Suite à de nombreux dysfonctionnements, et une lettre adressée au PDG d'un
FAI bien connu (qui a changé plusieurs fois de nom en deux ans) restée sans
réponse, j'ai fini par résilier en décembre 2007.
Ce FAI a continué de me réclamer une petite somme (20 euros), indue à mon
sens, directement, puis par l'intermédiaire de sociétés de recouvrement.
En juillet 2008, cette somme a été prélevée sur mon compte bancaire alors
que je n'avais jamais donné d'autorisation de prélèvement à ce FAI (j'ai
toujours payé par TIP).
J'ai fait opposition auprès de ma banque.
En septembre 2008, nouveau prélèvement, cette fois ci d'environ 80 euros.
Je conteste à nouveau auprès de ma banque et celle ci met une opposition
définitive sur les prélèvements de ce FAI.
Peu après je reçois une facture mentionnant le rejet des paiments
automatiques, me demandant de régulariser, et là, surprise je découvre
qu'en fait ce FAI me facture à nouveau l'abonnement depuis début juillet.
Assez vicieusement, ils ont créé une facture factice en juillet du montant
de la somme qu'ils me réclamaient en la transformant en x nombres de jours
d'abonnements, puis ils ont continué à facturer l'abonnement comme s'il
avait été souscrit à nouveau.
Que dois je faire? Cela relève du tribunal d'instance ou du procureur de la
république?
Dans le message 490c64e5$0$12027$, Jy exprime ceci:
Bonjour,
Suite à de nombreux dysfonctionnements, et une lettre adressée au PDG d'un FAI bien connu (qui a changé plusieurs fois de nom en deux ans) restée sans réponse, j'ai fini par résilier en décembre 2007.
Ce FAI a continué de me réclamer une petite somme (20 euros), indue à mon sens, directement, puis par l'intermédiaire de sociétés de recouvrement. En juillet 2008, cette somme a été prélevée sur mon compte bancaire alors que je n'avais jamais donné d'autorisation de prélèvement à ce FAI (j'ai toujours payé par TIP).
Cela n'est pas possible. Ne pas oublier par contre qu'une autorisation de prélèvement est unique par fournisseur, quelque soit le nombre de services ou d'"achats auxquels vous avez souscrit.
J'ai fait opposition auprès de ma banque.
Il n'y a pas d'opposition sur un tel prélèvement, soit il est autorisé soit il ne l'est pas. S'il est autorisé, la banque vous demandera de régler en direct le différent. Et le cas échéant révoquera l'aurtorisation sur votre demande.
En septembre 2008, nouveau prélèvement, cette fois ci d'environ 80 euros. Je conteste à nouveau auprès de ma banque et celle ci met une opposition définitive sur les prélèvements de ce FAI.
Cela devient de plus en plus difficile à accepter, il convient de mettre en cause votre banque.
Peu après je reçois une facture mentionnant le rejet des paiments automatiques, me demandant de régulariser, et là, surprise je découvre qu'en fait ce FAI me facture à nouveau l'abonnement depuis début juillet. Assez vicieusement, ils ont créé une facture factice en juillet du montant de la somme qu'ils me réclamaient en la transformant en x nombres de jours d'abonnements, puis ils ont continué à facturer l'abonnement comme s'il avait été souscrit à nouveau.
Que dois je faire? Cela relève du tribunal d'instance ou du procureur de la république?
De rien du tout. Exposez votre désaccord par écrit au fournisseur, le cas échéant une copie au prestataire du recouvrement et laissez venir. Il est toujours plus facile d'être défendeur que demandeur dans un tel cas. En effet il va être difficile de prendre l'initiative auprès du tribunal de proximité (du lieu du siège social de ce fournisseur) ou de porter plainte auprès du procureur de la république au prétexte que vous contestez une facture commerciale.
Merci pour vons conseils...
