! Tu vois que l'on peut tomber d'accord...
Tout ce qui n'est pas signal utile *EST* du bruit.
C'est la position de Vassalo, un peu plus haut, mais c'est une définition qui se veut généraliste
Je ne vois pas l'intérêt de multiplier les mots (artefact, parasite,...) pour désigner une seule et même chose.
Mais la précision de la langue qui permet d'appeler avec leurs noms spécifiques des phénomènes bien différents.
C'est une description très restrictive du bruit. Tu fais l'erreur classique qui consiste à assimiler "bruit" et phénomène aléatoire.
Dans le cas qui m'intéresse, la granulation artificielle et involontaire sur une image digitale, je persiste formellement.
En photo, les artefacts JPG, les pixels chaud, le moutonnement dû à l'agitation thermique du capteur, sont tous considérés comme des bruits.
Je ne suis pas photographe, donc libre de considérer le "moutonnement" comme un bruit aléatoire, analogue à la granulation argentique ou au souffle d'un ampli en hi-fi. Les autres phénomènes, sont parfaitement définis et répétitifs. Même l'artefact jpg ! Une même image de départ, soumise au même taux de compression, avec le même programme, sera toujours affectée des mêmes artefacts (qui obéissent aux lois de compression du programme), sans le moindre caractère aléatoire.
Tout est question de point de vue.
Bien entendu ! Tu vois que l'on peut tomber d'accord...
-- Jacques DASSIÉ http://archaero.com/
pehache
Jacques DASSIÉ wrote:
Tout ce qui n'est pas signal utile *EST* du bruit.
C'est la position de Vassalo, un peu plus haut, mais c'est une définition qui se veut généraliste
Ce n'est pas une définition parmi d'autres, c'est la seule définition indiscutable du bruit en traitement du signal.
Je ne vois pas l'intérêt de multiplier les mots (artefact, parasite,...) pour désigner une seu le et même chose.
Mais la précision de la langue qui permet d'appeler avec leurs noms spécifiques des phénomènes bien différents.
Si tu veux, mais ça ne doit pas conduire à nier que ces phénomènes différents sont nénamoins des "bruits".
C'est une description très restrictive du bruit. Tu fais l'erreur cla ssique qui consiste à assimiler "bruit" et phénomène aléatoire.
Dans le cas qui m'intéresse, la granulation artificielle et involontaire sur une image digitale, je persiste formellement.
Errare humanum est, perserverare diabolicum :-))))
En photo, les artefacts JPG, les pixels chaud, le moutonnement dû à l'agitation thermique du capteur, sont tous considérés comme des br uits.
Je ne suis pas photographe, donc libre de considérer le "moutonnement" comme un bruit aléatoire, analogue à la granulation argentique ou au souffle d'un ampli en hi-fi.
Et tu as raison. Ce n'est pas ça que je conteste.
Les autres phénomènes, sont parfaitement définis et répétitifs. Même l'artefact jpg ! Une même image de départ, soumise au même taux de compression, avec le même programme, sera toujours affectée des mêmes artefacts (qui obéissent aux lois de compression du programme), sans le moindre caractère aléatoire.
Encore une fois, un bruit n'est pas forcément aléatoire. Les artefacts JPEG sont bel et bien du bruit. Prédictible, certes, mais du bruit quand même.
Tout est question de point de vue.
Bien entendu ! Tu vois que l'on peut tomber d'accord...
Non, je crois que tu n'as pas compris ce que j'entend par "point de vue".
-- pehache
Jacques DASSIÉ wrote:
Tout ce qui n'est pas signal utile *EST* du bruit.
C'est la position de Vassalo, un peu plus haut, mais c'est une
définition qui se veut généraliste
Ce n'est pas une définition parmi d'autres, c'est la seule définition
indiscutable du bruit en traitement du signal.
Je ne vois pas l'intérêt
de multiplier les mots (artefact, parasite,...) pour désigner une seu le et
même chose.
Mais la précision de la langue qui permet d'appeler avec leurs noms
spécifiques des phénomènes bien différents.
Si tu veux, mais ça ne doit pas conduire à nier que ces phénomènes
différents sont nénamoins des "bruits".
C'est une description très restrictive du bruit. Tu fais l'erreur cla ssique
qui consiste à assimiler "bruit" et phénomène aléatoire.
Dans le cas qui m'intéresse, la granulation artificielle et
involontaire sur une image digitale, je persiste formellement.
Errare humanum est, perserverare diabolicum :-))))
En photo, les artefacts JPG, les pixels chaud, le moutonnement dû à
l'agitation thermique du capteur, sont tous considérés comme des br uits.
