Nikon Scan possède une fonction de calcul automatique de l'exposition (qui
joue sur le temps d'exposition du film devant le capteur CCD pour chaque
canal RVB), que je désactive en règle générale pour ajuster moi-même les
paramètres. Toutefois, il m'arrive aussi de scanner en nombre (dans le genre
pour obtenir un scan de lecture), et là j'utilise cette fonction. Du moins
j'aimerais l'utiliser, car en j'ai un peu de mal à comprendre comment elle
se comporte, et le manuel est assez succint sur le sujet.
Pour commencer, elle peut être activée par défaut séparément pour l'aperçu
et/ou pour le scan final. Par ailleurs, si on ne l'active par défaut, on
peut l'appeler à la demande pendant la phase d'aperçu (bouton qui a un
symbole de contraste). Déjà là, ce n'est pas simple si on essaie de
réfléchir à tous les cas possibles. Notamment:
-- si on l'active par défaut pour l'aperçu mais pas pour le scan final, les
paramètres calculés à l'aperçu sont-ils appliqués au scan final ?
-- si on n'active rien par défaut, et qu'on demande ponctuellement un calcul
d'expo auto pour une des images de la bande (de négas, puisque c'est mon
cas), quelle est la portée des paramètres calculés sur l'image en cours ?
S'appliquent-ils :
-- à l'image en cours uniquement
-- à toutes les images de la bande de néga chargée
-- à toutes les images de la session de scan
(tant que Nikon Scan n'est pas refermé ?)
(sachant que les 3 possibiltés ont leurs avantages et leurs
inconvénients).
D'autres question me viennent:
-- est-elle calculée sur tout le cadre, ou bien sur la zone éventuellement
sélectionnée ? (on dirait que c'est toujours sur tout le cadre)
-- comment sur une image annuler une exposition auto et revenir à l'expo par
défaut ? Est-ce possible ?
-- l'expo auto fait-elle également l'analyse du masque orange des négas ?
(cette analyse est faite par ailleurs, mais l'expo auto joue quand même sur
l'équilibre chromatique, d'où la question)
Voilà voilà. Si quelqu'un s'est déjà pris la tête avec ça, ça m'intéresse...
Merci
--
pehache
enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply
http://pehache.free.fr/public.html
Les automatismes chargés d'optimiser les conditions de scan pour chaque image d'une bande (ou un paquet de diapos dans le chargeur Nikon) ont pour inconvénient (trés visible avec le logiciel Nikon livré avec mon 4000ED) de donner des résultats sensiblement variables pour des images analogues. Des images semblables situées à la suite les unes des autres sur une même bande négative peuvent, par exemple, montrer des rendus de ciel bien différents.
Peut-être pouvez vous tenter le logiciel Vuescan (ou SilverFast qui a à peu près la même approche des traitements par lot) à la place du pilote Nikon. En effet, pour le traitement par lot d'images analogues (provenant du même film...) Vuescan permet de fixer les conditions de scan définies lors du scan d'une image et de fixer les "propriétés du film" (en particulier la définitions de son masque orange) en opérant un scan préliminaire sur une petite partie transparente, par exemple pris au début de la première bande, dans l'amorce. Ces procédures sont décrites dans le manuel Vuescan au chapitre "Advanced Workflow Suggestion". Vous pouvez voir si elles vous conviennent.
Par ailleurs, dans le cas particulier des scanners Nikon, nous disposons, non seulement d'un réglage du temps d'exposition mais aussi des trois fameux paramètres de réglage "R/G/B analog gain" (je ne sais plus comment ils sont désignés dans la version française du logiciel Nikon). A ce propos, des flots de littératures ont été déversés sur les groupes anglophones, en particulier lors d'échanges avec Ed Hamrick, l'auteur de Vuescan qui, malgré l'amour qu'il porte aux scanners Nikon, a toujours assuré que ces paramètres étaient dangereux (il les fait tout de même piloter par son logiciel...). Pour ma part, je laisse toujours prudemment ces paramètres à leurs valeurs par défaut (dans Vuescan). Je ne sais pas quelle est votre expérience dans ce domaine...