--
Dans le message 490c64e5$0$12027$426a74cc@news.free.fr, Jy
<blogfibre@freebox.optique> exprime ceci:
Bonjour,
Suite à de nombreux dysfonctionnements, et une lettre adressée au PDG
d'un FAI bien connu (qui a changé plusieurs fois de nom en deux ans)
restée sans réponse, j'ai fini par résilier en décembre 2007.
Ce FAI a continué de me réclamer une petite somme (20 euros), indue
à mon sens, directement, puis par l'intermédiaire de sociétés de
recouvrement.
En juillet 2008, cette somme a été prélevée sur mon compte bancaire
alors que je n'avais jamais donné d'autorisation de prélèvement à ce
FAI (j'ai toujours payé par TIP).
Cela n'est pas possible.
Ne pas oublier par contre qu'une autorisation de prélèvement est unique
par fournisseur, quelque soit le nombre de services ou d'"achats
auxquels vous avez souscrit.
J'ai fait opposition auprès de ma banque.
Il n'y a pas d'opposition sur un tel prélèvement, soit il est autorisé
soit il ne l'est pas.
S'il est autorisé, la banque vous demandera de régler en direct le
différent.
Et le cas échéant révoquera l'aurtorisation sur votre demande.
En septembre 2008, nouveau prélèvement, cette fois ci d'environ 80
euros. Je conteste à nouveau auprès de ma banque et celle ci met une
opposition définitive sur les prélèvements de ce FAI.
Cela devient de plus en plus difficile à accepter, il convient de mettre
en cause votre banque.
Peu après je reçois une facture mentionnant le rejet des paiments
automatiques, me demandant de régulariser, et là, surprise je découvre
qu'en fait ce FAI me facture à nouveau l'abonnement depuis début
juillet.
Assez vicieusement, ils ont créé une facture factice en juillet du
montant de la somme qu'ils me réclamaient en la transformant en x
nombres de jours d'abonnements, puis ils ont continué à facturer
l'abonnement comme s'il avait été souscrit à nouveau.
Que dois je faire? Cela relève du tribunal d'instance ou du procureur
de la république?
De rien du tout.
Exposez votre désaccord par écrit au fournisseur, le cas échéant une
copie au prestataire du recouvrement et laissez venir.
Il est toujours plus facile d'être défendeur que demandeur dans un tel
cas.
En effet il va être difficile de prendre l'initiative auprès du tribunal
de proximité (du lieu du siège social de ce fournisseur) ou de porter
plainte auprès du procureur de la république au prétexte que vous
contestez une facture commerciale.
Dans le message 490c64e5$0$12027$, Jy exprime ceci:
Bonjour,
Suite à de nombreux dysfonctionnements, et une lettre adressée au PDG d'un FAI bien connu (qui a changé plusieurs fois de nom en deux ans) restée sans réponse, j'ai fini par résilier en décembre 2007.
Ce FAI a continué de me réclamer une petite somme (20 euros), indue à mon sens, directement, puis par l'intermédiaire de sociétés de recouvrement. En juillet 2008, cette somme a été prélevée sur mon compte bancaire alors que je n'avais jamais donné d'autorisation de prélèvement à ce FAI (j'ai toujours payé par TIP).
Cela n'est pas possible. Ne pas oublier par contre qu'une autorisation de prélèvement est unique par fournisseur, quelque soit le nombre de services ou d'"achats auxquels vous avez souscrit.
J'ai fait opposition auprès de ma banque.
Il n'y a pas d'opposition sur un tel prélèvement, soit il est autorisé soit il ne l'est pas. S'il est autorisé, la banque vous demandera de régler en direct le différent. Et le cas échéant révoquera l'aurtorisation sur votre demande.
En septembre 2008, nouveau prélèvement, cette fois ci d'environ 80 euros. Je conteste à nouveau auprès de ma banque et celle ci met une opposition définitive sur les prélèvements de ce FAI.
Cela devient de plus en plus difficile à accepter, il convient de mettre en cause votre banque.
