A supposer qu'une entreprise veuille mettre son parc sous Linux.
Et qu'elle reçoive des documents venant d'Access, Excel,... peut-elle
les lire , les travailler et les renvoyer de manière que le
destinantaire sur produits Microsoft puisse les lire, etc...
?
Je vous renvoie l'argument. Cela fait combien de temps que vous ne vous êtes plus paluché à la main des calculs sérieux d'analyse numérique ?
Pourquoi justement de l'analyse numérique ? C'est un peu facile, comme procédé rhétorique, je trouve : spécialiser le domaine de la question pour éliminer plus facilement des réponses.
Accessoirement, je ne vois pas le rapport avec la choucroute. Monsieur j (c'est son vrai nom ?) évoque des faits qui ne correspondent absolument pas à la réalité de l'enseignement actuel. On est en droit de se demander d'où il tire ses renseignements.
JKB , dans le message <slrnce59vo.285.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
Je vous renvoie l'argument. Cela fait combien de temps que vous ne
vous êtes plus paluché à la main des calculs sérieux d'analyse
numérique ?
Pourquoi justement de l'analyse numérique ? C'est un peu facile, comme
procédé rhétorique, je trouve : spécialiser le domaine de la question
pour éliminer plus facilement des réponses.
Accessoirement, je ne vois pas le rapport avec la choucroute. Monsieur j
(c'est son vrai nom ?) évoque des faits qui ne correspondent absolument
pas à la réalité de l'enseignement actuel. On est en droit de se
demander d'où il tire ses renseignements.
Je vous renvoie l'argument. Cela fait combien de temps que vous ne vous êtes plus paluché à la main des calculs sérieux d'analyse numérique ?
Pourquoi justement de l'analyse numérique ? C'est un peu facile, comme procédé rhétorique, je trouve : spécialiser le domaine de la question pour éliminer plus facilement des réponses.
Accessoirement, je ne vois pas le rapport avec la choucroute. Monsieur j (c'est son vrai nom ?) évoque des faits qui ne correspondent absolument pas à la réalité de l'enseignement actuel. On est en droit de se demander d'où il tire ses renseignements.
JKB
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
Ce n'est pas un tantinet regrettable pour la portabilité ?
En général, les comportements indéfinis ne sont pas franchement utiles pour le programmeur, donc ça ne coûte pas beaucoup de les éviter. Après, la portabilité, c'est avant tout une question de choix.
Vous êtes d'une mauvaise foi absolue. Exemple :
void ma_zolie_fonction(long double x) { int c[3][3]; ...
return; }
tableau défini une fois sur le tas comme vecteur, une fois comme pointeur de pointeur, une troisième fois en statique, et ce avec le même compilo sur sparc, mais avec des versions différentes ! Et ne me dites surtout pas que vous n'avez jamais utilisé de tableaux à deux dimensions. Oui, on peut écrire du code C portable, on _peut_, et c'est rarement le cas. Pour écrire du code propre, il faut contourner toutes ces aberrations. Et je ne parle pas de la valeur retournée par le malloc(), du code de fin de chaîne (presque toujours 0, mais _presque_ toujours...), des horreurs du style short <= int <= long <= long long, la subtilité étant dans l'égalité...
J'ai écrit des centaines de milliers de lignes de codes en C et en Fortran, et pour que ce soit portable, cela se termine toujours en C à grands coups de #define avec des scripts configure qui modifient à la volée des .h. C'est très pratique, non ? Entre les résultats non définis et les "implementation defined", on peut obtenir des résultats assez amusant.
Et je passe sous silence les directives auto, register, inline, static, const, volatile...
JKB
Le 30-06-2004, à propos de
Re: Fichier Windows et matériel Linux,
Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message <slrnce5a2a.285.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
Ce n'est pas un tantinet regrettable pour la portabilité ?
En général, les comportements indéfinis ne sont pas franchement utiles
pour le programmeur, donc ça ne coûte pas beaucoup de les éviter. Après,
la portabilité, c'est avant tout une question de choix.
Vous êtes d'une mauvaise foi absolue. Exemple :
void
ma_zolie_fonction(long double x)
{
int c[3][3];
...
return;
}
tableau défini une fois sur le tas comme vecteur, une fois comme
pointeur de pointeur, une troisième fois en statique, et ce avec le
même compilo sur sparc, mais avec des versions différentes !
