Voila, avec une Debian, quelque chose me dit que rien que la
selection des packages dont j'ai vraiment besoin me prendrait plus
d'une heure et le reste est a faire de toutes facons.
Voila, avec une Debian, quelque chose me dit que rien que la
selection des packages dont j'ai vraiment besoin me prendrait plus
d'une heure et le reste est a faire de toutes facons.
Voila, avec une Debian, quelque chose me dit que rien que la
selection des packages dont j'ai vraiment besoin me prendrait plus
d'une heure et le reste est a faire de toutes facons.
JKB wrote:Et comment s'est-elle fait attaquer ? Ça m'intéresse, parce depuis
J'en sais rien et j'en ai rien a foutre. J'ai fait confiance a la
politique de securite d'une distrib, ca a donne ca. J'ai re-installe,
restaure les backup parce que des gens attendaient que ce serveur
tourne.
La j'ai fait les choses a ma maniere et la machine a tenu sans probleme
quelques annees.
Ubuntu aussi commence a monter
(pas encore teste).
1/ Que serait ubuntu sans debian ?
M'en fous, j'en sais rien. Mais le fait est qu'un mec recupere le boulot
de Debian et il commence a percer dans certains millieux ou Debian n'est
meme pas encore cite.
2/ ubuntu puise ses paquets dans debian/testing et debian/unstable,
ce qui est pour moi _incompatible_ avec une utilisation en serveur.
Ca c'est possible, moi ce qui m'interesse c'est ce que l'editeur a
valide et quand me dit qu'il travaille a valider une Ubuntu, je pense
juste que je devrai peut etre un jour travailler avec.
Quand je lui dis "Debian", Ubuntu, c'est une Debian pas stable, il me
repond que derriere Ubuntu, il y a une societe et une demarche qui
permet de valider quelque chose. C'est meme pas technique comme choix.
De toutes facons, pour cette editeur on utilise la SuSE et elle est tres
bien.
NetBSD est une bouse pas finie (sauf peut-être sur i386). Il faut
Pas pire qu'OpenBSD, c'est un OS de geek, personne n'en disconvient.
FreeBSD, bof... OpenBSD, aucune gestion SMP sur les architectures
qui m'intéressent.
FreeBSD est largement aussi performant qu'un Linux, il a un process
d'upgrade du systeme absolument royal de simplicite, un systeme de
package qui permet de personnaliser a l'extreme sans sortir des process
du systeme et tout en respectant les specificites de chaque programme. A
mon avis, le meilleur serveur OS et de tres tres loin meilleur a Debian.
Solaris : un truc infâme (et j'utilise Solaris depuis SunOS 1.4.x
Solaris, c'est un OS industriel, c'est a dire qu'on installe une config
validee par un editeur pour un client, pour repondre a un besoin
particulier, c'est grave dans le marbre et on y touche plus.
On parle de securite, on parle pas de performance, c'est pas le
probleme. J'ai des plateformes SS7 sous Solaris, elles existaient aussi
sous Linux, mais l'editeur travaille sur Solaris par defaut, donc on a
retenu Solaris. Pour les upgrade, c'est le process de l'editeur et hors
sauvegarde et monitoring, on touche meme pas aux machines.
Redhat : j'ai maintenu des redhat jusqu'à ce qu'une mise à jour de
sécurité d'un serveur X avec RPM m'a foutu par terre un serveur que
je n'ai jamais pu redémarrer normalement. J'ai réinstallé par dessus
une debian, depuis, plus de problème.
RedHat, c'est le Solaris du Linux. Si c'est necessaire, on passe par la,
sinon on choisit autre chose.Donc aujourd'hui, au moins par élimination, debian. Au moins pour sa
fiabilité, debian.
Tu as une vision bien etriquee de la chose.
JKB wrote:
Et comment s'est-elle fait attaquer ? Ça m'intéresse, parce depuis
J'en sais rien et j'en ai rien a foutre. J'ai fait confiance a la
politique de securite d'une distrib, ca a donne ca. J'ai re-installe,
restaure les backup parce que des gens attendaient que ce serveur
tourne.
La j'ai fait les choses a ma maniere et la machine a tenu sans probleme
quelques annees.
Ubuntu aussi commence a monter
(pas encore teste).
1/ Que serait ubuntu sans debian ?
M'en fous, j'en sais rien. Mais le fait est qu'un mec recupere le boulot
de Debian et il commence a percer dans certains millieux ou Debian n'est
meme pas encore cite.
2/ ubuntu puise ses paquets dans debian/testing et debian/unstable,
ce qui est pour moi _incompatible_ avec une utilisation en serveur.
Ca c'est possible, moi ce qui m'interesse c'est ce que l'editeur a
valide et quand me dit qu'il travaille a valider une Ubuntu, je pense
juste que je devrai peut etre un jour travailler avec.
Quand je lui dis "Debian", Ubuntu, c'est une Debian pas stable, il me
repond que derriere Ubuntu, il y a une societe et une demarche qui
permet de valider quelque chose. C'est meme pas technique comme choix.
De toutes facons, pour cette editeur on utilise la SuSE et elle est tres
bien.
NetBSD est une bouse pas finie (sauf peut-être sur i386). Il faut
Pas pire qu'OpenBSD, c'est un OS de geek, personne n'en disconvient.
FreeBSD, bof... OpenBSD, aucune gestion SMP sur les architectures
qui m'intéressent.
FreeBSD est largement aussi performant qu'un Linux, il a un process
d'upgrade du systeme absolument royal de simplicite, un systeme de
package qui permet de personnaliser a l'extreme sans sortir des process
du systeme et tout en respectant les specificites de chaque programme. A
mon avis, le meilleur serveur OS et de tres tres loin meilleur a Debian.
Solaris : un truc infâme (et j'utilise Solaris depuis SunOS 1.4.x
Solaris, c'est un OS industriel, c'est a dire qu'on installe une config
validee par un editeur pour un client, pour repondre a un besoin
particulier, c'est grave dans le marbre et on y touche plus.
On parle de securite, on parle pas de performance, c'est pas le
probleme. J'ai des plateformes SS7 sous Solaris, elles existaient aussi
sous Linux, mais l'editeur travaille sur Solaris par defaut, donc on a
retenu Solaris. Pour les upgrade, c'est le process de l'editeur et hors
sauvegarde et monitoring, on touche meme pas aux machines.
Redhat : j'ai maintenu des redhat jusqu'à ce qu'une mise à jour de
sécurité d'un serveur X avec RPM m'a foutu par terre un serveur que
je n'ai jamais pu redémarrer normalement. J'ai réinstallé par dessus
une debian, depuis, plus de problème.
RedHat, c'est le Solaris du Linux. Si c'est necessaire, on passe par la,
sinon on choisit autre chose.
Donc aujourd'hui, au moins par élimination, debian. Au moins pour sa
fiabilité, debian.
Tu as une vision bien etriquee de la chose.
JKB wrote:Et comment s'est-elle fait attaquer ? Ça m'intéresse, parce depuis
J'en sais rien et j'en ai rien a foutre. J'ai fait confiance a la
politique de securite d'une distrib, ca a donne ca. J'ai re-installe,
restaure les backup parce que des gens attendaient que ce serveur
tourne.
La j'ai fait les choses a ma maniere et la machine a tenu sans probleme
quelques annees.
Ubuntu aussi commence a monter
(pas encore teste).
1/ Que serait ubuntu sans debian ?
M'en fous, j'en sais rien. Mais le fait est qu'un mec recupere le boulot
de Debian et il commence a percer dans certains millieux ou Debian n'est
meme pas encore cite.
2/ ubuntu puise ses paquets dans debian/testing et debian/unstable,
ce qui est pour moi _incompatible_ avec une utilisation en serveur.
Ca c'est possible, moi ce qui m'interesse c'est ce que l'editeur a
valide et quand me dit qu'il travaille a valider une Ubuntu, je pense
juste que je devrai peut etre un jour travailler avec.
