J'ai une question pour ceux qui hantent ce forum et qui
sont beaucoup plus intelligents que moi.
Donc, j'ai observé à de nombreuses reprises, comme par
exemple à la cérémonie de cloture des JO de Londres, que des
centaines (pour ne pas dire des milliers) de gens passent
leur temps à photographier au flash alors qu'ils se trouvent
à plus de 50m, sinon 100, du sujet.
Ca sert à quoi ? Vous auriez une idée ?
Merci de m'aider à améliorer mon ignorance.
Après avoir conçu et réalisé mon diffuseur de flash interne "Picard Surgelés", souvent imité mais jamais égalé, je suis en train d'étudier un concentrateur pour le flash interne de mon D90. Les résultats de mon premier prototype sont prometteurs. http://cjoint.com/12au/BHomRjaooJf.htm
Oui, bon. Mais tu n'es pas obligé de faire la publicité gratuite pour le C.I. qui est sur la photo.
Après avoir conçu et réalisé mon diffuseur de flash interne "Picard
Surgelés", souvent imité mais jamais égalé, je suis en train d'étudier un
concentrateur pour le flash interne de mon D90.
Les résultats de mon premier prototype sont prometteurs.
http://cjoint.com/12au/BHomRjaooJf.htm
Oui, bon. Mais tu n'es pas obligé de faire la publicité
gratuite pour le C.I. qui est sur la photo.
Après avoir conçu et réalisé mon diffuseur de flash interne "Picard Surgelés", souvent imité mais jamais égalé, je suis en train d'étudier un concentrateur pour le flash interne de mon D90. Les résultats de mon premier prototype sont prometteurs. http://cjoint.com/12au/BHomRjaooJf.htm
Oui, bon. Mais tu n'es pas obligé de faire la publicité gratuite pour le C.I. qui est sur la photo.
jdd
Le 14/08/2012 20:17, Ghost-Rider a écrit :
J'ai vendu l'agrandisseur mais j'ai gardé le condenseur de rechange, hé, hé, hé... Ça peut servir... Ça va servir...
c'est lourd...
jdd
Le 14/08/2012 20:17, Ghost-Rider a écrit :
J'ai vendu l'agrandisseur mais j'ai gardé le condenseur de rechange,
hé, hé, hé... Ça peut servir... Ça va servir...
J'ai vendu l'agrandisseur mais j'ai gardé le condenseur de rechange, hé, hé, hé... Ça peut servir... Ça va servir...
c'est lourd...
jdd
Ghost-Rider
Le 14/08/2012 20:21, Richard a écrit :
Après avoir conçu et réalisé mon diffuseur de flash interne "Picard Surgelés", souvent imité mais jamais égalé, je suis en train d'étudier un concentrateur pour le flash interne de mon D90. Les résultats de mon premier prototype sont prometteurs. http://cjoint.com/12au/BHomRjaooJf.htm
Oui, bon. Mais tu n'es pas obligé de faire la publicité gratuite pour le C.I. qui est sur la photo.
C'est une pub subliminale, tu n'es pas censé la remarquer.
Le 14/08/2012 20:21, Richard a écrit :
Après avoir conçu et réalisé mon diffuseur de flash interne "Picard
Surgelés", souvent imité mais jamais égalé, je suis en train d'étudier
un concentrateur pour le flash interne de mon D90.
Les résultats de mon premier prototype sont prometteurs.
http://cjoint.com/12au/BHomRjaooJf.htm
Oui, bon. Mais tu n'es pas obligé de faire la publicité
gratuite pour le C.I. qui est sur la photo.
C'est une pub subliminale, tu n'es pas censé la remarquer.
Après avoir conçu et réalisé mon diffuseur de flash interne "Picard Surgelés", souvent imité mais jamais égalé, je suis en train d'étudier un concentrateur pour le flash interne de mon D90. Les résultats de mon premier prototype sont prometteurs. http://cjoint.com/12au/BHomRjaooJf.htm
Oui, bon. Mais tu n'es pas obligé de faire la publicité gratuite pour le C.I. qui est sur la photo.
C'est une pub subliminale, tu n'es pas censé la remarquer.