Et ne me dites surtout pas que vous n'avez jamais utilisé de
tableaux à deux dimensions. Oui, on peut écrire du code C portable,
on _peut_, et c'est rarement le cas. Pour écrire du code propre, il
faut contourner toutes ces aberrations. Et je ne parle pas de
la valeur retournée par le malloc(), du code de fin de chaîne
(presque toujours 0, mais _presque_ toujours...), des horreurs du
style short <= int <= long <= long long, la subtilité étant dans
l'égalité...
J'ai écrit des centaines de milliers de lignes de codes en C et en
Fortran, et pour que ce soit portable, cela se termine toujours en C
à grands coups de #define avec des scripts configure qui modifient à
la volée des .h. C'est très pratique, non ? Entre les résultats non
définis et les "implementation defined", on peut obtenir des
résultats assez amusant.
Et je passe sous silence les directives auto, register, inline,
static, const, volatile...
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
Ce n'est pas un tantinet regrettable pour la portabilité ?
En général, les comportements indéfinis ne sont pas franchement utiles pour le programmeur, donc ça ne coûte pas beaucoup de les éviter. Après, la portabilité, c'est avant tout une question de choix.
Vous êtes d'une mauvaise foi absolue. Exemple :
void ma_zolie_fonction(long double x) { int c[3][3]; ...
return; }
tableau défini une fois sur le tas comme vecteur, une fois comme pointeur de pointeur, une troisième fois en statique, et ce avec le même compilo sur sparc, mais avec des versions différentes ! Et ne me dites surtout pas que vous n'avez jamais utilisé de tableaux à deux dimensions. Oui, on peut écrire du code C portable, on _peut_, et c'est rarement le cas. Pour écrire du code propre, il faut contourner toutes ces aberrations. Et je ne parle pas de la valeur retournée par le malloc(), du code de fin de chaîne (presque toujours 0, mais _presque_ toujours...), des horreurs du style short <= int <= long <= long long, la subtilité étant dans l'égalité...
J'ai écrit des centaines de milliers de lignes de codes en C et en Fortran, et pour que ce soit portable, cela se termine toujours en C à grands coups de #define avec des scripts configure qui modifient à la volée des .h. C'est très pratique, non ? Entre les résultats non définis et les "implementation defined", on peut obtenir des résultats assez amusant.
Et je passe sous silence les directives auto, register, inline, static, const, volatile...
JKB
JKB
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
Exemple : je n'arrive plus à utiliser un autre traitement de textes que TeX avec vim. Pourtant, les débuts ont été difficiles, mais aujourd'hui, je bats en rapidité tous mes collègues qui utilisent soi-disant un outil beaucoup plus intuitif.
Bien sûr. Et je peux dire que j'ai pratiqué l'infixe comme le préfixe, et je préfère largement l'infixe.
Je n'ai _jamais_ eu dans les main un système préfixe. Quel chanceux vous êtes.
Oui, mais en langage informatique. De toute façon, même en mathématiques, un vecteur n'est pas une fonction (tout au plus une fonction échantillonnée).
Pipo.
Votre argumentation est très constructive lorsque vous ne pouvez plus rien dire.
JKB
Le 30-06-2004, à propos de
Re: Fichier Windows et matériel Linux,
Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message <slrnce59tr.285.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
Exemple : je n'arrive plus à utiliser un autre traitement de textes
que TeX avec vim. Pourtant, les débuts ont été difficiles, mais
aujourd'hui, je bats en rapidité tous mes collègues qui utilisent
soi-disant un outil beaucoup plus intuitif.
Bien sûr. Et je peux dire que j'ai pratiqué l'infixe comme le préfixe,
et je préfère largement l'infixe.
Je n'ai _jamais_ eu dans les main un système préfixe. Quel chanceux
vous êtes.
Oui, mais en langage informatique. De toute façon, même en
mathématiques, un vecteur n'est pas une fonction (tout au plus une
fonction échantillonnée).
Pipo.
Votre argumentation est très constructive lorsque vous ne pouvez
plus rien dire.
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
Exemple : je n'arrive plus à utiliser un autre traitement de textes que TeX avec vim. Pourtant, les débuts ont été difficiles, mais aujourd'hui, je bats en rapidité tous mes collègues qui utilisent soi-disant un outil beaucoup plus intuitif.