Quand je lui dis "Debian", Ubuntu, c'est une Debian pas stable, il me
repond que derriere Ubuntu, il y a une societe et une demarche qui
permet de valider quelque chose. C'est meme pas technique comme choix.
De toutes facons, pour cette editeur on utilise la SuSE et elle est tres
bien.
NetBSD est une bouse pas finie (sauf peut-être sur i386). Il faut
Pas pire qu'OpenBSD, c'est un OS de geek, personne n'en disconvient.
FreeBSD, bof... OpenBSD, aucune gestion SMP sur les architectures
qui m'intéressent.
FreeBSD est largement aussi performant qu'un Linux, il a un process
d'upgrade du systeme absolument royal de simplicite, un systeme de
package qui permet de personnaliser a l'extreme sans sortir des process
du systeme et tout en respectant les specificites de chaque programme. A
mon avis, le meilleur serveur OS et de tres tres loin meilleur a Debian.
Solaris : un truc infâme (et j'utilise Solaris depuis SunOS 1.4.x
Solaris, c'est un OS industriel, c'est a dire qu'on installe une config
validee par un editeur pour un client, pour repondre a un besoin
particulier, c'est grave dans le marbre et on y touche plus.
On parle de securite, on parle pas de performance, c'est pas le
probleme. J'ai des plateformes SS7 sous Solaris, elles existaient aussi
sous Linux, mais l'editeur travaille sur Solaris par defaut, donc on a
retenu Solaris. Pour les upgrade, c'est le process de l'editeur et hors
sauvegarde et monitoring, on touche meme pas aux machines.
Redhat : j'ai maintenu des redhat jusqu'à ce qu'une mise à jour de
sécurité d'un serveur X avec RPM m'a foutu par terre un serveur que
je n'ai jamais pu redémarrer normalement. J'ai réinstallé par dessus
une debian, depuis, plus de problème.
RedHat, c'est le Solaris du Linux. Si c'est necessaire, on passe par la,
sinon on choisit autre chose.Donc aujourd'hui, au moins par élimination, debian. Au moins pour sa
fiabilité, debian.
Tu as une vision bien etriquee de la chose.
Le 05-07-2007, à propos de
Re: fortran, linux,
Stephane TOUGARD écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :JKB wrote:Et comment s'est-elle fait attaquer ? Ça m'intéresse, parce depuis
J'en sais rien et j'en ai rien a foutre. J'ai fait confiance a la
politique de securite d'une distrib, ca a donne ca. J'ai re-installe,
restaure les backup parce que des gens attendaient que ce serveur
tourne.
Je ne t'engagerais jamais, toi. La moindre des choses, lorsqu'une
machine est compromise, on essaye de savoir comment pour que cela ne
se reproduise pas.La j'ai fait les choses a ma maniere et la machine a tenu sans probleme
quelques annees.
Mouais...Ubuntu aussi commence a monter
(pas encore teste).
1/ Que serait ubuntu sans debian ?
M'en fous, j'en sais rien. Mais le fait est qu'un mec recupere le boulot
de Debian et il commence a percer dans certains millieux ou Debian n'est
meme pas encore cite.
Commence par installer une ubuntu sur un serveur de prod, dans la
vraie vie, que je rigole.2/ ubuntu puise ses paquets dans debian/testing et debian/unsta ble,
ce qui est pour moi _incompatible_ avec une utilisation en serv eur.
Ca c'est possible, moi ce qui m'interesse c'est ce que l'editeur a
valide et quand me dit qu'il travaille a valider une Ubuntu, je pense
juste que je devrai peut etre un jour travailler avec.
Quand je lui dis "Debian", Ubuntu, c'est une Debian pas stable, il me
repond que derriere Ubuntu, il y a une societe et une demarche qui
permet de valider quelque chose. C'est meme pas technique comme choix.
Mouarf... Redhat aussi valide des trucs. Ce n'est pas pour cela q ue
la distribution est _stable_.De toutes facons, pour cette editeur on utilise la SuSE et elle est tres
bien.
Parfait.NetBSD est une bouse pas finie (sauf peut-être sur i386). Il faut
Pas pire qu'OpenBSD, c'est un OS de geek, personne n'en disconvient.
Non. OpenBSD est _très_ bien si on reste sur un PC standard.FreeBSD, bof... OpenBSD, aucune gestion SMP sur les architectur es
qui m'intéressent.
FreeBSD est largement aussi performant qu'un Linux, il a un process
d'upgrade du systeme absolument royal de simplicite, un systeme de
package qui permet de personnaliser a l'extreme sans sortir des process
du systeme et tout en respectant les specificites de chaque programme. A
mon avis, le meilleur serveur OS et de tres tres loin meilleur a Debian.
C'est cela, oui. Le principe des ports et tout ce qui va avec ç a.
Bien sur, c'est très supérieur à tout le reste.Solaris : un truc infâme (et j'utilise Solaris depuis SunOS 1 .4.x
Solaris, c'est un OS industriel, c'est a dire qu'on installe une config
validee par un editeur pour un client, pour repondre a un besoin
particulier, c'est grave dans le marbre et on y touche plus.
Là, j'aimerais que tu m'expliques en quoi Solaris est plus ou m oins
industriel qu'un autre Unix. Solaris jusqu'à la version 9 (la
problématique est un peu différente depuis Solaris 10) est un
assemblage de bouts de ficelles plus ou moins grosses avec des
patches improbables. Alors appeler ça un OS industriel, tu
m'excuseras, mais j'ai peine à contraindre mes zygomatiques à ne pas
se livrer à une tétanisation crispée.On parle de securite, on parle pas de performance, c'est pas le
probleme. J'ai des plateformes SS7 sous Solaris, elles existaient aussi
sous Linux, mais l'editeur travaille sur Solaris par defaut, donc on a
retenu Solaris. Pour les upgrade, c'est le process de l'editeur et hors
sauvegarde et monitoring, on touche meme pas aux machines.
Très bien. Vu les palanquées de patches de sécurités qui sortent
toutes les semaines pour le coeur de Solaris (et l'absence
de firewall efficace) de l'OS, touche du bois.Redhat : j'ai maintenu des redhat jusqu'à ce qu'une mise à jour de
sécurité d'un serveur X avec RPM m'a foutu par terre un ser veur que
je n'ai jamais pu redémarrer normalement. J'ai réinstallé par dessus
une debian, depuis, plus de problème.
RedHat, c'est le Solaris du Linux. Si c'est necessaire, on passe par la,
sinon on choisit autre chose.Donc aujourd'hui, au moins par élimination, debian. Au moins pour sa
fiabilité, debian.
Tu as une vision bien etriquee de la chose.
Et bien non. J'ai même certainement une vision bien plus large que
la tienne, puisque je me coltine des trucs que tu n'imagines mê me
pas dans tes cauchemars les plus fous.
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2 % de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Le 05-07-2007, à propos de
Re: fortran, linux,
Stephane TOUGARD écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB wrote:
Et comment s'est-elle fait attaquer ? Ça m'intéresse, parce depuis
J'en sais rien et j'en ai rien a foutre. J'ai fait confiance a la
politique de securite d'une distrib, ca a donne ca. J'ai re-installe,
restaure les backup parce que des gens attendaient que ce serveur
tourne.
Je ne t'engagerais jamais, toi. La moindre des choses, lorsqu'une
machine est compromise, on essaye de savoir comment pour que cela ne
se reproduise pas.
La j'ai fait les choses a ma maniere et la machine a tenu sans probleme
quelques annees.
Mouais...
Ubuntu aussi commence a monter
(pas encore teste).
1/ Que serait ubuntu sans debian ?
M'en fous, j'en sais rien. Mais le fait est qu'un mec recupere le boulot
de Debian et il commence a percer dans certains millieux ou Debian n'est
meme pas encore cite.
Commence par installer une ubuntu sur un serveur de prod, dans la
vraie vie, que je rigole.