Peu après je reçois une facture mentionnant le rejet des paiments automatiques, me demandant de régulariser, et là, surprise je découvre qu'en fait ce FAI me facture à nouveau l'abonnement depuis début juillet. Assez vicieusement, ils ont créé une facture factice en juillet du montant de la somme qu'ils me réclamaient en la transformant en x nombres de jours d'abonnements, puis ils ont continué à facturer l'abonnement comme s'il avait été souscrit à nouveau.
Que dois je faire? Cela relève du tribunal d'instance ou du procureur de la république?
De rien du tout. Exposez votre désaccord par écrit au fournisseur, le cas échéant une copie au prestataire du recouvrement et laissez venir. Il est toujours plus facile d'être défendeur que demandeur dans un tel cas. En effet il va être difficile de prendre l'initiative auprès du tribunal de proximité (du lieu du siège social de ce fournisseur) ou de porter plainte auprès du procureur de la république au prétexte que vous contestez une facture commerciale.
Merci pour vons conseils...
--
Jy
"moisse" a écrit dans le message de news: 490c78e7$0$25036$
Dans le message 490c64e5$0$12027$, Jy exprime ceci:
Bonjour,
Suite à de nombreux dysfonctionnements, et une lettre adressée au PDG d'un FAI bien connu (qui a changé plusieurs fois de nom en deux ans) restée sans réponse, j'ai fini par résilier en décembre 2007.
Ce FAI a continué de me réclamer une petite somme (20 euros), indue à mon sens, directement, puis par l'intermédiaire de sociétés de recouvrement. En juillet 2008, cette somme a été prélevée sur mon compte bancaire alors que je n'avais jamais donné d'autorisation de prélèvement à ce FAI (j'ai toujours payé par TIP).
Cela n'est pas possible. Ne pas oublier par contre qu'une autorisation de prélèvement est unique par fournisseur, quelque soit le nombre de services ou d'"achats auxquels vous avez souscrit.
J'ai fait opposition auprès de ma banque.
Il n'y a pas d'opposition sur un tel prélèvement, soit il est autorisé soit il ne l'est pas. S'il est autorisé, la banque vous demandera de régler en direct le différent. Et le cas échéant révoquera l'aurtorisation sur votre demande.
En septembre 2008, nouveau prélèvement, cette fois ci d'environ 80 euros. Je conteste à nouveau auprès de ma banque et celle ci met une opposition définitive sur les prélèvements de ce FAI.
Cela devient de plus en plus difficile à accepter, il convient de mettre en cause votre banque.
Peu après je reçois une facture mentionnant le rejet des paiments automatiques, me demandant de régulariser, et là, surprise je découvre qu'en fait ce FAI me facture à nouveau l'abonnement depuis début juillet. Assez vicieusement, ils ont créé une facture factice en juillet du montant de la somme qu'ils me réclamaient en la transformant en x nombres de jours d'abonnements, puis ils ont continué à facturer l'abonnement comme s'il avait été souscrit à nouveau.
Que dois je faire? Cela relève du tribunal d'instance ou du procureur de la république?
De rien du tout. Exposez votre désaccord par écrit au fournisseur, le cas échéant une copie au prestataire du recouvrement et laissez venir. Il est toujours plus facile d'être défendeur que demandeur dans un tel cas. En effet il va être difficile de prendre l'initiative auprès du tribunal de proximité (du lieu du siège social de ce fournisseur) ou de porter plainte auprès du procureur de la république au prétexte que vous contestez une facture commerciale.
Entendu je vais envoyer un nouveau recommandé et laisser venir. Je suis certain de n'avoir jamais signé d'autorisation de prélèvement. Et par sécurité j'avais écrit dans la lettre de résiliation au FAI que je révoquais toute autorisation de prélèvement dont il pourait éventuellement se prévaloir.