Bien sûr. Et je peux dire que j'ai pratiqué l'infixe comme le préfixe, et je préfère largement l'infixe.
Je n'ai _jamais_ eu dans les main un système préfixe. Quel chanceux vous êtes.
Oui, mais en langage informatique. De toute façon, même en mathématiques, un vecteur n'est pas une fonction (tout au plus une fonction échantillonnée).
Pipo.
Votre argumentation est très constructive lorsque vous ne pouvez plus rien dire.
JKB
george
JKB , dans le message , a écrit :
tableau défini une fois sur le tas comme vecteur, une fois comme pointeur de pointeur, une troisième fois en statique, et ce avec le même compilo sur sparc, mais avec des versions différentes !
Si le compilateur est buggé, ce n'est pas ma faute. Ce que tu as écrit est tout à fait défini par la norme.
JKB , dans le message <slrnce5b6p.285.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
tableau défini une fois sur le tas comme vecteur, une fois comme
pointeur de pointeur, une troisième fois en statique, et ce avec le
même compilo sur sparc, mais avec des versions différentes !
Si le compilateur est buggé, ce n'est pas ma faute. Ce que tu as écrit
est tout à fait défini par la norme.
tableau défini une fois sur le tas comme vecteur, une fois comme pointeur de pointeur, une troisième fois en statique, et ce avec le même compilo sur sparc, mais avec des versions différentes !
Si le compilateur est buggé, ce n'est pas ma faute. Ce que tu as écrit est tout à fait défini par la norme.
JKB
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
Je vous renvoie l'argument. Cela fait combien de temps que vous ne vous êtes plus paluché à la main des calculs sérieux d'analyse numérique ?
Pourquoi justement de l'analyse numérique ? C'est un peu facile, comme procédé rhétorique, je trouve : spécialiser le domaine de la question pour éliminer plus facilement des réponses.
Parce qu'on discute de l'évaluation de fonctions, de fonctions compliquées même, et pas simplement de trucs du style 'A*X+B'. On peut prendre toute autre matière donnant des équations de la même complexité (au hasard la mécanique quantique, l'électromagnétisme, la relativité générale, le traitement du signal... Laquelle préférez-vous ?).
JKB
Le 30-06-2004, à propos de
Re: Fichier Windows et matériel Linux,
Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message <slrnce59vo.285.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
Je vous renvoie l'argument. Cela fait combien de temps que vous ne
vous êtes plus paluché à la main des calculs sérieux d'analyse
numérique ?
Pourquoi justement de l'analyse numérique ? C'est un peu facile, comme
procédé rhétorique, je trouve : spécialiser le domaine de la question
pour éliminer plus facilement des réponses.
Parce qu'on discute de l'évaluation de fonctions, de fonctions
compliquées même, et pas simplement de trucs du style 'A*X+B'.
On peut prendre toute autre matière donnant des équations de la même
complexité (au hasard la mécanique quantique, l'électromagnétisme,
la relativité générale, le traitement du signal... Laquelle
préférez-vous ?).
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
Je vous renvoie l'argument. Cela fait combien de temps que vous ne vous êtes plus paluché à la main des calculs sérieux d'analyse numérique ?
Pourquoi justement de l'analyse numérique ? C'est un peu facile, comme procédé rhétorique, je trouve : spécialiser le domaine de la question pour éliminer plus facilement des réponses.
Parce qu'on discute de l'évaluation de fonctions, de fonctions compliquées même, et pas simplement de trucs du style 'A*X+B'. On peut prendre toute autre matière donnant des équations de la même complexité (au hasard la mécanique quantique, l'électromagnétisme, la relativité générale, le traitement du signal... Laquelle préférez-vous ?).
JKB
JKB
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
tableau défini une fois sur le tas comme vecteur, une fois comme pointeur de pointeur, une troisième fois en statique, et ce avec le même compilo sur sparc, mais avec des versions différentes !
Si le compilateur est buggé, ce n'est pas ma faute. Ce que tu as écrit est tout à fait défini par la norme.
Non, ou alors on n'a pas lu la même norme. Il est écrit dans la norme ANSI que c[3][3] déclarait un tableau de 3 lignes et 3 colonnes, que les élements étaient accessibles directement, mais _jamais_ quelle était la structure en mémoire de l'objet.