2/ ubuntu puise ses paquets dans debian/testing et debian/unsta ble,
ce qui est pour moi _incompatible_ avec une utilisation en serv eur.
Ca c'est possible, moi ce qui m'interesse c'est ce que l'editeur a
valide et quand me dit qu'il travaille a valider une Ubuntu, je pense
juste que je devrai peut etre un jour travailler avec.
Quand je lui dis "Debian", Ubuntu, c'est une Debian pas stable, il me
repond que derriere Ubuntu, il y a une societe et une demarche qui
permet de valider quelque chose. C'est meme pas technique comme choix.
Mouarf... Redhat aussi valide des trucs. Ce n'est pas pour cela q ue
la distribution est _stable_.
De toutes facons, pour cette editeur on utilise la SuSE et elle est tres
bien.
Parfait.
NetBSD est une bouse pas finie (sauf peut-être sur i386). Il faut
Pas pire qu'OpenBSD, c'est un OS de geek, personne n'en disconvient.
Non. OpenBSD est _très_ bien si on reste sur un PC standard.
FreeBSD, bof... OpenBSD, aucune gestion SMP sur les architectur es
qui m'intéressent.
FreeBSD est largement aussi performant qu'un Linux, il a un process
d'upgrade du systeme absolument royal de simplicite, un systeme de
package qui permet de personnaliser a l'extreme sans sortir des process
du systeme et tout en respectant les specificites de chaque programme. A
mon avis, le meilleur serveur OS et de tres tres loin meilleur a Debian.
C'est cela, oui. Le principe des ports et tout ce qui va avec ç a.
Bien sur, c'est très supérieur à tout le reste.
Solaris : un truc infâme (et j'utilise Solaris depuis SunOS 1 .4.x
Solaris, c'est un OS industriel, c'est a dire qu'on installe une config
validee par un editeur pour un client, pour repondre a un besoin
particulier, c'est grave dans le marbre et on y touche plus.
Là, j'aimerais que tu m'expliques en quoi Solaris est plus ou m oins
industriel qu'un autre Unix. Solaris jusqu'à la version 9 (la
problématique est un peu différente depuis Solaris 10) est un
assemblage de bouts de ficelles plus ou moins grosses avec des
patches improbables. Alors appeler ça un OS industriel, tu
m'excuseras, mais j'ai peine à contraindre mes zygomatiques à ne pas
se livrer à une tétanisation crispée.
On parle de securite, on parle pas de performance, c'est pas le
probleme. J'ai des plateformes SS7 sous Solaris, elles existaient aussi
sous Linux, mais l'editeur travaille sur Solaris par defaut, donc on a
retenu Solaris. Pour les upgrade, c'est le process de l'editeur et hors
sauvegarde et monitoring, on touche meme pas aux machines.
Très bien. Vu les palanquées de patches de sécurités qui sortent
toutes les semaines pour le coeur de Solaris (et l'absence
de firewall efficace) de l'OS, touche du bois.
Redhat : j'ai maintenu des redhat jusqu'à ce qu'une mise à jour de
sécurité d'un serveur X avec RPM m'a foutu par terre un ser veur que
je n'ai jamais pu redémarrer normalement. J'ai réinstallé par dessus
une debian, depuis, plus de problème.
RedHat, c'est le Solaris du Linux. Si c'est necessaire, on passe par la,
sinon on choisit autre chose.
Donc aujourd'hui, au moins par élimination, debian. Au moins pour sa
fiabilité, debian.
Tu as une vision bien etriquee de la chose.
Et bien non. J'ai même certainement une vision bien plus large que
la tienne, puisque je me coltine des trucs que tu n'imagines mê me
pas dans tes cauchemars les plus fous.
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2 % de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Le 05-07-2007, à propos de
Re: fortran, linux,
Stephane TOUGARD écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :JKB wrote:Et comment s'est-elle fait attaquer ? Ça m'intéresse, parce depuis
J'en sais rien et j'en ai rien a foutre. J'ai fait confiance a la
politique de securite d'une distrib, ca a donne ca. J'ai re-installe,
restaure les backup parce que des gens attendaient que ce serveur
tourne.
Je ne t'engagerais jamais, toi. La moindre des choses, lorsqu'une
machine est compromise, on essaye de savoir comment pour que cela ne
se reproduise pas.La j'ai fait les choses a ma maniere et la machine a tenu sans probleme
quelques annees.
Mouais...Ubuntu aussi commence a monter
(pas encore teste).
1/ Que serait ubuntu sans debian ?
M'en fous, j'en sais rien. Mais le fait est qu'un mec recupere le boulot
de Debian et il commence a percer dans certains millieux ou Debian n'est
meme pas encore cite.
Commence par installer une ubuntu sur un serveur de prod, dans la
vraie vie, que je rigole.2/ ubuntu puise ses paquets dans debian/testing et debian/unsta ble,
ce qui est pour moi _incompatible_ avec une utilisation en serv eur.
Ca c'est possible, moi ce qui m'interesse c'est ce que l'editeur a
valide et quand me dit qu'il travaille a valider une Ubuntu, je pense
juste que je devrai peut etre un jour travailler avec.
Quand je lui dis "Debian", Ubuntu, c'est une Debian pas stable, il me
repond que derriere Ubuntu, il y a une societe et une demarche qui
permet de valider quelque chose. C'est meme pas technique comme choix.
Mouarf... Redhat aussi valide des trucs. Ce n'est pas pour cela q ue
la distribution est _stable_.De toutes facons, pour cette editeur on utilise la SuSE et elle est tres
bien.
Parfait.NetBSD est une bouse pas finie (sauf peut-être sur i386). Il faut
Pas pire qu'OpenBSD, c'est un OS de geek, personne n'en disconvient.
Non. OpenBSD est _très_ bien si on reste sur un PC standard.FreeBSD, bof... OpenBSD, aucune gestion SMP sur les architectur es
qui m'intéressent.
FreeBSD est largement aussi performant qu'un Linux, il a un process
d'upgrade du systeme absolument royal de simplicite, un systeme de
package qui permet de personnaliser a l'extreme sans sortir des process
du systeme et tout en respectant les specificites de chaque programme. A
mon avis, le meilleur serveur OS et de tres tres loin meilleur a Debian.
C'est cela, oui. Le principe des ports et tout ce qui va avec ç a.
Bien sur, c'est très supérieur à tout le reste.Solaris : un truc infâme (et j'utilise Solaris depuis SunOS 1 .4.x
Solaris, c'est un OS industriel, c'est a dire qu'on installe une config
validee par un editeur pour un client, pour repondre a un besoin
particulier, c'est grave dans le marbre et on y touche plus.
Là, j'aimerais que tu m'expliques en quoi Solaris est plus ou m oins
industriel qu'un autre Unix. Solaris jusqu'à la version 9 (la
problématique est un peu différente depuis Solaris 10) est un
assemblage de bouts de ficelles plus ou moins grosses avec des
patches improbables. Alors appeler ça un OS industriel, tu
m'excuseras, mais j'ai peine à contraindre mes zygomatiques à ne pas
se livrer à une tétanisation crispée.On parle de securite, on parle pas de performance, c'est pas le
probleme. J'ai des plateformes SS7 sous Solaris, elles existaient aussi
sous Linux, mais l'editeur travaille sur Solaris par defaut, donc on a
retenu Solaris. Pour les upgrade, c'est le process de l'editeur et hors
sauvegarde et monitoring, on touche meme pas aux machines.
Très bien. Vu les palanquées de patches de sécurités qui sortent
toutes les semaines pour le coeur de Solaris (et l'absence
de firewall efficace) de l'OS, touche du bois.Redhat : j'ai maintenu des redhat jusqu'à ce qu'une mise à jour de
sécurité d'un serveur X avec RPM m'a foutu par terre un ser veur que
je n'ai jamais pu redémarrer normalement. J'ai réinstallé par dessus
une debian, depuis, plus de problème.
