A supposer qu'une entreprise veuille mettre son parc sous Linux.
Et qu'elle reçoive des documents venant d'Access, Excel,... peut-elle
les lire , les travailler et les renvoyer de manière que le
destinantaire sur produits Microsoft puisse les lire, etc...
?
Je re-pose la question : le quoted-printable, est-ce vraiment nécessaire ?
Youhoud ?
Les mauvais réflexes inculqués par l'enseignement français se retrouv ent dans une bonne partie de la communauté informaticienne qui aime sauter au solution sans chercher comprendre le problème.
Ces mauvais réflexes ne viennent à mon avis pas de l'enseignement, mais de la paresse humaine. C'est un fait, il faut des critères pour décider de décerner tel ou tel diplôme. Et aussi bien fait soit le type d'exercide, il est à peu près inévitable qu'on trouve des « trucs » qui permettent de le résoudre sans réellement comprendre ce qu'on fait.
Bref, si tu n'as pas mieux à proposer concrêtement...
Tu veux dire que l'on peut avoir 10/20 à ses examens en France sans poser une ligne de calculs qui de toute façon est sans commune mesure avec les problèmes réellement rencontrés dans la vraie vie ?
Les calculs sont quelque chose de nécessaire de toutes façons, il serait stupide de ne pas en tenir compte.
j , dans le message <20040630164934.1cbd4fae@osmonda.prive.jul>, a
écrit :
Je re-pose la question : le quoted-printable, est-ce vraiment
nécessaire ?
Youhoud ?
Les mauvais réflexes inculqués par l'enseignement français se retrouv ent
dans une bonne partie de la communauté informaticienne qui aime sauter
au solution sans chercher comprendre le problème.
Ces mauvais réflexes ne viennent à mon avis pas de l'enseignement, mais
de la paresse humaine. C'est un fait, il faut des critères pour décider
de décerner tel ou tel diplôme. Et aussi bien fait soit le type
d'exercide, il est à peu près inévitable qu'on trouve des « trucs » qui
permettent de le résoudre sans réellement comprendre ce qu'on fait.
Bref, si tu n'as pas mieux à proposer concrêtement...
Tu veux dire que l'on peut avoir 10/20 à ses examens en France sans
poser une ligne de calculs qui de toute façon est sans commune mesure
avec les problèmes réellement rencontrés dans la vraie vie ?
Les calculs sont quelque chose de nécessaire de toutes façons, il serait
stupide de ne pas en tenir compte.
Je re-pose la question : le quoted-printable, est-ce vraiment nécessaire ?
Youhoud ?
Les mauvais réflexes inculqués par l'enseignement français se retrouv ent dans une bonne partie de la communauté informaticienne qui aime sauter au solution sans chercher comprendre le problème.
Ces mauvais réflexes ne viennent à mon avis pas de l'enseignement, mais de la paresse humaine. C'est un fait, il faut des critères pour décider de décerner tel ou tel diplôme. Et aussi bien fait soit le type d'exercide, il est à peu près inévitable qu'on trouve des « trucs » qui permettent de le résoudre sans réellement comprendre ce qu'on fait.
Bref, si tu n'as pas mieux à proposer concrêtement...
Tu veux dire que l'on peut avoir 10/20 à ses examens en France sans poser une ligne de calculs qui de toute façon est sans commune mesure avec les problèmes réellement rencontrés dans la vraie vie ?
Les calculs sont quelque chose de nécessaire de toutes façons, il serait stupide de ne pas en tenir compte.
remy
donc histoire de relancer la question si j'ai bien compris
est-ce que l'outil fait avancer la recherche ou l'outil est il une consequence d'une avancee
moi je dirais que pour la physique je prends la premiere option et pour les maths la deuxieme
et pour l'informatique ce ne sont que des tp a quelques effets de bord pres
moi meme qui joue au normand
remy
donc histoire de relancer
la question si j'ai bien compris
est-ce que l'outil fait avancer la recherche
ou l'outil est il une consequence d'une avancee
moi je dirais que pour la physique je prends la
premiere option et pour les maths la deuxieme
et pour l'informatique ce ne sont que des tp
a quelques effets de bord pres
donc histoire de relancer la question si j'ai bien compris
est-ce que l'outil fait avancer la recherche ou l'outil est il une consequence d'une avancee
moi je dirais que pour la physique je prends la premiere option et pour les maths la deuxieme
et pour l'informatique ce ne sont que des tp a quelques effets de bord pres
moi meme qui joue au normand
remy
Emmanuel Florac
Le Wed, 30 Jun 2004 14:30:03 +0200, Richard Delorme a écrit :
La brique du langage d'assemblage est l'instruction, or ce concept n'existe pas dans le langage C, qui manipule des objets, des fonctions, des expressions, mais pas d'instructions. Bref, il s'agit de deux langages fondamentalement différents et toutes les boutades qui les comparent sont généralement absurdes.