JKB
Le 30-06-2004, à propos de
Re: Fichier Windows et matériel Linux,
Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message <slrnce5b6p.285.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
tableau défini une fois sur le tas comme vecteur, une fois comme
pointeur de pointeur, une troisième fois en statique, et ce avec le
même compilo sur sparc, mais avec des versions différentes !
Si le compilateur est buggé, ce n'est pas ma faute. Ce que tu as écrit
est tout à fait défini par la norme.
Non, ou alors on n'a pas lu la même norme. Il est écrit dans la
norme ANSI que c[3][3] déclarait un tableau de 3 lignes et 3
colonnes, que les élements étaient accessibles directement, mais
_jamais_ quelle était la structure en mémoire de l'objet.
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
tableau défini une fois sur le tas comme vecteur, une fois comme pointeur de pointeur, une troisième fois en statique, et ce avec le même compilo sur sparc, mais avec des versions différentes !
Si le compilateur est buggé, ce n'est pas ma faute. Ce que tu as écrit est tout à fait défini par la norme.
Non, ou alors on n'a pas lu la même norme. Il est écrit dans la norme ANSI que c[3][3] déclarait un tableau de 3 lignes et 3 colonnes, que les élements étaient accessibles directement, mais _jamais_ quelle était la structure en mémoire de l'objet.
JKB
george
JKB , dans le message , a écrit :
Je n'ai _jamais_ eu dans les main un système préfixe. Quel chanceux vous êtes.
Je voulais dire postfixe. Le lecteur attentif aura rectifié de lui-même.
Oui, mais en langage informatique. De toute façon, même en mathématiques, un vecteur n'est pas une fonction (tout au plus une fonction échantillonnée). Pipo.
Votre argumentation est très constructive lorsque vous ne pouvez
plus rien dire.
Eh bien puisqu'il faut expliquer, expliquons. Déjà, mathématiquement, un tableau est une fonction, avec une partie de l'ensemble des entiers naturels comme domaine de définition.
Ensuite, et surtout, pour un langage informatique, il n'y a pas de différence fondamentale entre l'accès à un élément d'un tableau, et l'appel d'une fonction. Dans les deux cas, il s'agit de rentrer un nombre, et d'obtenir un résultat en retour. Le tableau est un cas particulier de la fonction où le calcul est directement développé. D'ailleurs, certains langages permettent de redéfinir la notation de tableaux sur des objets, pour utiliser n'importe quelle fonction derrière.
JKB , dans le message <slrnce5b91.285.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
Je n'ai _jamais_ eu dans les main un système préfixe. Quel chanceux
vous êtes.
Je voulais dire postfixe. Le lecteur attentif aura rectifié de lui-même.
Oui, mais en langage informatique. De toute façon, même en
mathématiques, un vecteur n'est pas une fonction (tout au plus une
fonction échantillonnée).
Pipo.
Votre argumentation est très constructive lorsque vous ne pouvez
plus rien dire.
Eh bien puisqu'il faut expliquer, expliquons. Déjà, mathématiquement, un
tableau est une fonction, avec une partie de l'ensemble des entiers
naturels comme domaine de définition.
Ensuite, et surtout, pour un langage informatique, il n'y a pas de
différence fondamentale entre l'accès à un élément d'un tableau, et
l'appel d'une fonction. Dans les deux cas, il s'agit de rentrer un
nombre, et d'obtenir un résultat en retour. Le tableau est un cas
particulier de la fonction où le calcul est directement développé.
D'ailleurs, certains langages permettent de redéfinir la notation de
tableaux sur des objets, pour utiliser n'importe quelle fonction
derrière.
Je n'ai _jamais_ eu dans les main un système préfixe. Quel chanceux vous êtes.
Je voulais dire postfixe. Le lecteur attentif aura rectifié de lui-même.
Oui, mais en langage informatique. De toute façon, même en mathématiques, un vecteur n'est pas une fonction (tout au plus une fonction échantillonnée). Pipo.
Votre argumentation est très constructive lorsque vous ne pouvez
plus rien dire.
Eh bien puisqu'il faut expliquer, expliquons. Déjà, mathématiquement, un tableau est une fonction, avec une partie de l'ensemble des entiers naturels comme domaine de définition.
