A supposer qu'une entreprise veuille mettre son parc sous Linux.
Et qu'elle reçoive des documents venant d'Access, Excel,... peut-elle
les lire , les travailler et les renvoyer de manière que le
destinantaire sur produits Microsoft puisse les lire, etc...
?
Le Tue, 29 Jun 2004 17:45:37 +0000 (UTC) après l'an de grâce, inspiré(e) (Nicolas George) écrivait la plume légère :
Est-ce que c'est vraiment indispensable, le quoted-printable ?
j , dans le message , a écrit :
C'est aussi la raison pour laquelle Bourbaki a décidé de shunter la géométrie comme manière d'apprendre les maths et remplacer cela p ar l'apprentissage des théories ensemblistes : raison officielle :
Pour mémoire, Bourbaki était initialement un canular. La tragédie est que ceux qui ont commencé le canular se sont pris au
sérieux est avait malheureusement l'oreille de l'enseignement français.
...
Le plus important, en maths, c'est la rigueur. Sans la rigueur, on ne peut aller nulle part. S'il faut utiliser une notation plus restrictive pour forcer les élèves débutants à être rigoureux, c'est dommage, mais c'est comme ça.
Et bien je préfère largement les éléments d'Euclide et le dévelop pement d'une représentation intuitive des maths à cette torture qu'est l'apprentissage d'un formalisme pour le formalisme (qui ne sert finalement qu'à faire de la sélection). Et Mandelbrot a eu raison de se casser de normal où Bourbaki l'escagaçait concernant l'utilisation de la géométrie et de l'intuition au détriment de la rigueur.
Aujourd'hui Dieudonné est-il plus connu que Mandelbrot?
Bourbaki et les maths c'est comme le W3C validator et les pages web : des gens incapables de générer du contenu par manque d'imagination qui se concentrent uniquement sur la chose sur laquelle ils se peuvent faire mousser : le formalisme.
Je préfère savoir faire quelque chose des 3 concepts (même imparfaitement) que j'ai appris, que juste pouvoir être fier d'avoir branler et couper l'espilon en quatre.
...
mais contre-intuitif, et et tu es pour la notation de Leibnitz parce qu'elle est inuitive (donc soit-disant trompeuse) ?
Je suis favorable à l'utilisation de cette notation _pour des élèves n'ayant pas encore acquis la rigueur et la maîtrise des concepts nécessaire à ne pas se prendre les pieds dans le tapie_. Nuance. Quand il s'agit de vrais calculs, ce n'est pas pareil. ???
Les élèves nouveaux ont le droit de l'utiliser oui ou non d'après toi?
Soit dit en passant, le professeur Gleick (épistémologue) écorne la raison officielle de l'utilisation de la théorie des ensembles pour l'apprentissage.
Il faudrait remettre tes pendules à l'haure, on n'utilise pas la théorie des ensembles pour l'apprentissage.
Le structuralisme ne pouvant s'appréhender aisément que dans les mathématiques supérieures, pour les programmes du secondaire on prend - de Bourbaki le souci unitaire, ce qui tue toute velléité interprétative, imaginative chez les élèves - de Russell la sémantique ensembliste et exclusivement cette sémantique pourtant très pauvre et très localisée.
Tu vois je suis sympa je corrige moi même. Bourbaki n'est pas exactement responsable des erreurs faîtes en son nom. Et Poincaré éta it connu pour défendre le développement de l'intuition et être opposé au logicisme comme tueur de cette dernière ce qui va à l'encontre de ce texte de Dieudonné (un des membres de Bourbaki) qui suit :
L'objectif ultime de l'enseignement des mathématiques à n'importe quel niveau est certainement de donner à l'étudiant une "intuition" solide des objets mathématiques qu'il a à manipuler. Mais l'expérience montre que ceci ne peut être atteint qu'à travers une longue familiarisation avec le sujet et des tentatives répétées pour le comprendre sous tous les angles possibles. Un professeur ayant acquis depuis fort longtemps cette familiarisation risque, pour son propre compte, un échec complet s'il pense qu'il peut se dispenser d'énoncés précis lorsqu'il tente de partager son "intuition" avec ses étudiants. En d'autres mots, je pense que le progrès vers "l'intuition" passe nécessairement par une période de compréhension formelle et superficielle, qui ne sera remplacée que graduellement par une compréhension meilleure et plus approfondie.