Jean-Pierre Roche
Le 14/08/2012 20:19, Richard a écrit :
Exemple: avec le Canon Speedlite 580EX (NG = 58) utilisé à 105mm ou plus, à f/2.8 et à 3200iso, le calcul de la portée donne 117 mètres.
Avec un Canon 135mm 2, tu obtiens même à f/2 et à 6400iso une portée de 232 mètres ! Ça laisse quand même une bonne marge pour viser à "seulement" 50 mètres.
J'entends bien. Mais je doute que la grande majorité de ceux qui photographient du haut des stades utilisent un matériel de ce type. Probablement des petits compacts ou même des téléphones.
Et quand bien même... Ce genre de photo *théoriquement* possible donne, en pratique, des résultats déplorables pour des raisons diverses, la plus évidente étant l'éclairage ambiant. Au mieux on a un document.
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 14/08/2012 20:19, Richard a écrit :
Exemple: avec le Canon Speedlite 580EX (NG = 58) utilisé à
105mm ou plus, à f/2.8 et à 3200iso, le calcul de la
portée donne 117 mètres.
Avec un Canon 135mm 2, tu obtiens même à f/2 et à 6400iso
une portée de 232 mètres ! Ça laisse quand même une bonne
marge pour viser à "seulement" 50 mètres.
J'entends bien. Mais je doute que la grande majorité
de ceux qui photographient du haut des stades utilisent
un matériel de ce type. Probablement des petits compacts
ou même des téléphones.
Et quand bien même... Ce genre de photo *théoriquement*
possible donne, en pratique, des résultats déplorables pour
des raisons diverses, la plus évidente étant l'éclairage
ambiant. Au mieux on a un document.
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Exemple: avec le Canon Speedlite 580EX (NG = 58) utilisé à 105mm ou plus, à f/2.8 et à 3200iso, le calcul de la portée donne 117 mètres.
Avec un Canon 135mm 2, tu obtiens même à f/2 et à 6400iso une portée de 232 mètres ! Ça laisse quand même une bonne marge pour viser à "seulement" 50 mètres.
J'entends bien. Mais je doute que la grande majorité de ceux qui photographient du haut des stades utilisent un matériel de ce type. Probablement des petits compacts ou même des téléphones.
Et quand bien même... Ce genre de photo *théoriquement* possible donne, en pratique, des résultats déplorables pour des raisons diverses, la plus évidente étant l'éclairage ambiant. Au mieux on a un document.
-- Jean-Pierre Roche
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Jean-Pierre Roche
Le 14/08/2012 18:48, Ghost-Rider a écrit :
Les concentrateurs pyramidaux du commerce sont trop gros, malpratiques et coûteux. http://www.digitalbirdphotography.com/7.9.html
L'article explique surtout comment se bricoler ça soi-même pas cher. Avec une illustration extraordinaire : un héron à 60 mètres, sans flash (en ombre chinoise) et avec flash concentré. Ce dernier révèle les couleurs... et même celle du ciel (comme un flash porte bien plus loin qu'on ne croit)
Oui, mais c'est trop gros pour moi son truc.
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute être intéressant, pour les photographes...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
Le 14/08/2012 18:48, Ghost-Rider a écrit :
Les concentrateurs pyramidaux du commerce sont trop gros,
malpratiques
et coûteux.
http://www.digitalbirdphotography.com/7.9.html
L'article explique surtout comment se bricoler ça soi-même
pas cher.
Avec une illustration extraordinaire : un héron à 60
mètres, sans flash
(en ombre chinoise) et avec flash concentré. Ce dernier
révèle les
couleurs... et même celle du ciel (comme un flash porte
bien plus loin
qu'on ne croit)
Oui, mais c'est trop gros pour moi son truc.
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut
l'attendre d'un éclairage plat de chez plat. Pour les
ornithologues ça peut sans doute être intéressant, pour les
photographes...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Les concentrateurs pyramidaux du commerce sont trop gros, malpratiques et coûteux. http://www.digitalbirdphotography.com/7.9.html
L'article explique surtout comment se bricoler ça soi-même pas cher. Avec une illustration extraordinaire : un héron à 60 mètres, sans flash (en ombre chinoise) et avec flash concentré. Ce dernier révèle les couleurs... et même celle du ciel (comme un flash porte bien plus loin qu'on ne croit)
Oui, mais c'est trop gros pour moi son truc.
