disons avoir résussi à coopérer avec les autres, à diriger une équipe, à être reconnu par les autres
bref toutes des qualités qui aident pour enseigner
A l'aube de son propre retour dans le néant avec ou sans agonie, une carrière professionnelle bien réussie semble une bien maigre consolation. L'important au final n'est pas de réussir sa vie mais surtout d'avoir eu l'immense talent de réussir le passage de vie à trépas. Paradoxalement, seul(e) celui ou celle qui a soi disant raté sa vie (qui n'a donc qui n'a rien à perdre) possède cette faculté.
trallala a écrit :
on sent la marxiste engagée
disons avoir résussi à coopérer avec les autres, à diriger
une équipe, à être reconnu par les autres
bref toutes des qualités qui aident pour enseigner
A l'aube de son propre retour dans le néant avec ou sans agonie,
une carrière professionnelle bien réussie semble une bien maigre
consolation.
L'important au final n'est pas de réussir sa vie mais surtout d'avoir
eu l'immense talent de réussir le passage de vie à trépas.
Paradoxalement, seul(e) celui ou celle qui a soi disant raté sa vie
(qui n'a donc qui n'a rien à perdre) possède cette faculté.
disons avoir résussi à coopérer avec les autres, à diriger une équipe, à être reconnu par les autres
bref toutes des qualités qui aident pour enseigner
A l'aube de son propre retour dans le néant avec ou sans agonie, une carrière professionnelle bien réussie semble une bien maigre consolation. L'important au final n'est pas de réussir sa vie mais surtout d'avoir eu l'immense talent de réussir le passage de vie à trépas. Paradoxalement, seul(e) celui ou celle qui a soi disant raté sa vie (qui n'a donc qui n'a rien à perdre) possède cette faculté.