RedHat, c'est le Solaris du Linux. Si c'est necessaire, on passe par la,
sinon on choisit autre chose.Donc aujourd'hui, au moins par élimination, debian. Au moins pour sa
fiabilité, debian.
Tu as une vision bien etriquee de la chose.
Et bien non. J'ai même certainement une vision bien plus large que
la tienne, puisque je me coltine des trucs que tu n'imagines mê me
pas dans tes cauchemars les plus fous.
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2 % de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
On 5 juil, 12:00, JKB wrote:Mais surtout, g77 ignorait certaines extensions à la norme qui étaient
néanmoins devenues des standards de fait et disponibles sur les
compilos de tous les fabriquants de machines: l'exemple le plus
typique étant les "pointeurs Cray", qui étaient à l'époque la seule
façon simple de faire de l'allocation dynamique en Fortran.
1/ c'est _hors_ norme
Je sais bien que c'est hors norme. Seulement, à l'époque où la norme
Fortran ne fournissait *aucun* mécanisme d'allocation dynamique (avant
Fortran 90, donc) il fallait bien trouver des solutions. Respecter la
norme c'est très bien, mais par moment il faut être un peu
pragmatique...
Et la syntaxe des pointeurs Cray s'était peu à peu imposée, au point
de devenir une extension "standard de fait", implémentée par tous les
grands constructeurs (en tous cas dans le monde Unix, je ne sais pas
pour VMS). Tout compilo ne proposant pas cette extension s'excluait
d'entrée du jeu dans les applis industrielles.
2/ les pointeurs existent dans g77 (cf l'utilisation faite par
vastf90 que je dois encore avoir sur une disquette)
Les "pointeurs Cray" ou bien la syntaxe F90 ? A ma connaissance les
"pointeurs Cray" n'ont jamais existé dans g77, en tous cas pas à
l'époque où il y en avait besoin.
Il est évident qu'aujourd'hui il faut écrire le nouveau code Fortran
avec la syntaxe d'allocation dynamique de la norme, et ne plus
utiliser les "pointeurs Cray". Néanmoins, compte tenu des montagnes de
codes existant et utilisant ces fameux pointeurs, un compilo Fortran
sérieux doit savoir les compiler.Le Fortran étant d'abord un langage de calcul scientifique, le critère
principal est une bonne optimisation du code (optimisation qui est
d'ailleurs devenue nettement plus complexe à réaliser pour les
compilos avec les syntaxes Fortran 90).
L'optimisation d'un code Fortran stipule que quelle que soit
l'architecture, le résultat est bon (moyennant les bonnes options de
compilation). Le critère n'est pas la vitesse mais la
reproductibilité, c'est un peu différent.
La reproductibilité est un critère tellement évident que je n'ai même
pas songé à le citer. Un compilateur qui donne des résultats faux,
c'est direct poubelle :-)
Et je maintiens qu'en calcul scientifique, le critère de la vitesse
d'exécution est souvent LE premier critère.
Deuxième critère: compiler sans problème les anciens codes, y compris
avec les extensions courantes aux normes précédentes.
Un compilo se doit de suivre au mieux la norme (d'ailleurs IVF ne la
suit pas, ni l'ancien compilo digital devenu compaq puis HP). Le
reste, c'est des conneries.
Suivre la norme pour un compilo veut dire compiler tout code
respectant ladite norme. Ce qui n'empêche pas de compiler des
extensions à la norme.
Encore une fois, à cause de certaines limitations importantes qu'à
longtemps eu le Fortran, de nombreuses applications écrites en Fortran
ont longtemps eu recours à certaines extensions. Ce code existe et il
faut en tenir compte.
Tiens, pour voir, j'ai essayé de compiler avec gfortran le code sur
lequel je travaille actuellement. Ce code compile sans problème sous
IRIX, sous Solaris, et sous Linux avec ifort. gfortran échoue par
contre sur 2 fichiers (et je ne peux aller plus loin car les fichiers
suivants ont besoin des infos de modules des fichiers qui échouent):
[XXXXX] gmake
gfortran -c -DPC -O3 -I. GCTdep.F
gfortran -c -DPC -O3 -I. GCT_lapack.F
gfortran -c -DPC -O3 -I. somglis.f
gfortran -c -DPC -O3 -I. sort.f
gfortran -c -DPC -O3 -I. csttk-4.F90
csttk-4.F90: In function ?cst_wrtrace?:
csttk-4.F90:504: fatal error: gfc_todo: Not Implemented: Scalarization
of non-elemental intrinsic: __transfer1
compilation terminated.
make: *** [csttk-4.o] Error 1
[XXXXX] ifort -c csttk-4.F90
[XXXXX] gmake
gfortran -c -DPC -O3 -I. rkinds-1.f90
gfortran -c -DPC -O3 -I. util-2.f90
util-2.f90: In function ?locase?:
util-2.f90:251: internal compiler error: in gfc_finish_var_decl, at
fortran/trans-decl.c:416
Please submit a full bug report,
with preprocessed source if appropriate.
See <URL:http://gcc.gnu.org/bugs.html> for instructions.
make: *** [util-2.o] Error 1
Bref...
J'aimerais surtout voir la gueule du source ou d'un exemple mimnal
qui ne compilerait pas pour voir ce qu'il y a dedans. Je n'ai
_jamais_ vu une limitation problématique à gfortran (pour g95, c'est
un autre débat).
Alors, pour le premier fichier, la compilation plante sur
l'instruction:
des% trbuff(14) = transfer(-1.0, 0)
Le compilo se plaint que le premier argument de transfer() est un
scalaire. Or dans ce que je comprends de la norme, rien ne dit que ce
premier argument ne puisse pas être un scalaire. Et sur une dizaine de
compilos, seul gfortran se plante dessus.
Pour le second fichier, j'ai isolé le code qui fait planter gfortran:
module util_2
contains
!
******************************************************************************
function locase(string)
!
******************************************************************************
character(len=*), intent(in) :: string
character(len=len(string)) :: locase
!
******************************************************************************
locase = string
end function locase
end module util_2
Si j'enlève l'affectation (locase=), ou bien si je compile la même
fonction en dehors du module, ça passe. Ce bout de code est pour moi
valide (et d'ailleurs même si il ne l'était pas, gfortran ne devrait
pas faire une 'internal compiler error')
re-bref, en 10mn j'ai revérifié que gfortran n'était pas fiable...
On 5 juil, 12:00, JKB <knatsc...@koenigsberg.fr> wrote:
Mais surtout, g77 ignorait certaines extensions à la norme qui étaient
néanmoins devenues des standards de fait et disponibles sur les
compilos de tous les fabriquants de machines: l'exemple le plus
typique étant les "pointeurs Cray", qui étaient à l'époque la seule
façon simple de faire de l'allocation dynamique en Fortran.
1/ c'est _hors_ norme
Je sais bien que c'est hors norme. Seulement, à l'époque où la norme
Fortran ne fournissait *aucun* mécanisme d'allocation dynamique (avant
Fortran 90, donc) il fallait bien trouver des solutions. Respecter la
norme c'est très bien, mais par moment il faut être un peu
pragmatique...
Et la syntaxe des pointeurs Cray s'était peu à peu imposée, au point
de devenir une extension "standard de fait", implémentée par tous les
grands constructeurs (en tous cas dans le monde Unix, je ne sais pas
pour VMS). Tout compilo ne proposant pas cette extension s'excluait
d'entrée du jeu dans les applis industrielles.
2/ les pointeurs existent dans g77 (cf l'utilisation faite par
vastf90 que je dois encore avoir sur une disquette)
Les "pointeurs Cray" ou bien la syntaxe F90 ? A ma connaissance les
"pointeurs Cray" n'ont jamais existé dans g77, en tous cas pas à
l'époque où il y en avait besoin.
Il est évident qu'aujourd'hui il faut écrire le nouveau code Fortran
avec la syntaxe d'allocation dynamique de la norme, et ne plus
utiliser les "pointeurs Cray". Néanmoins, compte tenu des montagnes de
codes existant et utilisant ces fameux pointeurs, un compilo Fortran
sérieux doit savoir les compiler.