Je ne sais si vous calibrez votre scanner, mais si c'est le cas, il est important de noter qu'un profil ICC d'entrée comportant des tables (et non une matrice et des courbes gamma) ce qui est le cas des profils produits par Monaco et GretagMacbeth, n'est strictement valide QUE pour le temps d'exposition qui a été adopté lors du calibrage, c'est à dire lors du scan de la mire IT8. Quand donc on applique de tels profils, les automates chargés de modifier en douce le temps d'exposition aboutissent à des résultats franchement calamiteux. Seuls les profils matriciels d'entrée (comme, par exemple, ceux produits par Vuescan) peuvent être utilisés impunément quelle que soit la durée d'exposition.
Sansame
Les automatismes chargés d'optimiser les conditions de scan pour
chaque image d'une bande (ou un paquet de diapos dans le chargeur
Nikon) ont pour inconvénient (trés visible avec le logiciel Nikon
livré avec mon 4000ED) de donner des résultats sensiblement variables
pour des images analogues. Des images semblables situées à la suite
les unes des autres sur une même bande négative peuvent, par exemple,
montrer des rendus de ciel bien différents.
Peut-être pouvez vous tenter le logiciel Vuescan (ou SilverFast qui a
à peu près la même approche des traitements par lot) à la place du
pilote Nikon. En effet, pour le traitement par lot d'images analogues
(provenant du même film...) Vuescan permet de fixer les conditions de
scan définies lors du scan d'une image et de fixer les "propriétés
du film" (en particulier la définitions de son masque orange) en
opérant un scan préliminaire sur une petite partie transparente, par
exemple pris au début de la première bande, dans l'amorce. Ces
procédures sont décrites dans le manuel Vuescan au chapitre "Advanced
Workflow Suggestion". Vous pouvez voir si elles vous conviennent.
Par ailleurs, dans le cas particulier des scanners Nikon, nous
disposons, non seulement d'un réglage du temps d'exposition mais aussi
des trois fameux paramètres de réglage "R/G/B analog gain" (je ne
sais plus comment ils sont désignés dans la version française du
logiciel Nikon). A ce propos, des flots de littératures ont été
déversés sur les groupes anglophones, en particulier lors d'échanges
avec Ed Hamrick, l'auteur de Vuescan qui, malgré l'amour qu'il porte
aux scanners Nikon, a toujours assuré que ces paramètres étaient
dangereux (il les fait tout de même piloter par son logiciel...). Pour
ma part, je laisse toujours prudemment ces paramètres à leurs valeurs
par défaut (dans Vuescan). Je ne sais pas quelle est votre expérience
dans ce domaine...
Je ne sais si vous calibrez votre scanner, mais si c'est le cas, il est
important de noter qu'un profil ICC d'entrée comportant des tables (et
non une matrice et des courbes gamma) ce qui est le cas des profils
produits par Monaco et GretagMacbeth, n'est strictement valide QUE pour
le temps d'exposition qui a été adopté lors du calibrage, c'est à
dire lors du scan de la mire IT8. Quand donc on applique de tels
profils, les automates chargés de modifier en douce le temps
d'exposition aboutissent à des résultats franchement calamiteux.
Seuls les profils matriciels d'entrée (comme, par exemple, ceux
produits par Vuescan) peuvent être utilisés impunément quelle que
soit la durée d'exposition.
Les automatismes chargés d'optimiser les conditions de scan pour chaque image d'une bande (ou un paquet de diapos dans le chargeur Nikon) ont pour inconvénient (trés visible avec le logiciel Nikon livré avec mon 4000ED) de donner des résultats sensiblement variables pour des images analogues. Des images semblables situées à la suite les unes des autres sur une même bande négative peuvent, par exemple, montrer des rendus de ciel bien différents.