Il y a un point, cependant, sur lequel je suis d'accord avec Thom, c'est sa critique de la tendance fâcheuse de beaucoup de jeunes enseignants universitaires qui introduisent très tôt beaucoup trop d'algèbre abstraite, alors que ce n'est pas du tout nécessaire.
Devons-nous enseigner
les " mathématiques modernes " ?
par Jean A. DIEUDONNÉ http://membres.lycos.fr/sauvezlesmaths/Textes/IVoltaire/dieudonn.htm
Le Tue, 29 Jun 2004 17:45:37 +0000 (UTC) après l'an de grâce,
inspiré(e) george@clipper.ens.fr (Nicolas George) écrivait la plume
légère :
Est-ce que c'est vraiment indispensable, le quoted-printable ?
j , dans le message <20040629164856.2744ead6@osmonda.prive.jul>, a
écrit :
C'est aussi la raison pour laquelle Bourbaki a décidé de shunter la
géométrie comme manière d'apprendre les maths et remplacer cela p ar
l'apprentissage des théories ensemblistes : raison officielle :
Pour mémoire, Bourbaki était initialement un canular.
La tragédie est que ceux qui ont commencé le canular se sont pris au
sérieux est avait malheureusement l'oreille de l'enseignement français.
...
Le plus important, en maths, c'est la rigueur. Sans la rigueur, on ne
peut aller nulle part. S'il faut utiliser une notation plus
restrictive pour forcer les élèves débutants à être rigoureux, c'est
dommage, mais c'est comme ça.
Et bien je préfère largement les éléments d'Euclide et le dévelop pement
d'une représentation intuitive des maths à cette torture qu'est
l'apprentissage d'un formalisme pour le formalisme (qui ne sert
finalement qu'à faire de la sélection). Et Mandelbrot a eu raison de se
casser de normal où Bourbaki l'escagaçait concernant l'utilisation de la
géométrie et de l'intuition au détriment de la rigueur.
Aujourd'hui Dieudonné est-il plus connu que Mandelbrot?
Bourbaki et les maths c'est comme le W3C validator et les pages web :
des gens incapables de générer du contenu par manque d'imagination qui
se concentrent uniquement sur la chose sur laquelle ils se peuvent faire
mousser : le formalisme.
Je préfère savoir faire quelque chose des 3 concepts (même
imparfaitement) que j'ai appris, que juste pouvoir être fier d'avoir
branler et couper l'espilon en quatre.
...
mais contre-intuitif, et et tu es pour la notation de
Leibnitz parce qu'elle est inuitive (donc soit-disant trompeuse) ?
Je suis favorable à l'utilisation de cette notation _pour des élèves
n'ayant pas encore acquis la rigueur et la maîtrise des concepts
nécessaire à ne pas se prendre les pieds dans le tapie_. Nuance. Quand
il s'agit de vrais calculs, ce n'est pas pareil.
???
Les élèves nouveaux ont le droit de l'utiliser oui ou non d'après toi?
Soit dit en passant, le professeur Gleick (épistémologue) écorne la
raison officielle de l'utilisation de la théorie des ensembles pour
l'apprentissage.
Il faudrait remettre tes pendules à l'haure, on n'utilise pas la
théorie des ensembles pour l'apprentissage.