Sur mon relevé bancaire, j'ai à chaque fois un débit 'Prélèvement de xxxx" puis quelques jours plus tard un crédit d'autant "Prélèvement de xxxx rejeté sur contestation". La banque agit curieusement : elle dit honorer tous les prélèvements, sans vérification d'une autorisation préalable et ensuite recréditer en cas de contestation. Elle ne fait par ailleurs pas de différence entre opposition et révocation. Encore que pour révoquer il faille d'abord avoir accordé une autorisation... Au moins, elle ne m'a pas fait payer l'opposition, seule procédure dont elle dit disposer pour empêcher de futurs prélèvements.
Merci pour vos conseils.
"moisse" <moisse@ifrance.etcom> a écrit dans le message de news:
490c78e7$0$25036$426a74cc@news.free.fr...
Dans le message 490c64e5$0$12027$426a74cc@news.free.fr, Jy
<blogfibre@freebox.optique> exprime ceci:
Bonjour,
Suite à de nombreux dysfonctionnements, et une lettre adressée au PDG
d'un FAI bien connu (qui a changé plusieurs fois de nom en deux ans)
restée sans réponse, j'ai fini par résilier en décembre 2007.
Ce FAI a continué de me réclamer une petite somme (20 euros), indue
à mon sens, directement, puis par l'intermédiaire de sociétés de
recouvrement.
En juillet 2008, cette somme a été prélevée sur mon compte bancaire
alors que je n'avais jamais donné d'autorisation de prélèvement à ce
FAI (j'ai toujours payé par TIP).
Cela n'est pas possible.
Ne pas oublier par contre qu'une autorisation de prélèvement est unique
par fournisseur, quelque soit le nombre de services ou d'"achats auxquels
vous avez souscrit.
J'ai fait opposition auprès de ma banque.
Il n'y a pas d'opposition sur un tel prélèvement, soit il est autorisé
soit il ne l'est pas.
S'il est autorisé, la banque vous demandera de régler en direct le
différent.
Et le cas échéant révoquera l'aurtorisation sur votre demande.
En septembre 2008, nouveau prélèvement, cette fois ci d'environ 80
euros. Je conteste à nouveau auprès de ma banque et celle ci met une
opposition définitive sur les prélèvements de ce FAI.
Cela devient de plus en plus difficile à accepter, il convient de mettre
en cause votre banque.
Peu après je reçois une facture mentionnant le rejet des paiments
automatiques, me demandant de régulariser, et là, surprise je découvre
qu'en fait ce FAI me facture à nouveau l'abonnement depuis début
juillet.
Assez vicieusement, ils ont créé une facture factice en juillet du
montant de la somme qu'ils me réclamaient en la transformant en x
nombres de jours d'abonnements, puis ils ont continué à facturer
l'abonnement comme s'il avait été souscrit à nouveau.
Que dois je faire? Cela relève du tribunal d'instance ou du procureur
de la république?
De rien du tout.
Exposez votre désaccord par écrit au fournisseur, le cas échéant une
copie au prestataire du recouvrement et laissez venir.
Il est toujours plus facile d'être défendeur que demandeur dans un tel
cas.
En effet il va être difficile de prendre l'initiative auprès du tribunal
de proximité (du lieu du siège social de ce fournisseur) ou de porter
plainte auprès du procureur de la république au prétexte que vous
contestez une facture commerciale.
Entendu je vais envoyer un nouveau recommandé et laisser venir. Je suis
certain de n'avoir jamais signé d'autorisation de prélèvement. Et par
sécurité j'avais écrit dans la lettre de résiliation au FAI que je
révoquais toute autorisation de prélèvement dont il pourait éventuellement
se prévaloir.
Sur mon relevé bancaire, j'ai à chaque fois un débit 'Prélèvement de xxxx"
puis quelques jours plus tard un crédit d'autant "Prélèvement de xxxx
rejeté sur contestation".
La banque agit curieusement : elle dit honorer tous les prélèvements, sans
vérification d'une autorisation préalable et ensuite recréditer en cas de
contestation. Elle ne fait par ailleurs pas de différence entre opposition
et révocation. Encore que pour révoquer il faille d'abord avoir accordé une
autorisation...