Le Fortran étant d'abord un langage de calcul scientifique, le critère
principal est une bonne optimisation du code (optimisation qui est
d'ailleurs devenue nettement plus complexe à réaliser pour les
compilos avec les syntaxes Fortran 90).
L'optimisation d'un code Fortran stipule que quelle que soit
l'architecture, le résultat est bon (moyennant les bonnes options de
compilation). Le critère n'est pas la vitesse mais la
reproductibilité, c'est un peu différent.
La reproductibilité est un critère tellement évident que je n'ai même
pas songé à le citer. Un compilateur qui donne des résultats faux,
c'est direct poubelle :-)
Et je maintiens qu'en calcul scientifique, le critère de la vitesse
d'exécution est souvent LE premier critère.
Deuxième critère: compiler sans problème les anciens codes, y compris
avec les extensions courantes aux normes précédentes.
Un compilo se doit de suivre au mieux la norme (d'ailleurs IVF ne la
suit pas, ni l'ancien compilo digital devenu compaq puis HP). Le
reste, c'est des conneries.
Suivre la norme pour un compilo veut dire compiler tout code
respectant ladite norme. Ce qui n'empêche pas de compiler des
extensions à la norme.
Encore une fois, à cause de certaines limitations importantes qu'à
longtemps eu le Fortran, de nombreuses applications écrites en Fortran
ont longtemps eu recours à certaines extensions. Ce code existe et il
faut en tenir compte.
Tiens, pour voir, j'ai essayé de compiler avec gfortran le code sur
lequel je travaille actuellement. Ce code compile sans problème sous
IRIX, sous Solaris, et sous Linux avec ifort. gfortran échoue par
contre sur 2 fichiers (et je ne peux aller plus loin car les fichiers
suivants ont besoin des infos de modules des fichiers qui échouent):
[XXXXX] gmake
gfortran -c -DPC -O3 -I. GCTdep.F
gfortran -c -DPC -O3 -I. GCT_lapack.F
gfortran -c -DPC -O3 -I. somglis.f
gfortran -c -DPC -O3 -I. sort.f
gfortran -c -DPC -O3 -I. csttk-4.F90
csttk-4.F90: In function ?cst_wrtrace?:
csttk-4.F90:504: fatal error: gfc_todo: Not Implemented: Scalarization
of non-elemental intrinsic: __transfer1
compilation terminated.
make: *** [csttk-4.o] Error 1
[XXXXX] ifort -c csttk-4.F90
[XXXXX] gmake
gfortran -c -DPC -O3 -I. rkinds-1.f90
gfortran -c -DPC -O3 -I. util-2.f90
util-2.f90: In function ?locase?:
util-2.f90:251: internal compiler error: in gfc_finish_var_decl, at
fortran/trans-decl.c:416
Please submit a full bug report,
with preprocessed source if appropriate.
See <URL:http://gcc.gnu.org/bugs.html> for instructions.
make: *** [util-2.o] Error 1
Bref...
J'aimerais surtout voir la gueule du source ou d'un exemple mimnal
qui ne compilerait pas pour voir ce qu'il y a dedans. Je n'ai
_jamais_ vu une limitation problématique à gfortran (pour g95, c'est
un autre débat).
Alors, pour le premier fichier, la compilation plante sur
l'instruction:
des% trbuff(14) = transfer(-1.0, 0)
Le compilo se plaint que le premier argument de transfer() est un
scalaire. Or dans ce que je comprends de la norme, rien ne dit que ce
premier argument ne puisse pas être un scalaire. Et sur une dizaine de
compilos, seul gfortran se plante dessus.
Pour le second fichier, j'ai isolé le code qui fait planter gfortran:
module util_2
contains
!
******************************************************************************
function locase(string)
!
******************************************************************************
character(len=*), intent(in) :: string
character(len=len(string)) :: locase
!
******************************************************************************
locase = string
end function locase
end module util_2
Si j'enlève l'affectation (locase=), ou bien si je compile la même
fonction en dehors du module, ça passe. Ce bout de code est pour moi
valide (et d'ailleurs même si il ne l'était pas, gfortran ne devrait
pas faire une 'internal compiler error')
re-bref, en 10mn j'ai revérifié que gfortran n'était pas fiable...
On 5 juil, 12:00, JKB wrote:Mais surtout, g77 ignorait certaines extensions à la norme qui étaient
néanmoins devenues des standards de fait et disponibles sur les
compilos de tous les fabriquants de machines: l'exemple le plus
typique étant les "pointeurs Cray", qui étaient à l'époque la seule
façon simple de faire de l'allocation dynamique en Fortran.
1/ c'est _hors_ norme
Je sais bien que c'est hors norme. Seulement, à l'époque où la norme
Fortran ne fournissait *aucun* mécanisme d'allocation dynamique (avant
Fortran 90, donc) il fallait bien trouver des solutions. Respecter la
norme c'est très bien, mais par moment il faut être un peu
pragmatique...
Et la syntaxe des pointeurs Cray s'était peu à peu imposée, au point
de devenir une extension "standard de fait", implémentée par tous les
grands constructeurs (en tous cas dans le monde Unix, je ne sais pas
pour VMS). Tout compilo ne proposant pas cette extension s'excluait
d'entrée du jeu dans les applis industrielles.
2/ les pointeurs existent dans g77 (cf l'utilisation faite par
vastf90 que je dois encore avoir sur une disquette)
Les "pointeurs Cray" ou bien la syntaxe F90 ? A ma connaissance les
"pointeurs Cray" n'ont jamais existé dans g77, en tous cas pas à
l'époque où il y en avait besoin.
Il est évident qu'aujourd'hui il faut écrire le nouveau code Fortran
avec la syntaxe d'allocation dynamique de la norme, et ne plus
utiliser les "pointeurs Cray". Néanmoins, compte tenu des montagnes de
codes existant et utilisant ces fameux pointeurs, un compilo Fortran
sérieux doit savoir les compiler.Le Fortran étant d'abord un langage de calcul scientifique, le critère
principal est une bonne optimisation du code (optimisation qui est
d'ailleurs devenue nettement plus complexe à réaliser pour les
compilos avec les syntaxes Fortran 90).
L'optimisation d'un code Fortran stipule que quelle que soit
l'architecture, le résultat est bon (moyennant les bonnes options de
compilation). Le critère n'est pas la vitesse mais la
reproductibilité, c'est un peu différent.
La reproductibilité est un critère tellement évident que je n'ai même
pas songé à le citer. Un compilateur qui donne des résultats faux,
c'est direct poubelle :-)
Et je maintiens qu'en calcul scientifique, le critère de la vitesse
d'exécution est souvent LE premier critère.
Deuxième critère: compiler sans problème les anciens codes, y compris
avec les extensions courantes aux normes précédentes.
Un compilo se doit de suivre au mieux la norme (d'ailleurs IVF ne la
suit pas, ni l'ancien compilo digital devenu compaq puis HP). Le
reste, c'est des conneries.
Suivre la norme pour un compilo veut dire compiler tout code
respectant ladite norme. Ce qui n'empêche pas de compiler des
extensions à la norme.
Encore une fois, à cause de certaines limitations importantes qu'à
longtemps eu le Fortran, de nombreuses applications écrites en Fortran
ont longtemps eu recours à certaines extensions. Ce code existe et il
faut en tenir compte.