Évidemment que le C n'est pas réellement un assembleur. De là à dire qu'ils n'ont rien à voir! On peut faire des "objets" aussi bien en macroassembleur qu'en C, à tout prendre...
-- L'esprit qu'on veut avoir gâte celui qu'on a. Jean-Baptiste Louis Grisset.
Le Wed, 30 Jun 2004 14:30:03 +0200, Richard Delorme a écrit :
La brique du langage
d'assemblage est l'instruction, or ce concept n'existe pas dans le langage
C, qui manipule des objets, des fonctions, des expressions, mais pas
d'instructions. Bref, il s'agit de deux langages fondamentalement
différents et toutes les boutades qui les comparent sont généralement
absurdes.
Évidemment que le C n'est pas réellement un assembleur. De là à dire
qu'ils n'ont rien à voir! On peut faire des "objets" aussi bien en
macroassembleur qu'en C, à tout prendre...
--
L'esprit qu'on veut avoir gâte celui qu'on a.
Jean-Baptiste Louis Grisset.
Le Wed, 30 Jun 2004 14:30:03 +0200, Richard Delorme a écrit :
La brique du langage d'assemblage est l'instruction, or ce concept n'existe pas dans le langage C, qui manipule des objets, des fonctions, des expressions, mais pas d'instructions. Bref, il s'agit de deux langages fondamentalement différents et toutes les boutades qui les comparent sont généralement absurdes.
Évidemment que le C n'est pas réellement un assembleur. De là à dire qu'ils n'ont rien à voir! On peut faire des "objets" aussi bien en macroassembleur qu'en C, à tout prendre...
-- L'esprit qu'on veut avoir gâte celui qu'on a. Jean-Baptiste Louis Grisset.
costaclt
Shmurtz wrote:
Beaucoup de bornes de jeux d'arcades des années 80 étaient programmées en Forth aussi.
Oui, j'ai vu ça aussi. On se demande pourquoi il ne s'est pas développé. Pour l'instant, en se promenant sur le news forth, ce qui ressort c'est le manque cruel de documentations. En C, tu as tout ce que tu veux sur tous les aspects possibles et imaginables. Y'a qu'à tendre le bras.
D'autres langages posent un problème de documentation assez lourd : peu de docs, ou de la doc très chère et avec un délai dans l'acheminement un peu trop long, lorsqu'il s'agit de docs anglo-saxonnes.
costaclt
Shmurtz wrote:
Beaucoup de bornes de jeux d'arcades des années 80 étaient programmées
en Forth aussi.
Oui, j'ai vu ça aussi. On se demande pourquoi il ne s'est pas développé.
Pour l'instant, en se promenant sur le news forth, ce qui ressort c'est
le manque cruel de documentations. En C, tu as tout ce que tu veux sur
tous les aspects possibles et imaginables. Y'a qu'à tendre le bras.
D'autres langages posent un problème de documentation assez lourd : peu
de docs, ou de la doc très chère et avec un délai dans l'acheminement
un peu trop long, lorsqu'il s'agit de docs anglo-saxonnes.
Beaucoup de bornes de jeux d'arcades des années 80 étaient programmées en Forth aussi.
Oui, j'ai vu ça aussi. On se demande pourquoi il ne s'est pas développé. Pour l'instant, en se promenant sur le news forth, ce qui ressort c'est le manque cruel de documentations. En C, tu as tout ce que tu veux sur tous les aspects possibles et imaginables. Y'a qu'à tendre le bras.
D'autres langages posent un problème de documentation assez lourd : peu de docs, ou de la doc très chère et avec un délai dans l'acheminement un peu trop long, lorsqu'il s'agit de docs anglo-saxonnes.
costaclt
X.B
Exemple : je n'arrive plus à utiliser un autre traitement de textes que TeX avec vim. Pourtant, les débuts ont été difficiles, mais aujourd'hui, je bats en rapidité tous mes collègues qui utilisent soi-disant un outil beaucoup plus intuitif. tient ça me rappel un autre debat sur "plutot efficace" ou "plutot
cosmetique" ... Mais ce n'est pas ici, bien que quelques derapages aient finis ici ...