Au moins, elle ne m'a pas fait payer l'opposition, seule procédure dont
elle dit disposer pour empêcher de futurs prélèvements.
"moisse" a écrit dans le message de news: 490c78e7$0$25036$
Dans le message 490c64e5$0$12027$, Jy exprime ceci:
Bonjour,
Suite à de nombreux dysfonctionnements, et une lettre adressée au PDG d'un FAI bien connu (qui a changé plusieurs fois de nom en deux ans) restée sans réponse, j'ai fini par résilier en décembre 2007.
Ce FAI a continué de me réclamer une petite somme (20 euros), indue à mon sens, directement, puis par l'intermédiaire de sociétés de recouvrement. En juillet 2008, cette somme a été prélevée sur mon compte bancaire alors que je n'avais jamais donné d'autorisation de prélèvement à ce FAI (j'ai toujours payé par TIP).
Cela n'est pas possible. Ne pas oublier par contre qu'une autorisation de prélèvement est unique par fournisseur, quelque soit le nombre de services ou d'"achats auxquels vous avez souscrit.
J'ai fait opposition auprès de ma banque.
Il n'y a pas d'opposition sur un tel prélèvement, soit il est autorisé soit il ne l'est pas. S'il est autorisé, la banque vous demandera de régler en direct le différent. Et le cas échéant révoquera l'aurtorisation sur votre demande.
En septembre 2008, nouveau prélèvement, cette fois ci d'environ 80 euros. Je conteste à nouveau auprès de ma banque et celle ci met une opposition définitive sur les prélèvements de ce FAI.
Cela devient de plus en plus difficile à accepter, il convient de mettre en cause votre banque.
Peu après je reçois une facture mentionnant le rejet des paiments automatiques, me demandant de régulariser, et là, surprise je découvre qu'en fait ce FAI me facture à nouveau l'abonnement depuis début juillet. Assez vicieusement, ils ont créé une facture factice en juillet du montant de la somme qu'ils me réclamaient en la transformant en x nombres de jours d'abonnements, puis ils ont continué à facturer l'abonnement comme s'il avait été souscrit à nouveau.
Que dois je faire? Cela relève du tribunal d'instance ou du procureur de la république?
De rien du tout. Exposez votre désaccord par écrit au fournisseur, le cas échéant une copie au prestataire du recouvrement et laissez venir. Il est toujours plus facile d'être défendeur que demandeur dans un tel cas. En effet il va être difficile de prendre l'initiative auprès du tribunal de proximité (du lieu du siège social de ce fournisseur) ou de porter plainte auprès du procureur de la république au prétexte que vous contestez une facture commerciale.
Entendu je vais envoyer un nouveau recommandé et laisser venir. Je suis certain de n'avoir jamais signé d'autorisation de prélèvement. Et par sécurité j'avais écrit dans la lettre de résiliation au FAI que je révoquais toute autorisation de prélèvement dont il pourait éventuellement se prévaloir.
Sur mon relevé bancaire, j'ai à chaque fois un débit 'Prélèvement de xxxx" puis quelques jours plus tard un crédit d'autant "Prélèvement de xxxx rejeté sur contestation". La banque agit curieusement : elle dit honorer tous les prélèvements, sans vérification d'une autorisation préalable et ensuite recréditer en cas de contestation. Elle ne fait par ailleurs pas de différence entre opposition et révocation. Encore que pour révoquer il faille d'abord avoir accordé une autorisation... Au moins, elle ne m'a pas fait payer l'opposition, seule procédure dont elle dit disposer pour empêcher de futurs prélèvements.
Merci pour vos conseils.
deltaplan
Jy wrote:
La banque agit curieusement : elle dit honorer tous les prélèvements, sans vérification d'une autorisation préalable et ensuite recréditer en cas de contestation. Elle ne fait par ailleurs pas de différence entre opposition et révocation. Encore que pour révoquer il faille d'abord avoir accordé une autorisation...