Tiens, pour voir, j'ai essayé de compiler avec gfortran le code sur
lequel je travaille actuellement. Ce code compile sans problème sous
IRIX, sous Solaris, et sous Linux avec ifort. gfortran échoue par
contre sur 2 fichiers (et je ne peux aller plus loin car les fichiers
suivants ont besoin des infos de modules des fichiers qui échouent):
[XXXXX] gmake
gfortran -c -DPC -O3 -I. GCTdep.F
gfortran -c -DPC -O3 -I. GCT_lapack.F
gfortran -c -DPC -O3 -I. somglis.f
gfortran -c -DPC -O3 -I. sort.f
gfortran -c -DPC -O3 -I. csttk-4.F90
csttk-4.F90: In function ?cst_wrtrace?:
csttk-4.F90:504: fatal error: gfc_todo: Not Implemented: Scalarization
of non-elemental intrinsic: __transfer1
compilation terminated.
make: *** [csttk-4.o] Error 1
[XXXXX] ifort -c csttk-4.F90
[XXXXX] gmake
gfortran -c -DPC -O3 -I. rkinds-1.f90
gfortran -c -DPC -O3 -I. util-2.f90
util-2.f90: In function ?locase?:
util-2.f90:251: internal compiler error: in gfc_finish_var_decl, at
fortran/trans-decl.c:416
Please submit a full bug report,
with preprocessed source if appropriate.
See <URL:http://gcc.gnu.org/bugs.html> for instructions.
make: *** [util-2.o] Error 1
Bref...
J'aimerais surtout voir la gueule du source ou d'un exemple mimnal
qui ne compilerait pas pour voir ce qu'il y a dedans. Je n'ai
_jamais_ vu une limitation problématique à gfortran (pour g95, c'est
un autre débat).
Alors, pour le premier fichier, la compilation plante sur
l'instruction:
des% trbuff(14) = transfer(-1.0, 0)
Le compilo se plaint que le premier argument de transfer() est un
scalaire. Or dans ce que je comprends de la norme, rien ne dit que ce
premier argument ne puisse pas être un scalaire. Et sur une dizaine de
compilos, seul gfortran se plante dessus.
Pour le second fichier, j'ai isolé le code qui fait planter gfortran:
module util_2
contains
!
******************************************************************************
function locase(string)
!
******************************************************************************
character(len=*), intent(in) :: string
character(len=len(string)) :: locase
!
******************************************************************************
locase = string
end function locase
end module util_2
Si j'enlève l'affectation (locase=), ou bien si je compile la même
fonction en dehors du module, ça passe. Ce bout de code est pour moi
valide (et d'ailleurs même si il ne l'était pas, gfortran ne devrait
pas faire une 'internal compiler error')
re-bref, en 10mn j'ai revérifié que gfortran n'était pas fiable...
Je ne t'engagerais jamais, toi. La moindre des choses, lorsqu'une
machine est compromise, on essaye de savoir comment pour que cela ne
se reproduise pas.
Commence par installer une ubuntu sur un serveur de prod, dans la
vraie vie, que je rigole.
Mouarf... Redhat aussi valide des trucs. Ce n'est pas pour cela que
la distribution est _stable_.
C'est cela, oui. Le principe des ports et tout ce qui va avec ça.
Bien sur, c'est très supérieur à tout le reste.
Là, j'aimerais que tu m'expliques en quoi Solaris est plus ou moins
industriel qu'un autre Unix. Solaris jusqu'à la version 9 (la
problématique est un peu différente depuis Solaris 10) est un
assemblage de bouts de ficelles plus ou moins grosses avec des
patches improbables. Alors appeler ça un OS industriel, tu
m'excuseras, mais j'ai peine à contraindre mes zygomatiques à ne pas
se livrer à une tétanisation crispée.
On parle de securite, on parle pas de performance, c'est pas le
probleme. J'ai des plateformes SS7 sous Solaris, elles existaient aussi
sous Linux, mais l'editeur travaille sur Solaris par defaut, donc on a
retenu Solaris. Pour les upgrade, c'est le process de l'editeur et hors
sauvegarde et monitoring, on touche meme pas aux machines.
Très bien. Vu les palanquées de patches de sécurités qui sortent
toutes les semaines pour le coeur de Solaris (et l'absence
de firewall efficace) de l'OS, touche du bois.
Je ne t'engagerais jamais, toi. La moindre des choses, lorsqu'une
machine est compromise, on essaye de savoir comment pour que cela ne
se reproduise pas.
Commence par installer une ubuntu sur un serveur de prod, dans la
vraie vie, que je rigole.
Mouarf... Redhat aussi valide des trucs. Ce n'est pas pour cela que
la distribution est _stable_.
C'est cela, oui. Le principe des ports et tout ce qui va avec ça.
Bien sur, c'est très supérieur à tout le reste.
Là, j'aimerais que tu m'expliques en quoi Solaris est plus ou moins
industriel qu'un autre Unix. Solaris jusqu'à la version 9 (la
problématique est un peu différente depuis Solaris 10) est un
assemblage de bouts de ficelles plus ou moins grosses avec des
patches improbables. Alors appeler ça un OS industriel, tu
m'excuseras, mais j'ai peine à contraindre mes zygomatiques à ne pas
se livrer à une tétanisation crispée.
On parle de securite, on parle pas de performance, c'est pas le
probleme. J'ai des plateformes SS7 sous Solaris, elles existaient aussi
sous Linux, mais l'editeur travaille sur Solaris par defaut, donc on a
retenu Solaris. Pour les upgrade, c'est le process de l'editeur et hors
sauvegarde et monitoring, on touche meme pas aux machines.
Très bien. Vu les palanquées de patches de sécurités qui sortent
toutes les semaines pour le coeur de Solaris (et l'absence
de firewall efficace) de l'OS, touche du bois.
Je ne t'engagerais jamais, toi. La moindre des choses, lorsqu'une
machine est compromise, on essaye de savoir comment pour que cela ne
se reproduise pas.
Commence par installer une ubuntu sur un serveur de prod, dans la
vraie vie, que je rigole.
Mouarf... Redhat aussi valide des trucs. Ce n'est pas pour cela que
la distribution est _stable_.
C'est cela, oui. Le principe des ports et tout ce qui va avec ça.
Bien sur, c'est très supérieur à tout le reste.
Là, j'aimerais que tu m'expliques en quoi Solaris est plus ou moins
industriel qu'un autre Unix. Solaris jusqu'à la version 9 (la
problématique est un peu différente depuis Solaris 10) est un
assemblage de bouts de ficelles plus ou moins grosses avec des
patches improbables. Alors appeler ça un OS industriel, tu
m'excuseras, mais j'ai peine à contraindre mes zygomatiques à ne pas
se livrer à une tétanisation crispée.
On parle de securite, on parle pas de performance, c'est pas le
probleme. J'ai des plateformes SS7 sous Solaris, elles existaient aussi
sous Linux, mais l'editeur travaille sur Solaris par defaut, donc on a
retenu Solaris. Pour les upgrade, c'est le process de l'editeur et hors
sauvegarde et monitoring, on touche meme pas aux machines.
Très bien. Vu les palanquées de patches de sécurités qui sortent
toutes les semaines pour le coeur de Solaris (et l'absence
de firewall efficace) de l'OS, touche du bois.
C'est parce que t'es un mauvais... chez moi (i.e. là où je bosse),
c'est moins de 5 minutes pour installer une Debian... et encore, je
compte presque dedans l'installation du rack...
C'est parce que t'es un mauvais... chez moi (i.e. là où je bosse),
c'est moins de 5 minutes pour installer une Debian... et encore, je
compte presque dedans l'installation du rack...
C'est parce que t'es un mauvais... chez moi (i.e. là où je bosse),
c'est moins de 5 minutes pour installer une Debian... et encore, je
compte presque dedans l'installation du rack...
Ton discourd consiste a pretendre qu'il y a un ideal
Non. Apprends à lire.
Ton discourd consiste a pretendre qu'il y a un ideal
Non. Apprends à lire.
Ton discourd consiste a pretendre qu'il y a un ideal
Non. Apprends à lire.