Ensuite, et surtout, pour un langage informatique, il n'y a pas de différence fondamentale entre l'accès à un élément d'un tableau, et l'appel d'une fonction. Dans les deux cas, il s'agit de rentrer un nombre, et d'obtenir un résultat en retour. Le tableau est un cas particulier de la fonction où le calcul est directement développé. D'ailleurs, certains langages permettent de redéfinir la notation de tableaux sur des objets, pour utiliser n'importe quelle fonction derrière.
george
JKB , dans le message , a écrit :
Non, ou alors on n'a pas lu la même norme. Il est écrit dans la norme ANSI que c[3][3] déclarait un tableau de 3 lignes et 3 colonnes, que les élements étaient accessibles directement, mais _jamais_ quelle était la structure en mémoire de l'objet.
Cette norme évite la redondance, elle ne répète pas ce qu'elle a déjà dit par ailleurs. En l'occurence, il est spécifié dans le chapitre parlant des tableaux en général qu' un tableau est la juxtaposition (au sens de l'arithmétique des pointeurs) des objets qui le composent. Ça suffit pour lever l'ambiguïté.
JKB , dans le message <slrnce5bmq.285.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
Non, ou alors on n'a pas lu la même norme. Il est écrit dans la
norme ANSI que c[3][3] déclarait un tableau de 3 lignes et 3
colonnes, que les élements étaient accessibles directement, mais
_jamais_ quelle était la structure en mémoire de l'objet.
Cette norme évite la redondance, elle ne répète pas ce qu'elle a déjà
dit par ailleurs. En l'occurence, il est spécifié dans le chapitre
parlant des tableaux en général qu' un tableau est la juxtaposition (au
sens de l'arithmétique des pointeurs) des objets qui le composent. Ça
suffit pour lever l'ambiguïté.
Non, ou alors on n'a pas lu la même norme. Il est écrit dans la norme ANSI que c[3][3] déclarait un tableau de 3 lignes et 3 colonnes, que les élements étaient accessibles directement, mais _jamais_ quelle était la structure en mémoire de l'objet.
Cette norme évite la redondance, elle ne répète pas ce qu'elle a déjà dit par ailleurs. En l'occurence, il est spécifié dans le chapitre parlant des tableaux en général qu' un tableau est la juxtaposition (au sens de l'arithmétique des pointeurs) des objets qui le composent. Ça suffit pour lever l'ambiguïté.
george
JKB , dans le message , a écrit :
On peut prendre toute autre matière donnant des équations de la même complexité (au hasard la mécanique quantique, l'électromagnétisme, la relativité générale, le traitement du signal... Laquelle préférez-vous ?).
Eh bien j'ai fait quelques calculs sympathique il n'y a pas très longtemps. C'était de la géométrie différentielle avec une métrique de Lorentz, s'il faut tout dire. Évidemment, quand les calculs grossissent trop, j'ai tendance à penser qu'il y a un argument théorique simplificatur qui me manque, et je pars à sa recherche. Ça, ce n'est pas donné aux analystes...
JKB , dans le message <slrnce5bfh.285.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
On peut prendre toute autre matière donnant des équations de la même
complexité (au hasard la mécanique quantique, l'électromagnétisme,
la relativité générale, le traitement du signal... Laquelle
préférez-vous ?).
Eh bien j'ai fait quelques calculs sympathique il n'y a pas très
longtemps. C'était de la géométrie différentielle avec une métrique de
Lorentz, s'il faut tout dire. Évidemment, quand les calculs grossissent
trop, j'ai tendance à penser qu'il y a un argument théorique
simplificatur qui me manque, et je pars à sa recherche. Ça, ce n'est pas
donné aux analystes...
On peut prendre toute autre matière donnant des équations de la même complexité (au hasard la mécanique quantique, l'électromagnétisme, la relativité générale, le traitement du signal... Laquelle préférez-vous ?).
Eh bien j'ai fait quelques calculs sympathique il n'y a pas très longtemps. C'était de la géométrie différentielle avec une métrique de Lorentz, s'il faut tout dire. Évidemment, quand les calculs grossissent trop, j'ai tendance à penser qu'il y a un argument théorique simplificatur qui me manque, et je pars à sa recherche. Ça, ce n'est pas donné aux analystes...
j
Le Wed, 30 Jun 2004 11:36:03 +0000 (UTC) après l'an de grâce, inspiré(e) (Nicolas George) écrivait la plume légère :
j , dans le message , a écrit : <snip>
Dis, ça fait combien de temps que tu n'as pas mis les pieds dans une classe de maths de lycée ?