Alors le plus simple et le plus sûr dans un cas pareil : vous cloturez votre compte bancaire, et vous en ouvrez un autre (dans une autre banque autant que possible tant qu'à faire...)
Jy <blogfibre@freebox.optique> wrote:
La banque agit curieusement : elle dit honorer tous les prélèvements, sans
vérification d'une autorisation préalable et ensuite recréditer en cas de
contestation. Elle ne fait par ailleurs pas de différence entre opposition
et révocation. Encore que pour révoquer il faille d'abord avoir accordé une
autorisation...
Alors le plus simple et le plus sûr dans un cas pareil : vous cloturez
votre compte bancaire, et vous en ouvrez un autre (dans une autre banque
autant que possible tant qu'à faire...)
La banque agit curieusement : elle dit honorer tous les prélèvements, sans vérification d'une autorisation préalable et ensuite recréditer en cas de contestation. Elle ne fait par ailleurs pas de différence entre opposition et révocation. Encore que pour révoquer il faille d'abord avoir accordé une autorisation...
Alors le plus simple et le plus sûr dans un cas pareil : vous cloturez votre compte bancaire, et vous en ouvrez un autre (dans une autre banque autant que possible tant qu'à faire...)
Jean-Marc Desperrier
Jy wrote:
[...] La banque agit curieusement : elle dit honorer tous les prélèvements, sans vérification d'une autorisation préalable et ensuite recréditer en cas de contestation. Elle ne fait par ailleurs pas de différence entre opposition et révocation. Encore que pour révoquer il faille d'abord avoir accordé une autorisation... Au moins, elle ne m'a pas fait payer l'opposition, seule procédure dont elle dit disposer pour empêcher de futurs prélèvements.
Peu importe ce que *dit* la banque, elle ne peut s'abstraire de la loi.
Tu peux à tout moment, gratuitement si ce n'est pas mentionné explicitement dans les tarifs de la banque, révoquer l'autorisation de prélèvement. Si la banque ne s'est pas donné les moyens techniques de réaliser cela, c'est à elle d'en prendre en charge les conséquences.
Un petit résumé assez bien fait de la manière d'agir en tel situation, qui couvre aussi la question du différent avec le FAI: http://www.evematringe.fr/blog/2008/03/28/autorisation-de-prelevement-revocation-de-mandat/
Jy wrote:
[...]
La banque agit curieusement : elle dit honorer tous les prélèvements, sans
vérification d'une autorisation préalable et ensuite recréditer en cas de
contestation. Elle ne fait par ailleurs pas de différence entre opposition
et révocation. Encore que pour révoquer il faille d'abord avoir accordé une
autorisation...
Au moins, elle ne m'a pas fait payer l'opposition, seule procédure dont
elle dit disposer pour empêcher de futurs prélèvements.
Peu importe ce que *dit* la banque, elle ne peut s'abstraire de la loi.
Tu peux à tout moment, gratuitement si ce n'est pas mentionné
explicitement dans les tarifs de la banque, révoquer l'autorisation de
prélèvement. Si la banque ne s'est pas donné les moyens techniques de
réaliser cela, c'est à elle d'en prendre en charge les conséquences.
Un petit résumé assez bien fait de la manière d'agir en tel situation,
qui couvre aussi la question du différent avec le FAI:
http://www.evematringe.fr/blog/2008/03/28/autorisation-de-prelevement-revocation-de-mandat/
[...] La banque agit curieusement : elle dit honorer tous les prélèvements, sans vérification d'une autorisation préalable et ensuite recréditer en cas de contestation. Elle ne fait par ailleurs pas de différence entre opposition et révocation. Encore que pour révoquer il faille d'abord avoir accordé une autorisation... Au moins, elle ne m'a pas fait payer l'opposition, seule procédure dont elle dit disposer pour empêcher de futurs prélèvements.
Peu importe ce que *dit* la banque, elle ne peut s'abstraire de la loi.
Tu peux à tout moment, gratuitement si ce n'est pas mentionné explicitement dans les tarifs de la banque, révoquer l'autorisation de prélèvement. Si la banque ne s'est pas donné les moyens techniques de réaliser cela, c'est à elle d'en prendre en charge les conséquences.