Ton discourd consiste a pretendre qu'il y a un ideal
Ton discourd consiste a pretendre qu'il y a un ideal
Ton discourd consiste a pretendre qu'il y a un ideal
On 5 juil, 15:15, JKB wrote:Le 05-07-2007, à propos de
Re: fortran, linux,
Stephane TOUGARD écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :JKB wrote:Et comment s'est-elle fait attaquer ? Ça m'intéresse, par ce depuis
J'en sais rien et j'en ai rien a foutre. J'ai fait confiance a la
politique de securite d'une distrib, ca a donne ca. J'ai re-installe,
restaure les backup parce que des gens attendaient que ce serveur
tourne.
Je ne t'engagerais jamais, toi. La moindre des choses, lorsqu'u ne
machine est compromise, on essaye de savoir comment pour que ce la ne
se reproduise pas.La j'ai fait les choses a ma maniere et la machine a tenu sans proble me
quelques annees.
Mouais...Ubuntu aussi commence a monter
(pas encore teste).
1/ Que serait ubuntu sans debian ?
M'en fous, j'en sais rien. Mais le fait est qu'un mec recupere le bou lot
de Debian et il commence a percer dans certains millieux ou Debian n' est
meme pas encore cite.
Commence par installer une ubuntu sur un serveur de prod, dans la
vraie vie, que je rigole.2/ ubuntu puise ses paquets dans debian/testing et debian/uns table,
ce qui est pour moi _incompatible_ avec une utilisation en se rveur.
Ca c'est possible, moi ce qui m'interesse c'est ce que l'editeur a
valide et quand me dit qu'il travaille a valider une Ubuntu, je pense
juste que je devrai peut etre un jour travailler avec.
Quand je lui dis "Debian", Ubuntu, c'est une Debian pas stable, il me
repond que derriere Ubuntu, il y a une societe et une demarche qui
permet de valider quelque chose. C'est meme pas technique comme choix.
Mouarf... Redhat aussi valide des trucs. Ce n'est pas pour cela que
la distribution est _stable_.De toutes facons, pour cette editeur on utilise la SuSE et elle est t res
bien.
Parfait.NetBSD est une bouse pas finie (sauf peut-être sur i386). I l faut
Pas pire qu'OpenBSD, c'est un OS de geek, personne n'en disconvient.
Non. OpenBSD est _très_ bien si on reste sur un PC standard.FreeBSD, bof... OpenBSD, aucune gestion SMP sur les architect ures
qui m'intéressent.
FreeBSD est largement aussi performant qu'un Linux, il a un process
d'upgrade du systeme absolument royal de simplicite, un systeme de
package qui permet de personnaliser a l'extreme sans sortir des proce ss
du systeme et tout en respectant les specificites de chaque programme . A
mon avis, le meilleur serveur OS et de tres tres loin meilleur a Debi an.
C'est cela, oui. Le principe des ports et tout ce qui va avec ça.
Bien sur, c'est très supérieur à tout le reste.Solaris : un truc infâme (et j'utilise Solaris depuis SunOS 1.4.x
Solaris, c'est un OS industriel, c'est a dire qu'on installe une conf ig
validee par un editeur pour un client, pour repondre a un besoin
particulier, c'est grave dans le marbre et on y touche plus.
Là, j'aimerais que tu m'expliques en quoi Solaris est plus ou moins
industriel qu'un autre Unix. Solaris jusqu'à la version 9 (la
problématique est un peu différente depuis Solaris 10) est un
assemblage de bouts de ficelles plus ou moins grosses avec des
patches improbables. Alors appeler ça un OS industriel, tu
m'excuseras, mais j'ai peine à contraindre mes zygomatiques à ne pas
se livrer à une tétanisation crispée.On parle de securite, on parle pas de performance, c'est pas le
probleme. J'ai des plateformes SS7 sous Solaris, elles existaient aus si
sous Linux, mais l'editeur travaille sur Solaris par defaut, donc on a
retenu Solaris. Pour les upgrade, c'est le process de l'editeur et ho rs
sauvegarde et monitoring, on touche meme pas aux machines.
Très bien. Vu les palanquées de patches de sécurités qu i sortent
toutes les semaines pour le coeur de Solaris (et l'absence
de firewall efficace) de l'OS, touche du bois.Redhat : j'ai maintenu des redhat jusqu'à ce qu'une mise à jour de
sécurité d'un serveur X avec RPM m'a foutu par terre un s erveur que
je n'ai jamais pu redémarrer normalement. J'ai réinstall é par dessus
une debian, depuis, plus de problème.
RedHat, c'est le Solaris du Linux. Si c'est necessaire, on passe par la,
sinon on choisit autre chose.Donc aujourd'hui, au moins par élimination, debian. Au moin s pour sa
fiabilité, debian.
Tu as une vision bien etriquee de la chose.
Et bien non. J'ai même certainement une vision bien plus larg e que
la tienne, puisque je me coltine des trucs que tu n'imagines m ême
pas dans tes cauchemars les plus fous.
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Si c'est lui qui le dit..
He, c'est pas moi qui le dit. Perso, j'utilise plus Mandrake
depuis laversion 5 (c'etait la toute premiere). J'avais rencontre un
fondateur,
il m'a pris de haut avec mon bac -1, il m'a file le premier CD
presse delalMandrakeke.
u raison de rejeter ma cainstantanement
est copie de plus haut venant de Stephane tougard
il critique les autres mais il a deja ete jStephane
On 5 juil, 15:15, JKB <knatsc...@koenigsberg.fr> wrote:
Le 05-07-2007, à propos de
Re: fortran, linux,
Stephane TOUGARD écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB wrote:
Et comment s'est-elle fait attaquer ? Ça m'intéresse, par ce depuis
J'en sais rien et j'en ai rien a foutre. J'ai fait confiance a la
politique de securite d'une distrib, ca a donne ca. J'ai re-installe,
restaure les backup parce que des gens attendaient que ce serveur
tourne.
Je ne t'engagerais jamais, toi. La moindre des choses, lorsqu'u ne
machine est compromise, on essaye de savoir comment pour que ce la ne
se reproduise pas.
La j'ai fait les choses a ma maniere et la machine a tenu sans proble me
quelques annees.
Mouais...
Ubuntu aussi commence a monter
(pas encore teste).
1/ Que serait ubuntu sans debian ?
M'en fous, j'en sais rien. Mais le fait est qu'un mec recupere le bou lot
de Debian et il commence a percer dans certains millieux ou Debian n' est
meme pas encore cite.
Commence par installer une ubuntu sur un serveur de prod, dans la
vraie vie, que je rigole.
2/ ubuntu puise ses paquets dans debian/testing et debian/uns table,
ce qui est pour moi _incompatible_ avec une utilisation en se rveur.
Ca c'est possible, moi ce qui m'interesse c'est ce que l'editeur a
valide et quand me dit qu'il travaille a valider une Ubuntu, je pense
juste que je devrai peut etre un jour travailler avec.
Quand je lui dis "Debian", Ubuntu, c'est une Debian pas stable, il me
repond que derriere Ubuntu, il y a une societe et une demarche qui
permet de valider quelque chose. C'est meme pas technique comme choix.
Mouarf... Redhat aussi valide des trucs. Ce n'est pas pour cela que
la distribution est _stable_.
De toutes facons, pour cette editeur on utilise la SuSE et elle est t res
bien.
Parfait.
NetBSD est une bouse pas finie (sauf peut-être sur i386). I l faut
Pas pire qu'OpenBSD, c'est un OS de geek, personne n'en disconvient.
Non. OpenBSD est _très_ bien si on reste sur un PC standard.
FreeBSD, bof... OpenBSD, aucune gestion SMP sur les architect ures
qui m'intéressent.
FreeBSD est largement aussi performant qu'un Linux, il a un process
d'upgrade du systeme absolument royal de simplicite, un systeme de
package qui permet de personnaliser a l'extreme sans sortir des proce ss
du systeme et tout en respectant les specificites de chaque programme . A
mon avis, le meilleur serveur OS et de tres tres loin meilleur a Debi an.
C'est cela, oui. Le principe des ports et tout ce qui va avec ça.
Bien sur, c'est très supérieur à tout le reste.