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute être intéressant, pour les photographes...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
jdd
Le 15/08/2012 08:16, Jean-Pierre Roche a écrit :
http://www.digitalbirdphotography.com/7.9.html
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute être intéressant, pour les photographes...
je ne suis donc pas tout seul à préférer la photo du héron sans flash? (question d’atmosphère).
Noter que le photographe a fait les deux, peut-être pas seulement pas pédagogie?
jdd
Le 15/08/2012 08:16, Jean-Pierre Roche a écrit :
http://www.digitalbirdphotography.com/7.9.html
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un
éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute
être intéressant, pour les photographes...
je ne suis donc pas tout seul à préférer la photo du héron sans flash?
(question d’atmosphère).
Noter que le photographe a fait les deux, peut-être pas seulement pas
pédagogie?
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute être intéressant, pour les photographes...
je ne suis donc pas tout seul à préférer la photo du héron sans flash? (question d’atmosphère).
Noter que le photographe a fait les deux, peut-être pas seulement pas pédagogie?
jdd
bsch
Jean-Pierre Roche nous a raconté (news:k0fec7$hfu$) :
Le 14/08/2012 20:19, Richard a écrit :
Exemple: avec le Canon Speedlite 580EX (NG = 58) utilisé à 105mm ou plus, à f/2.8 et à 3200iso, le calcul de la portée donne 117 mètres.
Avec un Canon 135mm 2, tu obtiens même à f/2 et à 6400iso une portée de 232 mètres ! Ça laisse quand même une bonne marge pour viser à "seulement" 50 mètres.
J'entends bien. Mais je doute que la grande majorité de ceux qui photographient du haut des stades utilisent un matériel de ce type. Probablement des petits compacts ou même des téléphones.
Et quand bien même... Ce genre de photo *théoriquement* possible donne, en pratique, des résultats déplorables pour des raisons diverses, la plus évidente étant l'éclairage ambiant. Au mieux on a un document.
Et je te laisse imaginer la même chose pendant une course auto de nuit ... 'Photographes' (!) en extérieur de virage (de préférence pas facile), là où le pilote a besoin de toute sa concentration, et qu'il se prend des dizaines de flashs (à quelques mètres de distance) dans les yeux ! Et pour recommencer au virage suivant, cent mètres plus loin. Le seul moyen de les calmer un peu étant de leur envoyer tous les phares en plein dans la gueule à 15 ou 20 mètres, ils n'avaient pas le temps de réagir (et je ne parle pas des 'photos' !). Je ne supportais bien entendu pas ça il y a 30 ans, lorsqu'il n'y avait quasiment que des jetables et leur flash à deux sous. Je me souviens d'une montée au Turini où je ne suis pas rentré dans ces connards de spectateurs probablement par miracle. Je l'aurais regretté pour la Carrera RS ...
-- Amicalement
Bernard
Jean-Pierre Roche nous a raconté
(news:k0fec7$hfu$1@talisker.lacave.net) :
Le 14/08/2012 20:19, Richard a écrit :
Exemple: avec le Canon Speedlite 580EX (NG = 58) utilisé à
105mm ou plus, à f/2.8 et à 3200iso, le calcul de la
portée donne 117 mètres.
Avec un Canon 135mm 2, tu obtiens même à f/2 et à 6400iso
une portée de 232 mètres ! Ça laisse quand même une bonne
marge pour viser à "seulement" 50 mètres.
J'entends bien. Mais je doute que la grande majorité
de ceux qui photographient du haut des stades utilisent
un matériel de ce type. Probablement des petits compacts
ou même des téléphones.
Et quand bien même... Ce genre de photo *théoriquement*
possible donne, en pratique, des résultats déplorables pour
des raisons diverses, la plus évidente étant l'éclairage
ambiant. Au mieux on a un document.
Et je te laisse imaginer la même chose pendant une course auto de
nuit ... 'Photographes' (!) en extérieur de virage (de préférence pas
facile), là où le pilote a besoin de toute sa concentration, et qu'il
se prend des dizaines de flashs (à quelques mètres de distance) dans
les yeux ! Et pour recommencer au virage suivant, cent mètres plus
loin. Le seul moyen de les calmer un peu étant de leur envoyer tous
les phares en plein dans la gueule à 15 ou 20 mètres, ils n'avaient
pas le temps de réagir (et je ne parle pas des 'photos' !).