Exemple : je n'arrive plus à utiliser un autre traitement de textes
que TeX avec vim. Pourtant, les débuts ont été difficiles, mais
aujourd'hui, je bats en rapidité tous mes collègues qui utilisent
soi-disant un outil beaucoup plus intuitif.
tient ça me rappel un autre debat sur "plutot efficace" ou "plutot
cosmetique" ... Mais ce n'est pas ici, bien que quelques derapages aient
finis ici ...
Exemple : je n'arrive plus à utiliser un autre traitement de textes que TeX avec vim. Pourtant, les débuts ont été difficiles, mais aujourd'hui, je bats en rapidité tous mes collègues qui utilisent soi-disant un outil beaucoup plus intuitif. tient ça me rappel un autre debat sur "plutot efficace" ou "plutot
cosmetique" ... Mais ce n'est pas ici, bien que quelques derapages aient finis ici ...
Michel BILLAUD
Richard Delorme writes:
Quand ESR écrit (dans le chapitre 4) : « Thompson and Ritchie designed C to be a sort of structured assembler », je pense qu'il utilise une antinomie (structuré et assembleur sont bien sûr contradictoires)
Pas tout à fait. Il y a eu des trucs intéressants dans cette voie-là, comme PL/370 de N. Wirth. Excusez j'ai un peu oublié les détails :-)
MB -- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
Richard Delorme <abulmo@nospam.fr> writes:
Quand ESR écrit (dans le chapitre 4) : « Thompson and Ritchie designed
C to be a sort of structured assembler », je pense qu'il utilise une
antinomie (structuré et assembleur sont bien sûr contradictoires)
Pas tout à fait. Il y a eu des trucs intéressants dans cette voie-là,
comme PL/370 de N. Wirth. Excusez j'ai un peu oublié les détails :-)
MB
--
Michel BILLAUD billaud@labri.fr
LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792
351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud
33405 Talence (FRANCE)
Quand ESR écrit (dans le chapitre 4) : « Thompson and Ritchie designed C to be a sort of structured assembler », je pense qu'il utilise une antinomie (structuré et assembleur sont bien sûr contradictoires)
Pas tout à fait. Il y a eu des trucs intéressants dans cette voie-là, comme PL/370 de N. Wirth. Excusez j'ai un peu oublié les détails :-)
MB -- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
Michel BILLAUD
lanvir writes:
Le RPN suppose de connaître a priori le type des arguments, donc aussi si une variable est une variable ou une fonction. Il n'y a donc aucune ambiguïté. Un analyseur RPN commence par regarder le
L'arité, mon ptit, l'arité...
Meme pas. Il suffit de considérer tous les opérateurs comme des fonctions unaires capables de renvoyer d'autres fonctions.
Par exemple + est la fonction qui a un nombre x associe la fonction qui à tout y fait correspondre la somme de x et de y.
Ce n'est pas si compliqué, "+(1)" est alors la fonction qui "augmente d'un".
Ah j'oubliais, une constante comme 1 est aussi une fonction unaire qui qui renvoie toujours la même chose : elle-même.
Vous prendrez un peu de curry avec votre aspirine ?
MB -- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
lanvir <lanvir@not.for.mail> writes:
Le RPN suppose de connaître a priori le type des arguments, donc
aussi si une variable est une variable ou une fonction. Il n'y a
donc aucune ambiguïté. Un analyseur RPN commence par regarder le
L'arité, mon ptit, l'arité...
Meme pas. Il suffit de considérer tous les opérateurs comme des fonctions unaires
capables de renvoyer d'autres fonctions.
Par exemple + est la fonction qui a un nombre x associe la fonction
qui à tout y fait correspondre la somme de x et de y.
Ce n'est pas si compliqué, "+(1)" est alors la fonction qui "augmente d'un".
Ah j'oubliais, une constante comme 1 est aussi une fonction unaire qui
qui renvoie toujours la même chose : elle-même.
Vous prendrez un peu de curry avec votre aspirine ?
MB
--
Michel BILLAUD billaud@labri.fr
LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792
351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud
33405 Talence (FRANCE)
Le RPN suppose de connaître a priori le type des arguments, donc aussi si une variable est une variable ou une fonction. Il n'y a donc aucune ambiguïté. Un analyseur RPN commence par regarder le
L'arité, mon ptit, l'arité...
Meme pas. Il suffit de considérer tous les opérateurs comme des fonctions unaires capables de renvoyer d'autres fonctions.
Par exemple + est la fonction qui a un nombre x associe la fonction qui à tout y fait correspondre la somme de x et de y.