Le structuralisme ne pouvant s'appréhender aisément que dans les
mathématiques supérieures, pour les programmes du secondaire on prend
- de Bourbaki le souci unitaire, ce qui tue toute velléité
interprétative, imaginative chez les élèves
- de Russell la sémantique ensembliste et exclusivement cette sémantique
pourtant très pauvre et très localisée.
Tu vois je suis sympa je corrige moi même. Bourbaki n'est pas
exactement responsable des erreurs faîtes en son nom. Et Poincaré éta it
connu pour défendre le développement de l'intuition et être opposé au
logicisme comme tueur de cette dernière ce qui va à l'encontre de ce
texte de Dieudonné (un des membres de Bourbaki) qui suit :
L'objectif ultime de l'enseignement des mathématiques à n'importe quel
niveau est certainement de donner à l'étudiant une "intuition" solide
des objets mathématiques qu'il a à manipuler. Mais l'expérience montre
que ceci ne peut être atteint qu'à travers une longue familiarisation
avec le sujet et des tentatives répétées pour le comprendre sous tous
les angles possibles. Un professeur ayant acquis depuis fort longtemps
cette familiarisation risque, pour son propre compte, un échec complet
s'il pense qu'il peut se dispenser d'énoncés précis lorsqu'il tente de
partager son "intuition" avec ses étudiants. En d'autres mots, je pense
que le progrès vers "l'intuition" passe nécessairement par une période
de compréhension formelle et superficielle, qui ne sera remplacée que
graduellement par une compréhension meilleure et plus approfondie.
Il y a un point, cependant, sur lequel je suis d'accord avec Thom, c'est
sa critique de la tendance fâcheuse de beaucoup de jeunes enseignants
universitaires qui introduisent très tôt beaucoup trop d'algèbre
abstraite, alors que ce n'est pas du tout nécessaire.
Devons-nous enseigner
les " mathématiques modernes " ?
par Jean A. DIEUDONNÉ
http://membres.lycos.fr/sauvezlesmaths/Textes/IVoltaire/dieudonn.htm
Le Tue, 29 Jun 2004 17:45:37 +0000 (UTC) après l'an de grâce, inspiré(e) (Nicolas George) écrivait la plume légère :
Est-ce que c'est vraiment indispensable, le quoted-printable ?
j , dans le message , a écrit :
C'est aussi la raison pour laquelle Bourbaki a décidé de shunter la géométrie comme manière d'apprendre les maths et remplacer cela p ar l'apprentissage des théories ensemblistes : raison officielle :
Pour mémoire, Bourbaki était initialement un canular. La tragédie est que ceux qui ont commencé le canular se sont pris au
sérieux est avait malheureusement l'oreille de l'enseignement français.
...
Le plus important, en maths, c'est la rigueur. Sans la rigueur, on ne peut aller nulle part. S'il faut utiliser une notation plus restrictive pour forcer les élèves débutants à être rigoureux, c'est dommage, mais c'est comme ça.
Et bien je préfère largement les éléments d'Euclide et le dévelop pement d'une représentation intuitive des maths à cette torture qu'est l'apprentissage d'un formalisme pour le formalisme (qui ne sert finalement qu'à faire de la sélection). Et Mandelbrot a eu raison de se casser de normal où Bourbaki l'escagaçait concernant l'utilisation de la géométrie et de l'intuition au détriment de la rigueur.
Aujourd'hui Dieudonné est-il plus connu que Mandelbrot?
Bourbaki et les maths c'est comme le W3C validator et les pages web : des gens incapables de générer du contenu par manque d'imagination qui se concentrent uniquement sur la chose sur laquelle ils se peuvent faire mousser : le formalisme.
Je préfère savoir faire quelque chose des 3 concepts (même imparfaitement) que j'ai appris, que juste pouvoir être fier d'avoir branler et couper l'espilon en quatre.
...
mais contre-intuitif, et et tu es pour la notation de Leibnitz parce qu'elle est inuitive (donc soit-disant trompeuse) ?