Peut-être pouvez vous tenter le logiciel Vuescan (ou SilverFast qui a à peu près la même approche des traitements par lot) à la place du pilote Nikon. En effet, pour le traitement par lot d'images analogues (provenant du même film...) Vuescan permet de fixer les conditions de scan définies lors du scan d'une image et de fixer les "propriétés du film" (en particulier la définitions de son masque orange) en opérant un scan préliminaire sur une petite partie transparente, par exemple pris au début de la première bande, dans l'amorce. Ces procédures sont décrites dans le manuel Vuescan au chapitre "Advanced Workflow Suggestion". Vous pouvez voir si elles vous conviennent.
Par ailleurs, dans le cas particulier des scanners Nikon, nous disposons, non seulement d'un réglage du temps d'exposition mais aussi des trois fameux paramètres de réglage "R/G/B analog gain" (je ne sais plus comment ils sont désignés dans la version française du logiciel Nikon). A ce propos, des flots de littératures ont été déversés sur les groupes anglophones, en particulier lors d'échanges avec Ed Hamrick, l'auteur de Vuescan qui, malgré l'amour qu'il porte aux scanners Nikon, a toujours assuré que ces paramètres étaient dangereux (il les fait tout de même piloter par son logiciel...). Pour ma part, je laisse toujours prudemment ces paramètres à leurs valeurs par défaut (dans Vuescan). Je ne sais pas quelle est votre expérience dans ce domaine...
Je ne sais si vous calibrez votre scanner, mais si c'est le cas, il est important de noter qu'un profil ICC d'entrée comportant des tables (et non une matrice et des courbes gamma) ce qui est le cas des profils produits par Monaco et GretagMacbeth, n'est strictement valide QUE pour le temps d'exposition qui a été adopté lors du calibrage, c'est à dire lors du scan de la mire IT8. Quand donc on applique de tels profils, les automates chargés de modifier en douce le temps d'exposition aboutissent à des résultats franchement calamiteux. Seuls les profils matriciels d'entrée (comme, par exemple, ceux produits par Vuescan) peuvent être utilisés impunément quelle que soit la durée d'exposition.
Sansame
pehache
Sansame wrote:
Les automatismes chargés d'optimiser les conditions de scan pour chaque image d'une bande (ou un paquet de diapos dans le chargeur Nikon) ont pour inconvénient (trés visible avec le logiciel Nikon livré avec mon 4000ED) de donner des résultats sensiblement variables pour des images analogues. Des images semblables situées à la suite les unes des autres sur une même bande négative peuvent, par exemple, montrer des rendus de ciel bien différents.
Peut-être pouvez vous tenter le logiciel Vuescan (ou SilverFast qui a à peu près la même approche des traitements par lot) à la place du pilote Nikon. En effet, pour le traitement par lot d'images analogues (provenant du même film...) Vuescan permet de fixer les conditions de scan définies lors du scan d'une image et de fixer les "propriétés du film" (en particulier la définitions de son masque orange) en opérant un scan préliminaire sur une petite partie transparente, par exemple pris au début de la première bande, dans l'amorce. Ces procédures sont décrites dans le manuel Vuescan au chapitre "Advanced Workflow Suggestion". Vous pouvez voir si elles vous conviennent.
Par ailleurs, dans le cas particulier des scanners Nikon, nous disposons, non seulement d'un réglage du temps d'exposition mais aussi des trois fameux paramètres de réglage "R/G/B analog gain" (je ne sais plus comment ils sont désignés dans la version française du logiciel Nikon). A ce propos, des flots de littératures ont été déversés sur les groupes anglophones, en particulier lors d'échanges avec Ed Hamrick, l'auteur de Vuescan qui, malgré l'amour qu'il porte aux scanners Nikon, a toujours assuré que ces paramètres étaient dangereux (il les fait tout de même piloter par son logiciel...). Pour ma part, je laisse toujours prudemment ces paramètres à leurs valeurs par défaut (dans Vuescan). Je ne sais pas quelle est votre expérience dans ce domaine...
Je ne sais si vous calibrez votre scanner, mais si c'est le cas, il est important de noter qu'un profil ICC d'entrée comportant des tables (et non une matrice et des courbes gamma) ce qui est le cas des profils produits par Monaco et GretagMacbeth, n'est strictement valide QUE pour le temps d'exposition qui a été adopté lors du calibrage, c'est à dire lors du scan de la mire IT8. Quand donc on applique de tels profils, les automates chargés de modifier en douce le temps d'exposition aboutissent à des résultats franchement calamiteux. Seuls les profils matriciels d'entrée (comme, par exemple, ceux produits par Vuescan) peuvent être utilisés impunément quelle que soit la durée d'exposition.