Je ne supportais bien entendu pas ça il y a 30 ans, lorsqu'il n'y
avait quasiment que des jetables et leur flash à deux sous. Je me
souviens d'une montée au Turini où je ne suis pas rentré dans ces
connards de spectateurs probablement par miracle. Je l'aurais
regretté pour la Carrera RS ...
Jean-Pierre Roche nous a raconté (news:k0fec7$hfu$) :
Le 14/08/2012 20:19, Richard a écrit :
Exemple: avec le Canon Speedlite 580EX (NG = 58) utilisé à 105mm ou plus, à f/2.8 et à 3200iso, le calcul de la portée donne 117 mètres.
Avec un Canon 135mm 2, tu obtiens même à f/2 et à 6400iso une portée de 232 mètres ! Ça laisse quand même une bonne marge pour viser à "seulement" 50 mètres.
J'entends bien. Mais je doute que la grande majorité de ceux qui photographient du haut des stades utilisent un matériel de ce type. Probablement des petits compacts ou même des téléphones.
Et quand bien même... Ce genre de photo *théoriquement* possible donne, en pratique, des résultats déplorables pour des raisons diverses, la plus évidente étant l'éclairage ambiant. Au mieux on a un document.
Et je te laisse imaginer la même chose pendant une course auto de nuit ... 'Photographes' (!) en extérieur de virage (de préférence pas facile), là où le pilote a besoin de toute sa concentration, et qu'il se prend des dizaines de flashs (à quelques mètres de distance) dans les yeux ! Et pour recommencer au virage suivant, cent mètres plus loin. Le seul moyen de les calmer un peu étant de leur envoyer tous les phares en plein dans la gueule à 15 ou 20 mètres, ils n'avaient pas le temps de réagir (et je ne parle pas des 'photos' !). Je ne supportais bien entendu pas ça il y a 30 ans, lorsqu'il n'y avait quasiment que des jetables et leur flash à deux sous. Je me souviens d'une montée au Turini où je ne suis pas rentré dans ces connards de spectateurs probablement par miracle. Je l'aurais regretté pour la Carrera RS ...
-- Amicalement
Bernard
Charles Vassallo
Jean-Pierre Roche a écrit :
http://www.digitalbirdphotography.com/7.9.html
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute être intéressant, pour les photographes...
Eh ! On peut le déporter, ce truc, pour donner du modelé. Restera juste le problème de bien viser avec le flash ce qu'on vise avec l'appareil. Bah ! un piège à infrarouge à bricoler dans la joie.
Charles
Jean-Pierre Roche a écrit :
http://www.digitalbirdphotography.com/7.9.html
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un
éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute
être intéressant, pour les photographes...
Eh ! On peut le déporter, ce truc, pour donner du modelé. Restera juste
le problème de bien viser avec le flash ce qu'on vise avec l'appareil.
Bah ! un piège à infrarouge à bricoler dans la joie.
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute être intéressant, pour les photographes...
Eh ! On peut le déporter, ce truc, pour donner du modelé. Restera juste le problème de bien viser avec le flash ce qu'on vise avec l'appareil. Bah ! un piège à infrarouge à bricoler dans la joie.
Charles
Ghost-Rider
Le 15/08/2012 08:16, Jean-Pierre Roche a écrit :
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute être intéressant, pour les photographes...
Oui, c'est l'inconvénient de ce type de solution. Il faut maîtriser l'éclairage ambiant et équilibrer l'ensemble. Là, il n'y a aucune réflexion sur des feuilles, des rochers voisins alors oui, c'est purement descriptif. C'est le même problème en macro : si le voisinage est vide, mes photos prises au flash de face, même diffusé, sont moches.
Le 15/08/2012 08:16, Jean-Pierre Roche a écrit :
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un
éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute
être intéressant, pour les photographes...
Oui, c'est l'inconvénient de ce type de solution. Il faut maîtriser
l'éclairage ambiant et équilibrer l'ensemble.