Je suis favorable à l'utilisation de cette notation _pour des élèves n'ayant pas encore acquis la rigueur et la maîtrise des concepts nécessaire à ne pas se prendre les pieds dans le tapie_. Nuance. Quand il s'agit de vrais calculs, ce n'est pas pareil. ???
Les élèves nouveaux ont le droit de l'utiliser oui ou non d'après toi?
Soit dit en passant, le professeur Gleick (épistémologue) écorne la raison officielle de l'utilisation de la théorie des ensembles pour l'apprentissage.
Il faudrait remettre tes pendules à l'haure, on n'utilise pas la théorie des ensembles pour l'apprentissage.
Le structuralisme ne pouvant s'appréhender aisément que dans les mathématiques supérieures, pour les programmes du secondaire on prend - de Bourbaki le souci unitaire, ce qui tue toute velléité interprétative, imaginative chez les élèves - de Russell la sémantique ensembliste et exclusivement cette sémantique pourtant très pauvre et très localisée.
Tu vois je suis sympa je corrige moi même. Bourbaki n'est pas exactement responsable des erreurs faîtes en son nom. Et Poincaré éta it connu pour défendre le développement de l'intuition et être opposé au logicisme comme tueur de cette dernière ce qui va à l'encontre de ce texte de Dieudonné (un des membres de Bourbaki) qui suit :
L'objectif ultime de l'enseignement des mathématiques à n'importe quel niveau est certainement de donner à l'étudiant une "intuition" solide des objets mathématiques qu'il a à manipuler. Mais l'expérience montre que ceci ne peut être atteint qu'à travers une longue familiarisation avec le sujet et des tentatives répétées pour le comprendre sous tous les angles possibles. Un professeur ayant acquis depuis fort longtemps cette familiarisation risque, pour son propre compte, un échec complet s'il pense qu'il peut se dispenser d'énoncés précis lorsqu'il tente de partager son "intuition" avec ses étudiants. En d'autres mots, je pense que le progrès vers "l'intuition" passe nécessairement par une période de compréhension formelle et superficielle, qui ne sera remplacée que graduellement par une compréhension meilleure et plus approfondie.
Il y a un point, cependant, sur lequel je suis d'accord avec Thom, c'est sa critique de la tendance fâcheuse de beaucoup de jeunes enseignants universitaires qui introduisent très tôt beaucoup trop d'algèbre abstraite, alors que ce n'est pas du tout nécessaire.
Devons-nous enseigner
les " mathématiques modernes " ?
par Jean A. DIEUDONNÉ http://membres.lycos.fr/sauvezlesmaths/Textes/IVoltaire/dieudonn.htm
george
JKB , dans le message , a écrit :
Non. Cela n'est vrai que pour les expressions simples.
Les arguments restent toujours strictement plus près de l'opérateur en notation infixe, quelle que soit la complexité de l'expression.
Hi hi hi hi, encore rraté !... L'élément d'un vecteur est traité comme une case mémoire (pour faire simple), alors que l'évaluation d'une fonction est traité comme un appel à une routine interprétée au vol ou une fonction intrinsèque au langage, ce qui est _totalement_ différent (sémantiquement parlant).
On parlait bien de syntaxe, là, non ?
JKB , dans le message <slrnce56j2.285.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
Non. Cela n'est vrai que pour les expressions simples.
Les arguments restent toujours strictement plus près de l'opérateur en
notation infixe, quelle que soit la complexité de l'expression.
Hi hi hi hi, encore rraté !... L'élément d'un vecteur est traité
comme une case mémoire (pour faire simple), alors que l'évaluation
d'une fonction est traité comme un appel à une routine interprétée
au vol ou une fonction intrinsèque au langage, ce qui est
_totalement_ différent (sémantiquement parlant).
Non. Cela n'est vrai que pour les expressions simples.
Les arguments restent toujours strictement plus près de l'opérateur en notation infixe, quelle que soit la complexité de l'expression.