?? Encore un argument fallacieux en perspective (je dirais le chiffon rouge catégorie manoeuvre de diversion).
En quoi ma personne et mes expériences invalident-t'elles la portée vérifiable et/ou logique de mon propos ?
De la part de quelqu'un qui prétend que les maths sont l'apprentissage de la rigueur du formalisme et je suppose de la logique, je trouve que l'utilisation d'arguments fallacieux discréditent un peu le personnage.
Finalement, les sciences modernes ça ressemble plus à l'apprentissage de comment dire j'ai raison avec de solides arguments que personnes ne peut critiquer puisque personne ne les comprend plutôt qu'à l'envie de découvrir le monde et partager ses découvertes quitte à manquer de rigueur. Je ne suis pas sûr d'adhérer à cette vision des maths et des sciences en général.
Signé : un cancre crasse
La plupart des gens prennent pour profond ce dont ils ne voient le fond. Certains s'efforcent donc d'être obscur afin de paraître profond
tiré de «L'éducation ou l'imposture de l'apprentissage» -- "Consider a spherical bear, in simple harmonic motion..." -- Professor in the UCB physics department
Le Wed, 30 Jun 2004 11:36:03 +0000 (UTC) après l'an de grâce,
inspiré(e) george@clipper.ens.fr (Nicolas George) écrivait la plume
légère :
j , dans le message <20040630130649.19c7751e@osmonda.prive.jul>, a
écrit :
<snip>
Dis, ça fait combien de temps que tu n'as pas mis les pieds dans une
classe de maths de lycée ?
??
Encore un argument fallacieux en perspective (je dirais le chiffon
rouge catégorie manoeuvre de diversion).
En quoi ma personne et mes expériences invalident-t'elles la portée
vérifiable et/ou logique de mon propos ?
De la part de quelqu'un qui prétend que les maths sont l'apprentissage
de la rigueur du formalisme et je suppose de la logique, je trouve que
l'utilisation d'arguments fallacieux discréditent un peu le personnage.
Finalement, les sciences modernes ça ressemble plus à l'apprentissage
de comment dire j'ai raison avec de solides arguments que personnes ne
peut critiquer puisque personne ne les comprend plutôt qu'à l'envie de
découvrir le monde et partager ses découvertes quitte à manquer de
rigueur. Je ne suis pas sûr d'adhérer à cette vision des maths et des
sciences en général.
Signé : un cancre crasse
La plupart des gens prennent pour profond ce dont ils ne voient le fond.
Certains s'efforcent donc d'être obscur afin de paraître profond
tiré de «L'éducation ou l'imposture de l'apprentissage»
--
"Consider a spherical bear, in simple harmonic motion..."
-- Professor in the UCB physics department
Le Wed, 30 Jun 2004 11:36:03 +0000 (UTC) après l'an de grâce, inspiré(e) (Nicolas George) écrivait la plume légère :
j , dans le message , a écrit : <snip>
Dis, ça fait combien de temps que tu n'as pas mis les pieds dans une classe de maths de lycée ?
?? Encore un argument fallacieux en perspective (je dirais le chiffon rouge catégorie manoeuvre de diversion).
En quoi ma personne et mes expériences invalident-t'elles la portée vérifiable et/ou logique de mon propos ?
De la part de quelqu'un qui prétend que les maths sont l'apprentissage de la rigueur du formalisme et je suppose de la logique, je trouve que l'utilisation d'arguments fallacieux discréditent un peu le personnage.
Finalement, les sciences modernes ça ressemble plus à l'apprentissage de comment dire j'ai raison avec de solides arguments que personnes ne peut critiquer puisque personne ne les comprend plutôt qu'à l'envie de découvrir le monde et partager ses découvertes quitte à manquer de rigueur. Je ne suis pas sûr d'adhérer à cette vision des maths et des sciences en général.
Signé : un cancre crasse
La plupart des gens prennent pour profond ce dont ils ne voient le fond. Certains s'efforcent donc d'être obscur afin de paraître profond
tiré de «L'éducation ou l'imposture de l'apprentissage» -- "Consider a spherical bear, in simple harmonic motion..." -- Professor in the UCB physics department