Là, il n'y a aucune réflexion sur des feuilles, des rochers voisins
alors oui, c'est purement descriptif.
C'est le même problème en macro : si le voisinage est vide, mes photos
prises au flash de face, même diffusé, sont moches.
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute être intéressant, pour les photographes...
Oui, c'est l'inconvénient de ce type de solution. Il faut maîtriser l'éclairage ambiant et équilibrer l'ensemble. Là, il n'y a aucune réflexion sur des feuilles, des rochers voisins alors oui, c'est purement descriptif. C'est le même problème en macro : si le voisinage est vide, mes photos prises au flash de face, même diffusé, sont moches.
markorki
jdd a écrit :
Le 15/08/2012 08:16, Jean-Pierre Roche a écrit :
http://www.digitalbirdphotography.com/7.9.html
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute être intéressant, pour les photographes...
je ne suis donc pas tout seul à préférer la photo du héron sans flash? (question d’atmosphère).
Noter que le photographe a fait les deux, peut-être pas seulement pas pédagogie?
Le gars a l'air d'être un vrai photographe. S'intéresser à l'ornithologie ne rend pas ipso-facto non-photographe, ya pas que le sport ou le reportage évènementiel qui relève de la vraie photo.
D'ailleurs, avec des tas de boitiers on peut décaler l'expo au flash de l'expo sans, ce qui permet de doser le rapport lumière du flash/lumière ambiante, et je suis sur que l'auteur est tout à fait capable de produire des intermédiaires entre ces deux images dès la prise de vue.
Je trouve un peu agaçante cette manie de sous-entendre "untel fait de l'ornitho, moi de la photo" ou "untel fait de la macro (de l'entomologie/de l'archéologie aérienne/du souvenirfamilial/de la botanique/du compte-rendu de spectacle, *des* photos), moi je fais **de_la** photo " .
jdd a écrit :
Le 15/08/2012 08:16, Jean-Pierre Roche a écrit :
http://www.digitalbirdphotography.com/7.9.html
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un
éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute
être intéressant, pour les photographes...
je ne suis donc pas tout seul à préférer la photo du héron sans flash?
(question d’atmosphère).
Noter que le photographe a fait les deux, peut-être pas seulement pas
pédagogie?
Le gars a l'air d'être un vrai photographe. S'intéresser à
l'ornithologie ne rend pas ipso-facto non-photographe, ya pas que le
sport ou le reportage évènementiel qui relève de la vraie photo.
D'ailleurs, avec des tas de boitiers on peut décaler l'expo au flash de
l'expo sans, ce qui permet de doser le rapport lumière du flash/lumière
ambiante, et je suis sur que l'auteur est tout à fait capable de
produire des intermédiaires entre ces deux images dès la prise de vue.
Je trouve un peu agaçante cette manie de sous-entendre "untel fait de
l'ornitho, moi de la photo" ou "untel fait de la macro (de
l'entomologie/de l'archéologie aérienne/du souvenirfamilial/de la
botanique/du compte-rendu de spectacle, *des* photos), moi je fais
**de_la** photo " .
Et surtout le résultat est affreux... Comme on peut l'attendre d'un éclairage plat de chez plat. Pour les ornithologues ça peut sans doute être intéressant, pour les photographes...
je ne suis donc pas tout seul à préférer la photo du héron sans flash? (question d’atmosphère).
Noter que le photographe a fait les deux, peut-être pas seulement pas pédagogie?
Le gars a l'air d'être un vrai photographe. S'intéresser à l'ornithologie ne rend pas ipso-facto non-photographe, ya pas que le sport ou le reportage évènementiel qui relève de la vraie photo.
D'ailleurs, avec des tas de boitiers on peut décaler l'expo au flash de l'expo sans, ce qui permet de doser le rapport lumière du flash/lumière ambiante, et je suis sur que l'auteur est tout à fait capable de produire des intermédiaires entre ces deux images dès la prise de vue.
Je trouve un peu agaçante cette manie de sous-entendre "untel fait de l'ornitho, moi de la photo" ou "untel fait de la macro (de l'entomologie/de l'archéologie aérienne/du souvenirfamilial/de la botanique/du compte-rendu de spectacle, *des* photos), moi je fais **de_la** photo " .