Hi hi hi hi, encore rraté !... L'élément d'un vecteur est traité comme une case mémoire (pour faire simple), alors que l'évaluation d'une fonction est traité comme un appel à une routine interprétée au vol ou une fonction intrinsèque au langage, ce qui est _totalement_ différent (sémantiquement parlant).
On parlait bien de syntaxe, là, non ?
george
j , dans le message , a écrit : <snip>
Dis, ça fait combien de temps que tu n'as pas mis les pieds dans une classe de maths de lycée ?
j , dans le message <20040630130649.19c7751e@osmonda.prive.jul>, a
écrit :
<snip>
Dis, ça fait combien de temps que tu n'as pas mis les pieds dans une
classe de maths de lycée ?
"Manuel Leclerc" , dans le message <40e29a6e$, a écrit :
Jusqu'à l'instruction "indiquée" qui provoque un "undefined".
Comme ça t'a déjà été dit deux fois, « undefined » ne veut dire indéfini que par la norme.
george
"Manuel Leclerc" , dans le message <40e29b9a$, a écrit :
Oui, mais peux-tu m'expliquer le rapport entre ta question et ma question ?
Simplement que je vois plein de cas où l'ajustement est inutile (soit parce que l'information n'est plus nécessaire, soit parce qu'on va pouvoir le faire plus tard avec une information qu'on a par ailleurs), que ça me saute aux yeux, et que je pensais que ça sauterait aux yeux de n'importe qui assez familier du C.
"Manuel Leclerc" , dans le message <40e29b9a$1@neottia.net>, a écrit :
Oui, mais peux-tu m'expliquer le rapport entre ta question
et ma question ?
Simplement que je vois plein de cas où l'ajustement est inutile (soit
parce que l'information n'est plus nécessaire, soit parce qu'on va
pouvoir le faire plus tard avec une information qu'on a par ailleurs),
que ça me saute aux yeux, et que je pensais que ça sauterait aux yeux de
n'importe qui assez familier du C.
"Manuel Leclerc" , dans le message <40e29b9a$, a écrit :
Oui, mais peux-tu m'expliquer le rapport entre ta question et ma question ?
Simplement que je vois plein de cas où l'ajustement est inutile (soit parce que l'information n'est plus nécessaire, soit parce qu'on va pouvoir le faire plus tard avec une information qu'on a par ailleurs), que ça me saute aux yeux, et que je pensais que ça sauterait aux yeux de n'importe qui assez familier du C.
JKB
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
Non. Cela n'est vrai que pour les expressions simples.
Les arguments restent toujours strictement plus près de l'opérateur en notation infixe, quelle que soit la complexité de l'expression.
Et alors ? Ce n'est pas pour cela que le résultat est plus lisible. Il suffit de regarder le nombre de parenthèses pour s'en convaincre.
Vous être en train d'arguer que la meilleure solution est la notation algébrique car on l'utilise simplement (sous-entendu avec un stylographe et une feuille de papier) et en oubliant qu'on n'est pas limité à une seule ligne sur ladite feuille. En informatique (courante), on _est_ limité à cette sacro-sainte ligne, et pour éviter des ambiguïtés, il _faut_ utiliser des parenthèses et bien connaître les ordres de priorité des opérateurs qui changent subtilement en fonction du langage. C'est faux, la meilleure méthode est celle qui est la plus adaptée et la plus simple à l'usage, même s'il faut un investissement initial.
Exemple : je n'arrive plus à utiliser un autre traitement de textes que TeX avec vim. Pourtant, les débuts ont été difficiles, mais aujourd'hui, je bats en rapidité tous mes collègues qui utilisent soi-disant un outil beaucoup plus intuitif.
Hi hi hi hi, encore rraté !... L'élément d'un vecteur est traité comme une case mémoire (pour faire simple), alors que l'évaluation d'une fonction est traité comme un appel à une routine interprétée au vol ou une fonction intrinsèque au langage, ce qui est _totalement_ différent (sémantiquement parlant).