Un petit résumé assez bien fait de la manière d'agir en tel situation, qui couvre aussi la question du différent avec le FAI: http://www.evematringe.fr/blog/2008/03/28/autorisation-de-prelevement-revocation-de-mandat/
Patrick V
moisse a écrit :
En juillet 2008, cette somme a été prélevée sur mon compte bancaire alors que je n'avais jamais donné d'autorisation de prélèvement à ce FAI (j'ai toujours payé par TIP).
Cela n'est pas possible.
Je t'assure que ça l'est : j'ai eu des prélèvements d'EDF sur un compte récent avant que j'ai déposé l'autorisation de prélèvement.
moisse a écrit :
En juillet 2008, cette somme a été prélevée sur mon compte bancaire
alors que je n'avais jamais donné d'autorisation de prélèvement à ce
FAI (j'ai toujours payé par TIP).
Cela n'est pas possible.
Je t'assure que ça l'est : j'ai eu des prélèvements d'EDF sur un compte
récent avant que j'ai déposé l'autorisation de prélèvement.
En juillet 2008, cette somme a été prélevée sur mon compte bancaire alors que je n'avais jamais donné d'autorisation de prélèvement à ce FAI (j'ai toujours payé par TIP).
Cela n'est pas possible.
Je t'assure que ça l'est : j'ai eu des prélèvements d'EDF sur un compte récent avant que j'ai déposé l'autorisation de prélèvement.
moisse
Dans le message 490f1089$0$14968$, Patrick V exprime ceci:
moisse a écrit :
En juillet 2008, cette somme a été prélevée sur mon compte bancaire alors que je n'avais jamais donné d'autorisation de prélèvement à ce FAI (j'ai toujours payé par TIP).
Cela n'est pas possible.
Je t'assure que ça l'est : j'ai eu des prélèvements d'EDF sur un compte récent avant que j'ai déposé l'autorisation de prélèvement.
Les banques n'ont besoin que d'une autorisation par fournisseur. Reste que c'est comme la signature au bas du chèque, les banques emploient beaucoup de mal-voyants à en croire tous ceux qui sont débités normalement. C'est pour cela que dans la question évoquée, la mise en cause de la banque me paraît être une mesure indispensable, ne serait-ce que pour obtenir quelques gestes commerciaux. A+
--
Dans le message 490f1089$0$14968$426a74cc@news.free.fr, Patrick V
<Patrick.V.u.i.c.h.a.r.d@mitgard.invalid> exprime ceci:
moisse a écrit :
En juillet 2008, cette somme a été prélevée sur mon compte bancaire
alors que je n'avais jamais donné d'autorisation de prélèvement à ce
FAI (j'ai toujours payé par TIP).
Cela n'est pas possible.
Je t'assure que ça l'est : j'ai eu des prélèvements d'EDF sur un
compte récent avant que j'ai déposé l'autorisation de prélèvement.
Les banques n'ont besoin que d'une autorisation par fournisseur.
Reste que c'est comme la signature au bas du chèque, les banques
emploient beaucoup de mal-voyants à en croire tous ceux qui sont débités
normalement.
C'est pour cela que dans la question évoquée, la mise en cause de la
banque me paraît être une mesure indispensable, ne serait-ce que pour
obtenir quelques gestes commerciaux.
A+
Dans le message 490f1089$0$14968$, Patrick V exprime ceci:
moisse a écrit :
En juillet 2008, cette somme a été prélevée sur mon compte bancaire alors que je n'avais jamais donné d'autorisation de prélèvement à ce FAI (j'ai toujours payé par TIP).
Cela n'est pas possible.
Je t'assure que ça l'est : j'ai eu des prélèvements d'EDF sur un compte récent avant que j'ai déposé l'autorisation de prélèvement.