Je ne suis pas photographe, donc libre de considérer le "moutonnement"
comme un bruit aléatoire, analogue à la granulation argentique ou au
souffle d'un ampli en hi-fi.
Et tu as raison. Ce n'est pas ça que je conteste.
Les autres phénomènes, sont parfaitement
définis et répétitifs. Même l'artefact jpg ! Une même image de départ,
soumise au même taux de compression, avec le même programme, sera
toujours affectée des mêmes artefacts (qui obéissent aux lois de
compression du programme), sans le moindre caractère aléatoire.
Encore une fois, un bruit n'est pas forcément aléatoire. Les
artefacts JPEG sont bel et bien du bruit. Prédictible, certes, mais du
bruit quand même.
Tout est question de point de vue.
Bien entendu ! Tu vois que l'on peut tomber d'accord...
Non, je crois que tu n'as pas compris ce que j'entend par "point de
vue".
Tout ce qui n'est pas signal utile *EST* du bruit.
C'est la position de Vassalo, un peu plus haut, mais c'est une définition qui se veut généraliste
Ce n'est pas une définition parmi d'autres, c'est la seule définition indiscutable du bruit en traitement du signal.
Je ne vois pas l'intérêt de multiplier les mots (artefact, parasite,...) pour désigner une seu le et même chose.
Mais la précision de la langue qui permet d'appeler avec leurs noms spécifiques des phénomènes bien différents.
Si tu veux, mais ça ne doit pas conduire à nier que ces phénomènes différents sont nénamoins des "bruits".
C'est une description très restrictive du bruit. Tu fais l'erreur cla ssique qui consiste à assimiler "bruit" et phénomène aléatoire.
Dans le cas qui m'intéresse, la granulation artificielle et involontaire sur une image digitale, je persiste formellement.
Errare humanum est, perserverare diabolicum :-))))
En photo, les artefacts JPG, les pixels chaud, le moutonnement dû à l'agitation thermique du capteur, sont tous considérés comme des br uits.
Je ne suis pas photographe, donc libre de considérer le "moutonnement" comme un bruit aléatoire, analogue à la granulation argentique ou au souffle d'un ampli en hi-fi.
Et tu as raison. Ce n'est pas ça que je conteste.
Les autres phénomènes, sont parfaitement définis et répétitifs. Même l'artefact jpg ! Une même image de départ, soumise au même taux de compression, avec le même programme, sera toujours affectée des mêmes artefacts (qui obéissent aux lois de compression du programme), sans le moindre caractère aléatoire.
Encore une fois, un bruit n'est pas forcément aléatoire. Les artefacts JPEG sont bel et bien du bruit. Prédictible, certes, mais du bruit quand même.
Tout est question de point de vue.
Bien entendu ! Tu vois que l'on peut tomber d'accord...
Non, je crois que tu n'as pas compris ce que j'entend par "point de vue".
-- pehache
Noëlle Adam
Jacques DASSIÉ wrote:
Electronique ou thermique, je ne sais pas trancher.
Moi non plus : le rendement electronique s'améliore en baissant la température, et l'activité des transistors dégage de la chaleur. J'ai l'impression d'ailleurs qu'il y a un effet de seuil, j'ai une série où j'ai déclenché sans arrêt pendant un long temps avec mon petit compact : à la fin de la série il y a un paquet d'images où le niveau de bruit est devenu brusquement très important ( la réduction auto étant off sur toutes les images ). A quand un apn à effet Peltier :) ?
Noëlle
Jacques DASSIÉ wrote:
Electronique ou thermique, je ne sais pas trancher.
Moi non plus : le rendement electronique s'améliore en baissant la
température, et l'activité des transistors dégage de la chaleur.
J'ai l'impression d'ailleurs qu'il y a un effet de seuil, j'ai une série
où j'ai déclenché sans arrêt pendant un long temps avec mon petit
compact : à la fin de la série il y a un paquet d'images où le niveau de
bruit est devenu brusquement très important ( la réduction auto étant
off sur toutes les images ).
A quand un apn à effet Peltier :) ?
Electronique ou thermique, je ne sais pas trancher.
Moi non plus : le rendement electronique s'améliore en baissant la température, et l'activité des transistors dégage de la chaleur. J'ai l'impression d'ailleurs qu'il y a un effet de seuil, j'ai une série où j'ai déclenché sans arrêt pendant un long temps avec mon petit compact : à la fin de la série il y a un paquet d'images où le niveau de bruit est devenu brusquement très important ( la réduction auto étant off sur toutes les images ). A quand un apn à effet Peltier :) ?