Sansame
Merci pour ton message détaillé. Pour la partie calibration, pas de souci: je ne calibre pas le scanner, vu que je ne fais que du néga.
Les gains analogiques R/G/B ne sont jamais que les contrôles de temps d'exposition, canal par canal.
Je n'ai pas résolu tous mes problèmes avec l'expo automatique. En fait il n'y a pas de problème si on l'utilise soit tout le temps, soit jamais. Mais si on l'utilise ponctuellement sur une image, on a parfois des effets bizarres sur les images suivantes (si on n'applique l'expo auto sur ces images suivantes). Je pense qu'il y a là un problème avec NikonScan. Peut-être que Vuescan serait une solution, mais je n'ai pas trop envie d'abandonner NikonScan (qui par ailleurs me donne entière satisfaction) et de tout réapprendre dans Vuescan (qu'il faut acheter, en plus).
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
Sansame wrote:
Les automatismes chargés d'optimiser les conditions de scan pour
chaque image d'une bande (ou un paquet de diapos dans le chargeur
Nikon) ont pour inconvénient (trés visible avec le logiciel Nikon
livré avec mon 4000ED) de donner des résultats sensiblement variables
pour des images analogues. Des images semblables situées à la suite
les unes des autres sur une même bande négative peuvent, par exemple,
montrer des rendus de ciel bien différents.
Peut-être pouvez vous tenter le logiciel Vuescan (ou SilverFast qui a
à peu près la même approche des traitements par lot) à la place du
pilote Nikon. En effet, pour le traitement par lot d'images analogues
(provenant du même film...) Vuescan permet de fixer les conditions de
scan définies lors du scan d'une image et de fixer les "propriétés
du film" (en particulier la définitions de son masque orange) en
opérant un scan préliminaire sur une petite partie transparente, par
exemple pris au début de la première bande, dans l'amorce. Ces
procédures sont décrites dans le manuel Vuescan au chapitre "Advanced
Workflow Suggestion". Vous pouvez voir si elles vous conviennent.
Par ailleurs, dans le cas particulier des scanners Nikon, nous
disposons, non seulement d'un réglage du temps d'exposition mais aussi
des trois fameux paramètres de réglage "R/G/B analog gain" (je ne
sais plus comment ils sont désignés dans la version française du
logiciel Nikon). A ce propos, des flots de littératures ont été
déversés sur les groupes anglophones, en particulier lors d'échanges
avec Ed Hamrick, l'auteur de Vuescan qui, malgré l'amour qu'il porte
aux scanners Nikon, a toujours assuré que ces paramètres étaient
dangereux (il les fait tout de même piloter par son logiciel...). Pour
ma part, je laisse toujours prudemment ces paramètres à leurs valeurs
par défaut (dans Vuescan). Je ne sais pas quelle est votre expérience
dans ce domaine...
Je ne sais si vous calibrez votre scanner, mais si c'est le cas, il
est important de noter qu'un profil ICC d'entrée comportant des
tables (et non une matrice et des courbes gamma) ce qui est le cas
des profils produits par Monaco et GretagMacbeth, n'est strictement
valide QUE pour le temps d'exposition qui a été adopté lors du
calibrage, c'est à
dire lors du scan de la mire IT8. Quand donc on applique de tels
profils, les automates chargés de modifier en douce le temps
d'exposition aboutissent à des résultats franchement calamiteux.
Seuls les profils matriciels d'entrée (comme, par exemple, ceux
produits par Vuescan) peuvent être utilisés impunément quelle que
soit la durée d'exposition.
Sansame
Merci pour ton message détaillé. Pour la partie calibration, pas de souci:
je ne calibre pas le scanner, vu que je ne fais que du néga.
Les gains analogiques R/G/B ne sont jamais que les contrôles de temps
d'exposition, canal par canal.