On parlait bien de syntaxe, là, non ?
Oui, mais en langage informatique. De toute façon, même en mathématiques, un vecteur n'est pas une fonction (tout au plus une fonction échantillonnée).
JKB
Le 30-06-2004, à propos de
Re: Fichier Windows et matériel Linux,
Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message <slrnce56j2.285.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
Non. Cela n'est vrai que pour les expressions simples.
Les arguments restent toujours strictement plus près de l'opérateur en
notation infixe, quelle que soit la complexité de l'expression.
Et alors ? Ce n'est pas pour cela que le résultat est plus lisible.
Il suffit de regarder le nombre de parenthèses pour s'en convaincre.
Vous être en train d'arguer que la meilleure solution est la
notation algébrique car on l'utilise simplement (sous-entendu avec
un stylographe et une feuille de papier) et en oubliant qu'on n'est
pas limité à une seule ligne sur ladite feuille. En informatique
(courante), on _est_ limité à cette sacro-sainte ligne, et pour
éviter des ambiguïtés, il _faut_ utiliser des parenthèses et bien
connaître les ordres de priorité des opérateurs qui changent
subtilement en fonction du langage. C'est faux, la meilleure méthode
est celle qui est la plus adaptée et la plus simple à l'usage, même
s'il faut un investissement initial.
Exemple : je n'arrive plus à utiliser un autre traitement de textes
que TeX avec vim. Pourtant, les débuts ont été difficiles, mais
aujourd'hui, je bats en rapidité tous mes collègues qui utilisent
soi-disant un outil beaucoup plus intuitif.
Hi hi hi hi, encore rraté !... L'élément d'un vecteur est traité
comme une case mémoire (pour faire simple), alors que l'évaluation
d'une fonction est traité comme un appel à une routine interprétée
au vol ou une fonction intrinsèque au langage, ce qui est
_totalement_ différent (sémantiquement parlant).
On parlait bien de syntaxe, là, non ?
Oui, mais en langage informatique. De toute façon, même en
mathématiques, un vecteur n'est pas une fonction (tout au plus une
fonction échantillonnée).
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB , dans le message , a écrit :
Non. Cela n'est vrai que pour les expressions simples.
Les arguments restent toujours strictement plus près de l'opérateur en notation infixe, quelle que soit la complexité de l'expression.
Et alors ? Ce n'est pas pour cela que le résultat est plus lisible. Il suffit de regarder le nombre de parenthèses pour s'en convaincre.
Vous être en train d'arguer que la meilleure solution est la notation algébrique car on l'utilise simplement (sous-entendu avec un stylographe et une feuille de papier) et en oubliant qu'on n'est pas limité à une seule ligne sur ladite feuille. En informatique (courante), on _est_ limité à cette sacro-sainte ligne, et pour éviter des ambiguïtés, il _faut_ utiliser des parenthèses et bien connaître les ordres de priorité des opérateurs qui changent subtilement en fonction du langage. C'est faux, la meilleure méthode est celle qui est la plus adaptée et la plus simple à l'usage, même s'il faut un investissement initial.
Exemple : je n'arrive plus à utiliser un autre traitement de textes que TeX avec vim. Pourtant, les débuts ont été difficiles, mais aujourd'hui, je bats en rapidité tous mes collègues qui utilisent soi-disant un outil beaucoup plus intuitif.
Hi hi hi hi, encore rraté !... L'élément d'un vecteur est traité comme une case mémoire (pour faire simple), alors que l'évaluation d'une fonction est traité comme un appel à une routine interprétée au vol ou une fonction intrinsèque au langage, ce qui est _totalement_ différent (sémantiquement parlant).
On parlait bien de syntaxe, là, non ?
Oui, mais en langage informatique. De toute façon, même en mathématiques, un vecteur n'est pas une fonction (tout au plus une fonction échantillonnée).