Solaris : un truc infâme (et j'utilise Solaris depuis SunOS 1.4.x
Solaris, c'est un OS industriel, c'est a dire qu'on installe une conf ig
validee par un editeur pour un client, pour repondre a un besoin
particulier, c'est grave dans le marbre et on y touche plus.
Là, j'aimerais que tu m'expliques en quoi Solaris est plus ou moins
industriel qu'un autre Unix. Solaris jusqu'à la version 9 (la
problématique est un peu différente depuis Solaris 10) est un
assemblage de bouts de ficelles plus ou moins grosses avec des
patches improbables. Alors appeler ça un OS industriel, tu
m'excuseras, mais j'ai peine à contraindre mes zygomatiques à ne pas
se livrer à une tétanisation crispée.
On parle de securite, on parle pas de performance, c'est pas le
probleme. J'ai des plateformes SS7 sous Solaris, elles existaient aus si
sous Linux, mais l'editeur travaille sur Solaris par defaut, donc on a
retenu Solaris. Pour les upgrade, c'est le process de l'editeur et ho rs
sauvegarde et monitoring, on touche meme pas aux machines.
Très bien. Vu les palanquées de patches de sécurités qu i sortent
toutes les semaines pour le coeur de Solaris (et l'absence
de firewall efficace) de l'OS, touche du bois.
Redhat : j'ai maintenu des redhat jusqu'à ce qu'une mise à jour de
sécurité d'un serveur X avec RPM m'a foutu par terre un s erveur que
je n'ai jamais pu redémarrer normalement. J'ai réinstall é par dessus
une debian, depuis, plus de problème.
RedHat, c'est le Solaris du Linux. Si c'est necessaire, on passe par la,
sinon on choisit autre chose.
Donc aujourd'hui, au moins par élimination, debian. Au moin s pour sa
fiabilité, debian.
Tu as une vision bien etriquee de la chose.
Et bien non. J'ai même certainement une vision bien plus larg e que
la tienne, puisque je me coltine des trucs que tu n'imagines m ême
pas dans tes cauchemars les plus fous.
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Si c'est lui qui le dit..
He, c'est pas moi qui le dit. Perso, j'utilise plus Mandrake
depuis laversion 5 (c'etait la toute premiere). J'avais rencontre un
fondateur,
il m'a pris de haut avec mon bac -1, il m'a file le premier CD
presse delalMandrakeke.
u raison de rejeter ma cainstantanement
est copie de plus haut venant de Stephane tougard
il critique les autres mais il a deja ete jStephane
On 5 juil, 15:15, JKB wrote:Le 05-07-2007, à propos de
Re: fortran, linux,
Stephane TOUGARD écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :JKB wrote:Et comment s'est-elle fait attaquer ? Ça m'intéresse, par ce depuis
J'en sais rien et j'en ai rien a foutre. J'ai fait confiance a la
politique de securite d'une distrib, ca a donne ca. J'ai re-installe,
restaure les backup parce que des gens attendaient que ce serveur
tourne.
Je ne t'engagerais jamais, toi. La moindre des choses, lorsqu'u ne
machine est compromise, on essaye de savoir comment pour que ce la ne
se reproduise pas.La j'ai fait les choses a ma maniere et la machine a tenu sans proble me
quelques annees.
Mouais...Ubuntu aussi commence a monter
(pas encore teste).
1/ Que serait ubuntu sans debian ?
M'en fous, j'en sais rien. Mais le fait est qu'un mec recupere le bou lot
de Debian et il commence a percer dans certains millieux ou Debian n' est
meme pas encore cite.
Commence par installer une ubuntu sur un serveur de prod, dans la
vraie vie, que je rigole.2/ ubuntu puise ses paquets dans debian/testing et debian/uns table,
ce qui est pour moi _incompatible_ avec une utilisation en se rveur.
Ca c'est possible, moi ce qui m'interesse c'est ce que l'editeur a
valide et quand me dit qu'il travaille a valider une Ubuntu, je pense
juste que je devrai peut etre un jour travailler avec.
Quand je lui dis "Debian", Ubuntu, c'est une Debian pas stable, il me
repond que derriere Ubuntu, il y a une societe et une demarche qui
permet de valider quelque chose. C'est meme pas technique comme choix.
Mouarf... Redhat aussi valide des trucs. Ce n'est pas pour cela que
la distribution est _stable_.De toutes facons, pour cette editeur on utilise la SuSE et elle est t res
bien.
Parfait.NetBSD est une bouse pas finie (sauf peut-être sur i386). I l faut
Pas pire qu'OpenBSD, c'est un OS de geek, personne n'en disconvient.
Non. OpenBSD est _très_ bien si on reste sur un PC standard.FreeBSD, bof... OpenBSD, aucune gestion SMP sur les architect ures
qui m'intéressent.
FreeBSD est largement aussi performant qu'un Linux, il a un process
d'upgrade du systeme absolument royal de simplicite, un systeme de
package qui permet de personnaliser a l'extreme sans sortir des proce ss
du systeme et tout en respectant les specificites de chaque programme . A
mon avis, le meilleur serveur OS et de tres tres loin meilleur a Debi an.
C'est cela, oui. Le principe des ports et tout ce qui va avec ça.
Bien sur, c'est très supérieur à tout le reste.Solaris : un truc infâme (et j'utilise Solaris depuis SunOS 1.4.x
Solaris, c'est un OS industriel, c'est a dire qu'on installe une conf ig
validee par un editeur pour un client, pour repondre a un besoin
particulier, c'est grave dans le marbre et on y touche plus.
Là, j'aimerais que tu m'expliques en quoi Solaris est plus ou moins
industriel qu'un autre Unix. Solaris jusqu'à la version 9 (la
problématique est un peu différente depuis Solaris 10) est un
assemblage de bouts de ficelles plus ou moins grosses avec des
patches improbables. Alors appeler ça un OS industriel, tu
m'excuseras, mais j'ai peine à contraindre mes zygomatiques à ne pas
se livrer à une tétanisation crispée.On parle de securite, on parle pas de performance, c'est pas le
probleme. J'ai des plateformes SS7 sous Solaris, elles existaient aus si
sous Linux, mais l'editeur travaille sur Solaris par defaut, donc on a
retenu Solaris. Pour les upgrade, c'est le process de l'editeur et ho rs
sauvegarde et monitoring, on touche meme pas aux machines.
Très bien. Vu les palanquées de patches de sécurités qu i sortent
toutes les semaines pour le coeur de Solaris (et l'absence
de firewall efficace) de l'OS, touche du bois.Redhat : j'ai maintenu des redhat jusqu'à ce qu'une mise à jour de
sécurité d'un serveur X avec RPM m'a foutu par terre un s erveur que
je n'ai jamais pu redémarrer normalement. J'ai réinstall é par dessus
une debian, depuis, plus de problème.
RedHat, c'est le Solaris du Linux. Si c'est necessaire, on passe par la,
sinon on choisit autre chose.Donc aujourd'hui, au moins par élimination, debian. Au moin s pour sa
fiabilité, debian.
Tu as une vision bien etriquee de la chose.
Et bien non. J'ai même certainement une vision bien plus larg e que
la tienne, puisque je me coltine des trucs que tu n'imagines m ême
pas dans tes cauchemars les plus fous.
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Si c'est lui qui le dit..
He, c'est pas moi qui le dit. Perso, j'utilise plus Mandrake
depuis laversion 5 (c'etait la toute premiere). J'avais rencontre un
fondateur,
il m'a pris de haut avec mon bac -1, il m'a file le premier CD
presse delalMandrakeke.
u raison de rejeter ma cainstantanement
est copie de plus haut venant de Stephane tougard
il critique les autres mais il a deja ete jStephane
Tout faux... mais on ne peut pas tout savoir quand on refuse le
progrès.
Tout faux... mais on ne peut pas tout savoir quand on refuse le
progrès.
Tout faux... mais on ne peut pas tout savoir quand on refuse le
progrès.