Je n'ai pas résolu tous mes problèmes avec l'expo automatique. En fait il
n'y a pas de problème si on l'utilise soit tout le temps, soit jamais. Mais
si on l'utilise ponctuellement sur une image, on a parfois des effets
bizarres sur les images suivantes (si on n'applique l'expo auto sur ces
images suivantes). Je pense qu'il y a là un problème avec NikonScan.
Peut-être que Vuescan serait une solution, mais je n'ai pas trop envie
d'abandonner NikonScan (qui par ailleurs me donne entière satisfaction) et
de tout réapprendre dans Vuescan (qu'il faut acheter, en plus).
--
pehache
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Les automatismes chargés d'optimiser les conditions de scan pour chaque image d'une bande (ou un paquet de diapos dans le chargeur Nikon) ont pour inconvénient (trés visible avec le logiciel Nikon livré avec mon 4000ED) de donner des résultats sensiblement variables pour des images analogues. Des images semblables situées à la suite les unes des autres sur une même bande négative peuvent, par exemple, montrer des rendus de ciel bien différents.
Peut-être pouvez vous tenter le logiciel Vuescan (ou SilverFast qui a à peu près la même approche des traitements par lot) à la place du pilote Nikon. En effet, pour le traitement par lot d'images analogues (provenant du même film...) Vuescan permet de fixer les conditions de scan définies lors du scan d'une image et de fixer les "propriétés du film" (en particulier la définitions de son masque orange) en opérant un scan préliminaire sur une petite partie transparente, par exemple pris au début de la première bande, dans l'amorce. Ces procédures sont décrites dans le manuel Vuescan au chapitre "Advanced Workflow Suggestion". Vous pouvez voir si elles vous conviennent.
Par ailleurs, dans le cas particulier des scanners Nikon, nous disposons, non seulement d'un réglage du temps d'exposition mais aussi des trois fameux paramètres de réglage "R/G/B analog gain" (je ne sais plus comment ils sont désignés dans la version française du logiciel Nikon). A ce propos, des flots de littératures ont été déversés sur les groupes anglophones, en particulier lors d'échanges avec Ed Hamrick, l'auteur de Vuescan qui, malgré l'amour qu'il porte aux scanners Nikon, a toujours assuré que ces paramètres étaient dangereux (il les fait tout de même piloter par son logiciel...). Pour ma part, je laisse toujours prudemment ces paramètres à leurs valeurs par défaut (dans Vuescan). Je ne sais pas quelle est votre expérience dans ce domaine...
Je ne sais si vous calibrez votre scanner, mais si c'est le cas, il est important de noter qu'un profil ICC d'entrée comportant des tables (et non une matrice et des courbes gamma) ce qui est le cas des profils produits par Monaco et GretagMacbeth, n'est strictement valide QUE pour le temps d'exposition qui a été adopté lors du calibrage, c'est à dire lors du scan de la mire IT8. Quand donc on applique de tels profils, les automates chargés de modifier en douce le temps d'exposition aboutissent à des résultats franchement calamiteux. Seuls les profils matriciels d'entrée (comme, par exemple, ceux produits par Vuescan) peuvent être utilisés impunément quelle que soit la durée d'exposition.
Sansame
Merci pour ton message détaillé. Pour la partie calibration, pas de souci: je ne calibre pas le scanner, vu que je ne fais que du néga.
Les gains analogiques R/G/B ne sont jamais que les contrôles de temps d'exposition, canal par canal.
Je n'ai pas résolu tous mes problèmes avec l'expo automatique. En fait il n'y a pas de problème si on l'utilise soit tout le temps, soit jamais. Mais si on l'utilise ponctuellement sur une image, on a parfois des effets bizarres sur les images suivantes (si on n'applique l'expo auto sur ces images suivantes). Je pense qu'il y a là un problème avec NikonScan. Peut-être que Vuescan serait une solution, mais je n'ai pas trop envie d'abandonner NikonScan (qui par ailleurs me donne entière satisfaction) et de tout réapprendre dans Vuescan (qu'il faut acheter, en plus).
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