JKB
JKB
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
j , dans le message , a écrit : <snip>
Dis, ça fait combien de temps que tu n'as pas mis les pieds dans une classe de maths de lycée ?
Je vous renvoie l'argument. Cela fait combien de temps que vous ne vous êtes plus paluché à la main des calculs sérieux d'analyse numérique ?
JKB
Le 30-06-2004, à propos de
Re: Fichier Windows et matériel Linux,
Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
j , dans le message <20040630130649.19c7751e@osmonda.prive.jul>, a
écrit :
<snip>
Dis, ça fait combien de temps que tu n'as pas mis les pieds dans une
classe de maths de lycée ?
Je vous renvoie l'argument. Cela fait combien de temps que vous ne
vous êtes plus paluché à la main des calculs sérieux d'analyse
numérique ?
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, Nicolas George écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
"Manuel Leclerc" , dans le message <40e29a6e$, a écrit :
Jusqu'à l'instruction "indiquée" qui provoque un "undefined".
Comme ça t'a déjà été dit deux fois, « undefined » ne veut dire indéfini que par la norme.
Ce n'est pas un tantinet regrettable pour la portabilité ?
JKB
george
JKB , dans le message , a écrit :
Ce n'est pas un tantinet regrettable pour la portabilité ?
En général, les comportements indéfinis ne sont pas franchement utiles pour le programmeur, donc ça ne coûte pas beaucoup de les éviter. Après, la portabilité, c'est avant tout une question de choix.
JKB , dans le message <slrnce5a2a.285.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
Ce n'est pas un tantinet regrettable pour la portabilité ?
En général, les comportements indéfinis ne sont pas franchement utiles
pour le programmeur, donc ça ne coûte pas beaucoup de les éviter. Après,
la portabilité, c'est avant tout une question de choix.
Ce n'est pas un tantinet regrettable pour la portabilité ?
En général, les comportements indéfinis ne sont pas franchement utiles pour le programmeur, donc ça ne coûte pas beaucoup de les éviter. Après, la portabilité, c'est avant tout une question de choix.
george
JKB , dans le message , a écrit :
Exemple : je n'arrive plus à utiliser un autre traitement de textes que TeX avec vim. Pourtant, les débuts ont été difficiles, mais aujourd'hui, je bats en rapidité tous mes collègues qui utilisent soi-disant un outil beaucoup plus intuitif.
Bien sûr. Et je peux dire que j'ai pratiqué l'infixe comme le préfixe, et je préfère largement l'infixe.
Oui, mais en langage informatique. De toute façon, même en mathématiques, un vecteur n'est pas une fonction (tout au plus une fonction échantillonnée).
Pipo.
JKB , dans le message <slrnce59tr.285.bertrand@grossebaf.systella.fr>, a
écrit :
Exemple : je n'arrive plus à utiliser un autre traitement de textes
que TeX avec vim. Pourtant, les débuts ont été difficiles, mais
aujourd'hui, je bats en rapidité tous mes collègues qui utilisent
soi-disant un outil beaucoup plus intuitif.
Bien sûr. Et je peux dire que j'ai pratiqué l'infixe comme le préfixe,
et je préfère largement l'infixe.
Oui, mais en langage informatique. De toute façon, même en
mathématiques, un vecteur n'est pas une fonction (tout au plus une
fonction échantillonnée).
Exemple : je n'arrive plus à utiliser un autre traitement de textes que TeX avec vim. Pourtant, les débuts ont été difficiles, mais aujourd'hui, je bats en rapidité tous mes collègues qui utilisent soi-disant un outil beaucoup plus intuitif.
Bien sûr. Et je peux dire que j'ai pratiqué l'infixe comme le préfixe, et je préfère largement l'infixe.
Oui, mais en langage informatique. De toute façon, même en mathématiques, un vecteur n'est pas une fonction (tout au plus une fonction échantillonnée).