Les banques n'ont besoin que d'une autorisation par fournisseur. Reste que c'est comme la signature au bas du chèque, les banques emploient beaucoup de mal-voyants à en croire tous ceux qui sont débités normalement. C'est pour cela que dans la question évoquée, la mise en cause de la banque me paraît être une mesure indispensable, ne serait-ce que pour obtenir quelques gestes commerciaux. A+
Reste que c'est comme la signature au bas du chèque, les banques emploient beaucoup de mal-voyants à en croire tous ceux qui sont débités normalement.
C'est pire que ça, très souvent les chèques ne sont même pas saisis par un quelconque employé de la banque, mais par des opérateurs de saisi employés par des sociétés spécialisées, auxquelles les banques confient leur chèques.
Ces sociétés ont bien sûr des impératifs de productivité (minimum 3000 chèque/heure/opérateur pour le cas que j'ai connu), donc tu te doutes que la signature n'est de toute façon jamais vérifiée par un humain (seule son absence sera détectée au scan).
Cela coûte moins cher à la banque de traiter à la Rache et de rectifier au cas par cas.
On 2008-11-03, moisse <moisse@ifrance.etcom> wrote:
Reste que c'est comme la signature au bas du chèque, les banques
emploient beaucoup de mal-voyants à en croire tous ceux qui sont débités
normalement.
C'est pire que ça, très souvent les chèques ne sont même pas saisis
par un quelconque employé de la banque, mais par des opérateurs de saisi
employés par des sociétés spécialisées, auxquelles les banques confient
leur chèques.
Ces sociétés ont bien sûr des impératifs de productivité (minimum 3000
chèque/heure/opérateur pour le cas que j'ai connu), donc tu te doutes
que la signature n'est de toute façon jamais vérifiée par un humain
(seule son absence sera détectée au scan).
Cela coûte moins cher à la banque de traiter à la Rache et de
rectifier au cas par cas.
Reste que c'est comme la signature au bas du chèque, les banques emploient beaucoup de mal-voyants à en croire tous ceux qui sont débités normalement.
C'est pire que ça, très souvent les chèques ne sont même pas saisis par un quelconque employé de la banque, mais par des opérateurs de saisi employés par des sociétés spécialisées, auxquelles les banques confient leur chèques.
Ces sociétés ont bien sûr des impératifs de productivité (minimum 3000 chèque/heure/opérateur pour le cas que j'ai connu), donc tu te doutes que la signature n'est de toute façon jamais vérifiée par un humain (seule son absence sera détectée au scan).
Cela coûte moins cher à la banque de traiter à la Rache et de rectifier au cas par cas.
Patrick V
moisse a écrit :
Je t'assure que ça l'est : j'ai eu des prélèvements d'EDF sur un compte récent avant que j'ai déposé l'autorisation de prélèvement.
Les banques n'ont besoin que d'une autorisation par fournisseur.
Ce compte était ouvert depuis quelques semaines et je n'avais donné aucune autorisation pour EDF ni GDF.
moisse a écrit :
Je t'assure que ça l'est : j'ai eu des prélèvements d'EDF sur un
compte récent avant que j'ai déposé l'autorisation de prélèvement.
Les banques n'ont besoin que d'une autorisation par fournisseur.
Ce compte était ouvert depuis quelques semaines et je n'avais donné
aucune autorisation pour EDF ni GDF.
moi ce qui me chagrine c'est qu'encore edf, gdf, tel, ok je veux bien, ma is les trucs genre atlas (pour pas les citer), autre FAI etc. c'est pareil, si tu ne surveilles pas, t'es mal
moi ce qui me chagrine c'est qu'encore edf, gdf, tel, ok je veux bien, ma is
les trucs genre atlas (pour pas les citer), autre FAI etc. c'est pareil, si
tu ne surveilles pas, t'es mal
moi ce qui me chagrine c'est qu'encore edf, gdf, tel, ok je veux bien, ma is les trucs genre atlas (pour pas les citer), autre FAI etc. c'est pareil, si tu ne surveilles pas, t'es mal