Ce n'est pas si compliqué, "+(1)" est alors la fonction qui "augmente d'un".
Ah j'oubliais, une constante comme 1 est aussi une fonction unaire qui qui renvoie toujours la même chose : elle-même.
Vous prendrez un peu de curry avec votre aspirine ?
MB -- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
Michel BILLAUD
(Nicolas George) writes:
j , dans le message , a écrit :
Je suis trentenaire
Ça explique tout. Personne ne nie, il me semble, que les expérimentations de cette époque dans l'enseignement des mathématiques ont été une erreur.
Ah pardon, les vraies victimes ont quinze ans de plus.
MB -- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
george@clipper.ens.fr (Nicolas George) writes:
j , dans le message <20040630144640.1df124cc@osmonda.prive.jul>, a
écrit :
Je suis trentenaire
Ça explique tout. Personne ne nie, il me semble, que les
expérimentations de cette époque dans l'enseignement des mathématiques
ont été une erreur.
Ah pardon, les vraies victimes ont quinze ans de plus.
MB
--
Michel BILLAUD billaud@labri.fr
LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792
351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud
33405 Talence (FRANCE)
Ça explique tout. Personne ne nie, il me semble, que les expérimentations de cette époque dans l'enseignement des mathématiques ont été une erreur.
Ah pardon, les vraies victimes ont quinze ans de plus.
MB -- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
JKB
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, lanvir écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 2004-06-30, JKB écrivait:
dis-moi, comment parses-tu :
x y z f g
Faut-il le lire « g(x, f(y, z)) », ou bien « g(x, y, f(z)) » ? Ou peut-être « g(f(x, y, z)) » ? À moins que ce ne soit « g(f(z), y(x) » ?
Sorti du contexte, on peut tout faire dire à une expression RPN.
Le RPN suppose de connaître a priori le type des arguments, donc aussi si une variable est une variable ou une fonction. Il n'y a donc aucune ambiguïté. Un analyseur RPN commence par regarder le
L'arité, mon ptit, l'arité...
Exact, mais je ne tenais pas à rentrer aussi loin dans le détail. va bientôt se relire la bible de Knuth ;-)
JKB
Le 30-06-2004, à propos de
Re: Fichier Windows et matériel Linux,
lanvir écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 2004-06-30, JKB écrivait:
dis-moi, comment parses-tu :
x y z f g
Faut-il le lire « g(x, f(y, z)) », ou bien « g(x, y, f(z)) » ? Ou
peut-être « g(f(x, y, z)) » ? À moins que ce ne soit « g(f(z), y(x) » ?
Sorti du contexte, on peut tout faire dire à une expression RPN.
Le RPN suppose de connaître a priori le type des arguments, donc
aussi si une variable est une variable ou une fonction. Il n'y a
donc aucune ambiguïté. Un analyseur RPN commence par regarder le
L'arité, mon ptit, l'arité...
Exact, mais je ne tenais pas à rentrer aussi loin dans le détail.
va bientôt se relire la bible de Knuth ;-)
Le 30-06-2004, à propos de Re: Fichier Windows et matériel Linux, lanvir écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 2004-06-30, JKB écrivait:
dis-moi, comment parses-tu :
x y z f g
Faut-il le lire « g(x, f(y, z)) », ou bien « g(x, y, f(z)) » ? Ou peut-être « g(f(x, y, z)) » ? À moins que ce ne soit « g(f(z), y(x) » ?
Sorti du contexte, on peut tout faire dire à une expression RPN.
Le RPN suppose de connaître a priori le type des arguments, donc aussi si une variable est une variable ou une fonction. Il n'y a donc aucune ambiguïté. Un analyseur RPN commence par regarder le
L'arité, mon ptit, l'arité...
Exact, mais je ne tenais pas à rentrer aussi loin dans le détail. va bientôt se relire la bible de Knuth ;-)
JKB
Franck Yvonnet
Ainsi Parlait David MAREC
Dites, pourriez-vous, à l'avenir, nous soumettre un troll de qualité, plutôt que de nous raconter votre vie ?
Ne te plaint pas: il pourrait nous faire des lignes et des lignes sur feu sa mère qu'un ambulancier distrait a paumé en route :-)
-- Franck Yvonnet
Ainsi Parlait David MAREC <dmarec.spam@spambox.invalid>
Dites, pourriez-vous, à l'avenir, nous soumettre un troll de qualité, plutôt
que de nous raconter votre vie ?
Ne te plaint pas: il pourrait nous faire des lignes et des lignes sur
feu sa mère qu'un ambulancier distrait a paumé en route :-)